Pour justifier de cette décision, qui concerne à la fois la dette en monnaie locale et étrangère, l’agence de notation cite la détérioration de la balance de paiements ainsi que la moindre prévisibilité des politiques publiques (Fitch a qualifié les mesures du Congrès de « populistes », notamment les retraits autorisés du système public de retraites).

Pour justifier de cette décision, qui concerne à la fois la dette en monnaie locale et étrangère, l’agence de notation cite la détérioration de la balance de paiements ainsi que la moindre prévisibilité des politiques publiques (Fitch a qualifié les mesures du Congrès de « populistes », notamment les retraits autorisés du système public de retraites). Fitch souligne également les défis auquel le gouvernement fera face pour réduire le déficit budgétaire pour stabiliser la dette. Toujours selon l’agence, le manque de cohésion politique et la faiblesse des institutions depuis les élections de 2016 diminuent la capacité du futur gouvernement (élu en 2021) à mettre en oeuvre des réformes fiscales, politiques et économiques qui amélioreraient la productivité.