Ce « collaborateur efficace » a révélé que GyM, leader du BTP péruvien et partenaire de consortium d’Odebrecht, a participé aux malversations en remboursant à la firme brésilienne 3 MUSD pour les pots de vin versés afin de remporter l’adjudication de la construction de la ligne 1 du métro de Lima. Face à ces révélations, le maire de Lima s’apprête à annuler un contrat gagné par GyM pour la construction d’une autoroute urbaine à Lima. Signalée également dans l’affaire de corruption du « Club de la construction » (Cf brèves nº 8 de 2019), GyM subit une dégradation de son image et en l’espace de 5 ans, la valeur de son action à Wall Street a dévissé de 81%.