Le "white book" sur les investissements étrangers donne une vue d'ensemble de la situation actuelle en matière d'investissements étrangers ainsi que des recommandations visant à améliorer le climat des affaires et l’attractivité de la Croatie pour les investisseurs étrangers. L'édition de cette année apporte 43 recommandations pour remédier aux obstacles aux IDE, tels que le manque de main-d'œuvre, une éducation inadaptée aux besoins de l'économie et une bureaucratie inefficace.

Le service économique a assisté à la présentation de la septième édition de White book  2024 intitulé « La compétitivité croate après l'achèvement du processus d'intégration européenne : un nouveau chapitre » élaboré par le Conseil des investisseurs étrangers en Croatie (FICC). Le "white book"  sur les investissements étrangers en Croatie et leur impact sur l'économie et la société donne une vue d'ensemble de la situation actuelle en matière d'investissements étrangers ainsi que des recommandations visant à améliorer le climat des affaires et l’attractivité du pays pour les investisseurs étrangers. L'édition de cette année apporte 43 recommandations pour remédier aux obstacles aux IDE, tels que le manque de main-d'œuvre, une éducation inadaptée aux besoins de l'économie et une bureaucratie inefficace.

Le ministre des Finances Marko Primorac a souligné l'intérêt  du "White book" qui met en évidence la contribution des FDI à l'économie croate, qui emploie 50% de la population active, réalise 60% des profts et représente 62% du total des investitssements. Il a également rappelé les défis auxquels la Croatie a été confrontée - d'abord en février 2020 avec la pandémie de coronavirus qui a touché le monde entier, puis avec les tremblements de terre dévastateurs. Malgré cela, elle affiche le  troisième meilleur taux de croissance de l'UE en 2023, apres l'Irlande et Malte.

D’après Velimir Šonje, analyste économique et auteur de White book 2024, la Croatie a besoin d'un nouvel objectif de développement national ambitieux afin d’atteindre 90% de convergence avec la moyenne de l'UE en partité de pouvoir d'achat contre 75 % actuellement.