• D’après le vice-ministre des Finances, le déficit public pourrait s’établir à 9,4% du PIB au cours de l’année fiscale 2017/2018 (contre 9% du PIB inscrits au budget).
  • D’après le ministre du Pétrole, l’Egypte cessera d’importer du GNL d’ici la fin du mois de juin 2018. L’économie correspondante est évaluée à 250 M$ par mois. La production de gaz serait passée de 3,9 bcf en 2016 à 5,5 bcf en 2017. Elle pourrait atteindre 6 bcf avant la fin de l’année 2018.
  • Le Purchasing Managers’ Index est passé de 43,3 au mois de janvier 2017 à 49,9 au mois de janvier 2018.
  • Calculés en termes nets, les avoirs extérieurs de la Banque Centrale sont passés de 26,36 Mds$ fin janvier 2017 à 38,21 Mds$ fin janvier 2018.
  • Calculée en glissement annuel, l’inflation s’établissait à 17,1% fin janvier 2018.
  • Le taux d’intérêt des T-Bills continue d’évoluer à la baisse. Celui des bons du Trésor à 3 mois a été ramené de 18 à 17,7%, celui des bons du Trésor à 6 mois de 17,6 à 17,4%, celui des bons du Trésor à 9 mois de 17,6 à 16,6% et celui des bons du Trésor à 12 mois de 16,7 à 16,4% lors des dernières adjudications. C’est leur niveau le plus bas depuis le flottement de la livre en novembre 2016.
  • Les échanges bilatéraux entre la France et l’Egypte ont atteint 2,5 Mds€ en 2017 (contre 2 Mds€ en 2016). Les exportations françaises atteignent 1,9Md€ (+20,6% en g.a.). Les exportations égyptiennes atteignent 617 M€ (+25,2% en g.a.).
  • Le Comité de Politique Monétaire de la BCE a baissé de 100 pdb les taux de dépôt et de prêt à un jour, respectivement à 17,75% et 18,75% ainsi que le taux d'actualisation à 18,25%.
  • Le ministère des Finances a publié son projet de budget 2018/19 avec un objectif de croissance à 5,5%, de chômage à 11,1% et de déficit budgétaire à 8,5% du PIB. Le taux d’endettement s’élèverait à 94% du PIB, celui de l’inflation à 10%.
  • Selon le ministère du Plan, l'Égypte a établi un plan quadriennal pour 2018-2022. Les objectifs d’ici 2022 : croissance du PIB de 7%, une croissance totale de l'investissement de 21,7%, un taux de chômage de 8,5%, un taux d'inflation de 8,5% et un déficit budgétaire de 4,3%.
  • 300 M$ ont été versés aux opérateurs pétroliers afin d’épurer progressivement un stock d’arriérés qui s’établissait à 2,4 Mds$ à la fin du mois de juin 2017.