Si le volume de nos investissements croisés reste assez faible, il ne reflète pas le développement de la présence de filiales françaises en Nouvelle-Zélande, près d’une centaine à ce jour, souvent montées depuis les bases régionales, Australie et Singapour notamment. Outre la promotion de l’attractivité de la France dans un contexte marqué par la prochaine sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, l’enjeu sera de valoriser notre présence et de souligner notre volonté de participer au développement des infrastructures du pays.