La chambre des Députés a approuvé le projet de loi 275/19 qui réduit la sanction maximale pour le délit de sabotage industriel de 8 à 4 ans d’années de prison et spécifie que le sabotage doit être conduit « avec violence » pour être considéré un délit. Il spécifie également que les atteintes à la liberté du travail (bloquer l’accès des travailleurs à leur lieu de travail) ne seront pas considérées comme délit s’ils se font dans le cadre d’une grève. Le secteur privé estime que ce projet porte préjudice à la sécurité juridique.