Ils dénoncent des conditions de travail et de vie précaires, l’absence de service de santé, de logement adéquat sur place et de contrat de travail. Les dirigeants syndicaux et la Confédération Syndicale des Travailleurs de la Construction de la Bolivie défendent toutefois l’entreprise qui déclare ne pas être en faute. Le vice-ministre du Travail a quant à lui indiqué que CRCC a déjà fait l’objet de sanctions par le passé.