L’investissement dans le secteur minier n’a atteint que 260 MUSD en 2017, selon les données de la Banque centrale. L’investissement privé stagne en fait depuis 2007 en raison des conditions peu incitatives qui, selon la constitution de 2009 et la loi minière de 2014, priorisent l’investissement public. Les entreprises privées ne peuvent pas s’approprier les ressources minérales qu’elles exploitent et au moins 55% des profits engendrés par l’exploitation doivent revenir à l’Etat.