L’entreprise espagnole réclame ce montant qu’elle considère remboursable, tel que prévu dans le contrat d’opérations (zone de Caipipendi) signé entre YPFB et un groupe d’entreprises dont Repsol. La firme espagnole précise qu’il ne s’agissait pas d’un contrat indépendant qui l’aurait obligé à assumer les risques de « forage sec ». Le montant engagé pour ce forage était trop élevé pour être considéré comme un « puits d’exploration» (il n’a abouti à aucune découverte).