L’agence de notation attribue cette hausse du déficit (qui était de 6% en 2019) à la chute des recettes du gaz et à la hausse du chômage combinés à des dépenses publiques soutenues dans le cadre de l’épidémie du covid-19. Toutefois, elle envisage une amélioration de la collecte fiscale en 2021, année durant laquelle le déficit budgétaire se situerait à 5% du PIB.

L’agence de notation attribue cette hausse du déficit (qui était de 6% en 2019) à la chute des recettes du gaz et à la hausse du chômage combinés à des dépenses publiques soutenues dans le cadre de l’épidémie du covid-19. Toutefois, elle envisage une amélioration de la collecte fiscale en 2021, année durant laquelle le déficit budgétaire se situerait à 5% du PIB. La Banque centrale (BCB) estime pour sa part que le déficit n’atteindra que 10% en 2020 et qu’il faudra rechercher des financements provenant des bailleurs internationaux ainsi que les marchés privés.