Trésor-Info - Publications de la direction générale du Trésor - turquieFlux de publication de la direction générale du Trésor - turquieFluxArticlesTag-turquieCopyright 20242023-01-06T00:00:00+01:00/favicon.pngDirection générale du Trésorhttps://localhost/sitepublic/contact@dgtresor.gouv.fr589e4c9a-bbed-4c5a-9caf-eaaf9955d861Flash conjoncture pays émergentsChine : poursuite de la vague épidémique2023-01-06T00:00:00+01:00<p><strong>Depuis la levée soudaine mi-décembre de la plupart des restrictions sanitaires, la Chine connait une vague épidémique d’une ampleur inédite. </strong>Aucun suivi statistique précis n’est réalisé, alors que les autorités ont abandonné le recensement du nombre de cas de contaminations (qui n’était déjà plus réaliste depuis le quasi-abandon des tests PCR). Le nombre de cas à l’échelle du pays se compterait probablement au moins en millions quotidiens. <u>Une estimation des autorités, non publiée mais rapportée dans le <em>Financial Times</em>, ferait état de 250 millions de contaminations en décembre.</u> D’après des chercheurs chinois, le pic des contaminations serait passé dans les plus grandes villes du pays. A l’inverse, elles devraient fortement progresser dans les zones rurales dans les prochaines semaines, notamment en raison des déplacements interprovinciaux dans le cadre du nouvel an chinois. La pression sur le système de santé semble significative, avec une augmentation des patients hospitalisés de 50 % sur la semaine<strong>. </strong>L’augmentation du rythme de vaccination se confirme avec une multiplication par 10 en décembre par rapport au mois de novembre.</p>
<p><strong>►</strong><strong> Turquie : net ralentissement des prix à la consommation en décembre à 64,3 %</strong></p>
<p><strong>►</strong><strong> Angola : nouvelle hausse de la croissance au T3 2022, qui s’inscrit à +3,9 %</strong></p>
<p><strong>►</strong><strong> Indonésie : retour à un déficit budgétaire sous le plafond légal de 3 % du PIB en 2022</strong></p>
<p><strong>►</strong><strong> Brésil : le budget 2023 a été approuvé par le Congrès</strong></p>
<p><strong>►</strong><strong> Chili : les recettes fiscales liées au lithium ont apporté une contribution record au budget en 2022</strong></p>
<p><strong>►</strong><strong> </strong><strong>Points marchés</strong></p>af542f4f-fb80-4256-8d34-6d9314fb127aFlash conjoncture Pays émergentsChine : allègement important des restrictions sanitaires2022-12-13T00:00:00+01:00<div>
<p><strong>Mercredi 7 décembre, la Commission nationale de Santé chinoise (NHC) a annoncé une nouvelle série d’ajustements de la politique de prévention et de contrôle de l’épidémie de Covid-19</strong>. Ces 10 points, qui formalisent des ajustements annoncés localement ces dernières semaines, constituent un allégement sans précédent des règles sanitaires en vigueur en Chine depuis 2020. Alors que plus aucune autorité ne mentionne la politique 0-Covid depuis désormais plusieurs semaines, les nouvelles directives prévoient la fin de mesures clés liées à cette politique (pour les cas positifs asymptomatiques, réduction des zones considérées comme « à risque », facilité d’entrée dans les lieux publics). Les bénéfices économiques des allégements de la politique sanitaire ne devraient être enregistrés très progressivement. A court terme, la progression du nombre de cas devrait continuer de perturber l’activité économique et les chaînes de valeur.</p>
<p> <strong>► Afrique du Sud : en octobre, la balance commerciale est devenue déficitaire pour la première fois depuis avril 2020</strong></p>
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<p><strong>► Turquie : négociation à propos des approvisionnements en gaz </strong></p>
<p><strong>► Inde : nouvelle hausse du taux directeur de 35 pdb</strong></p>
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<p><strong>► Pakistan : un défaut de paiement évité de justesse</strong></p>
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</div>fc6f76b6-5e38-45ce-b8ea-d66585a10c57Flash conjoncture Pays émergentsTurquie : baisse du taux directeur de 150 pdb à 9 % et annonce de la fin du cycle de baisse de taux2022-11-28T00:00:00+01:00<p>La Banque centrale a abaissé son taux directeur de 10,5 % à 9,0 %, conformément aux anticipations du marché. Dans son communiqué de presse, elle indique qu’elle annoncera en décembre des nouvelles mesures macro-prudentielles, dans son document de politique monétaire 2023. Elle précise que le cycle de baisse de son taux directeur, amorcé en août, est arrivé à son terme (réduction totale de 500 points de base). Cette décision avait été anticipée par les analystes et n’a donc pas eu d’effet significatif sur les marchés.</p>
<p>► Thaïlande : croissance de +4,5 % au 3e trimestre en glissement annuel</p>
<p>► Inde : 3e économie mondiale en 2030 selon un rapport de Standard & Poors</p>
<p>► Chine : poursuite de la hausse massive de contaminations</p>
<p>► Afrique du Sud : hausse du taux directeur de 75 pdb à 7,0 %</p>b2eae39c-94d4-42bb-8bb3-0bfe5f3baebeThe Structural Economic Slowdown in Major Emerging Market EconomiesThe generalised catching up of the advanced countries by the large emerging countries has stalled since 2013. This slowdown in activity is structural in most countries due to the weakening of the dynamics of the factors of production (labour, capital, total factor productivity), which determine their potential growth. However, all major emerging countries have room to increase their potential growth.2022-11-03T00:00:00+01:00<p>Major emerging market economies (EMEs) are seeing a slowdown in their catch-up with advanced economies. After averaging more than 7% from 2000 to 2007, the annual growth rate of major EMEs levelled off to 6.5% from 2008 to 2012 thanks to stimulus policies in the aftermath of the 2008 financial crisis. However, it subsequently fell to an average of about 5% from 2013 to 2019 (see Chart below).</p>
<p>This slowdown in economic activity is structural in most economies due to the declining dynamism of production factors (labour, capital, total factor productivity), which determine the growth potential of an economy. For nearly ten years, the slowdown has been especially pronounced in Brazil, China and South Africa. Only India and Indonesia, which are further behind in closing the gap with advanced economies, have been able to maintain high, relatively stable growth rates.</p>
<p>Labour is contributing less to growth due to population ageing and inadequate job creation. Capital accumulation through investment is also losing momentum. Productivity growth spurred by rural-to-urban migration (reconversion of agricultural workers to more productive sectors) and resulting from reforms undertaken in the 1990s and 2000s in most EMEs is petering out in Asia.</p>
<p>All EMEs have room to raise their potential growth. They can increase the contribution of labour to growth by expanding women’s participation in the labour market, and boost investment and productivity by improving education levels and further opening domestic markets.</p>
<p>The growth trajectory of major EMEs is exposed to a number of risks, such as the rebalancing of China’s economy, the reconfiguration of global value chains, the energy transition and the effects of climate change.</p>
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<p style="text-align: center;"><img class="marge" title="Visuel TE-316en" src="/Articles/b2eae39c-94d4-42bb-8bb3-0bfe5f3baebe/images/5770f61c-1938-4c9a-b384-70d83b640bf3" alt="Visuel TE-316en" /></p>f68f617a-03ec-497e-a684-00e3bedac342Un ralentissement structurel de l'activité dans les grands pays émergentsLe rattrapage généralisé des pays avancés par les grands pays émergents marque le pas depuis 2013. Ce ralentissement de l’activité est structurel dans la plupart des pays en raison de l’affaiblissement de la dynamique des facteurs de production (travail, capital, productivité globale des facteurs), qui déterminent leur croissance potentielle. Tous les grands pays émergents disposent néanmoins de marges pour augmenter leur croissance potentielle. 2022-11-03T00:00:00+01:00<p>Le rattrapage généralisé des pays avancés par les grands pays émergents marque le pas. Après avoir dépassé en moyenne 7 % entre 2000 et 2007, la croissance annuelle des grands pays émergents s'est stabilisée à 6,5 % entre 2008 et 2012 grâce aux politiques de relance post-crise financière, mais elle a ensuite faibli, autour de 5 % en moyenne entre 2013 et 2019 (<em>cf.</em> Graphique).</p>
<p>Ce ralentissement de l'activité est structurel dans la plupart des pays, en raison de l'affaiblissement de la dynamique des facteurs de production (travail, capital, productivité globale des facteurs), qui déterminent le potentiel de croissance d'une économie. Depuis près de dix ans, le ralentissement est particulièrement marqué en Afrique du Sud, au Brésil et en Chine. Seules l'Inde et l'Indonésie, à un stade moins avancé de leur dynamique de rattrapage, maintiennent des taux de croissance élevés et relativement stables.</p>
<p>La contribution du travail diminue en raison du vieillissement de la population ou de créations d'emplois insuffisantes. L'accumulation du capital, via l'investissement, décélère également. Les gains de productivité issus de l'exode rural (transfert de la main d'œuvre agricole vers des secteurs plus productifs) se tarissent en Asie, de même que ceux qui résultaient des réformes menées dans les années 1990 et 2000 dans la plupart des pays.</p>
<p>Tous les pays disposent de marges pour augmenter leur croissance potentielle. Ils peuvent accroître la contribution du travail, via une participation accrue des femmes au marché du travail, et dynamiser l'investissement et la productivité, à travers une hausse du niveau d'éducation ou une plus grande ouverture des marchés domestiques.</p>
<p>La trajectoire de croissance des grands émergents est soumise à de nombreux aléas. Le rééquilibrage de l'économie chinoise, la reconfiguration des chaînes de valeur mondiales, la transition énergétique et les effets du réchauffement climatique en sont les principaux.</p>
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<p style="text-align: center;"> <img class="marge" title="TE-316" src="/Articles/f68f617a-03ec-497e-a684-00e3bedac342/images/6fca9e76-fddf-4465-b1f3-c8f074069d09" alt="TE-316" /></p>
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<h4><strong>+ Autres publications à consulter sur le sujet :</strong></h4>
<ul>
<li><strong> Feenstra Robert C., Robert Inklaar and Marcel P. Timmer (2015), "<a href="https://www.rug.nl/ggdc/productivity/pwt/?lang=en" target="_blank" rel="noopener noreferrer">The Next Generation of the Penn World Table</a>", <em>American Economic Review</em> </strong></li>
<li><strong> Banque mondiale (Janvier 2021), <em><a href="https://openknowledge.worldbank.org/handle/10986/34710" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Global Economic Prospects</a></em> </strong></li>
<li><strong> Celik S. <em>et al.</em> (2020), “<a href="https://openknowledge.worldbank.org/handle/10986/33426" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Subdued Potential Growth, sources and remedies</a>”, Banque mondiale,<em> Policy Research Working Paper</em> <br /></strong></li>
<li><strong> OCDE (2021), Rapports-pays “<a href="https://www.oecd.org/fr/economie/objectif-croissance/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Objectif croissance 2021 : pour une reprise dynamique </a>» <br /></strong></li>
</ul>
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<p>► Russie : sondage macroéconomique de la Banque de Russie, récession de -3,5 % et de -2,1 % en 2022 et en 2023</p>
<p>► Turquie : nouvelle baisse du taux directeur de 150 pdb à 10,5 %</p>
<p>► Indonésie : troisième hausse du taux directeur en trois mois</p>
<p>► Nigeria : des inondations aux conséquences désastreuses</p>
<p>► Tunisie : le FMI annonce être parvenu à un accord au niveau des services avec la Tunisie</p>
<p>► Point marchés</p>14f6f6a4-3a30-49b6-b723-0656b589fbacPoint hebdomadaire sur les marchés financiers turcs (semaine du 15 août au 19 août 2022)Toutes les semaines, le Service économique régional d'Ankara analyse l'évolution des marchés financiers turc2022-08-19T00:00:00+02:00<p>Le point sur l'évolution des marchés financiers turcs de la semaine, marquée par la décision inattendue de la Banque centrale turque d'abaisser de 100 pdb son taux directeur à 13 %. </p>c1e0acbc-59c2-49a4-8f06-dea4ed3c5403Point hebdomadaire sur les marchés financiers turcs (semaine du 30 mai au 3 juin 2022)Toutes les semaines, le Service économique régional d'Ankara analyse l'évolution des marchés financiers turcs.2022-06-03T00:00:00+02:00<p style="box-sizing: border-box; margin: 0px 0px 12px;">Le point sur l'évolution des marchés financiers turcs de la semaine, marquée par la hausse sensible du BIST 100, qui a atteint un sommet historique.</p>
<section class="page-section" style="box-sizing: border-box; display: block; padding-right: 15px; padding-left: 15px; background-color: #ffffff; color: #333333; font-family: Roboto, 'Helvetica Neue', Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant-ligatures: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-align: start; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px; -webkit-text-stroke-width: 0px; text-decoration-thickness: initial; text-decoration-style: initial; text-decoration-color: initial;"></section>b80fbf23-3043-4ff1-9e9f-f67259044edbFlash conjoncture Pays émergentsASEAN : accélération du resserrement monétaire au mois de mai face aux pressions inflationnistes2022-05-30T00:00:00+02:00<p>Alors que les banques centrales de Malaisie et des Philippines ont relevé leurs taux directeurs en mai, la banque centrale indonésienne a décidé de maintenir son taux directeur mais de restreindre la liquidité. Dans la région, seule la banque centrale de Singapour avait débuté un resserrement de sa politique monétaire, avec trois hausses de taux depuis octobre 2021. En mai, la banque centrale de Malaisie a augmenté, pour la première fois depuis juillet 2020, son taux de référence de 25 pb pour le porter à 2 %, afin de lutter contre la hausse de l’inflation qui pourrait atteindre plus de 3 % en 2022, et de contenir les pressions sur le ringgit liées à la hausse des taux américains. Aux Philippines, la banque centrale a également relevé ses taux d’intérêt de 25 pb, pour la première fois depuis 2018, de 2 à 2,25 %. Dans ces deux pays, la reprise est estimée comme suffisamment solide pour permettre ce resserrement monétaire. Enfin, la banque centrale indonésienne a maintenu son taux directeur mais restreint la liquidité en augmentant son ratio de réserves obligatoires, qui passera progressivement de 5 % à 9 % au 1er septembre.</p>
<p>► Argentine : malgré le dynamisme des exportations, une lente reconstitution des réserves de change</p>
<p>► Chine : défaut du promoteur immobilier Sunac</p>
<p>► Turquie : taux directeur inchangé et maintenu à 14 %</p>
<p>► Point marchés</p>4ab661fe-496d-4068-a1e4-f3610dd363a2Réunion régionale de la Turquie, du Sud-Caucase (hors Arménie) et du Turkménistan à BakouRetour sur la réunion régionale de la Turquie, du Sud-Caucase (hors Arménie) et du Turkménistan, qui s’est tenue à Bakou, les 23 et 24 mai, en présence de Magali Cesana, cheffe du Service des Affaires bilatérales et de l’Internationalisation des Entreprises, à la DG Trésor2022-05-27T00:00:00+02:00<p style="text-align: center;"><em><img class="marge" title="Réunion régionale – Magali Cesana et les services économiques de la région (Crédits photo : DG Trésor)" src="/Articles/4ab661fe-496d-4068-a1e4-f3610dd363a2/images/9a6041af-879e-40c0-95ec-416f6c5ffb86" alt="Réunion régionale – Magali Cesana et les services économiques de la région (Crédits photo : DG Trésor)" />Réunion régionale – Magali Cesana et les services économiques de la région (Crédits photo : DG Trésor)</em></p>
<p style="text-align: justify;">Au menu du 23 mai : analyse des rapports de force politiques dans la sous-région – avec la participation de Hervé Magro, ambassadeur de France en Turquie et de Zacharie Gross, ambassadeur de France en Azerbaïdjan – ; point sur la conjoncture économique des pays de la zone et, en particulier sur les effets du conflit en Ukraine ; analyse du degré d’intégration régionale, sur le plan notamment des infrastructures de transports et d’énergie ; présence locale des entreprises françaises et passage en revue des projets qu’elles portent et que la DG Trésor soutient.</p>
<p style="text-align: justify;">Le 24 mai, Magali Cesana a également eu l’occasion de s’entretenir avec M. Samir Sharifov, ministre des Finances, M. Elnur Aliyev, premier vice-ministre de l’Economie, et M. Rovshan Javadov, directeur adjoint du SOFAZ. Discussions constructives sur les chantiers économiques ouverts par le gouvernement : reconstruction des territoires recouvrés, diversification de l’économie, réforme de la gouvernance des entreprises, stratégie d’endettement du pays, stratégie d’investissement du fonds souverain SOFAZ. La France, décidée à appuyer les autorités azerbaïdjanaises sur tous ces pans.</p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p align="center"><img title="Entretien avec M. Samir Sharifov, ministre des Finances (Crédits photo : ministère des Finances de la République d’Azerbaïdjan)" src="/Articles/4ab661fe-496d-4068-a1e4-f3610dd363a2/images/5e99bf72-e7a4-433a-a314-8d10683c3e5f" alt="Entretien avec M. Samir Sharifov, ministre des Finances (Crédits photo : ministère des Finances de la République d’Azerbaïdjan)" width="685" height="456" /></p>
<p style="text-align: center;" align="center"><em>Entretien avec M. Samir Sharifov, ministre des Finances (Crédits photo : ministère des Finances de la République d’Azerbaïdjan)</em></p>
<p align="center"><img title=" Entretien avec M. Elnur Aliyev, premier vice-ministre de l’Economie (Crédits photo : DG Trésor)" src="/Articles/4ab661fe-496d-4068-a1e4-f3610dd363a2/images/9449487e-ad18-4922-801d-7365ab9592a6" alt=" Entretien avec M. Elnur Aliyev, premier vice-ministre de l’Economie (Crédits photo : DG Trésor)" width="685" height="514" /></p>
<p style="text-align: center;" align="center"><em> Entretien avec M. Elnur Aliyev, premier vice-ministre de l’Economie (Crédits photo : DG Trésor)</em></p>
<p><img style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" title="Entretien avec M. Elnur Aliyev, M. Rovshan Javadov, directeur adjoint du SOFAZ (Crédits photo : DG Trésor)" src="/Articles/4ab661fe-496d-4068-a1e4-f3610dd363a2/images/26ad3b1b-0434-48ae-8c51-11eb022de22b" alt="Entretien avec M. Elnur Aliyev, M. Rovshan Javadov, directeur adjoint du SOFAZ (Crédits photo : DG Trésor)" width="685" height="514" /></p>
<p align="center"><em>Entretien avec M. Elnur Aliyev, M. Rovshan Javadov, directeur adjoint du SOFAZ (Crédits photo : DG Trésor)</em></p>dafefb6f-e1c5-42b5-b4c1-9beafdd072a7Le pôle développement durable du Service économique régional d'Ankara s'est rendu à Izmir les 14 et 15 février 2022Le SER d'Ankara remercie les responsables de la chambre de commerce d’Izmir et de la municipalité pour l’accueil réservé à Mafal Thiam, conseiller développement durable de l’ambassade de France à Ankara, et à Berat Durmus, son adjoint, au cours de leur mission qui s'est déroulée du 14 au 15 février. 2022-02-28T00:00:00+01:00<p><span class="break-words"><span dir="ltr">Avec la Cheffe du département du développement des affaires de la Chambre de commerce d’Izmir, Mme Pinar Karayilanoglu, discussion sur le Mécanisme d’ajustement carbone aux frontières (MACF) dans un contexte où la moitié de la production des entreprises implantées à Izmir est destinée à l’UE. Une relation commerciale dense, qui rend cruciale l’adaptation de ces entreprises. Volonté affichée de travailler ensemble pour faciliter la transition des entreprises d’Izmir vers un mode de production adapté aux exigences du futur règlement.</span></span></p>
<p><span class="break-words"><span dir="ltr"><img class="marge" title="Mme Pinar Karayilanoglu en discussions avec les membres du SER d'Ankara - Crédits photo : SER" src="/Articles/dafefb6f-e1c5-42b5-b4c1-9beafdd072a7/images/a2de9d23-8f3c-42c7-8bf1-89d992bf935f" alt="Mme Pinar Karayilanoglu en discussions avec les membres du SER d'Ankara - Crédits photo : SER" /></span></span></p>
<p style="text-align: justify;"><span class="break-words"><span dir="ltr">Avec la Cheffe du Département du Changement climatique, Mme Sukran Nurlu et le bureau de la coordination des Transports représenté par M. Vehbi Durdu et Mme Özlrem Taskin-Erten, discussion sur les démarches de développement durable entamées par la Municipalité. Ambitions climatiques très élevées : objectif de neutralité carbone en 2030 et Master Plan pour des services de transports durables. Les modalités de soutien de la France pour atteindre ces objectifs ont été abordés.</span></span></p>
<p style="text-align: justify;"><span class="break-words"><span dir="ltr"><img class="marge" title="De gauche à droite : M.Berat Durmus, M. Mafal Thiam, Mme Sukran Nurlu et M. Vehbi Durdu - Crédits photo : SER" src="/Articles/dafefb6f-e1c5-42b5-b4c1-9beafdd072a7/images/0268271d-9d29-4bfb-b67e-0fd73f0ba8d6" alt="De gauche à droite : M.Berat Durmus, M. Mafal Thiam, Mme Sukran Nurlu et M. Vehbi Durdu - Crédits photo : SER" /><br /></span></span></p>
<p style="text-align: justify;"><span class="break-words"><span dir="ltr"><img class="marge" title="De gauche à droite : M. Berat Durmus, Mme Özlem Taskin-Erten et M. Mafal Thiam - Crédits photo : SER" src="/Articles/dafefb6f-e1c5-42b5-b4c1-9beafdd072a7/images/0a349254-4bd5-4428-b0c2-4e123d1a7093" alt="De gauche à droite : M. Berat Durmus, Mme Özlem Taskin-Erten et M. Mafal Thiam - Crédits photo : SER" /></span></span></p>
<p style="text-align: justify;"> </p>517d15b5-358e-4c69-a6dc-a47b598804c3La relation franco-turque à l’honneur dans le quotidien économique turc « Dünya »Un supplément de 48 pages sur la France a été publié ce lundi 14 février par le premier quotidien économique de Turquie, « Dünya » (110 000 abonnés, avec un tirage papier de 60 000 exemplaires). La précédente édition sur la France datait de 2014.2022-02-17T00:00:00+01:00<p style="text-align: center;"> </p>
<p style="text-align: center;"><img class="marge" title="premiere" src="/Articles/517d15b5-358e-4c69-a6dc-a47b598804c3/images/dff324d1-9b65-41ef-b2e1-3a0f3db0a3ad" alt="premiere" /></p>
<p>S'inscrivant dans le cadre de la Présidence française du Conseil de l’UE, cette édition a surtout été l’occasion de mettre l’accent sur deux thématiques d’avenir pour la coopération bilatérale : la révolution numérique et la lutte contre le réchauffement climatique.</p>
<p style="text-align: justify;">Quatre catégories d’acteurs ont participé à ce numéro spécial : des institutionnels économiques turcs, des entreprises turques investissant en France, des institutionnels économiques français et des entreprises françaises.</p>
<p style="text-align: justify;">Dans le détail, le numéro comprend :</p>
<ul>
<li>Des interviews du ministre turc du Commerce, Mehmet Muş, et du ministre délégué au Commerce extérieur et à l’Attractivité, Franck Riester, mais aussi des Ambassadeurs Ali Onaner et Hervé Magro, qui abordent notamment le dynamisme de la relation économique bilatérale, la ratification de l’Accord de Paris par la Turquie, le mécanisme d’ajustement carbone aux frontières et l’implantation récente d’une communauté French Tech à Istanbul </li>
<li>Un point dédié aux échanges commerciaux bilatéraux, qui se sont montrés résilients à la crise sanitaire en 2020 et qui affichent une forte reprise en 2021;</li>
<li>Des analyses du DEIK et du MEDEF International sur les perspectives de coopération entre les secteurs privés ;</li>
<li>Un article sur l’attractivité de la France, championne d’Europe des investissements étrangers pour la 2<sup>ème</sup> année consécutive, et sur les services offerts par Business France aux investisseurs étrangers ; </li>
<li>Un témoignage de la communauté French Tech Istanbul, pont entre les écosystèmes Tech turc et français, et un autre d’Ecole 42 en Turquie ;</li>
<li>Un zoom sur la forte implication de l’AFD en Turquie, notamment dans la lutte contre le changement climatique ;</li>
<li>Des éléments détaillés sur l’importante présence des entreprises françaises et franco-turques en Turquie par les CCEF (315 000 emplois directs, indirects et induits ; 8,3 Mds USD de valeur ajoutée ; 5 Mds EUR d’investissements en 5 ans ; 750 MEUR d’investissements à venir dans les trois prochaines années).</li>
</ul>
<p style="text-align: justify;">Tous ces articles sont illustrés par de nombreux témoignages d’entreprises turques investissant en France (Getir, Orhan Holding et LAM) mais aussi de groupes français et franco-turcs investissant en Turquie (Air Liquide, Alstom, Axa, CMA- CGM, Sanofi, Tav Airports et TotalEnergies mais aussi la licorne Mirakl).</p>
<p style="text-align: justify;">Pour en savoir plus, consultez la version électronique ci-dessous !</p>37005d3d-f870-47df-921d-6552a284f5bcFlash conjoncture Pays émergentsChine : la croissance annuelle atteint +8,1 % en 2021, tirée par la croissance exceptionnelle des exportations2022-01-21T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;"><strong>En 2021, la Chine a enregistré un taux de croissance annuel de son PIB de +8,1 %, ce qui correspond aux prévisions les plus optimistes (+8,1 % selon l’OCDE, +8 % selon la Banque mondiale, +7,9 % selon le FMI).</strong> L’objectif de croissance fixé par les autorités à un niveau d’au moins 6 % est donc largement dépassé. L’activité a été tirée par la croissance exceptionnelle des exportations (+29,7 % en 2021), outre un effet de base notable. La tendance reste au ralentissement, l’investissement n’ayant joué que partiellement son rôle traditionnel de moteur de la croissance, et la consommation intérieure demeurant atone. En glissement annuel, la croissance ralentit modérément au T4 (+4 %), dans la continuité des précédents trimestres (+4,9 % en g.a. au T3 ; +7,9 % au T2 ; +18,3 % au T1). Face à ce ralentissement, les autorités ont relâché certaines contraintes au dernier trimestre (baisse du ratio de réserves obligatoires, augmentation de la consommation du quota d’obligations par les gouvernements locaux dans l’optique d’augmenter les investissements). De nombreux aléas pèsent sur la croissance en 2022, avec l’arrivée du variant Omicron ainsi que les difficultés sur le marché immobilier, alors que les exportations devraient connaître une normalisation. La Banque centrale chinoise a entamé un assouplissement modéré de la politique monétaire, comme le témoigne la décision de réduire de 10 pb le taux d’intérêt en général et le taux préférentiel (LPR) à 1 an et à 5 ans, respectivement de 10 pb et 5 pb à 3,7 % et 4,6 %.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>► Argentine : un déficit primaire moins élevé qu’attendu, et un excédent commercial important en 2021 </strong></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>► Turquie : maintien du taux directeur à 14 %</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>► Ghana : Le gouvernement suspend 20 % des dépenses prévues dans le budget 2022 face aux pressions accrues sur ses finances publiques</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>► Point Marchés</strong></p>3dc0f1a6-b799-4e1c-9e93-e9cdcf5423e1Présentation des perspectives de l'économie turque par le SER d'Ankara lors de la venue de participants de l'ESSEC Executive MBA à IstanbulPrésentation sur les tendances de l'économie turque par Thierry Borel, conseiller financier du SER d'Ankara2022-01-19T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;">Le conseiller financier du SER d’Ankara, Thierry Borel, a présenté le lundi 17 janvier dernier, les tendances récentes et les perspectives à court terme de l’économie turque aux 45 participants, regroupant des cadres de différents secteurs d’activité, du programme de l’ESSEC Executive MBA dans le cadre de leur visite de 3 jours à Istanbul organisée par la Chambre de commerce franco-turque. </p>c56e772c-2dd3-4aa3-bc50-137d1baa32c7Flash conjoncture Pays émergentsBrésil : l’excédent commercial atteint un record en 20212022-01-10T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;"><strong>L’excédent commercial brésilien a atteint 61 Mds USD en valeur en 2021</strong>, soit son niveau le plus élevé depuis 1997 (début de la série historique), <strong>grâce au dynamisme des exportations</strong>. Celles-ci ont atteint 280,4 Mds USD, soit une hausse de 34 % par rapport à 2020 (après -6,3 % entre 2019 et 2020). Cette performance est liée à une forte demande envers les produits exportés par le Brésil, dont le minerai de fer, le soja et le pétrole, qui représentent plus de 40 % des exportations, ainsi que par la reprise au sein des partenaires commerciaux. La Chine conforte sa position de premier marché à l’exportation (32 % des exportations), suivie de l’Union européenne (12 %) et des Etats-Unis (11 %). Les importations ont connu un fort rattrapage, s’inscrivant à 219,5 Mds USD, en hausse de 38 % par rapport à 2020 (après -10,4 % entre 2019 et 2020). Celles-ci restent dominées par les produits manufacturés, en provenance de Chine (22 %), des Etats-Unis (18 %) et de l’Union européenne (17 %). En 2022, le commerce brésilien continuerait de bénéficier de la faiblesse du real et de la croissance plus important de la demande externe que de la demande interne, mais les analystes s’attendent à une légère baisse de l’excédent en 2022, à 55 Mds USD.</p>
<p><strong>►Indonésie : assouplissement de l’interdiction temporaire d’exporter du charbon</strong></p>
<p><strong>► Angola : le FMI approuve la septième tranche de son programme de facilité élargie de crédit</strong></p>
<p><strong>► Turquie : l’inflation à 36,08 % en g.a en décembre 2021 </strong></p>
<p><strong>► Point Marchés</strong></p>11fedcf3-fe87-408f-ae0f-c7cc2e4f2e3cFlash conjoncture Pays émergentsInde : forte probabilité d’interventions de la Banque centrale entre le 17 et le 21 décembre afin de soutenir la roupie2022-01-03T00:00:00+01:00<div>
<p style="text-align: justify;"><strong>La roupie ayant franchi le 16 décembre le seuil de 76 INR pour un dollar (point le plus haut depuis avril 2020), la Banque centrale indienne (RBI) serait intervenue, d’après les intervenants de marché, pour un montant de 5 Mds USD afin de prévenir un rapide effritement de la devise indienne.</strong> La dépréciation de la roupie serait en partie la conséquence de ventes de titres effectuées par les non-résidents sur les marchés boursiers indiens. Le raffermissement de la roupie depuis le 17 décembre (74,5 au 31 décembre), s’est produit dans un contexte, où l’indice phare de la Bourse de Bombay, le Sensex, plongeait de 1200 points le 20 décembre, accréditant ainsi l’hypothèse d’interventions de soutien. Des banques seraient intervenues pour le compte de la RBI en cédant des dollars en contrepartie de l’achat de roupies.</p>
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<p style="text-align: justify;"><strong>Sri Lanka : dégradation de la note souveraine par Fitch de CCC à CC</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Turquie: redressement temporaire de la lire</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Maroc : la Bank Al Maghrib revoit à la hausse ses prévisions de croissance pour 2021 à +6,7 % et +2,9 % en 2022</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Point Marchés</strong></p>
</div>
</div>cf6898c9-d58e-4f77-9ca2-16196401759fFlash conjoncture Pays émergentsTurquie : nouvelle baisse du taux directeur et chute de la devise2021-12-17T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;"><strong>La Banque centrale a abaissé à nouveau son taux directeur, de 15 % à 14 %</strong>, conformément aux anticipations des marchés. Depuis le mois de septembre, le taux directeur a diminué de 500 points de base (pdb). Dans ce contexte, la monnaie nationale continue de se déprécier (-18 % contre l’USD cette semaine) et atteint de nouveaux plus bas historiques face au dollar américain et à l’euro. La lire turque s’est effondrée de plus de 50 % depuis le début de l'année, dont 30 % en novembre. Le président Erdoğan est intervenu suite à la dépréciation, et a annoncé une augmentation du salaire minimum de 50 % pour maintenir sa valeur en dollars et a promis des mesures à ce jour non précisées.</p>
<p><strong>Russie : hausse du taux directeur de 100 points de base</strong></p>
<p><strong>Asie du Sud-Est : croissance anticipée à +5,1 % en 2022 d’après la Banque asiatique du développement (BAsD)</strong></p>
<p><strong>Argentine : dynamisme de l’activité au troisième trimestre 2021</strong></p>
<p><strong>Chine : tenue de la Conférence Centrale sur la Travail Economique</strong></p>
<p><strong>Point Marchés</strong></p>38e3bf99-e875-4abf-8a5b-c498e928cdb2Flash conjoncture Pays émergentsTurquie : nouvelle baisse du taux directeur 2021-11-22T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;"><strong>La Banque centrale a décidé d’abaisser son taux directeur de 16,0 % à 15,0 %.</strong> Avant cette décision, le président Erdoğan avait renouvelé ses appels à poursuivre la baisse des taux directeurs. La Banque centrale a ainsi abaissé son taux de refinancement de 400 pdb depuis le mois de septembre et a indiqué qu’elle pourrait de nouveau décider de baisser ses taux à l’occasion de la réunion du mois de décembre. Suite à la décision de la Banque centrale, la livre turque a accéléré sa chute (<em>cf</em>. infra) et atteint de nouveaux plus bas historiques face au dollar américain et à l’euro, alors que les primes Credit Default Swap turques progressaient de 21 pdb à 466 pdb. L’Exécutif a annoncé après la décision de la Banque centrale qu’il reconnaissait le « coût » causé par cette baisse, « une recette amère ». De nombreuses organisations professionnelles, à l’exception de celle proches du gouvernement, ont critiqué la décision de la Banque centrale soulignant les risques accrus dans ce contexte. Enfin, les banques publiques, sous les ordres de l’exécutif, ont répercuté entièrement, dès le lendemain, cette baisse des taux sur leurs offres commerciales.</p>
<p><strong>► Brésil : premiers versement de l’<em>Auxilio Brasil</em>, destinée à remplacer le programme <em>Bolsa Familia</em></strong></p>
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<p><strong>► ASEAN : bilan de la 26ème Conférence des Parties (COP26)</strong></p>
<p><strong>► Point Marchés</strong></p>
</div>499264f1-d7d3-456c-a5e7-b4158f86ae25Flash conjoncture Pays émergentsArgentine : tensions sur le change et défaite de la coalition gouvernementale aux élections2021-11-15T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;"><strong>La campagne électorale des élections de mi-mandat a été dominée par les thématiques de l’inflation et du change, alors que le peso a atteint 205 ARS/USD sur le marché parallèle et que l’inflation s’est inscrite à 52,1 %. </strong>Le peso <em>blue </em>a dépassé la semaine dernière les 200 ARS, soit plus du double du taux officiel, un important écart alimenté par les incertitudes en matière de politique économique. Cette déprécation contribue à la hausse des prix, compte tenu de l’indexation du compor­tement de nombreux acteurs sur le cours anticipé du peso. En octobre, l’inflation a atteint 3,5 % en variation mensuelle et 52,1 % en glissement annuel.<strong> Les résultats préliminaires du scrutin législatif donnent à ce stade la coalition gouvernemen­tale perdante. </strong>La coalition de centre-gauche <em>Frente de Todos</em> reculerait au sein de la Chambre des députés (elle disposait avant de 120 sièges sur 257) au profit de la coalition d’opposition de droite <em>Juntos por el Cambio</em>. C’est également le cas au Sénat, où ce recul conduirait à une perte de la majorité (<em>Frente de Todos</em> disposait de 41 sièges sur 72). Dans un discours dimanche soir, le président Alberto Fernandez a appelé au dialogue avec l’opposition et annoncé la présentation d’un programme économique pluriannuel en décembre. Les négociations sont en cours avec le Fonds monétaire international pour la mise en œuvre d’un programme, alors que le gouvernement dispose de deux années avant les prochaines élections fin 2023.</p>
<p><strong>A lire aussi cette semaine :</strong></p>
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<p><strong>► Chine : hausse des prix à la production à un niveau record</strong></p>
<p><strong>► Turquie : nouvelle baisse du déficit courant en septembre </strong></p>
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<p><strong>► Mexique : l’indice national des prix à la production atteint son niveau le plus élevé depuis trois ans </strong></p>
<div> <strong>► Points marchés</strong></div>
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<p> </p>c2ce5b72-a612-4204-93a9-798836fec673Premier événement de la communauté French Tech Istanbul, au Palais de France, lundi 8 novembreCe premier événement a réuni au Palais de France une centaine de représentants de start-ups, de scale-ups, de grands groupes et d’institutions françaises et turques. 2021-11-12T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;">Cet événement sponsorisé par la banque TEB, filiale de BNP Paribas, a été l’occasion de rappeler le dynamisme de l’écosystème de la French Tech, qui rassemble 21 000 startups dont 20 licornes. D’autre part, il a permis de souligner les performances des startups françaises en termes de levées de fonds (8,5 Mds EUR en 2021) qui ont fait de la France le premier pays de l’Union Européenne en la matière en 2020.</p>
<p style="text-align: justify;">Le Service Economique Régional d’Ankara et Business France Turquie représentés respectivement par Elodie Laugier et Cécile Lavigne, ont évoqué l’étendue des mesures de soutien au secteur de la tech et aux startups en France – notamment via France Relance et le plan France 2030 - ainsi que les nombreuses aides à l’implantation telles que Welcome to France et French Tech Visa.</p>
<p style="text-align: justify;">Enfin, les fondateurs des startups turques PulpoAr et Insider, qui se sont développées en France et qui bénéficient du soutien de la communauté French Tech, ont partagé leur expérience, donnant une vision positive de l’expansion de leurs projets.</p>
<p style="text-align: justify;">Le prochain rendez-vous est déjà donné : la communauté se retrouvera lundi 13 décembre prochain pour un petit-déjeuner turc au centre d’innovation de TAV - ADP.</p>
<p style="text-align: justify;"><img class="sans-marge" title="Crédits photo : Julien Aksoy" src="/Articles/c2ce5b72-a612-4204-93a9-798836fec673/images/baf0b432-14d6-4527-888d-f8cc11243bc0" alt="Crédits photo : Julien Aksoy" /></p>
<p style="text-align: left;"><em>De gauche à droite : Ümit Leblebici, DIrecteur Général de TEB, Burcu Demirdag, SER, Varol Civil - Crédits photo : Julien Aksoy </em></p>
<p><img class="marge" title="Crédits photo : Julien Aksoy" src="/Articles/c2ce5b72-a612-4204-93a9-798836fec673/images/ba1857ea-8eca-40c1-822c-db1e4ae3f422" alt="Crédits photo : Julien Aksoy" /></p>
<p>M. l'Ambassadeur de France en Turquie, Hervé Magro - <em>Crédits photo : Julien Aksoy</em></p>
<p><img class="marge" title="Crédits photo : Julien Aksoy" src="/Articles/c2ce5b72-a612-4204-93a9-798836fec673/images/384503bc-6c64-4957-839d-cc9d9554a382" alt="Crédits photo : Julien Aksoy" /></p>
<p>Mme Elodie Laugier, SER - <em>Crédits photo - Julien Aksoy</em></p>a67bdbdb-e172-49c7-b11e-a4e977a11a35Flash conjoncture pays émergentsChine : ralentissement de la croissance au troisième trimestre2021-10-22T00:00:00+02:00<p style="text-align: justify;"><strong>La croissance chinoise a atteint +4,9 % en glissement annuel au troisième trimestre, marquant une faible progression en rythme trimestriel (+0,2 %). </strong>Ce résultat signale un ralentissement du rythme de croissance (+18,3 % en g.a. au T1, +7,9 % en g.a. au T2), à un niveau inférieur au niveau pré-pandémie (+5,9 % en 2019). Ce ralentissement est perceptible dans les derniers indicateurs conjoncturels à fin septembre. La production industrielle n’a crû que de +3,1 % en g.a. (contre +5,3 % en août) en raison de la flambée du prix des matières premières. L’investissement (<em>fixed asset investment)</em> a décéléré sur les neufs premiers mois de l’année (+7,3 % en g.a en cumulé à la fin du T3, après +12,6 % à la fin du T2) dans un contexte de restrictions croissantes sur le secteur immobilier, via notamment un durcissement de l’accès au financement pour les promo­teurs. Le seul indicateur orienté à la hausse sont les ventes au détail. Celles-ci ont augmenté de +4,4 % en g.a. en septembre (+2,5 % en août), principalement grâce à la reprise du secteur de la restauration.</p>
<p><strong>A lire aussi cette semaine :</strong></p>
<p><strong>► Amérique latine : révision à la hausse des prévisions de croissance pour 2021 </strong></p>
<p><strong>► Turquie : liste grise du GAFI <br /></strong></p>
<p><strong>► Ghana : la prime de risque sur les obligations d’Etat atteint son niveau le plus élevé depuis le début de la crise</strong></p>
<p><strong>► Point marchés</strong></p>
<p><strong><br /><br /></strong></p>2173e409-6f07-4795-b82c-30b7591a16bfVisite du ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l’Attractivité, M. Franck Riester, à Istanbul, du 27 au 29 septembre 2021.M. Franck Riester a effectué un déplacement du 27 au 29/09/2021 à Istanbul, dans le cadre de la tenue de la 6ème session plénière de la JETCO, la commission mixte Turquie-France pour l'économie et le commerce. Ce déplacement a également l’occasion pour le ministre de rencontrer toutes les parties prenantes à l’initiative « Equipe France Business » dont l’objectif est de fédérer, renforcer et rassembler les acteurs de la communauté d’affaires française à l’international.2021-10-04T00:00:00+02:00<p style="text-align: justify;">Au cours de cette session, présidée par le ministre et son homologue turc, M. Mehmet Mus, les échanges ont porté sur les pistes de coopération entre les administrations de nos deux pays dans des secteurs suivants : l’agriculture, l’énergie, l’environnement et la ville durable, et, enfin, les transports. Deux axes transversaux ont structuré les discussions : le développement durable et la lutte contre le changement climatique. A ce titre, M. Franck Riester a salué la décision de ratification à court terme de l’accord de Paris par la Turquie. Les deux ministres ont ensuite eu l’occasion de rencontrer une délégation d’une soixantaine d’entreprises du MEDEF International et du DEIK (Conseil des relations économiques extérieures turc) réunies autour d’une table ronde sur le thème des « partenariats technologiques ».</p>
<p style="text-align: justify;"><img class="marge" title="Table ronde affaires et investissements Turquie-France sur les partenariats technologiques - MEDEF International et DEIK (Conseil des relations économiques extérieures turc)" src="/Articles/2173e409-6f07-4795-b82c-30b7591a16bf/images/c9f67ebf-6c55-40c6-871c-8d1f77f1a285" alt="Table ronde affaires et investissements Turquie-France sur les partenariats technologiques - MEDEF International et DEIK (Conseil des relations économiques extérieures turc) - Crédits photo : MEDEF International" />La JETCO a aussi permis de rappeler les relations économiques fortes qui existent entre nos deux pays. Nos échanges commerciaux ont atteint 14,1 Mds EUR en 2020 et se sont montrés résilients à la crise sanitaire. Ils suivent une tendance très positive sur 2021 également. Ainsi, l’objectif des Présidents français et turc d’atteindre 20 Mds EUR d’échanges a été rappelé. La France est actuellement le huitième fournisseur de la Turquie, le troisième parmi les pays de l'Union européenne et son sixième client.</p>
<p style="text-align: justify;"><img class="marge" title="Signature du protocole JETCO" src="/Articles/2173e409-6f07-4795-b82c-30b7591a16bf/images/36482dfb-49f7-4110-b65c-fad3378bd277" alt="Signature du protocole JETCO. De gauche à droite : Franck Riester, Mehmet Mus - Crédits photo : Ministère du Commerce turc" /></p>
<p style="text-align: justify;">En marge de la JETCO, le ministre français a présenté les résultats de l’étude menée par les Conseillers du Commerce Extérieur de la France sur l’impact économique et social des investissements français et franco-turcs en Turquie avec l’appui du Service Economique Régional. Cette étude révèle que les entreprises françaises et franco-turques, au nombre de 450 environ, sont engagées sur le long terme en Turquie, sur les volets tant économique que social. Elles emploient plus de 130 000 personnes en Turquie et ont contribué à hauteur de 8,3 Mds EUR à la valeur ajoutée de la Turquie de façon directe, indirecte et induite. Elles ont investi plus de 5 Mds EUR en Turquie entre 2014 et 2019 et prévoient 750 MEUR d’investissements supplémentaires sur les trois prochaines années. Enfin, elles possèdent au moins 77 sites de productions locales en Turquie.</p>
<p style="text-align: justify;">Le ministre a par ailleurs réalisé le lancement officiel de la communauté French Tech à Istanbul. Cette initiative permettra créer de belles synergies entre les écosystèmes turcs et français de startups.</p>
<p style="text-align: justify;"><img class="marge" title="Lancement officiel de la communauté French Tech à Istanbul" src="/Articles/2173e409-6f07-4795-b82c-30b7591a16bf/images/48573755-c7a1-4b40-b07a-ef19d2fb9b82" alt="Lancement officiel de la communauté French Tech à Istanbul. Les membres du CA de la French Tech, de gauche à droite : Nuri Cem Erbak, Dara Hizveren, Philippe Alcaras (Président), Franck Riester, Clémentine Loizillon (Community Leader), Murat Peskavas, Orkun Saitoglu - Crédits photo : Ambassade de France en Turquie" /></p>
<p style="text-align: justify;">Le ministre a en outre rencontré une dizaine d’entreprises françaises accompagnées par Business France dans le cadre d’une mission ferroviaire et une cinquantaine de membres de la Chambre franco-turque.</p>
<p style="text-align: justify;"><img class="marge" title="Mission industrie ferroviaire en Turquie de Business France" src="/Articles/2173e409-6f07-4795-b82c-30b7591a16bf/images/3b7cdb7a-bf0d-41f2-9abc-1e58ea92a72d" alt="Mission industrie ferroviaire en Turquie de Business France. Au centre : Franck Riester et à sa gauche Véronique Priour, Directrice pays de BF Turquie - Crédits photo : BF Turquie" /></p>
<p style="text-align: justify;">Il s’est également entretenu avec MM Nazim Salur et Tuncay Tutek, les deux fondateurs de la licorne turque Getir, qui a lancé ses opérations à Paris le 21 juin 2021 et y connait une très forte croissance.</p>
<p style="text-align: justify;"><img class="marge" title="Le ministre Franck Riester accompagné des fondateurs de Getir au Palais de France" src="/Articles/2173e409-6f07-4795-b82c-30b7591a16bf/images/b43a283f-78aa-467d-8542-04119c7e8bc8" alt="Entretien des fondateurs de la start-up Getir avec le Ministre au Palais de France à Istanbul. De gauche à droite : Nazim Salur, Franck Riester, Tuncay Tutek - Crédits photo : Ambassade de France en Turquie" /></p>
<p style="text-align: justify;">Enfin, le ministre a été reçu par le maire d’Istanbul, M. Ekrem Imamoglu, et a signé, aux côtés de ce dernier et de M. Tanguy Denieul, directeur-pays de l’Agence Française de Développement (AFD), la convention de financement du tramway de la Corne d’Or (prêt de 93 MEUR de l’AFD).</p>
<p style="text-align: justify;"><img class="marge" title="Signature de la convention de financement du tramway de la Corne d'Or à Istanbul." src="/Articles/2173e409-6f07-4795-b82c-30b7591a16bf/images/633ebf6c-eeae-491f-8474-9b3f00442439" alt="Signature de la convention de financement du tramway de la Corne d'Or à Istanbul. De gauche à droite : Tanguy Denieul, Directeur de l'AFD en Turquie, Franck Riester, Ekrem İmamoğlu, Maire d'Istanbul - Crédits photo : Municipalité d'Istanbul" /></p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p style="text-align: justify;"><img class="marge" title="Équipe France Business réunie au Palais de France à Istanbul" src="/Articles/2173e409-6f07-4795-b82c-30b7591a16bf/images/54c49ac6-795d-4b5c-8d24-b118e7ddb0b2" alt="Équipe France Business réunie au Palais de France à Istanbul" /></p>9a41c651-e3f5-4c5b-89b8-e9b78f317428Flash conjoncture Pays émergentsChine : inquiétudes sur la situation du promoteur immobilier Evergrande2021-09-29T00:00:00+02:00<p style="text-align: justify;">Le groupe immobilier s’oriente vers une situation de défaut, après ne pas avoir honoré une échéance sur un titre <em>offshore </em>ce jeudi. Evergrande, deuxième promoteur national dont la dette atteint plus de 300 Mds USD, a effectué ce mercredi un paiement sur des obligations <em>onshore </em>(232 MUSD) avant de ne pas honorer une échéance sur des obligations <em>offshore </em>(83 MUSD) ce jeudi, sans communi­quer à ce stade. Evergrande dispose de 30 jours pour honorer cette échéance avant d’être classé en défaut. S’agissant du marché domestique, les analystes convergent sur la capacité du gouvernement à intervenir pour prévenir le risque de contagion d’un défaut, et la People’s Bank of China (PBoC) a injecté 87 Mds USD sur le marché interbancaire sur les 7 derniers jours pour prévenir le risque d’un asséchement de liquidités. Sur le volet inter­national, les risques de contagion sont contenus, avec 20 Mds USD de dette <em>offshore </em>selon Reuters. Le gouvernement rejette jusqu’ici une intervention directe, mais les analystes s’attendent à une intervention autre qu’une injection de capital par l’État. Cette dernière irait en effet à l’encontre de l’objectif des autorités de réduire l’aléa moral au sein du secteur immobilier.</p>
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<p style="text-align: justify;">► ASEAN : vers un relâchement des règles de discipline budgétaire</p>
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<p style="text-align: justify;">► Turquie : assouplissement monétaire malgré la progression des prix</p>
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<p style="text-align: justify;">► Ethiopie : demande d’un nouvel accord avec le FMI suite à l’expiration d’une partie du programme</p>
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<p style="text-align: justify;">► Brésil : augmentation du taux d’intérêt directeur de la banque centrale, à 6,25 %</p>
<p style="text-align: justify;"><span style="text-align: justify;">► Point marchés</span></p>
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</div>28ebecba-4ce9-42ed-9e58-1d786c709c8dPCN Français - Communiqué de suivi "DIAM en Turquie"Le PCN publie un communiqué de suivi sur les actions conduites par le Groupe DIAM suite aux recommandations du PCN de mai 2019.2021-09-22T00:00:00+02:00<p> </p>
<blockquote>
<p align="center"><strong>"Le PCN constate que la liberté d’association et de négociation collective ne sont toujours pas en place dans la filiale turque de DIAM et que les travailleurs licenciés en mai et juin 2017 n’ont pas été réintégrés. Il demande à DIAM d’accentuer ses mesures de diligence raisonnable pour aboutir à l’établissement du dialogue social dans sa filiale turque tel que prévu par les Principes directeurs afin de remédier complétement aux manquements déjà constatés".</strong></p>
</blockquote>
<p style="text-align: justify;" align="center"> <strong>La circonstance spécifique porte sur un conflit social qui a éclaté le 12 mai 2017 dans l’usine de la filiale turque de DIAM à l’occasion de la campagne de syndicalisation menée par le syndicat turc Birlesik Metal Is visant à ouvrir une négociation collective avec DIAM Vitrin. A l'issue de ses bons offices et de l'examen da saisine, le PCN français avait publié un <a title="Comm_Final_CS DIAM en Turquie" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Institutionnel/Niveau3/Pages/e2d4f013-68f6-4a61-b7d1-393a350b5ad7/files/3f34a26d-099a-4431-9eb9-2de49b746f57">communiqué final du 14 mai 2019</a> qui constatait l'absence d'accord entre les parties et qui comportait plusieurs recommandations adressées à DIAM.<br /></strong></p>
<p style="text-align: justify;" align="center"><strong>Le PCN français rend compte du suivi de ses recommandations au regard de l'effectivité des Principes directeurs de l'OCDE à l'intention des entreprises multinationales dans le cas d'espèce. Le <a title="Comm_Suivi_CS DIAM en Turquie" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/28ebecba-4ce9-42ed-9e58-1d786c709c8d/files/ffb5e2c5-47be-416b-911e-7711efbdbccb">Communiqué de suivi du Point de contact national français, 9 septembre 2021</a> présente :</strong></p>
<ul>
<li style="text-align: justify;"><strong>La procédure suivie dans cette circonstance spécifique entre 2017et 2019 puis au titre du suivi entre juin 2019 et juin 2021) ;</strong></li>
<li style="text-align: justify;"><strong>La coordination du PCN français avec le PCN turc, en tant que "PCN d'appui" dans cette procédure ;</strong></li>
<li style="text-align: justify;"><strong>Le bilan du suivi des recommandations du PCN de mai 2019 en présentant la position du syndicat plaignant, les mesures prises par DIAM et l'aboutissement des procédures parallèles à l'action du PCN.</strong></li>
<li style="text-align: justify;"><strong>La conclusion du PCN</strong></li>
</ul>
<h5 style="text-align: center;" align="center"><strong>Conclusion du communiqué de suivi du PCN français du 9 septembre 2021 : <br /></strong></h5>
<h6>"Le PCN remercie DIAM et Birlesik Metal Is pour leur participation au suivi de la circonstance spécifique.</h6>
<h6>Le PCN note que DIAM « <em>remercie sincèrement le PCN dont les « bons offices » ont contribué à l’évolution</em><em> de notre organisation locale et à notre décision d’initier et de mener un projet de certification. La qualité du dialogue social actuel permettra sans aucun doute d’aborder les négociations avec les syndicats dans un climat apaisé et serein </em>». Le PCN prend note de l’engagement de DIAM « <em>de procéder sans délai à l’organisation d’une réunion avec le syndicat pour entamer les négociations, dans le respect du cadre légal turc </em>» et que <em>« l</em><em>a procédure de négociation va donc suivre, selon le cadre légal en vigueur en Turquie ».</em> Le syndicat plaignant rappelle que rien n’interdit dans le droit turc de reconnaître le syndicat. Le PCN regrette que DIAM ait refusé son aide pour organiser une rencontre ou une visio-conférence avec Birlesik Metal Is en mai et en juin 2021.</h6>
<h6><u>Au moment où la négociation collective devrait pouvoir débuter entre DIAM Vitrin et Birlesik Metal Is: </u></h6>
<ul>
<li>
<h6>Le PCN demande à DIAM d’accentuer sa diligence raisonnable vis-à-vis de sa filiale turque afin de d’assurer qu’elle respecte les Principes directeurs dans son fonctionnement interne ainsi que dans le dialogue social et la négociation collective à venir ;</h6>
</li>
<li>
<h6>Le PCN appelle les deux parties à participer en toute bonne foi et dans un esprit constructif à cette négociation collective et au dialogue social à venir ;</h6>
</li>
<li>
<h6>Le PCN reste à la disposition des parties pour organiser un dialogue direct entre elles.</h6>
</li>
</ul>
<h6>Le PCN rappelle son attachement au dialogue social tel que prévu par les Principes directeurs de l’OCDE (art. V1a, 1b, 3 et 8) et l’importance de la diligence raisonnable (art. II A10, A11, A12 et A13) du Groupe pour veiller à leur respect effectif par sa filiale turque (cf. annexe).</h6>
<h6>Le PCN demande à la filiale turque de DIAM de se mettre en conformité avec les décisions de justice turques.</h6>
<h6>Le PCN décide de poursuivre le suivi de ses recommandations jusqu’en décembre 2021. Il invite les parties à l’informer régulièrement de l’évolution de la situation.</h6>
<h6>Le PCN signalera la publication de ce communiqué de suivi au Service Economique Régional d’Ankara et de l’Ambassade de France en Turquie ainsi qu’au réseau français du Pacte Mondial des Nations Unies dont DIAM est membre. Il invite les relations commerciales de DIAM à prendre note de ce communiqué de suivi."</h6>
<p> </p>
<div class="focus">
<p>Pour en savoir plus sur la saisine : <a title="page DIAM" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/tresor-international/pcn-france/circonstance-specifique-diam-international-en-turquie">Page dédiée "DIAM en Turquie"</a></p>
<p>Pour en savoir plus sur le PCN français : <a title="site PCN FR" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/tresor-international/pcn-france">site PCN France</a></p>
<p><strong>FInd the English Follow Up Statement : </strong></p>
<p align="center"><strong><a title="Follow-up Statement " href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/28ebecba-4ce9-42ed-9e58-1d786c709c8d/files/92894690-19e9-409b-96bc-c0a1c06a9222">Follow-up Statement of the French National Contact Point</a></strong></p>
<p align="center"><strong>"The NCP notes that freedom of association and collective bargaining are still not in place in DIAM’s Turkish subsidiary and workers dismissed in May and June 2017 were not reinstated. It requests DIAM to step up its due diligence measures to lead to the establishment of the social dialogue in its Turkish subsidiary as provided for in the OECD Guidelines in order to fully remedy the shortcomings already found"</strong></p>
</div>
<p> </p>
<p><img class="marge" title="Logo PCN 1 ligne" src="/Articles/28ebecba-4ce9-42ed-9e58-1d786c709c8d/images/13bddc73-7b95-44cb-b8f8-a280fbaacda1" alt="Logo 1 ligne" /></p>641132dc-b875-4396-9c89-ec8c2c75d725Visite du SER d'Ankara de l'usine d'Air Liquide près d'Izmir le jeudi 9 septembreLe Service économique régional d'Ankara a visité l'usine d'Air Liquide en compagnie du comité Turquie des Conseillers du Commerce Extérieur de la France (CCEF). 2021-09-13T00:00:00+02:00<p style="text-align: justify;">Le Service économique régional d'Ankara a eu l’occasion de visiter l’usine d’Air Liquide au sein du site pétrochimique de Socar près d’Izmir avec le comité Turquie des Conseillers du Commerce Extérieur de la France (CCEF).</p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p style="text-align: justify;">Plusieurs pistes de collaboration ont été évoquées afin de verdir la production du site.</p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p style="text-align: justify;">Merci à Bertrand Saraux, Directeur régional d'Air Liquide, pour l'organisation de cette visite.</p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p style="text-align: justify;"><img class="marge" title="De gauche à droite : " src="/Articles/641132dc-b875-4396-9c89-ec8c2c75d725/images/52de5d1a-834c-431f-a1e9-427ab3c4c288" alt="Le SER d'Ankara et le comité Turquie des CCEF à l'usine d'Air Liquide" /></p>b587a956-2046-466e-b787-bf07000ce092Flash conjoncture Pays émergentsTurquie : la banque centrale maintient son taux directeur à 19%2021-06-18T00:00:00+02:00<p><strong>Dans son communiqué, la banque centrale constate que les prix mondiaux continuent de progresser, que le secteur des services se redresse grâce à la campagne de vaccination et que la distribution de crédit ralentit</strong>. L’Institut d’émission indique vouloir maintenir une politique restrictive, dont les termes sont toutefois jugés insuffisants par les économistes, en conservant un taux directeur au-dessus de l’inflation, jusqu’à ce que celle-ci soit durablement en baisse et converge vers la cible de 5%. En juin, l’inflation en Turquie a atteint +16,6 % sur un an, contre +17,1 % au mois d’avril, soit la première baisse depuis le mois de juillet 2020. Cependant, l’exécutif a exprimé à plusieurs reprises son souhait d’un assouplissement de la politique monétaire au plus tôt, fragilisant ainsi la crédibilité de la communication de la banque centrale.</p>
<p> </p>
<p><strong>A lire aussi cette semaine :</strong></p>
<div>
<p><strong>► Brésil : poursuite du resserrement de la politique monétaire<br /></strong></p>
<div>
<p><strong>► Iran : croissance du PIB de +3,6% pour l'année fiscale 2020-2021 <br /></strong></p>
<div>
<p><strong>► Asie émergente : les réserves de changes au plus haut depuis 2014 <br /></strong></p>
<p><strong>► Philippines : le FMI abaisse ses prévisions de croissance pour 2021 à +5,4% </strong></p>
<p><strong>► Point marchés financiers</strong></p>
</div>
</div>
</div>b5e9ce6f-6337-43dd-a8b5-47b13c7be6f5Flash conjoncture Pays émergentsTurquie : la croissance du PIB surprend à la hausse au T1, à +7,0 % en g.a. (+1,7 % en v.t.)2021-06-07T00:00:00+02:00<p><strong>Le PIB progresse de 7% en g.a. au premier trimestre 2021, soit une progression supérieure aux anticipations de marché</strong>. La croissance a été soutenue principalement par la consommation privée et publique (+7% en g.a.). Les dépenses d’investissement ont poursuivi leur hausse débutée mi-2020 (+11,4% en g.a.), sauf celles du secteur de la construction qui se sont contractées de -4,7% en g.a. Soutenues par la reprise de la demande globale, la contribution des exportations nettes à la croissance a été positive pour la première fois depuis le 4ème trimestre 2019 (+1,1 point). Tous les secteurs ont contribué positivement à la croissance, et notamment les services.</p>
<p> </p>
<p><strong>A lire aussi cette semaine :</strong></p>
<div>
<p><strong>► Inde : 1,6% de croissance en g.a. au T1 2021, soit une contraction du PIB de -7,3% sur l’exercice fiscal 2020/2021 <br /></strong></p>
<div>
<p><strong>► Brésil : dynamisme de l’activité plus fort qu’escompté au T1 2021 <br /></strong></p>
<div>
<p><strong>► Malaisie : nouveau plan de soutien de 9,7 Mds USD et renforcement des mesures de confinement <br /></strong></p>
<p><strong>► Ghana : baisse du taux directeur de 14,5% à 13,5% </strong></p>
<p><strong>► Point marchés financiers</strong></p>
</div>
</div>
</div>5862e982-5f5a-42dc-a74e-5a554bef2058Flash conjoncture Pays émergentsMexique : tassement de la reprise avec une croissance de + 0,8 % au premier trimestre2021-05-28T00:00:00+02:00<p><strong>Après avoir augmenté de 12,4 % et 3,3 % en variation trimestrielle au T3 et T4 2020 respectivement, le PIB mexicain n’aurait crû que de 0,8 % au T1 2021</strong> selon l’estimation finale de l’INEGI. Par composante de l’offre, le secteur primaire a crû de 0,7 %, le secteur secondaire de 0,5 % et le tertiaire de 0,9 %. En glissement annuel (cvs), le PIB s’inscrit en recul de - 2,8 % par rapport au T1 2020. La dégradation de la situation sanitaire et la pénurie de gaz qui a touché le Mexique en février, en lien avec la tempête hivernale au Texas, sont responsables de la modération de l’activité. Dans ce contexte défavorable, le maintien d’une croissance positive a conduit les analystes à réviser à la hausse leurs prévisions de croissance sur l’année 2021, au-dessus de 5%.</p>
<p><strong>A lire aussi cette semaine :</strong></p>
<div>
<p><strong>► Brésil : taux de chômage historique, à 14,7 % de la population active <br /></strong></p>
<div>
<p><strong>► Nigéria : croissance de +0,5% g.a au premier trimestre, confirmant la reprise économique <br /></strong></p>
<div>
<p><strong>► Turquie : la part des investisseurs étrangers à la bourse d’Istanbul enregistre un nouveau creux historique <br /></strong></p>
<p><strong> ► Inde : montant record d’IDE au cours de l’année fiscale 2020/21 </strong></p>
<p><strong>► Point marchés financiers</strong></p>
</div>
</div>
</div>68dfc276-a2f3-4508-8b2a-23b23e681334Flash conjoncture Pays émergentsInde : reconfinement de New-Dehli et révision des prévisions de croissance à la baisse face à la seconde vague2021-04-23T00:00:00+02:00<p><strong>La second vague épidémique, portée par la virulence accrue des variants du coronavirus présents en Inde, est d’une ampleur inédite. </strong>330 000 nouveaux cas ont été recensés le 22 avril, dépassant ainsi le record mondial du nombre de contamination quotidienne et le record national du pic de la 1<sup>ère</sup> vague (près de 100 000 cas/jour), conduisant nombre d’États fédérés à imposer des nouvelles mesures de restrictions : depuis le 19 avril New Delhi est à nouveau confinée pour 7 jours, tous les magasins non essentiels ont été fermés dans le Maharashtra, et l'État d'Uttar Pradesh (200 millions d'habitants) impose un confinement pendant le week-end. En conséquence, les projections de croissance pour l’exercice en cours (avril 2021-mars 2022) ont été revues à la baisse de 11,5% à 10% pour UBS, de 13,5% à 12,6% pour Nomura, de 13% à 11% pour JP Morgan et de 12,5% à 12% pour Citi. La baisse de la confiance, de l’activité des services et de la consommation privée est à prévoir. Selon les économistes de BofA Securities (BofAS), société de courtage et filiale de Bank of America, un nouveau confinement national d’un mois, pourrait couter jusqu’à 2 points de PIB.</p>
<p><strong>A lire aussi cette semaine :</strong></p>
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<p><strong>► Angola : récession pour la cinquième année consécutive en 2020 (-5,2%) <br /></strong></p>
<div>
<div>
<p><strong>► Turquie : un léger ralentissement de l’activité se dessine à la fin de l’hiver <br /></strong></p>
<div>
<p><strong>► Argentine : recul de l’activité en février et craintes sur le niveau des prix <br /></strong></p>
<p><strong>► Point marchés financiers<br /></strong></p>
</div>
</div>
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</div>aaa9174c-cc50-4d64-8c99-65ea393401faFlash conjoncture Pays émergentsPays à faibles revenus : troisième tranche de dons pour l'allégement du service de la dette due au Fonds2021-04-09T00:00:00+02:00<div>
<p><strong>Le FMI a approuvé, le 1er avril 2021, une troisième tranche de dons pour l'allégement du service de la dette de 28 pays, </strong>parmi les plus pauvres, dans le cadre de son Fonds fiduciaire pour la prévention et l’atténuation des catastrophes. Cette décision fait suite à deux tranches antérieures (les 13 avril et 2 octobre 2020). Elle permet le décaissement de dons pour le paiement de l’ensemble du service de la dette dû au FMI du 14 avril au 15 octobre 2021, pour un montant total de 238 M USD. L’objectif est de dégager des marges de manœuvre budgétaires pour lutter contre la crise sanitaire. Sur ces 28 pays, 22 sont africains. Les pays du G20 ont également annoncé le prolongement l'initiative de suspension du service de la dette jusqu'à fin 2021, tout en demandant au FMI d'augmenter son aide aux pays les plus vulnérables.</p>
<p> </p>
<p><strong>A lire aussi cette semaine :</strong></p>
<p> </p>
<div><strong>► Turquie : accélération de l’inflation en mars </strong></div>
<div> </div>
<div><strong>► Inde : la banque centrale (RBI) annonce un programme de <em>Quantitative Easing</em> de 14 Mds USD pour le T2 </strong></div>
<div> </div>
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<div><strong>► Asie : le FMI révise à la baisse les prévisions de croissance de l’ASEAN en 2021 </strong></div>
<div><br />
<div><strong>► Mexique : révision à la hausse des prévisions de croissance </strong></div>
<div> </div>
<div><strong>► Point marchés financiers</strong></div>
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</div>ba54c180-4f17-46c7-a198-fa39f3a58652Flash conjoncture Pays émergentsTurquie : chute de la livre après le limogeage du gouverneur de la banque centrale2021-03-26T00:00:00+01:00<p><strong>Après avoir perdu jusqu’à 14% lundi contre le dollar, la livre turque termine la semaine avec une dépréciation de 6 % </strong>(contre +1,6 % la semaine dernière),<strong> à la suite du renvoi du gouverneur de la banque centrale Naci Agbal par le Président Erdoğan</strong>. Après à peine quatre mois à la tête de l’institution, N. Agbal avait gagné la confiance des investisseurs en menant une politique monétaire plus orthodoxe de hausse des taux pour lutter contre l’inflation. Cette décision inattendue par les marchés intervient après la décision la semaine dernière d’augmentation du taux directeur de 2 % (l’élevant ainsi à 19 %), soit le double des attentes du marché. Si le cours de la livre turque reste au-dessus de son point bas de novembre, ce changement soudain de gouverneur érode fortement la crédibilité de l’indépendance de la banque centrale.</p>
<p><strong>A lire aussi cette semaine :</strong></p>
<div>
<p><strong>► Argentine : récession de -9,9 % en 2020</strong></p>
<div>
<p><strong>► Chine : risques accrus de sorties de capitaux en 2021</strong></p>
<div>
<p><strong>► Angola : appui budgétaire de 700 M$ de la Banque Mondiale</strong></p>
<div>
<div>
<p><strong>► Afrique du Sud : les délestages électriques à un niveau record en 2020</strong></p>
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</div>736e3e97-32c0-4165-a86c-d18196a9b93dFlash conjoncture Pays émergentsTurquie : le taux de croissance du PIB réel atteint +1,8 % en 2020, une performance meilleure qu’en 20192021-03-05T00:00:00+01:00<p><strong>Après – 11,0 % en v.t. (– 10,3 % en g.a.) au T2, puis +15,9 % en v.t. (+6,3 % en g.a.) au T3, la croissance du PIB réel atteint +1,7 % en v.t. (+5,9 % en g.a.) au T4</strong>. Sur l’année 2020, la croissance atteint ainsi +1,8 % après +0,9 % en 2019. Alors que les mesures sanitaires ont été globalement moins sévères et moins longues que dans les économies avancées, l’économie turque a été fortement pénalisée par la chute des recettes touristiques (13 % du PIB). Grâce à un soutien budgétaire important (transferts aux ménages, prêts garantis, report de charges), et à une politique monétaire très expansionniste (taux d’intérêt directeur réel négatif, forte mobilisation des réserves de change), l’activité a rebondi très fortement au cours du printemps et de l’été. A l’automne, le resserrement nécessaire de la politique monétaire a contribué à enrayer la dépréciation de la livre et à limiter les pressions inflationnistes, au prix d’un ralentissement de l’activité.</p>
<p><strong>A lire aussi cette semaine :<br /></strong></p>
<p><strong>► Chine : un objectif de croissance « au-dessus de 6 % » pour 2021 </strong></p>
<div>
<p><strong>► Brésil : moindre récession qu’anticipé en 2020, à - 4,1 %</strong></p>
<p><strong>► ASEAN : les pays membres envisagent l’introduction d’un certificat de vaccination numérique</strong></p>
<p><strong>► Birmanie: appel à une intervention diplomatique et limitation des retraits bancaires </strong></p>
</div>
<p><strong>► Point marchés financiers</strong></p>2e48d766-3e16-4733-a98e-02d509e0a44eFlash conjoncture Pays émergentsMexique : excédent commercial record en 2020 malgré une baisse des exportations2021-01-29T00:00:00+01:00<div>
<p><strong>L’excédent commercial mexicain aurait atteint en 2020 34,5 Mds USD selon l’<em>Instituto Nacional de Estadística y Geografía, </em>en forte hausse comparé aux 5,4 Mds USD enregistrés en 2019</strong>. Cet excédent résulte de la chute des importations (-15,8 % en glissement annuel, à 383,2 Mds USD), en lien avec la crise. Ainsi, la valeur des biens de consommation importés a diminué de 26,2%, et celle de biens intermédiaires de 13,9 %. Les exportations ont diminué de 9,3 % en 2020, à 417,7 Mds USD, marquée par une forte baisse des exportations pétrolières (-32,6%). L’excédent commercial, conjugué au dynamisme des transferts de la diaspora (+11 % en g.a. entre janvier et novembre), devrait plus que compenser la baisse des recettes du tourisme et générer un important excédent courant (le double des 1,2 % du PIB initialement estimés par le FMI pour 2020). Pour 2021, le Mexique devrait bénéficier du rebond des Etats-Unis, alors que la consommation et les importations liées devraient demeurer contraintes par un revenu des ménages affaibli et peu soutenu par les mesures de politique économique de l’Etat.</p>
<p> </p>
<p><strong> A lire aussi cette semaine : </strong></p>
<p><strong>► Bahreïn : émission de dette obligataire sur les marchés internationaux </strong></p>
<p><strong>► Turquie : le FMI revoit fortement à la hausse sa prévision de croissance pour 2020 </strong></p>
<p><strong>► Inde : proposition de régulation plus stricte du système financier et hausse des prévisions de croissance du FMI </strong></p>
<p>► <strong>Point marchés financiers</strong></p>
</div>6d906310-8106-4b58-b12a-5d74f85f4737Flash conjoncture Pays émergentsArgentine : l’inflation s’inscrit à plus de 36% sur l’année 20202021-01-15T00:00:00+01:00<div>
<p><strong>L’inflation mensuelle s’est établie à 4 % en décembre, portant l’inflation en rythme annuel à 36,1 %, selon l’INDEC. </strong>En variation mensuelle, l’inflation s’est inscrite à son plus haut niveau depuis novembre 2019, marquant la tendance haussière à l’œuvre depuis mai 2020, liée à la réouverture progressive des commerces. Son rythme annuel, 36,1 %, est en décélération par rapport à son niveau de fin 2019 (53,8 %), notamment en raison de la faible progression des prix régulés. Dans le détail, les prix régulés ont crû de 14,8% sur l’année, l’inflation sous-jacente a atteint 39,8 % et les prix des biens « saisonniers » ont augmenté de 69,4%. Pour contenir l’inflation, le gouvernement a prolongé cette semaine le programme de contrôle des prix (« <em>precios cuidados »</em>) portant sur 660 articles de grande consommation et visant à plafonner <em>ex ante </em>la hausse du prix de ces articles (5,6 % en moyenne sur ces biens sur le premier trimestre 2021). Malgré ce contrôle, les anticipations d’inflation oscillent pour 2020 entre 46 et 49,8 %, motivées par l’abondance de la liquidité en peso (croissance de la base monétaire de 39,8 % entre décembre 2019 et 2020) et la dépréciation anticipée du peso.</p>
<p><strong> A lire aussi cette semaine : </strong></p>
<p>► <strong>Turquie </strong>: alors que la croissance reste dynamique en fin d'année, l'OCDE revoit à la hausse sa prévision 2020</p>
<p>► <strong>Chine </strong>: forte hausse de l'excédent commercial en 2020</p>
<p>► <strong>Corée du Sud </strong>: la population décline en 2020, pour la première fois depuis 1950</p>
<p>► <strong>Point marchés financiers</strong></p>
</div>c764bb22-afa2-402f-a9a6-70a34dbf08c2Flash conjoncture Pays émergentsTurquie : le taux d’inflation continue d’accélérer en décembre2021-01-08T00:00:00+01:00<p><strong>La progression des prix à la consommation s’est établie à +14,6 % sur un an au mois de décembre</strong>. Les prix des produits alimentaires et des transports ont contribué pour plus de la moitié à la hausse de l’inflation en 2020. En 2021, la hausse de 21,6% du salaire minimum, les hausses tarifaires sur l’électricité, le gaz naturel et les autoroutes contribueront à alimenter les pressions inflationnistes, malgré la décision de ne pas accroître les taxes sur le tabac et de prolonger la réduction de la TVA sur certains services durant le premier semestre. Cependant, en parallèle, le resserrement important de la politique monétaire et la relative stabilité du taux de change de la livre au cours des dernières semaines devraient contribuer à contenir les pressions inflationnistes liées à la demande domestique et aux prix des importations. Au total, la cible d’inflation de 5 % de la banque centrale semble encore difficile à atteindre en 2021.</p>
<p><strong> A lire aussi cette semaine : </strong></p>
<p>► <strong>Thaïlande </strong>: la Banque centrale relève ses prévisions de croissance du PIB pour 2020 à -6,6%</p>
<p>► <strong>Cambodge</strong> : le pays devient producteur de pétrole</p>
<p>► <strong>Brésil </strong>: hausse de l’excédent commercial en 2020</p>
<p>► <strong>Afrique </strong>: lancement de la Zone de Libre-Echange continentale africaine</p>
<p>► <strong>Point marchés financiers</strong></p>07a10869-d4bb-41f8-b4f2-b676cd5df509Flash conjoncture Pays émergents► Argentine : adoption par le Parlement d’une réforme du calcul des pensions de retraite2021-01-04T00:00:00+01:00<div>
<p><strong>Le Parlement argentin a adopté le 29 décembre une nouvelle formule de calcul du montant des pensions, désindexé de l’inflation. </strong>Le projet de loi du gouvernement prévoyait une revalorisation semestrielle du montant des pensions, basée à 50 % sur l’évolution des salaires et à 50% sur l’évolution des transferts de l’Etat à la Sécurité Sociale, mettant fin à l’indexation des pensions sur l’inflation. Après amendement par le Sénat, la revalorisation sera trimestrielle, avec un ajustement différencié pour tenir compte de la hausse de l’ensemble des recettes de la Sécurité Sociale : les revalorisations de mars, juin et septembre seront basées sur la formule <em>supra</em>, mais la revalorisation de décembre plafonnera la revalorisation sur l’année avec la hausse de la totalité des recettes de la Sécurité sociale. La loi prévoit également une hausse de 5% du montant des pensions au mois de décembre 2020, visant à rattraper les effets des hausses discrétionnaires en 2020, inférieures à celles prévues par le précédent mécanisme d’indexation, suspendu en raison de la pandémie. Le système de retraite argentin, qui bénéficie à 18 millions d’individus, représente plus d’un tiers des dépenses primaires de l’Etat, soit près de 9% du PIB, et connait un déficit croissant depuis 2005. Selon les premières analyses, les dépenses de retraites baisseraient grâce à cette réforme de 0,4 % du PIB en 2021 pour atteindre 8,5 % du PIB.</p>
<p><strong> A lire aussi cette semaine : </strong></p>
<p>► <strong>Chine</strong> : augmentation des profits des entreprises de janvier à novembre</p>
<p>► <strong>Turquie</strong> : la Banque centrale relève à nouveau son taux directeur</p>
<p>► <strong>Russie</strong> : recul du PIB de – 3,7 % en novembre et nouvelles sanctions américaines dans le secteur de la défense</p>
<p>► <strong>Inde</strong> : placement du pays sous surveillance par le Trésor US pour sa politique de change et prolongation de la suspension du code des faillites</p>
<span style="font-family: 'Roboto Slab', Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-weight: bold;">►</span><span style="font-family: 'Roboto Slab', Georgia, 'Times New Roman', Times, serif;">Point sur les <strong>marchés financiers</strong></span></div>df39b31b-0271-4e0b-a7bf-01168c274afaFlash conjoncture Pays émergentsASEAN : le Trésor US classe le Vietnam comme pays « manipulateur de devise » et place la Thaïlande sous surveillance2020-12-18T00:00:00+01:00<p><strong>Dans son dernier rapport sur les politiques macroéconomiques et de change, le Trésor américain classe le Vietnam (et la Suisse) comme pays « manipulateur de devise » et étend la liste des pays sous surveillance à la Thaïlande</strong>. La Banque centrale du Vietnam (BCV) a contesté cette qualification et estime que les excédents commerciaux du Vietnam vis-à-vis des Etats-Unis sont « le résultat de facteurs structurels liés aux caractéristiques de l’économie vietnamienne ». La BCV envisage donc de poursuivre sa politique de consolidation de ses réserves de change. Remplissant déjà deux des trois critères du Trésor US pour être classé pays « manipulateur » (excédent bilatéral supérieur à 20 Mds USD, surplus courant supérieur à 2% du PIB), la Thaïlande n’a toutefois pas dépassé le seuil de 2% du PIB en montant total d’interventions nettes sur le marché des changes : avec un taux de 1,8% (10 Mds USD), elle s’en rapproche toutefois mais reste loin derrière le Vietnam (5% du PIB). Cette mise en garde a immédiatement renforcé le cours du baht face au dollar US et le plafond symbolique de 30 bahts pour un dollar a été enfoncé. Les marchés anticipent que le volontarisme affiché ces dernières semaines par les autorités pour enrayer la réappréciation inexorable du baht va devoir être mis en sourdine. Au sein de l’ASEAN, Singapour et la Malaisie figuraient déjà sur la liste des pays sous surveillance.</p>
<p>A lire aussi cette semaine :</p>
<p>► Argentine : rebond de la croissance au T3, mais l’activité reste inférieure de 10 % à celle du T3 2019</p>
<p>► Chine : des indicateurs conjoncturels positif en novembre</p>
<p>►Turquie : politique monétaire, priorité donnée à la lutte contre l'inflation et la fin des interventions de change</p>
<p>►Marchés financiers</p>442e74d1-cfea-4ae3-ba76-14886e091596Flash conjoncture Pays émergentsInde : La Banque centrale revoit ses prévisions de croissance à la hausse pour l’année en cours2020-12-11T00:00:00+01:00<p><strong>La Banque centrale </strong><strong>(RBI) anticipe à présent une contraction de 7,5%pour l’exercice budgétaire en cours (avril 2020-mars 2021), en amélioration par rapport à la prévision de -9,5 % d’octobre dernier</strong>. L’économie indienne retrouverait une croissance positive (+0,1%) dès le prochain trimestre (octobre-décembre) pour finir avec +0,7 % au dernier trimestre. La RBI s'attend à ce que la consommation privée, en particulier rurale, se renforce davantage et que sa composante urbaine reprenne plus progressivement de l'élan dans un contexte de reprise des activités économiques et de l'emploi. La Banque centrale conditionne toutefois cette reprise partielle à une situation sanitaire stable. Fitch Rating a aussi remonté sa prévision de croissance, anticipant désormais une contraction de 9,4 % pour l’exercice, soit 110 points de base de mieux que la dernière prévision.</p>
<p>A lire aussi cette semaine :</p>
<p>► Turquie : nouveau creusement du déficit courant en octobre</p>
<p>► Tunisie : le Parlement adopte le projet de loi de finances pour l’année 2021</p>
<p>►Malaisie : Fitch abaisse la note du pays de A- à BBB+ </p>
<p>►Mexique : utilisation de la ligne de swap avec la Réserve Fédérale des Etats-Unis</p>
<p>►Marchés financiers</p>1d4ee5a9-6473-4712-b887-e31c67a1c34fFlash conjoncture Pays émergentsBrésil : rebond de l’activité au troisième trimestre2020-12-04T00:00:00+01:00<p><strong>Le PIB brésilien au troisième trimestre a crû de 7,7 % en variation trimestrielle (v.t., et corrigé des variations saisonnières, cvs), soit une baisse de –3,9 % en glissement annuel. </strong>Ce rebond intervient après deux baisses consécutives de –1,5 % en vt. au premier trimestre et -9,6 % au deuxième trimestre. Le programme de soutien aux populations vulnérables (<em>Auxilo Emergencial </em>bénéficiant à plus de 65 millions de personnes) et le relâchement des mesures de distanciation sociale ont soutenu la demande interne, tandis que la forte dépréciation du real a favorisé une contribution positive du commerce extérieur. La consommation a ainsi augmenté de 7,6 % en v.t., de même que l’investissement (+11 %). Quant au commerce, la chute des importations (-9,6 % en vt.) a été plus prononcée que celle des exportations (-2,1 %). Par composante de l’offre, le secteur secondaire affiche un fort dynamisme (+14,8 % en vt), tandis que le rebond est plus modeste dans les services (+ 6,3 %) et que le secteur primaire a enregistré une baisse (-0,5 %). Le dynamisme de l’activité a été favorisé par l’important plan de soutien budgétaire (plus de 8% du PIB) et par l’assouplissement de la politique monétaire (avec un taux directeur à un plus bas historique de 2%), conduisant à une récession de –5,8 % en 2020 selon le FMI. En 2021, le rebond s’inscrirait à 2,8 % selon le FMI, porté par une politique monétaire qui devrait demeurer accommodante, mais le niveau élevé d’endettement public, qui dépasserait les 100 % du PIB cette année, imposerait la levée des mesures de soutien budgétaire.</p>
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<p>A lire aussi cette semaine : </p>
<p>► <strong>Côte d’Ivoire : émission d’un <em>eurobond </em>d'un milliard d'euros</strong></p>
<p><strong>► Inde : le PIB se contracte de 7,5% en g.a. au troisième trimestre </strong></p>
<p><strong>► Laos : mise en service de la première raffinerie de pétrole du pays </strong></p>
<p><strong>► Turquie : la croissance surprend à la hausse au troisième trimestre, à +15,6 % en v.t. et +6,7 % en g.a. </strong></p>
<p><strong>► Point marchés financiers</strong></p>
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<p> </p>7876d1b7-d9fd-4f92-85a8-6299471b6620Flash conjoncture Pays émergentsVietnam : selon le FMI, la croissance rebondirait plus fortement que prévu en 2020, à 2,4%2020-11-27T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;"><strong>Le FMI a relevé ses prévisions de croissance pour le Vietnam de 0,8 pdb à 2,4% en 2020, par rapport aux prévisions du WEO d’octobre. </strong>Cette révision à la hausse reflète une reprise de l’activité, parmi les plus dynamiques d’Asie avec celle de la Chine (dont la croissance du PIB est prévue à 1,9% en 2020). Le FMI a par ailleurs déclaré que l'économie vietnamienne devrait se redresser en 2021 avec une croissance de 6,5% et une inflation à 4%. Par ailleurs, le volume de fret transitant par les ports maritimes vietnamiens au cours des 11 premiers mois de cette année a atteint 630 Mt, soit une augmentation de 5% par rapport à la même période l'année dernière, témoignant de la reprise du pays.</p>
<p>A lire aussi cette semaine :</p>
<p><strong>► Turquie : poursuite de la normalisation de la politique économique </strong></p>
<p><strong>► Tunisie : l’agence de notation financière Fitch Ratings a dégradé sa perspective, de stable à négative </strong></p>
<p><strong>► ASEAN : impact économique du changement climatique estimé entre 0,7 et 8,5% du PIB selon les pays </strong></p>
<p><strong>► Inde : ralentissement du crédit et hausse des NPL </strong></p>
<p><strong>► Point Marchés financiers</strong></p>c0ddba02-0a22-4634-a1bc-280531f16ceeFlash conjoncture Pays émergentsChine : inquiétudes suite à une série de défauts d’entreprises publiques2020-11-20T00:00:00+01:00<div>
<p><strong>Depuis le début du mois, plusieurs défauts sur des échéances obligataires d’entreprises publiques (SOEs) dans divers secteurs</strong> (<em>Tsinghua Group – </em>semi-conducteurs<em> -,</em> <em>Brilliance Auto Group</em> – automobile -, <em>Yongcheng Coal & Electricity</em>) <strong>soulèvent des inquiétudes sur la solvabilité des SOEs et la garantie implicite des pouvoirs publics</strong>. Sur la solvabilité, le défaut de <em>Yongcheng Coal and Electricity </em>est effet intervenu, de manière inattendue, alors que l’entreprise venait d’être notée AAA par une agence de notation chinoise le mois précédent. Sur la garantie des pouvoirs publics, les SOEs sont réputées bénéficier d’une garantie implicite des collectivités publiques (Etat, provinces). Dans le cas de <em>Yongcheng Coal & Electricity</em>, les autorités du Hunan n’ont toutefois pas communiqué sur la reprise du passif. A l’échelle du pays, les autorités locales pourraient être moins disposées à couvrir les SOEs, notamment dans les secteurs fortement concurrentiels ou en surcapacité, compte tenu de leur propre situation financière (dette des <em>Local Government Financing Vehicles</em>). Par ailleurs, ces défauts pourraient alimenter une aversion des institutions financières à prêter aux SOEs et augmenter le risque de liquidité, ce qui retarderait le resserrement annoncé de la politique monétaire.</p>
<p>A lire aussi cette semaine :</p>
<p><strong>► Colombie : hausse de l’activité au troisième trimestre, portée par la consommation privée </strong></p>
<p><strong>► Turquie : la Banque centrale a rehaussé son taux directeur de 475 pdb, marquant une inflexion forte de sa politique monétaire </strong></p>
<p><strong>► Thaïlande : le PIB se contracte de nouveau, de – 6,4% en g.a. au troisième trimestre, après -12,1% au T2 </strong></p>
<p><strong>► Indonésie et Philippines : baisse des taux directeurs de 25 pdb, à respectivement 3,75% et 2,0 </strong></p>
<p><strong>► Point Marchés financiers</strong></p>
</div>c36dfa1d-f816-420f-91cc-124266c8f0ceFlash conjoncture Pays émergents► Turquie : le président Erdoğan annonce une nouvelle stratégie de politique économique 2020-11-13T00:00:00+01:00<p><strong>Suite au limogeage du gouverneur de la Banque centrale le 6 novembre et la démission du ministre des finances le lendemain, le président Erdoğan a annoncé le 11 novembre une nouvelle approche pour la conduite de la politique économique, qui respecterait davantage les règles de marché</strong>. Les propos du président ont créé une vague d’optimisme dans le monde des affaires turc, mais des actions concrètes restent attendues. Pour l’heure, les décisions de « normalisation » annoncées par le superviseur bancaire ainsi que les premières déclarations du nouveau gouverneur et du nouveau ministre des finances ont été bien accueillies par les marchés, la livre turque progressant de plus de 10 % face au dollar en une semaine. Le consensus des économistes anticipe une hausse de 400 pdb du taux directeur principal lors de la réunion du comité de la politique monétaire du 19 novembre, ce qui serait un virage confirmant la nouvelle orientation de la politique monétaire.</p>
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<p>A lire aussi cette semaine:</p>
<p><strong><span style="color: #006ce5; font-family: Times New Roman; font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #006ce5; font-family: Times New Roman; font-size: 12pt;"><span style="color: #006ce5; font-family: Times New Roman; font-size: 12pt;"><span style="color: #006ce5; font-family: Times New Roman; font-size: 12pt;">►Argentine : hausse du taux directeur pour lutter contre l’inflation </span></span></span></strong></span></strong></p>
<p><strong><span style="color: #006ce5; font-family: Times New Roman; font-size: 12pt;"><strong><span style="color: #006ce5; font-family: Times New Roman; font-size: 12pt;"><span style="color: #006ce5; font-family: Times New Roman; font-size: 12pt;"><span style="color: #006ce5; font-family: Times New Roman; font-size: 12pt;">►Maldives : notation souveraine dégradée à « CCC » par Fitch</span></span></span></strong></span></strong></p>
<p><strong><span style="color: #006ce5; font-family: Times New Roman; font-size: 12pt;"><span style="color: #006ce5; font-family: Times New Roman; font-size: 12pt;">►Népal : explosion des créances douteuses dans le secteur de la microfinance </span></span></strong></p>
<p><strong><span style="color: #006ce5; font-family: Times New Roman; font-size: 12pt;"><span style="color: #006ce5; font-family: Times New Roman; font-size: 12pt;">► Malaisie : fort rebond de la croissance du PIB au T3 mais ralentissement attendu au T4</span></span></strong></p>
<p><strong><span style="color: #006ce5; font-family: Times New Roman; font-size: 12pt;"><span style="color: #006ce5; font-family: Times New Roman; font-size: 12pt;">► Point Marchés </span></span></strong></p>
<p> </p>eb2d3a46-a3e6-496f-a044-78b50a361232Flash conjoncture Pays émergents► Argentine : émission de 3,2 Mds USD de titres souverains en pesos, dont 1,7 Md USD indexés sur le dollar2020-10-30T00:00:00+01:00<p><strong>Le gouvernement a annoncé cette semaine la levée de 3,2 Mds USD de dette publique, dont plus de la moitié sous la forme de titres indexés sur le dollar. </strong>Cette émission devrait contribuer à la réduction du financement monétaire du déficit budgétaire et a pour partie servi à rembourser 1,2 Md USD dû à la Banque centrale d'Argentine au titre de ses avances. Sur les 3,2 Mds USD levés, 1,7 Md USD correspond à des titres indexés sur le dollar, quelques semaines après la première émission de ce type sur le marché argentin qui avait permis la levée de 1,8 Md USD. Le recours à ces instruments de dette en pesos mais indexés sur le dollar devrait permettre de réduire la liquidité en peso sur le marché monétaire, ainsi que les tensions sur le change, alors que le différentiel entre le taux de change officiel et officieux (<em>dollar blue</em>) était de 115,8 % le 29 octobre (78,3 ARS/USD vs 169 ARS/USD). Par ailleurs, le budget 2021 vient d’être approuvé par la Chambre des députés, et doit désormais l’être par le Sénat. Ce budget prévoit une réduction du déficit budgétaire primaire de 8,5 à 4,5 % du PIB entre 2020 et 2021 et, s’il est approuvé avant la mi-novembre, servira de base de négociations avec les équipes du Fonds monétaire international en vue de la mission qui devrait se tenir mi-novembre pour déterminer les paramètres d’un futur programme.</p>8a595db3-fdc7-4f7c-bc4c-eb69b4e64dcbFlash conjoncture Pays émergentsChine : croissance du PIB de 4,9% au troisième trimestre2020-10-23T00:00:00+02:00<p><strong>L’économie chinoise a crû de 4,9% en glissement annuel (g.a.) au troisième trimestre, accentuant le rebond à l’œuvre depuis le deuxième trimestre (+3,2% en g.a. au T2, -6,8% au T1).</strong> En variation trimestrielle, la croissance s’inscrit à +2,7% par rapport au T2. D’après le bureau national des statistiques, la contribution de la consommation interne à la croissance redevient positive à +1,7 pp au T3 (alors qu’elle était négative à hauteur de -2,2 pp au T2), celle de l’investissement s’établit à +2,6 pp (contre +5 pp), la contribution externe restant stable (+0,6 pp contre +0,5 pp). Par ailleurs, les données mensuelles portant sur le mois de septembre soulignent une reprise de l’investissement, tirée par le secteur public : le <em>Fixed Asset Investment </em>est à nouveau supérieur à son niveau de 2019 en septembre (+0,8% en cumulé depuis janvier), résultant de la hausse de l’investissement public (+4,0%) alors que l’investissement privé demeure en repli (-1,5%). Quant aux ventes au détail, elles sont en hausse de 3,3% en g.a. en septembre, laissant augurer d’une reprise de la consommation des ménages.</p>
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<p><strong>A Lire aussi cette semaine :</strong></p>
<p><strong>► Chili : dégradation de la note souveraine par <em>Fitch</em> </strong></p>
<p><strong>►</strong><strong> Pakistan : les transferts de la diaspora à l’origine d’un excédent courant au troisième trimestre 2020 </strong></p>
<p><strong>► Turquie : nouvelle chute de la livre après que la banque centrale a annoncé maintenir son taux directeur inchangé </strong></p>
<p><strong><em>►</em> Tunisie : la Banque mondiale dégrade fortement ses prévisions de croissance pour 2020 </strong></p>
<p><strong>► Point Marchés Financiers</strong></p>b5afe0f8-9767-4475-a469-cf14ccb3dc55Flash conjoncture Pays émergentsTurquie : nouveau creusement du déficit courant en août2020-10-16T00:00:00+02:00<p><strong>Au mois d’août 2020, le déficit commercial a atteint 6,3 Mds USD, son niveau le plus élevé depuis mai 2018</strong>. Ce creusement s’explique par une baisse des exportations (–5,7% en g.a.) et une hausse des importations (+20,4% en g.a.), mais aussi par la diminution de 4,6 Mds USD des recettes des services (principalement du tourisme et du transport) par rapport au mois d’aout 2019. Sur 12 mois cumulés, le déficit courant atteint ainsi –23,2 Mds USD, contre un excédent de +8,6 Mds USD sur l’ensemble de l’année 2019. Les investissements de portefeuille ont à nouveau enregistré en août une sortie nette de 2 Mds USD, portant les désinvestissements de portefeuille sur les 8 premiers mois de cette année à –14,3 Mds USD. Le niveau des réserves de change a diminué de 7,6 Mds USD en août pour atteindre environ 41 Mds USD, portant la baisse à –39 Mds USD depuis le début de l’année.</p>
<p><strong>A Lire aussi cette semaine :</strong></p>
<p><strong>► Mexique : maintien d’une politique budgétaire restrictive en 2021 </strong></p>
<p><strong>►</strong><strong> Chine : rebond des importations en septembre </strong></p>
<p><strong>► Inde : l’Inde bientôt parmi les trois premières destinations d’IDE ? </strong></p>
<p><strong><em>►</em> Malaisie : nouvelles mesures de confinement et reprise économique contrastée entre les secteurs </strong></p>
<p><strong>► Point Marchés Financiers</strong></p>131ca6ed-ff68-426e-96d4-630cb82a7e6eFlash conjoncture Pays émergentsArabie saoudite : contraction de l’activité au T2 et prolongation du plan de soutien à l’économie2020-10-02T00:00:00+02:00<p><strong>Selon l’Autorité nationale des statistiques, le PIB de l’Arabie saoudite s’est contracté de -7 % en glissement annuel au T2 2020, après -1 % au T1.</strong> Le secteur non pétrolier a été particulièrement affecté, en lien avec les mesures d’endiguement, avec une contraction de -8,2 % en g.a (contre +1,6 % au T1). Les activités les plus affectées ont été le commerce de gros et de détail, l’hôtellerie et la restauration (-18,3%) et les transports et communications (-16,3%). La contraction du secteur pétrolier se poursuit (-5,3 % en g.a au T2 après -4,6 % au T1), entravé par la baisse des cours du pétrole et la réduction des volumes de production négociés dans le cadre des accords OPEP+. Par ailleurs le gouvernement a prolongé jusqu’en janvier 2021 son programme de soutien, qui devait expirer en octobre 2020, pour aider les entreprises qui peinent encore à se remettre des effets de la pandémie de Covid-19, mais en a réduit la portée, avec une couverture de la population passant de 70 % à 50 %, pour cibler les secteurs tels que les voyages, les sports et les divertissements, alors que le programme précédent couvrait un plus large éventail de secteurs privés.</p>
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<p><strong>A Lire aussi cette semaine :</strong></p>
<p><strong>► Chine: vers une inclusion des obligations de l’Etat chinois dans l’indice FTSE WGBI</strong></p>
<p><strong>►</strong><strong> Equateur : approbation d’un programme au titre du Mécanisme Elargi de Crédit par le FMI</strong></p>
<p><strong>► Afrique du sud : baisse du chômage au T2 en trompe l’oeil</strong></p>
<p><strong><em>►</em> Turquie : le gouvernement présente une nouvelle version du programme de réformes « New economic program »</strong></p>
<p><strong>► Point Marchés Financiers</strong></p>317a9214-a03b-4598-9597-5a7ce6bc41dbFlash conjoncture Pays émergentsTurquie : face aux pressions sur le change, la banque centrale augmente ses taux directeurs de 200 pdb2020-09-25T00:00:00+02:00<p><strong>La Banque centrale de Turquie a décidé le 24 septembre de relever ses taux directeurs de 200 pdb, soit à 10,25% pour le taux <em>repo</em> à une semaine et 13,25 % pour le taux de la <em>late liquidity window</em>, un mouvement qui a surpris le marché, lequel anticipait un taux inchangé</strong>. Dans son communiqué de presse, la banque a souligné la persistance des incertitudes sur le redressement économique, malgré les efforts de normalisation entrepris dans le monde. Cette décision intervient dans un contexte d’inflation toujours élevée avec des pressions haussières, et de dépréciation de la livre turque ces dernières semaines (le point bas face à l’USD et l’Euro a été atteint avant la décision de la banque centrale). Cette décision ne reflète toutefois pas un changement significatif de politique monétaire : la banque centrale contraignait déjà les banques à se refinancer à un taux plus élevé que le taux <em>repo</em> (le taux de refinancement effectif étant de 10,15% au mois d’aout) et le taux d’intérêt réel reste négatif.</p>
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<p><strong>A Lire aussi cette semaine :</strong></p>
<p><strong>► Nigéria : baisse du taux directeur de 100 pdb</strong></p>
<p><strong>►</strong><strong> Emirats Arabes Unis : révision à la baisse de la croissance pour 2020 </strong></p>
<p><strong>► Laos : l’agence de notation Fitch dégrade la notation souveraine du Laos de B- à CCC </strong></p>
<p><strong><em>►</em> Inde : sorties massives du marché actions </strong></p>
<p><strong>► Point Marchés Financiers</strong></p>b33a7dac-0064-4761-ba6b-0f5f70216806Flash conjoncture Pays émergentsInde : le PIB s’est contracté de 23,9% en g.a. au deuxième trimestre 20202020-09-04T00:00:00+02:00<p><strong>Le PIB réel s’est contracté de 23,9% en g.a (−29,3% en v.t.) au 1<sup>er</sup> trimestre de l’exercice budgétaire 2020-21 (avril 20 – mars 21), avec une activité économique très affectée par la pandémie. </strong>Du côté de la production, seul le secteur agricole est resté en expansion (+3,4 % en g.a.), alors que les autres pans de l’économie marquaient sévèrement le pas : construction (−50 % en g.a), secteur manufacturier (−39 % en g.a.), activités commerciales, touristiques, de transports et de communication (−47 % en g.a.). Du côté de la demande, l’investissement, dont la chute était attendue au regard des difficultés préexistantes du secteur financier, a perdu 47 % en g.a. Le recul de la consommation privée quant à lui surpris par son ampleur (−27 % en g.a.) et pèsera fortement sur la croissance 2020, ce poste représentant le premier moteur de la croissance. Le ministère de l’intérieur a par ailleurs publié de nouvelles instructions pour le déconfinement. Davantage d’activités seront possibles en dehors des zones de confinement, mais dans ces dernières, les mesures actuelles restent strictement en vigueur jusqu'au 30 septembre 2020. Avec 3,8 millions de cas confirmés et près de 67 000 décès, l’Inde est le 3ème pays le plus touchés par la pandémie derrière les Etats-Unis et le Brésil.</p>
<p><strong>► Brésil : forte baisse de l’activité au deuxième trimestre, le PIB recule de 11,4 % en g.a.</strong></p>
<p><strong>► Turquie : le PIB s’est contracté de – 9,9 % en g.a. au second trimestre</strong></p>
<p><strong>► Chine : le yuan s’apprécie nettement par rapport au dollar</strong></p>
<p> </p>fe4178b8-32a0-4a4d-b360-607150738df1Flash conjoncture Pays émergentsTurquie : les autorités durcissent les conditions de crédit afin d’enrayer la dépréciation de la livre2020-08-14T00:00:00+02:00<p><strong>Alors que la livre turque s’est dépréciée de plus de 18 % face au dollar depuis le début de l’année (et de plus de 22 % face à l’euro), les autorités turques ont commencé à durcir les conditions de financement domestiques</strong>. Premièrement, la banque centrale a suspendu temporairement les opérations repo au taux principal, contraignant les banques commerciales à se refinancer au taux au jour le jour, soit 9,5 % (125 pdb au-dessus du taux principal). En parallèle, le régulateur bancaire turc (BDDK) a assoupli le « ratio d’actifs », mécanisme mis en place pour inciter les banques commerciales à augmenter leurs portefeuilles de prêts en monnaie locale et leurs dépôts en devises auprès de la banque centrale. En 2020, l’assouplissement monétaire (via notamment des taux directeurs réels négatifs) visant à stimuler la croissance du crédit a permis de soutenir l’activité économique, mais au prix d’un creusement du déficit courant, d’une faible attractivité pour les investissements étrangers, et d’une hausse de l’inflation.</p>
<p><strong>A Lire aussi cette semaine :</strong></p>
<p><strong>► Russie : le PIB s’est contracté de – 8,5 % en g.a. au second trimestre <br /></strong></p>
<p><strong>►</strong><strong> Malaisie et Philippines : Au 2ème trimestre le PIB s’est contracté de respectivement 17,1% et 16,5% </strong></p>
<p><strong>► Chine : La reprise économique ralentie et le pays est en prise à des inondations majeures </strong></p>
<p><strong>► Point Marchés Financiers</strong></p>68f7f5b0-4403-4019-9e6e-91363fe0493bActualités économiques Nigéria - Ghana semaine 29 du 13 au 19 juillet 2020Publication du Service économique régional d’Abuja, réalisée avec les contributions des SE de Lagos et d’Accra.2020-07-17T00:00:00+02:00<blockquote>
<p>Faits saillants</p>
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<div align="justify">- <strong>Nigéria</strong> : le Nigéria conserve son rang de première économie d’Afrique en 2019 ; le gouvernement prévoit une progression du budget fédéral en 2021 ; le maïs rejoint la liste des produits interdits à l’importation ; les startups toujours très actives au Nigéria : TradeDepot se renforce, Opay se retire ;</div>
<div align="justify">- <strong>Ghana</strong> : la Commission pétrolière indique que le secteur aurait perdu près de 5,7 Mds GHS depuis le début de la crise du COVID-19 ; signature d’un protocole d’accord entre le ministère de l’Aviation et un consortium turc pour l’injection de capitaux dans l’aéroport d’Accra ; la Société financière internationale va financer une usine d’acier à Kumasi.</div>