Le dynamisme de la croissance a permis une diminution certaine mais insuffisante de la pauvreté. Avec un indice de Gini s’élevant à 0,42 en 2016, le recul de la pauvreté monétaire n’a toutefois pas été accompagné d’une baisse significative des inégalités de revenus. Cette persistance de la pauvreté et des inégalités apparait principalement imputable à des retards structurels en matière d’éducation et d’emploi, couplés à des disparités régionales et à une faiblesse des transferts sociaux.