La Confédération de la Micro et Petite Entreprise-Conamype a informé que 100 000 micro et petites entreprises (sur un total de 600 000 dans tout le pays, dont 180 000 formelles) ont déclaré faillite pendant l’urgence sanitaire, entraînant la perte de 500 000 à 600 000 emplois (sur 1,5 M de travailleurs du secteur). Les secteurs les plus affectés sont le secteur manufacturier, le textile, le bois, le cuir et le métal-mécanique.

La Confédération de la Micro et Petite Entreprise-Conamype a informé que 100 000 micro et petites entreprises (sur un total de 600 000 dans tout le pays, dont 180 000 formelles) ont déclaré faillite pendant l’urgence sanitaire, entraînant la perte de 500 000 à 600 000 emplois (sur 1,5 M de travailleurs du secteur). Les secteurs les plus affectés sont le secteur manufacturier, le textile, le bois, le cuir et le métal-mécanique. La Conamype estime que sans aides supplémentaires, 100 000 autres entreprises pourraient faire faillite d’ici le 30 avril, date de la fin du confinement. L’interdiction de licencier pendant l’urgence sanitaire est difficile à faire respecter dans un contexte où les deux tiers des micro et petites entreprises sont informelles. Le secteur a demandé des aides au gouvernement sous la forme de crédits avec un taux d’intérêt maximum de 6% et une période de grâce de 6 mois.