• Construit sous le sceau de l’austérité, le budget de l’Etat envisage une réduction des dépenses de 3,4 pp de PIB en 2018 (à 30,5%) et un reflux du déficit de 2,6 pp (à 8,1% du PIB).
  • L’effort de consolidation est principalement porté par le budget investissement alors que l’effort sur les dépenses courantes, salaires en particulier, est plus modeste.
  • Le service de la dette reste un poste de dépense majeur (18,9% des dépenses) et ce bien que le remboursement des dettes cachées ne soit pas budgétisé.
  • En valeur nominale, les dépenses atteindront 302,9 Md MZN (envir. 5 Md $) et seront principalement orientées vers le secteur économique et social.