Trésor-Info - Publications de la direction générale du Trésor - situation-financiereFlux de publication de la direction générale du Trésor - situation-financiereFluxArticlesTag-situation-financiereCopyright 20242021-02-05T00:00:00+01:00/favicon.pngDirection générale du Trésorhttps://localhost/sitepublic/contact@dgtresor.gouv.frcf35dc81-806e-40bc-94c7-01c332ca4608Le compte financier de la Russie en 2020Publications des Services économiques2021-02-05T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;"><strong>Selon les premières estimations, le compte financier de la Russie a enregistré des sorties nettes de capitaux d’environ 50 Md USD en 2020 (hors variations des réserves).</strong> Ces flux ressortent comme plutôt limités comparés aux sorties de capitaux observées lors des crises récentes (2008, 2014-2015) ou en 2018. </p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Les sorties de capitaux en 2020 sont imputables essentiellement aux investissements de portefeuille du secteur non financier et au secteur bancaire, alors que le secteur des administrations publiques a continué d’enregistrer des entrées nettes de capitaux.</strong> Dans un contexte de fort accroissement des besoins de financement de l’Etat, la dette souveraine russe a continué d’attirer les investisseurs étrangers, même si leur part dans l’encours total des obligations d’Etat libellées en rouble s’est réduit, à 23,3% fin décembre 2020 contre 32% un an plus tôt.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Le poste des investissements directs étrangers (IDE) du secteur non-financier enregistre des sorties nettes de capitaux de 4,9 Md USD, contre des entrées nettes de 6,3 Md USD en 2019.</strong> Ces sorties nettes s’expliquent à la fois par une chute des flux entrants de 95,2% en g.a. à 1,4 Md USD (28 Md USD en 2019), et de 72,1% pour les flux sortants, à 6,3 Md USD (22,6 Md USD en 2019). Les flux d’IDE entrants sont les plus faibles depuis 1994.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Dans ce contexte, au 1er semestre 2020<a title="" href="#_ftn1" name="_ftnref1">[1]</a>, les flux d’IDE français vers la Russie ont atteint 1,034 Md USD, soit une baisse de 23,7% en g.a</strong>. Hors zones à fiscalité attractive, la France est restée sur cette période le 2ème investisseur étranger en Russie en flux derrière le Royaume-Uni (4,9 Md USD) et devant la Turquie (0,3 Md USD). Toujours au 1er semestre 2020, la France était également le deuxième investisseur en Russie en stock, hors zones à fiscalité attractive, avec des investissements valorisés à 18,5 Md USD derrière le Royaume Uni (30 Md USD) et devant l’Allemagne (18,4 Md USD).</p>
<blockquote>
<p align="center">Évolution du compte financier (2008/2014-2020) – Flux en Md USD</p>
</blockquote>
<div>
<p align="center"><em><u>Lecture</u></em><em> : Les valeurs positives/négatives correspondent à des entrées nettes/sortie nettes de capitaux.</em></p>
<p align="center"><img class="marge" src="/Articles/cf35dc81-806e-40bc-94c7-01c332ca4608/images/9601ade8-7fef-4829-9d20-30bbd7c111ef" alt="Compte financier Russie" /></p>
<br clear="all" /><hr align="left" size="1" width="33%" />
<div id="ftn1">
<p><a title="" href="#_ftnref1" name="_ftn1">[1]</a> Les données détaillées en matière d’IDE pour l’ensemble de l’année 2020 ne sont pas encore disponibles.</p>
</div>
</div>2882ea18-7464-4320-b99f-49aeace42b18Brèves économiques de la CEI du 2 mars 2018Faits saillantsRussie Notations. L’agence de notation S&P a revu à la hausse la note souveraine de long terme en devises locale et étrangère du pays de BB+ à BBB-, avec perspectives stables. Relations avec l’Ukraine. Suite à la décision du Tribunal d’arbitrage de Stockholm, Gazprom doit rembourser à Naftogaz (entreprise publique pétro-gazière ukrainienne) 4,6 Mds USD en lien avec le transit de gaz russe. En décembre 2017, ce même tribunal avait enjoint à Naftogaz de rembourser 2 Mds USD à Gazprom en lien avec le gaz russe acheté par l’Ukraine en 2014-2015. Selon les résultats de deux procédures d'arbitrage à Stockholm, Gazprom doit verser 2,6 Mds USD à Naftogaz.UkrainePolitique monétaire. Dans un contexte d’inflation élevée – 14,1% en janvier 2018 en g.a. –, la Banque centrale a décidé le 1er mars 2018 d’augmenter son taux directeur de 100 pdb de 16% à 17%.KazakhstanInflation. L’inflation a décéléré à 6,5% en février 2018 en g.a. contre 6,8% en janvier 2018.KirghizstanPolitiq2018-03-02T00:00:00+01:00<p align="center"><strong>Faits saillants</strong></p>
<p><strong>Russie </strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Notations. L’agence de notation S&P a revu à la hausse la note souveraine de long terme en devises locale et étrangère du pays de BB+ à BBB-, avec perspectives stables. </span></li>
<li><span style="text-decoration: underline;">Relations avec l’Ukraine. Suite à la décision du Tribunal d’arbitrage de Stockholm, Gazprom doit rembourser à Naftogaz (entreprise publique pétro-gazière ukrainienne) 4,6 Mds USD en lien avec le transit de gaz russe. En décembre 2017, ce même tribunal avait enjoint à Naftogaz de rembourser 2 Mds USD à Gazprom en lien avec le gaz russe acheté par l’Ukraine en 2014-2015. Selon les résultats de deux procédures d'arbitrage à Stockholm, Gazprom doit verser 2,6 Mds USD à Naftogaz.</span></li>
</ul>
<p><strong>Ukraine</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Politique monétaire. Dans un contexte d’inflation élevée – 14,1% en janvier 2018 en g.a. –, la Banque centrale a décidé le 1<sup>er</sup> mars 2018 d’augmenter son taux directeur de 100 pdb de 16% à 17%.</span></li>
</ul>
<p><strong><span style="text-decoration: underline;">Kazakhstan</span></strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Inflation. L’inflation a décéléré à 6,5% en février 2018 en g.a. contre 6,8% en janvier 2018.</span></li>
</ul>
<p><strong>Kirghizstan</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Politique monétaire.</span> Le 26 février, la Banque centrale a maintenu son taux directeur à 5%, dans un contexte où la croissance reprend et l’inflation est inférieure à la fourchette cible de 5-7%.</li>
</ul>
<p><strong>Tadjikistan</strong></p>
<ul>
<li><span style="text-decoration: underline;">Notations.</span> L’agence de notation S&P a confirmé sa note de long terme en devises locale et étrangère « B-/B », avec perspective stable.</li>
</ul>3d05c7de-df67-4c13-9d3b-f163ff82d0e1Qunizaine Nordique n°150L'actualité économique et financière des pays nordiques.2018-03-02T00:00:00+01:00<p><img src="/Articles/3d05c7de-df67-4c13-9d3b-f163ff82d0e1/images/faecfbda-064a-4dd3-868c-2b56678a56b3" alt="QN" /></p>
<p>L'actualité économique et financière des pays nordiques.</p>57e60414-e4a2-41bb-8a2f-2cacde5141c0Régime de change et règles applicables aux flux de capitaux entre entreprises en Malaisie La devise de la Malaisie est le ringgit malaisien (RM) / Malaysian ringgit (MYR). 1. Un régime de change flottant administré depuis 2005 En réponse à la crise financière asiatique de 1998, la Malaisie avait opté pour un régime de change fixe du ringgit vis-à-vis du dollar américain (USD). Ce régime exceptionnel a pris fin le 21 juillet 2005, avec le retour au régime de change flottant administré. Sous ce régime, le taux de change du ringgit est déterminé en fonction d’un panier de devises des principaux partenaires commerciaux de la Malaisie. Le taux de change pivot est celui du ringgit par rapport au dollar américain, les taux de change avec les 26[1] autres devises de référence sont des taux croisés entre le taux de change de ces devises vis-à-vis du dollar américain et celui du dollar américain vis-à-vis du ringgit.Le taux de change officiel du ringgit, déterminé par le marché, est publié sur le site internet[2] de la banque centrale de Malaisie (Bank Negara Malaysia), e2018-02-28T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;"> La devise de la Malaisie est le <strong>ringgit malaisien</strong> (RM) / <strong><em>Malaysian ringgit</em></strong> (MYR).</p>
<p style="text-align: justify;"> <strong> 1. Un régime de change flottant administré depuis 2005</strong></p>
<p style="text-align: justify;"> En réponse à la crise financière asiatique de 1998, la Malaisie avait opté pour un régime de change fixe du ringgit vis-à-vis du dollar américain (USD). Ce régime exceptionnel a pris fin le 21 juillet 2005, avec le retour au <strong>régime de change flottant administré</strong>. Sous ce régime, le taux de change du ringgit est déterminé en fonction d’un panier de devises des principaux partenaires commerciaux de la Malaisie. <strong>Le taux de change pivot est celui du ringgit par rapport au dollar américain</strong>, les taux de change avec les 26<a title="" href="#_ftn1"><span style="text-decoration: underline;">[1]</span></a> autres devises de référence sont des taux croisés entre le taux de change de ces devises vis-à-vis du dollar américain et celui du dollar américain vis-à-vis du ringgit.</p>
<p style="text-align: justify;">Le taux de change officiel du ringgit, déterminé par le marché, est publié sur le site internet<a title="" href="#_ftn2"><span style="text-decoration: underline;">[2]</span></a> de la banque centrale de Malaisie (<strong>B</strong>ank <strong>N</strong>egara <strong>M</strong>alaysia), en charge de la politique de change. La BNM poursuit en particulier une politique de non internationalisation du ringgit, en favorisant les transactions sur son marché domestique, et de stabilité du ringgit par rapport à l’USD, en s’appuyant sur un montant important de réserves de devises étrangères (plus de 100 Md USD début 2018).</p>
<p style="text-align: justify;">Avec un volume moyen de transactions de 10 Md USD par jour<a title="" href="#_ftn3"><span style="text-decoration: underline;">[3]</span></a>, le ringgit malaisien se classe au 25<sup>ème</sup> rang des devises les plus échangées en 2016, selon la Banque des règlements internationaux, derrière le dollar singapourien (12<sup>ème</sup> rang) et le baht thaïlandais (24<sup>ème</sup> rang) mais devant la roupie indonésienne (31<sup>ème</sup> rang). Le taux de change du ringgit a beaucoup varié sur la période 2014-2017, avec un épisode de forte dépréciation par rapport au dollar américain (-25%) en 2015-2016. En 2017, le ringgit s’est réapprécié de 10% pour s’établir début 2018 à 4 RM pour 1 US$ (4,8 RM pour 1€).</p>
<p style="text-align: justify;"><strong> 2. Règles applicables aux flux de capitaux entre entreprises</strong></p>
<p style="text-align: justify;">Le droit applicable aux flux de capitaux, notamment les investissements directs étrangers, est établi par une législation de 2013 (<em>Financial Services Act</em>) et détaillé par la BNM sous la forme de <em>Foreign Exchange Administration</em> (FEA) <em>Rules</em>. Disponibles sur le site internet<a title="" href="#_ftn4"><span style="text-decoration: underline;">[4]</span></a> de la BNM, les FEA distinguent les résidents (ex : toute entreprise enregistrée au registre malaisien du commerce et des sociétés) et les non-résidents (ex : succursale, bureau de vente ou de représentation, filiale).</p>
<p style="text-align: justify;">S’agissant des entreprises non-résidentes, il n’y a pas de restriction aux investissements en Malaisie sur des actifs en ringgit, que ce soient des valeurs mobilières ou immobilières, dès lors qu’il est fait appel aux services d’une banque locale (domestique ou étrangère) et sous réserve de seuils de participation applicables à certains secteurs (voir fiche sur la législation dite « bumiputra »). Il n’existe pas non plus de restrictions pour les non-résidents souhaitant transférer le produit de leurs profits et désinvestissements malaisiens vers l’étranger, <span style="text-decoration: underline;">en devise étrangère</span>.</p>
<p style="text-align: justify;">Il existe des restrictions pour les entreprises résidentes. Une transaction en devise étrangère entre deux entreprises résidentes pour acheter des biens ou services en Malaisie n’est possible que si ces devises proviennent de recettes d’exportations. En outre, en décembre 2016, la BNM a modifié sa réglementation relative aux recettes en devises tirées des exportations de biens (pas applicable aux services). Désormais <span style="text-decoration: underline;">les exportateurs de biens basés en Malaisie doivent convertir en ringgit au moins 75% de leurs recettes en devises</span> (possibilité de reconversion après 6 mois). Cependant, les entreprises peuvent demander une exemption au cas par cas auprès de la BNM.</p>
<div><hr align="left" size="1" width="33%" />
<div style="text-align: justify;">
<p><a title="" href="#_ftnref2"><span style="text-decoration: underline;">[</span></a><a title="" href="#_ftnref1"><span style="text-decoration: underline;">1]</span></a> GBP, EUR, JPY, CHF, AUD, CAD, SGD, HKD, THB, PHP, TWD, KRW, IDR, SAR, SDR, CNY, BND, VND, KHR, NZD, MMK, INR, AED, PKR, NPR et EGP.</p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a title="" href="#_ftnref2"><span style="text-decoration: underline;">[2]</span></a> <a href="http://www.bnm.gov.my/index.php?ch=statistic&pg=stats_exchangerates"><span style="text-decoration: underline;">http://www.bnm.gov.my/index.php?ch=statistic&pg=stats_exchangerates</span></a></p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<p><a title="" href="#_ftnref3"><span style="text-decoration: underline;">[3]</span></a> <a href="http://www.bnm.gov.my/index.php?ch=statistic&pg=stats_dailyfxturnover"><span style="text-decoration: underline;">http://www.bnm.gov.my/index.php?ch=statistic&pg=stats_dailyfxturnover</span></a></p>
</div>
<div>
<p style="text-align: justify;"><a title="" href="#_ftnref4"><span style="text-decoration: underline;">[4]</span></a> <a href="http://www.bnm.gov.my/index.php?ch=fea&pg=en_fea_circulars&ac=258&lang=en"><span style="text-decoration: underline;">http://www.bnm.gov.my/index.php?ch=fea&pg=en_fea_circulars&ac=258&lang=en</span></a></p>
</div>
</div>f364a5bd-f027-46f0-a39d-6e42a2ccdbb7Reporting hebdomadaire des principaux indicateurs économiques (26/02/2018)2018-02-26T00:00:00+01:00<p><img src="/Articles/f364a5bd-f027-46f0-a39d-6e42a2ccdbb7/images/00f77bc0-6618-4f3a-bc01-2733c7780ece" alt="Principaux indicateurs économiques" /></p>aa4cdb61-6821-42ad-b5d5-330dd501e1aeBrèves économiques de la CEI du 23 février 2018Faits saillantsRussie Fiscalité. Le Président russe V. Poutine a promulgué la loi prolongeant jusqu’au 28 février 2019 l’amnistie pour les capitaux rapatriés en Russie. L’amnistie permet aux personnes physiques et morales de déclarer leurs actifs étrangers aux autorités russes sans s’exposer à une responsabilité pénale, administrative et fiscale. Voir annexeBiélorussieActivité. Le PIB a crû de 4,6% en janvier 2018 en g.a.KazakhstanRéserves. Les réserves de change de la Banque nationale du Kazakhstan s’élevaient à 31,7 Mds USD au 1er février 2018– en hausse de 8% en g.a. –, couvrant plus d’un an d’importations. Les réserves du Fonds national Samruk Kazyna s’élevaient à 58,3 Mds USD au 1er février 2018, en baisse de 7,2% en g.a. OuzbékistanRéserves. Les réserves de change ont atteint 28,8 Mds USD au 1er février 2018, en hausse de 2,5% depuis le début de l’année. Elles couvrent actuellement plus de deux ans d’importations.CEIClimat des affaires. Transparency International a p2018-02-23T00:00:00+01:00<p align="center"><strong>Faits saillants</strong></p>
<p><strong>Russie </strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Fiscalité. Le Président russe V. Poutine a promulgué la loi prolongeant jusqu’au 28 février 2019 l’amnistie pour les capitaux rapatriés en Russie. L’amnistie permet aux personnes physiques et morales de déclarer leurs actifs étrangers aux autorités russes sans s’exposer à une responsabilité pénale, administrative et fiscale. <em>Voir annexe</em></span></li>
</ul>
<p><strong>Biélorussie</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Activité. Le PIB a crû de 4,6% en janvier 2018 en g.a.</span></li>
</ul>
<p><strong>Kazakhstan</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Réserves. Les réserves de change de la Banque nationale du Kazakhstan s’élevaient à 31,7 Mds USD au 1er février 2018– en hausse de 8% en g.a. –, couvrant plus d’un an d’importations. Les réserves du Fonds national Samruk Kazyna s’élevaient à 58,3 Mds USD au 1er février 2018, en baisse de 7,2% en g.a. </span> </li>
</ul>
<p><strong>Ouzbékistan</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Réserves. Les réserves de change ont atteint 28,8 Mds USD au 1<sup>er</sup> février 2018, en hausse de 2,5% depuis le début de l’année. Elles couvrent actuellement plus de deux ans d’importations.</span></li>
</ul>
<p><strong>CEI</strong></p>
<ul>
<li><span style="text-decoration: underline;">Climat des affaires. </span>Transparency International a publié l’Indice de Perception de la Corruption 2017.</li>
</ul>1cda068e-506e-402c-a3c6-0788b87afa13Quinzaine Nordique n°149L'actualité économique et financière des pays nordiques.2018-02-16T00:00:00+01:00<p><img src="/Articles/1cda068e-506e-402c-a3c6-0788b87afa13/images/ea9c8fb3-decc-4ccb-8b7f-7ea93bb72468" alt="QN149" /></p>
<p>L'actualité économique et financière des pays nordiques.</p>3e7b44c8-5488-42ce-bb80-a25a187f6c3bBrèves économiques de la CEI du 16 février 2018Faits saillantsRussie Relations avec la France. Les échanges commerciaux franco-russes ont repris en 2017 : +26% en g.a. La part de marché de la France a légèrement diminué en 2017, à 4,2%, ce qui fait de la France le 6ème fournisseur mondial de la Russie. Voir annexe.Position externe. Selon les données préliminaires de la Banque centrale, l’excédent courant s’est élevé à 12,8 Mds USD en janvier 2018, soit une hausse de 60% en g.a., grâce à l’augmentation de l’excédent commercial.UkraineActivité. La croissance du PIB a atteint 1,8% au dernier trimestre 2017 en g.a., contre 2,1% en g.a. au troisième trimestre, selon les estimations préliminaires de l’agence de statistiques.Union économique (UEE)Commerce international. Les exportations intra-UEE – composées à 63% par des exportations russes – ont affiché une hausse de 26,1% en g.a. et se sont élevées à 54 Mds USD. Les exportations et les importations vers et depuis des pays non membres de l’UEE ont augmenté de respectivement 25,42018-02-16T00:00:00+01:00<p align="center"><strong>Faits saillants</strong></p>
<p><strong>Russie </strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Relations avec la France</span>. Les échanges commerciaux franco-russes ont repris en 2017 : +26% en g.a. La part de marché de la France a légèrement diminué en 2017, à 4,2%, ce qui fait de la France le 6<sup>ème</sup> fournisseur mondial de la Russie. <em>Voir annexe</em>.</li>
<li><span style="text-decoration: underline;">Position externe</span>. Selon les données préliminaires de la Banque centrale, l’excédent courant s’est élevé à 12,8 Mds USD en janvier 2018, soit une hausse de 60% en g.a., grâce à l’augmentation de l’excédent commercial.</li>
</ul>
<p><strong>Ukraine</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Activité</span>. La croissance du PIB a atteint 1,8% au dernier trimestre 2017 en g.a., contre 2,1% en g.a. au troisième trimestre, selon les estimations préliminaires de l’agence de statistiques.</li>
</ul>
<p><strong>Union économique (UEE)</strong></p>
<ul>
<li><span style="text-decoration: underline;">Commerce international</span>. Les exportations intra-UEE – composées à 63% par des exportations russes – ont affiché une hausse de 26,1% en g.a. et se sont élevées à 54 Mds USD. Les exportations et les importations vers et depuis des pays non membres de l’UEE ont augmenté de respectivement 25,4% et 22,9% en 2017 en g.a., à 387 Mds USD et 247 Mds USD.</li>
</ul>7a7059f0-07ee-45a7-bc75-01932f847641Reporting hebdomadaire des principaux indicateurs économiques (12/02/2018)2018-02-12T00:00:00+01:00<p><img src="/Articles/7a7059f0-07ee-45a7-bc75-01932f847641/images/d55a0196-5811-41fe-94e8-3eeb46ff9d17" alt="Reporting hebdo" /></p>79855a03-8381-4288-9e91-2127a4c1fc62Brèves économiques de la CEI du 9 février 2018Faits saillantsRussieActivité. Selon les estimations de Rosstat, la croissance économique s’est élevée à 1,5% en 2017, soutenue par la reprise de la consommation et de l’investissement. Voir en annexe. Politique monétaire. Dans un contexte de ralentissement de l’inflation (2,2% en g.a. en janvier), la Banque centrale a décidé le 8 février de baisser son taux directeur de 25 pdb de 7,75% à 7,5%.BiélorussieBudget. L’excédent du budget consolidé a atteint 2,8 Mds BYN (1,5 Md USD au cours moyen 2017) en 2017 soit 2,7% du PIB.Kazakhstan Position externe. Le déficit du compte courant en 2017 s’est réduit de moitié par rapport à 2016 et s'est élevé à 4,7 Mds USD, notamment grâce à l’augmentation de 90% en g.a. de l’excédent commercial à 17,5 Mds USD selon les estimations préliminaires de la Banque centrale.2018-02-09T00:00:00+01:00<p align="center"><strong>Faits saillants</strong></p>
<p><strong>Russie</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Activité</span>. Selon les estimations de Rosstat, la croissance économique s’est élevée à 1,5% en 2017, soutenue par la reprise de la consommation et de l’investissement. <em>Voir en annexe. </em></li>
<li><span style="text-decoration: underline;">Politique monétaire</span>. Dans un contexte de ralentissement de l’inflation (2,2% en g.a. en janvier), la Banque centrale a décidé le 8 février de baisser son taux directeur de 25 pdb de 7,75% à 7,5%.</li>
</ul>
<p><strong>Biélorussie</strong></p>
<ul>
<li>
<p><span style="text-decoration: underline;">Budget</span>. L’excédent du budget consolidé a atteint 2,8 Mds BYN (1,5 Md USD au cours moyen 2017) en 2017 soit 2,7% du PIB.</p>
<p><strong>Kazakhstan </strong></p>
</li>
<li><span style="text-decoration: underline;">Position externe</span>. Le déficit du compte courant en 2017 s’est réduit de moitié par rapport à 2016 et s'est élevé à 4,7 Mds USD, notamment grâce à l’augmentation de 90% en g.a. de l’excédent commercial à 17,5 Mds USD selon les estimations préliminaires de la Banque centrale.</li>
</ul>e60f22c7-5f43-40c1-b2d2-f8c0e6b6c97dReporting hebdomadaire des principaux indicateurs économiques (05/02/2018)L'observatoire des principales valeurs de la place de Kuala Lumpur pour la semaine du 5 février 2018 est en téléchargement ci-dessous.2018-02-05T00:00:00+01:00<p>L'observatoire des principales valeurs de la place de Kuala Lumpur pour la semaine du 5 février 2018 est en téléchargement ci-dessous.</p>
<p><img title="Crédit photo @tourism.gov.my" src="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2e07b20c-d8a6-4acb-9b7e-a8eab9b18a20/images/bc1c5dd8-ccb6-4d40-8b76-f9c9988abb26" alt="Crédit photo @tourism.gov.my" /></p>8cb816c5-d699-44da-ab32-97a000434603Quinzaine Nordique n°148 L'actualité économique et financière des pays nordiques.2018-02-02T00:00:00+01:00<p><img src="/Articles/8cb816c5-d699-44da-ab32-97a000434603/images/7f267e1f-5ded-4a4d-ae23-d3375a4f1a27" alt="QN n°148" /></p>
<p> </p>
<p>L'actualité économique et financière des pays nordiques.</p>d6340431-62e6-4a6b-a5d6-c0555cd00ebaBrèves économiques de la CEI du 2 février 2018Faits saillantsRussieActivité. Lors d’une rencontre avec les membres du Conseil économique de la CCI France-Russie, le Président russe V. Poutine a annoncé que la croissance du PIB s’était élevée à 1,4% en 2017.Notations.L’agence de notation Moody’s a confirmé la notation souveraine du pays à Ba1, mais a amélioré ses perspectives de stables à positives.Sanctions. Le 29 janvier 2018, le département du Trésor des États-Unis a publié le «rapport de Kremlin» où figurent 210 personnes dont 96 hommes d’affaires et 114 fonctionnaires russes. La mise en œuvre ultérieure de sanctions à leur encontre serait éventuellement possible. Voir annexeUkrainePosition externe. Le déficit du compte courant s’est élevé à 3,8 Mds USD en 2017, soit une hausse de 8,5% en g.a. selon la Banque centrale d’Ukraine.BiélorussieNotations. L’agence de notation Fitch a revu à la hausse la note souveraine de long terme en devises locales et étrangères du pays de B- à B, avec perspectives stables.Politique 2018-02-02T00:00:00+01:00<p align="center"><strong>Faits saillants</strong></p>
<p><strong>Russie</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Activité. Lors d’une rencontre avec les membres du Conseil économique de la CCI France-Russie, le Président russe V. Poutine a annoncé que la croissance du PIB s’était élevée à 1,4% en 2017.</span></li>
<li><span style="text-decoration: underline;">Notations.</span> <span style="text-decoration: underline;">L’agence de notation Moody’s a confirmé la notation souveraine du pays à Ba1, mais a amélioré ses perspectives de stables à positives.</span></li>
<li>
<p><span style="text-decoration: underline;">Sanctions. </span>Le 29 janvier 2018, le département du Trésor des États-Unis a publié le «rapport de Kremlin» où figurent 210 personnes dont 96 hommes d’affaires et 114 fonctionnaires russes. La mise en œuvre ultérieure de sanctions à leur encontre serait éventuellement possible. <em>Voir annexe</em></p>
<p><strong>Ukraine</strong></p>
</li>
<li>
<p><span style="text-decoration: underline;">Position externe. Le déficit du compte courant s’est élevé à 3,8 Mds USD en 2017, soit une hausse de 8,5% en g.a. selon la Banque centrale d’Ukraine.</span></p>
<p><strong><span style="text-decoration: underline;">Biélorussie</span></strong></p>
</li>
</ul>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Notations. L’agence de notation Fitch a revu à la hausse la note souveraine de long terme en devises locales et étrangères du pays de B- à B, avec perspectives stables.</span></li>
<li>
<p><span style="text-decoration: underline;">Politique monétaire. Dans un contexte de ralentissement de l’inflation (4,6% en 2017), la Banque centrale a annoncé l’abaissement de son taux directeur de 11% à 10,5% à compter du 14 février 2018.</span></p>
<p><strong><span style="text-decoration: underline;">Kazakhstan</span></strong></p>
</li>
<li>
<p><span style="text-decoration: underline;">Inflation. L’inflation a atteint 6,8% en janvier 2018 en g.a. contre 7,1% en 2017.</span></p>
<p><strong><span style="text-decoration: underline;">Moldavie</span></strong></p>
</li>
</ul>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li>
<p><span style="text-decoration: underline;">Politique monétaire. </span>Le 30 janvier 2018, la Banque centrale a maintenu son taux directeur à 6,5%, mentionnant l’absence de risques inflationnistes.</p>
<p><strong><span style="text-decoration: underline;">Tadjikistan</span></strong></p>
</li>
<li><span style="text-decoration: underline;">Activité. D’après les données de la Banque centrale, le PIB a crû de 7,1% en g.a. en 2017.</span></li>
</ul>c127ceb2-4897-4824-a825-191d19ac7b79Quinzaine Nordique n°147L'actualité économique et financière des pays nordiques.2018-01-24T00:00:00+01:00<p>L'actualité économique et financière des pays nordiques.</p>a1f0c302-fa68-4661-a7ac-e6d874d93e58Brèves économiques de la CEI du 19 janvier 2018Faits saillantsRussieAutorités. Le ministère des Finances a annoncé la création prochaine d’une banque dédiée au financement et transactions des contrats de défense et des grands contrats publics.Position externe. L’excédent du compte courant a atteint 40,2 Mds USD en 2017, contre 25,5 Mds USD en 2016. Sur la même période, les sorties nettes de capitaux privés, notamment liées au désendettement des banques russes à l’étranger, se sont élevées à 31,3 Mds USD, contre 19,8 Mds USD en 2016. Voir en annexe.BiélorussieActivité. Le PIB a crû de 2,4% en 2017 en g.a.KazakhstanPolitique monétaire. Dans un contexte de ralentissement de l’inflation, la Banque centrale a décidé le 16 janvier 2018 d’abaisser son taux directeur de 50 pdb, de 10,25% à 9,75%.OuzbékistanRéserves. Les réserves de changes s'élevaient à 26,6 Mds USD à fin 2017, en hausse de 5,5% depuis le début de l’année selon la Banque centrale. Les réserves couvrent actuellement plus de deux ans d’importations.2018-01-19T00:00:00+01:00<h2>Faits saillants</h2>
<p><strong>Russie</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li>Autorités. Le ministère des Finances a annoncé la création prochaine d’une banque dédiée au financement et transactions des contrats de défense et des grands contrats publics.</li>
<li>Position externe. L’excédent du compte courant a atteint 40,2 Mds USD en 2017, contre 25,5 Mds USD en 2016. Sur la même période, les sorties nettes de capitaux privés, notamment liées au désendettement des banques russes à l’étranger, se sont élevées à 31,3 Mds USD, contre 19,8 Mds USD en 2016. <em>Voir en annexe.</em></li>
</ul>
<p><strong>Biélorussie</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li>Activité. Le PIB a crû de 2,4% en 2017 en g.a.</li>
</ul>
<p><strong>Kazakhstan</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li>
<p>Politique monétaire. Dans un contexte de ralentissement de l’inflation, la Banque centrale a décidé le 16 janvier 2018 d’abaisser son taux directeur de 50 pdb, de 10,25% à 9,75%.</p>
</li>
</ul>
<p><strong>Ouzbékistan</strong></p>
<ul>
<li>Réserves. Les réserves de changes s'élevaient à 26,6 Mds USD à fin 2017, en hausse de 5,5% depuis le début de l’année selon la Banque centrale. Les réserves couvrent actuellement plus de deux ans d’importations.</li>
</ul>279063c7-bd95-4e71-aba9-358c906a7c55La situation économique et financière de l’IranAlors que la levée des sanctions renforcées intervenue le 16 janvier 2016 n’avait pas eu le temps de produire ses effets sur l’année budgétaire 2015/2016 (21 mars 2015 / 20 mars 2016) qui s’est achevée sur une croissance négative (-1,6%), l’année 2016/2017 a été celle du rebond. D’après les dernières estimations du FMI, la croissance du PIB en volume s’est en effet établie à 12,5 % au terme de cet exercice. Ce net regain de l’activité est essentiellement imputable à la reprise plus rapide qu’attendu de la production et des exportations de pétrole brut qui ont quasiment retrouvé leur niveau d’avant sanctions. Il devrait se traduire, dans un contexte de hausse du prix du baril, par une consolidation de l’excédent du compte courant et par une réduction du déficit budgétaire d’ici la fin de l’exercice 2017/2018. L’inflation a poursuivi son mouvement de reflux amorcé en 2013 et est demeurée sous la barre des 10% en 2016/2017.2018-01-17T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;">Alors que la levée des sanctions renforcées intervenue le 16 janvier 2016 n’avait pas eu le temps de produire ses effets sur l’année budgétaire 2015/2016 (21 mars 2015 / 20 mars 2016) qui s’est achevée sur une croissance négative (-1,6%), l’année 2016/2017 a été celle du rebond. D’après les dernières estimations du FMI, la croissance du PIB en volume s’est en effet établie à 12,5 % au terme de cet exercice. Ce net regain de l’activité est essentiellement imputable à la reprise plus rapide qu’attendu de la production et des exportations de pétrole brut qui ont quasiment retrouvé leur niveau d’avant sanctions. Il devrait se traduire, dans un contexte de hausse du prix du baril, par une consolidation de l’excédent du compte courant et par une réduction du déficit budgétaire d’ici la fin de l’exercice 2017/2018. L’inflation a poursuivi son mouvement de reflux amorcé en 2013 et est demeurée sous la barre des 10% en 2016/2017.</p>475ac063-1698-47ae-8d47-4e6f2e394124Situation économique et financière de la BulgarieEtat membre de l’UE depuis 2007, la Bulgarie compte une population de 7,1 M d’habitants et enregistre un PIB de l’ordre de 48 Mds EUR. La croissance a atteint 3,9% en 2016 et devrait atteindre 4% en 2017, soutenue essentiellement par la consommation privée. Le chômage se réduit à 6,4% fin 2017. Après le creusement budgétaire consécutif à la crise bancaire de 2014, le budget est revenu à l’équilibre en 2016 et devrait également l’être en 2017. La Bulgarie fait partie des pays les moins endettés de l’UE avec une dette publique de 25% du PIB. Les effets de la crise du système bancaire ne semblent plus peser sur le secteur. La Bulgarie reste toutefois confrontée à de nombreux dysfonctionnements structurels, avec des problèmes de corruption et d’insuffisance de l’état de droit. A plus long terme, des efforts en direction de l’éducation et des projets d’investissement public seront déterminants pour accélérer le processus de convergence et compenser la chute démographique.2018-01-15T00:00:00+01:00<p><img style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" title="Conjoncture éco" src="/Articles/475ac063-1698-47ae-8d47-4e6f2e394124/images/a2c163af-84ec-4a57-ab2d-9804f48a6dbd" alt="Conjoncture éco" width="510" height="340" /></p>
<p style="text-align: justify;">Etat membre de l’UE depuis 2007, la Bulgarie compte une population de 7,1 M d’habitants et enregistre un PIB de l’ordre de 48 Mds EUR. La croissance a atteint 3,9% en 2016 et devrait atteindre 4% en 2017, soutenue essentiellement par la consommation privée. Le chômage se réduit à 6,4% fin 2017. Après le creusement budgétaire consécutif à la crise bancaire de 2014, le budget est revenu à l’équilibre en 2016 et devrait également l’être en 2017. La Bulgarie fait partie des pays les moins endettés de l’UE avec une dette publique de 25% du PIB. Les effets de la crise du système bancaire ne semblent plus peser sur le secteur. La Bulgarie reste toutefois confrontée à de nombreux dysfonctionnements structurels, avec des problèmes de corruption et d’insuffisance de l’état de droit. A plus long terme, des efforts en direction de l’éducation et des projets d’investissement public seront déterminants pour accélérer le processus de convergence et compenser la chute démographique.</p>4e2242d5-378a-4846-ac82-7e690e44dd7fBrèves de la CEI du 12 janvier 2018Faits saillantsCEIInflation. L’ensemble des taux d’inflation pour 2017 pour les pays de la région est désormais connu. Voir annexeRussieRelations avec l’UE. L’OMC a annoncé que la demande de rétorsion de l’UE d’un montant annuel d’1,4 Md USD contre la Russie dans le cadre du différend concernant les produits porcins ferait l’objet d’un arbitrage (procédure de panel).ArménieActivité. Le PIB a crû de 3,5% au 3ème trimestre 2017 en g.a., contre 5,5% au 2ème trimestre en g.a. selon l’agence nationale de statistiques.OuzbékistanActivité. Le PIB a crû de 5,3% en 2017.Activité. En 2017, le PIB a crû de 4,5%.KirghizstanActivité. En 2017, le PIB a crû de 4,5%. 2018-01-12T00:00:00+01:00<p align="center"><strong>Faits saillants</strong></p>
<p><strong>CEI</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li>Inflation. L’ensemble des taux d’inflation pour 2017 pour les pays de la région est désormais connu. <em>Voir annexe</em></li>
</ul>
<p><strong>Russie</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li>Relations avec l’UE. L’OMC a annoncé que la demande de rétorsion de l’UE d’un montant annuel d’1,4 Md USD contre la Russie dans le cadre du différend concernant les produits porcins ferait l’objet d’un arbitrage (procédure de panel).</li>
</ul>
<p><strong>Arménie</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li>Activité. Le PIB a crû de 3,5% au 3ème trimestre 2017 en g.a., contre 5,5% au 2ème trimestre en g.a. selon l’agence nationale de statistiques.</li>
</ul>
<p><strong>Ouzbékistan</strong></p>
<ul>
<li>
<p>Activité. Le PIB a crû de 5,3% en 2017.</p>
</li>
<li>Activité. En 2017, le PIB a crû de 4,5%.</li>
</ul>
<p><strong>Kirghizstan</strong></p>
<ul>
<li>Activité. En 2017, le PIB a crû de 4,5%.</li>
</ul>
<p> </p>86b0889f-5f4d-4429-8441-caa705da57c2Nouvelles d'Espagne - n°1 (5 janvier 2018)Le salaire minimum en Espagne augmente de 4% au 1er janvier 2018 et devrait atteindre les 850 € bruts mensuels dans trois ans.La Banque d’Espagne prévoit une hausse de 0,8 % du PIB de l’Espagne au T4 2017.L’Etat espagnol réduit son déficit au T3 2017, tandis que les Communautés Autonomes obtiennent un excédent budgétaire.2018-01-08T00:00:00+01:00<p><img src="/Articles/86b0889f-5f4d-4429-8441-caa705da57c2/images/2920394e-018e-49a6-bead-64519ce2621b" alt="Nouvelles d'Espagne" width="517" height="142" /></p>
<ul>
<li>Le salaire minimum en Espagne augmente de 4% au 1er janvier 2018 et devrait atteindre les 850 € bruts mensuels dans trois ans.</li>
<li>La Banque d’Espagne prévoit une hausse de 0,8 % du PIB de l’Espagne au T4 2017.</li>
<li>L’Etat espagnol réduit son déficit au T3 2017, tandis que les Communautés Autonomes obtiennent un excédent budgétaire.</li>
</ul>7ad3ee4a-69ff-4abd-9353-44d390925f28Brèves économiques de la CEI du 5 janvier 2018Faits saillantsRussieInflation. L’inflation s’est élevée à 2,5% en décembre 2017 en g.a. – au même niveau qu’en novembre – d’après les données préliminaires de la Banque centrale de Russie.Position externe (1). L’excédent du compte courant a atteint 22,4 Mds USD sur janvier-septembre 2017, en hausse de 46,4% en g.a. selon les données actualisées de la Banque centrale. Sur la même période, les sorties nettes de capitaux privés, notamment liées au désendettement des banques russes à l’étranger, se sont élevées à 16,5 Mds USD, en hausse de 65% en g.a.UkraineCommerce international. Les échanges de biens entre l’Ukraine et la Russie sur janvier-novembre ont progressé de 28,6% en g.a. à 9 Mds USD, tandis qu’entre l’Ukraine et l’UE ils ont augmenté de 27,6% en g.a. à 29 Mds USD.Position externe. Le déficit du compte courant s’est élevé à 3 Mds USD sur janvier-novembre 2017, soit une baisse de 2,3 % en g.a. selon la Banque centrale d’Ukraine. KazakhstanInflation. L’inflation a atteint 7,1%2018-01-05T00:00:00+01:00<h4 align="center"><strong>Faits saillants</strong></h4>
<h5><strong>Russie</strong></h5>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Inflation.</span> L’inflation s’est élevée à 2,5% en décembre 2017 en g.a. – au même niveau qu’en novembre – d’après les données préliminaires de la Banque centrale de Russie.</li>
<li><span style="text-decoration: underline;">Position externe (1). L’excédent du compte courant a atteint 22,4 Mds USD sur janvier-septembre 2017, en hausse de 46,4% en g.a. selon les données actualisées de la Banque centrale. Sur la même période, les sorties nettes de capitaux privés, notamment liées au désendettement des banques russes à l’étranger, se sont élevées à 16,5 Mds USD, en hausse de 65% en g.a.</span></li>
</ul>
<h5><strong>Ukraine</strong></h5>
<ul>
<li><span style="text-decoration: underline;">Commerce international. </span>Les échanges de biens entre l’Ukraine et la Russie sur janvier-novembre ont progressé de 28,6% en g.a. à 9 Mds USD, tandis qu’entre l’Ukraine et l’UE ils ont augmenté de 27,6% en g.a. à 29 Mds USD.</li>
<li>
<p><span style="text-decoration: underline;">Position externe. Le déficit du compte courant s’est élevé à 3 Mds USD sur janvier-novembre 2017, soit une baisse de 2,3 % en g.a. selon la Banque centrale d’Ukraine. </span></p>
<h5><strong>Kazakhstan</strong></h5>
</li>
<li>
<p><span style="text-decoration: underline;">Inflation. L’inflation a atteint 7,1% en décembre 2017 en g.a. contre 7,3% en novembre.</span></p>
<h5><strong>Union eurasiatique</strong></h5>
</li>
<li><span style="text-decoration: underline;">Union douanière.</span> <span style="text-decoration: underline;">Le nouveau code douanier de l’Union eurasiatique est entré en vigueur le 1er janvier 2018 après avoir été ratifié par tous les Etats membres.</span></li>
</ul>dcdecd1c-6dd3-4992-865e-98bd66dd641aBrèves économiques de la CEI du 29/12/2017Faits saillantsRussieInflation. Les anticipations d’inflation de la population à 12 mois ont atteint 8,7% en décembre 2017, le même niveau qu’en novembre, selon les données de la Banque centrale russe. Pour rappel, l’inflation en novembre 2017 s’est élevée à 2,5% en g.a.BiélorussieInflation. Tandis que l’inflation en novembre 2017 s’est élevée à 4,9 % en g.a., les anticipations d’inflation à 12 mois se sont établies à 11,9%.KazakhstanFonds souverain. Suite à la décision de l’Institut d’arbitrage de Stockholm, la Bank of New York Mellon a gelé les avoirs du Fonds national du Kazakhstan pour un montant de 22 Mds USD soit 40% du Fonds. Ce blocage est lié au litige entre l’entrepreneur moldave Anatoliy Stati et le gouvernement kazakhstanais. ArméniePolitique monétaire. Dans un contexte de reprise économique et d’inflation redevenue positive depuis avril (2,2% en g.a. en novembre 2017), la Banque centrale a décidé de maintenir son taux directeur à 6%. Voir annexeMoldaviePoliti2017-12-29T00:00:00+01:00<p align="center"><strong>Faits saillants</strong></p>
<p><strong>Russie</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Inflation</span>. Les anticipations d’inflation de la population à 12 mois ont atteint 8,7% en décembre 2017, le même niveau qu’en novembre, selon les données de la Banque centrale russe. Pour rappel, l’inflation en novembre 2017 s’est élevée à 2,5% en g.a.</li>
</ul>
<p><strong>Biélorussie</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Inflation</span>. Tandis que l’inflation en novembre 2017 s’est élevée à 4,9 % en g.a., les anticipations d’inflation à 12 mois se sont établies à 11,9%.</li>
</ul>
<p><strong>Kazakhstan</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Fonds souverain.</span> Suite à la décision de l’Institut d’arbitrage de Stockholm, la Bank of New York Mellon a gelé les avoirs du Fonds national du Kazakhstan pour un montant de 22 Mds USD soit 40% du Fonds. Ce blocage est lié au litige entre l’entrepreneur moldave Anatoliy Stati et le gouvernement kazakhstanais.<span style="text-decoration: underline;"> </span></li>
</ul>
<p><strong>Arménie</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Politique monétaire. Dans un contexte de reprise économique et d’inflation redevenue positive depuis avril (2,2% en g.a. en novembre 2017), la Banque centrale a décidé de maintenir son taux directeur à 6%. <em>Voir annexe</em></span></li>
</ul>
<p><strong>Moldavie</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li><span style="text-decoration: underline;">Politique monétaire. Le 27 décembre 2017, la Banque centrale a maintenu son taux directeur à 6,5% en l’absence de risques inflationnistes. <em>Voir annexe</em></span></li>
</ul>
<p><strong>Kirghizstan</strong></p>
<ul>
<li><span style="text-decoration: underline;">Politique monétaire. Le 25 décembre, la Banque centrale a maintenu son taux directeur à 5%, dans un contexte où la production reprend et l’inflation est inférieure à la fourchette cible de 5-7%. </span></li>
</ul>b658d149-3d19-4d78-ae74-8a5ac28b69f2Nouvelles d'Espagne - n°26 (18 décembre 2017)L’OCDE et la Banque d’Espagne maintiennent leurs prévisions de croissance pour 2017 mais revoient légèrement à la baisse celles de 2018.Le gouvernement espagnol vend 7 % du capital de Bankia. 2017-12-21T00:00:00+01:00<ul>
<li style="margin: 0cm 0cm 8pt; text-align: justify;"><em><span style="color: #000000; font-family: Calibri;">L’OCDE et la Banque d’Espagne maintiennent leurs prévisions de croissance pour 2017 mais revoient légèrement à la baisse celles de 2018.</span></em></li>
<li style="margin: 0cm 0cm 8pt; text-align: justify;"><em><span style="color: #000000; font-family: Calibri;">Le gouvernement espagnol vend 7 % du capital de Bankia.</span></em></li>
</ul>
<p> </p>9f6a8745-4485-48e7-9ce5-461f144ec67bSituation économique et financière de la Roumanie fin 2017La Roumanie a renoué avec la croissance depuis 2012, au prix d’un ajustement encadré par le FMI et l’UE. Le pays est désormais l’économie la plus dynamique de l’UE, avec 6,1% de croissance projetée pour 2017, selon la Commission nationale de la prévision, après 4,6% en 2016. La politique budgétaire pro-cyclique a largement soutenu la demande interne et a inversé la trajectoire budgétaire jusque-là prudente. L’ouverture d’une procédure pour déviation significative a été adoptée par la Commission suite à la forte dégradation du déficit public observée en 2016 et le paquet de mesures fiscales décidé par le gouvernement ne laisse pas envisager d’amélioration. Par ailleurs, le pays a un fort besoin de réformes structurelles, notamment la modernisation de son administration, de ses infrastructures, l’amélioration des secteurs de l’éducation et de la santé et la restructuration des entreprises.2017-12-19T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;"><img style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" title="Conjoncture éco" src="/Articles/9f6a8745-4485-48e7-9ce5-461f144ec67b/images/a4c3e6df-1e50-436c-b974-934b25cb4144" alt="Conjoncture éco" width="393" height="262" /></p>
<p style="text-align: justify;">La Roumanie a renoué avec la croissance depuis 2012, au prix d’un ajustement encadré par le FMI et l’UE. Le pays est désormais l’économie la plus dynamique de l’UE, avec 6,1% de croissance projetée pour 2017, selon la Commission nationale de la prévision, après 4,6% en 2016. La politique budgétaire pro-cyclique a largement soutenu la demande interne et a inversé la trajectoire budgétaire jusque-là prudente. L’ouverture d’une procédure pour déviation significative a été adoptée par la Commission suite à la forte dégradation du déficit public observée en 2016 et le paquet de mesures fiscales décidé par le gouvernement ne laisse pas envisager d’amélioration. Par ailleurs, le pays a un fort besoin de réformes structurelles, notamment la modernisation de son administration, de ses infrastructures, l’amélioration des secteurs de l’éducation et de la santé et la restructuration des entreprises.</p>ad36506c-3fda-4cd6-99ff-f8742be02e45Situation économique et financière de la Serbie - Décembre 2017Après plusieurs années de récession et trois programmes du FMI depuis 2009, l’économie serbe connaît désormais une amélioration sensible de ses fondamentaux. La reprise est bien ancrée. Les mesures budgétaires engagées par le gouvernement Vučić en concertation avec le FMI ont porté leurs fruits sans handicaper la croissance, le solde public devrait être excédentaire en 2017 et la dette publique baisser de 6 points de PIB, grâce surtout à l’appréciation du Dinar face à l’EUR et à l’USD. Les autorités disposent désormais d’une marge de manœuvre restaurée pour lancer les investissements publics longtemps reportés. L’inflation reste sous contrôle, tandis que les prêts non performants continuent de se réduire. La soutenabilité de la dette publique n’est pas encore garantie. Le pays reste encore vulnérable à l’environnement monétaire international en raison de son endettement en devises.2017-12-08T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;"><img style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" title="Conjoncture éco" src="/Articles/ad36506c-3fda-4cd6-99ff-f8742be02e45/images/1a44b90d-bb0e-425f-8c22-f7167c05a0dc" alt="Conjoncture éco" width="362" height="241" /><em>Après plusieurs années de récession et trois programmes du FMI depuis 2009, l’économie serbe connaît désormais une amélioration sensible de ses fondamentaux. La reprise est bien ancrée. Les mesures budgétaires engagées par le gouvernement Vučić en concertation avec le FMI ont porté leurs fruits sans handicaper la croissance, le solde public devrait être excédentaire en 2017 et la dette publique baisser de 6 points de PIB, grâce surtout à l’appréciation du Dinar face à l’EUR et à l’USD. Les autorités disposent désormais d’une marge de manœuvre restaurée pour lancer les investissements publics longtemps reportés. L’inflation reste sous contrôle, tandis que les prêts non performants continuent de se réduire. La soutenabilité de la dette publique n’est pas encore garantie. Le pays reste encore vulnérable à l’environnement monétaire international en raison de son endettement en devises.</em></p>8a685afe-c028-41f6-bbfc-6f78c4919952Situation économique et financière du Monténégro - Octobre 2017L’économie monténégrine est fortement dépendante de flux financiers externes : revenus du tourisme, remises de migrants et flux d’IDE. Le projet de construction de l’autoroute Bar-Boljare pèse fortement sur les finances publiques mais le plan de consolidation à moyen terme voté par le Parlement en juin 2017 devrait remettre les finances publiques sur une pente soutenable d’ici 2020. Des réformes structurelles sont encore nécessaires, notamment celle du marché du travail, pour améliorer la compétitivité externe du pays.2017-12-08T00:00:00+01:00<p><img style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" title="Conjoncture éco" src="/Articles/8a685afe-c028-41f6-bbfc-6f78c4919952/images/d582fcaf-ae9f-4316-878d-5b789a720c93" alt="Conjoncture éco" width="350" height="233" /></p>
<p style="text-align: justify;">L’économie monténégrine est fortement dépendante de flux financiers externes : revenus du tourisme, remises de migrants et flux d’IDE. Le projet de construction de l’autoroute Bar-Boljare pèse fortement sur les finances publiques mais le plan de consolidation à moyen terme voté par le Parlement en juin 2017 devrait remettre les finances publiques sur une pente soutenable d’ici 2020. Des réformes structurelles sont encore nécessaires, notamment celle du marché du travail, pour améliorer la compétitivité externe du pays.</p>82581b6e-e179-4c37-abd6-85c24aac4a1eSituation économique et financière de l'Albanie - Octobre 2017L’économie albanaise est actuellement engagée dans un processus de convergence économique vers l’Union européenne et a renoué avec la croissance malgré la persistance d’un déséquilibre du commerce extérieur et un chômage élevé. Les efforts de consolidation budgétaire ont permis de corriger la courbe de la trajectoire de la dette publique. Le secteur financier reste handicapé par un taux particulièrement élevé de créances douteuses. La poursuite des réformes structurelles est indispensable et la réforme de la justice doit être achevée.2017-12-08T00:00:00+01:00<p><img style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" title="Conjoncture éco" src="/Articles/82581b6e-e179-4c37-abd6-85c24aac4a1e/images/f9b5531a-34d9-4e52-bfd0-2399d8036d88" alt="Conjoncture éco" width="330" height="220" /></p>
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<p style="text-align: justify;">L’économie albanaise est actuellement engagée dans un processus de convergence économique vers l’Union européenne et a renoué avec la croissance malgré la persistance d’un déséquilibre du commerce extérieur et un chômage élevé. Les efforts de consolidation budgétaire ont permis de corriger la courbe de la trajectoire de la dette publique. Le secteur financier reste handicapé par un taux particulièrement élevé de créances douteuses. La poursuite des réformes structurelles est indispensable et la réforme de la justice doit être achevée.</p>
</div>678b0535-3107-470c-be56-8fa598645475Situation économique et financière de la Bosnie-HerzégovineUne croissance de 3,1% en 2015 et 2016 qui devrait fléchir en 2017 compte tenu du blocage politique ; un budget sous contrôle mais la dette publique ne prend pas en compte d’importants arriérés dus par les entités et des entreprises publiques ; un système bancaire en cours de restructuration ; un blocage quasi certain des réformes structurelles jusqu’aux prochaines élections d’octobre 2018.2017-12-04T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;"><img style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" title="Conjoncture économique" src="/Articles/678b0535-3107-470c-be56-8fa598645475/images/0d845787-ce19-4ae5-9a0a-0b4bfb8522ee" alt="Conjoncture économique" width="494" height="329" /></p>
<p style="text-align: justify;">Une croissance de 3,1% en 2015 et 2016 qui devrait fléchir en 2017 compte tenu du blocage politique<strong> </strong>; un budget sous contrôle mais la dette publique ne prend pas en compte d’importants arriérés dus par les entités et des entreprises publiques ; un système bancaire en cours de restructuration ; un blocage quasi certain des réformes structurelles jusqu’aux prochaines élections d’octobre 2018.</p>908d65d4-6397-4162-bd09-ab3b7b525569Situation économique et financière de la SerbieComparé à 2015, le pays se trouve dans un contexte macroéconomique bien plus favorable. La consommation, l’investissement et les exportations ont contribué positivement à la croissance du PIB en 2016. Les mesures budgétaires engagées en concertation avec le FMI pour réduire le déficit ont porté leurs fruits, permettant une inversion de la courbe du ratio de dette rapportée au PIB avec un an d’avance sur les prévisions. Toutefois, des risques continuent de peser sur la soutenabilité de la dette publique. L’Etat doit faire face à un engagement équivalent à 20 % de son PIB en 2017 au titre du refinancement de sa dette, qui représente 74 % du PIB. Par ailleurs, le pays reste vulnérable à l’environnement monétaire international en raison de son endettement en devises. 2017-11-30T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;" align="LEFT"><em><span style="font-size: 10pt;">Comparé à 2015, le pays se trouve dans un contexte macroéconomique bien plus favorable. La consommation, l’investissement et les exportations ont contribué positivement à la croissance du PIB en 2016. Les mesures budgétaires engagées en concertation avec le FMI pour réduire le déficit ont porté leurs fruits, permettant une inversion de la courbe du ratio de dette rapportée au PIB avec un an d’avance sur les prévisions. Toutefois, des risques continuent de peser sur la soutenabilité de la dette publique. L’Etat doit faire face à un engagement équivalent à 20 % de son PIB en 2017 au titre du refinancement de sa dette, qui représente 74 % du PIB. Par ailleurs, le pays reste vulnérable à l’environnement monétaire international en raison de son endettement en devises. </span></em></p>530e963e-29ce-4d07-81e5-597a1d87f2b7Koweït : présentation pays1/ Le contexte reste déterminant : tensions politiques régionales et nécessaire diversification de l’économie du Koweït fondée sur les exportations d’hydrocarbures.Depuis le 5 juin 2016, l’Arabie saoudite, le Bahreïn, les Emirats arabes unis et l’Egypte ont cessé toutes leurs relations diplomatiques avec le Qatar et lui imposent un blocus aérien, terrestre et maritime. Le Koweït maintient sa neutralité envers le Qatar et poursuit ses relations économiques et financières en dépit des prises de position des pays précédemment mentionnés. Dans ce cadre, sauf en cas de prolongation excessive des tensions, l’impact de la crise sur l’économie koweïtienne devrait rester limité.Alors que le baril de pétrole est remonté à plus de 60 $, la période d’abondance dont jouissaient les pays du Golfe et le Koweït en particulier, grâce aux importants revenus du pétrole, touche à sa fin. Pour autant, le Koweït bénéficie toujours, en profondeur, de dynamiques de consommation favorables. Les Emirats a2017-11-26T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;"><strong>1/ Le contexte reste déterminant : tensions politiques régionales et nécessaire diversification de l’économie du Koweït fondée sur les exportations d’hydrocarbures.</strong></p>
<p style="text-align: justify;">Depuis le 5 juin 2016, l’Arabie saoudite, le Bahreïn, les Emirats arabes unis et l’Egypte ont cessé toutes leurs relations diplomatiques avec le Qatar et lui imposent un blocus aérien, terrestre et maritime. Le Koweït maintient sa neutralité envers le Qatar et poursuit ses relations économiques et financières en dépit des prises de position des pays précédemment mentionnés. Dans ce cadre, sauf en cas de prolongation excessive des tensions, l’impact de la crise sur l’économie koweïtienne devrait rester limité.</p>
<p style="text-align: justify;">Alors que le baril de pétrole est remonté à plus de 60 $, la période d’abondance dont jouissaient les pays du Golfe et le Koweït en particulier, grâce aux importants revenus du pétrole, touche à sa fin. Pour autant, le Koweït bénéficie toujours, en profondeur, de dynamiques de consommation favorables. Les Emirats arabes unis arrivent en tête des pays du Moyen-Orient avec 72 100 particuliers fortunés, suivi de l’Arabie saoudite (59 000) puis du Qatar et du Koweït.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>2/ La situation politique intérieure est marquée par des crises successives opposant le pouvoir exécutif au pouvoir législatif.</strong></p>
<p style="text-align: justify;">L'Emir peut promulguer des lois, renvoyer des projets de loi devant le Parlement afin qu'ils soient reconsidérés et nommer les officiers des armées. L'Emir nomme le Premier ministre, qui est aussi le chef du gouvernement, pour une durée indéterminée.</p>
<p style="text-align: justify;">Le pouvoir législatif au Koweït est monocaméral : le Parlement (Assemblée Nationale) compte 50 membres élus au suffrage universel pour quatre ans. Les dernières élections législatives ont permis à l’opposition de remporter 24 sièges sur 50.</p>
<p style="text-align: justify;">Début novembre 2017, le gouvernement a présenté sa démission mais le Parlement est resté inchangé. Le nouveau gouvernement, avec à sa tête le Premier ministre reconduit Cheikh Jaber, devrait être recomposé en décembre 2017 avec un remaniement de deux à trois ministres.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>3/ </strong><strong>La situation financière du Koweït reste l’une des plus solides de la région grâce à des fondamentaux de qualité.</strong></p>
<p style="text-align: justify;">Le Koweït est un pays riche et une économie rentière dont 90% des recettes budgétaires proviennent des exportations d’hydrocarbures. Avec 101,5 milliards de barils de pétrole de réserve (soit 6,8% du total mondial), l'ensemble de l'économie du pays est fondée sur l'exploitation du pétrole. Le Koweït a d'ailleurs prévu d'investir plus de 87 MdUSD dans le secteur d'ici 2030 (notamment pour la création d'une nouvelle raffinerie intégrée à Az Zour, dans le sud du pays). D’importantes réserves de gaz naturel non associé ont également été découvertes dans le nord du pays. Leur exploitation, qui doit commencer à brève échéance, est destinée à couvrir les besoins de consommation locaux (production d’électricité, désalinisation d’eau de mer).</p>
<p style="text-align: justify;">Les autorités koweïtiennes souhaitent amorcer la diversification de l’économie nationale face à la chute des cours du baril de pétrole et à la forte hausse démographique de ces dernières années. Les citoyens koweïtiens, estimés à 1,3 millions de personnes, bénéficient d'un revenu par tête élevé (26 000$ en 2016) et d’un Etat-providence particulièrement généreux : accès à un emploi public garanti par la Constitution, maintien des tarifs publics et des produits de première nécessité à des niveaux très bas, fortes aides à l'accession à la propriété, couverture santé.</p>
<p style="text-align: justify;">Dans l’hypothèse où les cours mondiaux du pétrole brut se maintenaient aux environs de 50/55 USD le baril, le déficit prévisionnel pour l’année fiscale 2017/2018 s’établirait à 18 % du PIB pour atteindre 22,25 MdEUR (après transfert au Fonds de réserve des générations futures) en raison de l’augmentation des dépenses publiques de 5,3 %. Pour autant, le financement du déficit public devrait être aisément réalisé par la sollicitation d’emprunts sur les marchés de capitaux internationaux et locaux (succès en mars dernier) et par le recours au Fonds de Réserve Générale.</p>
<p style="text-align: justify;">Le taux de croissance économique en volume s’annonce négatif après avoir atteint 2,2%<a title="" href="#_ftn1"><sup><span style="text-decoration: underline;">[1]</span></sup></a> en 2016 grâce à l’augmentation des recettes pétrolières suivant deux années de déclin. La croissance réelle estimée pourrait, malgré l’accélération de la croissance « hors hydrocarbures » prévue à partir de 2017, se situer à -2,5% en 2017 car la production pétrolière serait ramenée à 2,87 Mb/j et celle de gaz à 0,26 Mb/j, en dépit de la hausse des cours mondiaux du pétrole brut (environ 60 USD/baril fin octobre 2017). Le taux annuel d’inflation pour 2017 devrait être de 1,5%, contre 3,5% enregistré en 2016, grâce aux tendances déflationnistes marquées dans l’immobilier et l’alimentation.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>4/ Les échanges commerciaux demeurent dynamiques et la marge de progression avec la France reste importante.</strong></p>
<p style="text-align: justify;">Le pétrole et les produits miniers représentent l'essentiel des exportations, le reste des exportations étant constitué de réexportations, notamment de machines et d'équipements de transport. Les principaux clients du Koweït sont les pays asiatiques (la Corée du Sud, l’Inde, le Japon, la Chine) ainsi que les Etats-Unis.</p>
<p style="text-align: justify;">Les principaux fournisseurs du Koweït sont la Chine, les Etats-Unis, les Emirats arabes unis et le Japon. Les produits importés sont essentiellement des véhicules automobiles, des produits agricoles et agroalimentaires ainsi que des produits de l'industrie mécanique, électrique et électronique.</p>
<p style="text-align: justify;">Sur le plan bilatéral, la présence française au Koweït demeure en-dessous des opportunités de marché avec une part de marché d’environ 1,5% en 2016. Sur les neuf premiers mois de l’année 2017, la France a exporté 301,8 MEUR de biens, contre 261 MEUR sur la même période en 2016, soit une hausse de 15,6%. Les principaux biens exportés sont les articles textiles, les produits chimiques, parfums et cosmétiques, les machines industrielles et agricoles et les produits agro-alimentaires. Sur les neuf premiers mois de l’année 2017, la France a importé 191,3 MEUR de produits, principalement des hydrocarbures, contre 300,3 MEUR sur la même période en 2016, soit une baisse de 36,3%. Le solde de la balance commerciale s’est donc nettement amélioré, passant d’un déficit de 39,2 MEUR sur les neuf premiers mois de 2016 à un excédent de 110,4 MEUR sur les neuf premiers mois de 2017.</p>
<p style="text-align: justify;">Enfin, pour ce qui concerne l’environnement des affaires, la Banque Mondiale classe le Koweït au 96<sup>ème</sup> rang sur 190, contre 102 en 2017, dans son rapport « Doing Business 2018 ». Cette amélioration est due aux réformes récemment mises en œuvre pour la création d’entreprise : mise en place d’un guichet unique à la Kuwait Direct Investment Promotion Authority, réduction du nombre (de 12 à 9), de la durée (de 61 jours à 38) et du coût des procédures (de 2,8% des revenus par habitant à 1,7%) d’enregistrement, amélioration de la transparence dans le processus d’attribution de terrains à vocation commerciale, facilitation des démarches administratives via Internet. En revanche, l’indice de mesure de la corruption, établi par Transparency International, s’est dégradé en 2016 avec le 75<sup>ème</sup> rang sur 176, contre le 55<sup>ème</sup> sur 168 en 2015.</p>
<hr align="left" size="1" width="33%" />
<p> </p>
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<p style="text-align: justify;"><a title="" href="#_ftnref1"><span style="text-decoration: underline;">[1]</span></a> Le Bureau Central des Statistiques au Koweït estime la croissance réelle à 3,5%.</p>
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