Les réserves prouvées de pétrole ont été révisées de 1.782 M de barils fin 2017 à 1.958 M de barils fin 2018, soit de 5,7 à 6,2 années d’exploitation respectivement. Celles de gaz ont en revanche poursuivi leur baisse (entamée en 2012), de 3.896 Mds de pieds cube fin 2017 à 3.782 Mds de pieds cube fin 2018, soit de 11,7 à 9,8 années d’exploitation respectivement. Le ministère des Mines et de l’Energie estime qu’en l’absence de nouvelles découvertes, le pays pourrait devenir importateur de gaz d’ici 2023.