Malgré une participation de l’État au capital dépassant 90%, le retard dans la réglementation du ministère de la Présidence leur a permis de conserver leur statut de société privée, les mettant en condition d’échapper ainsi au contrôle du Parlement. La liste inclut plusieurs entreprises de premier plan, dont deux filiales de l’entreprise pétrolière publique YPFB, l’entreprise de télécommunications ENTEL, etc.