La politique fiscale israélienne explique en partie un paradoxe : d’un côté les fondamentaux économiques sont bons, mais de l’autre la qualité des services publics (éducation, transports, et santé) laisse à désirer et le taux de pauvreté demeure élevé. Depuis la réforme fiscale de 2003, le gouvernement n’opère que des ajustements fiscaux mineurs pour répondre à des besoins de court terme. Une stratégie fiscale globale et de moyen-long terme semble nécessaire.