La loi prévoit, à partir de mars, la gratuité des services de santé pour les personnes âgés de 5 à 59 ans (5 M de personnes) et un transfert budgétaire de 200 MUSD pour le nouveau SUS dédié aux soins médicaux (110,8 MUSD), aux ressources humaines (56,9 MUSD) ainsi qu’aux infrastructures et équipements (30,8 MUSD). Les syndicats de médecins s’opposent à la mesure, estimant que le gouvernement n’a pas les ressources pour assurer les services gratuits, ainsi qu’à la prise de contrôle des hôpitaux de troisième niveau par le gouvernement, jadis aux mains des régions.