Ces 2 Mds USD de prêts doivent financer surtout des projets d’infrastructure, notamment dans le secteur de l’eau. Selon la Banque Centrale de Bolivie (BCB), ces nouveaux engagements financiers feront passer la dette externe à 30 % du PIB alors qu’elle se situe actuellement à 24,6 % du PIB (9,3 Mds USD). Les autorités justifient cette décision par les « coussins financiers » existants externes (réserves de change à hauteur de 27,1% du PIB et d’autres actifs à 8,6%) et internes (dont les dépôts du secteur public non financier à hauteur de 16,7% du PIB) dont la Bolivie dispose.