Trésor-Info - Publications de la direction générale du Trésor - produits-laitiersFlux de publication de la direction générale du Trésor - produits-laitiersFluxArticlesTag-produits-laitiersCopyright 20242023-02-20T00:00:00+01:00/favicon.pngDirection générale du Trésorhttps://localhost/sitepublic/contact@dgtresor.gouv.fr7e5bcfdb-523b-47e5-a113-9d3717b5caddBel signe avec Baladna un accord de fabrication pour la production de produits laitiersLundi 16 février 2023, Bel et le groupe qatarien Baladna ont signé un accord pour la production de produits laitiers du groupe français au Qatar. 2023-02-20T00:00:00+01:00<p><img class="marge" title="BALADNA" src="/Articles/7e5bcfdb-523b-47e5-a113-9d3717b5cadd/images/2957d2d5-d6c4-460f-844f-a9dd60f07606" alt="BEL" /></p>
<p style="text-align: justify;">L'accord, effectif immédiatement, a été signé ce lundi 16 février par le PDG de Baladna, Michael Jordan, et le PDG Proche et Moyen-Orient du groupe Bel, Garo Matossian. Il s'agit d'un accord de fabrication de divers produits Bel par Baladna, qui débutera dès 2023 par la production de fromage en pot La vache qui rit®.</p>
<p style="text-align: justify;">Lors de la cérémonie de signature, le PDG de Baladna a souligné que cet accord permettra "d'élargir l'offre de produits laitiers" au Qatar, notamment en rendant les "marques internationales plus accessibles sur le marché qatarien".</p>
<p style="text-align: justify;">Baladna est le leader national des produits laitiers au Qatar. Créée en 2017, à la suite du blocus imposé au Qatar par les pays du Quartet, elle dispose pour cela d’une ferme de 2,6 millions de mètres carrés, abritant quelque 24 000 vaches. La compagnie exporte également ses produits dans la région, au Yemen, en Afghanistan, en Iraq et à Oman.</p>
<p style="text-align: justify;">Le groupe français Bel est un des leaders mondiaux du secteur des fromages de grande distribution. Son portefeuille de produits différenciés, distribués dans près de 120 pays, lui ont permis de réaliser en 2021 un chiffre d’affaires globale de 3,38 milliards d’euros.</p>ca8e315c-89c8-4aa3-8ad2-bc8b1e7ad8d3Nette réduction du déficit commercial français vis-à-vis du Japon en 2019Réduction de 1Mds€ du déficit commercial bilatéral (qui atteint -2,6 Mds€, le plus bas niveau sur les 4 dernières années) mais porté par le doublement des exportations aéronautiques, qui représentent désormais près d’un quart des exportations françaises vers le Japon en 2019. Résultats encourageants pour le secteur agroalimentaire français (exportations +7%) qui profite de l’entrée en vigueur de l’accord de partenariat économique (APE) entre le Japon et l’union Européenne. 2020-03-18T00:00:00+01:00<p style="text-align: center;"> </p>
<p style="text-align: center;"> <img class="marge" title="ANA" src="/Articles/ca8e315c-89c8-4aa3-8ad2-bc8b1e7ad8d3/images/afcd177d-869e-4f79-9f1d-178a77b8221c" alt="ANA" width="479" height="269" /></p>
<div class="focus">
<p style="text-align: justify;">En 2019, le déficit commercial bilatéral entre la France et le Japon s'est réduit de 1 Mds€ (atteignant -2,6 Mds€, le plus bas niveau sur les 4 dernières années) mais porté essentiellement par le doublement exportations aéronautiques, qui représentent désormais près d’un quart des exportations françaises vers le Japon. Les résultats sont encourageants pour le secteur agroalimentaire français (exportations en hausse de 7%) qui profite de l’entrée en vigueur de l’accord de partenariat économique (APE) entre le Japon et l’union Européenne.</p>
</div>
<p style="text-align: justify;">Le <strong>contexte international a été particulièrement tendu</strong> en 2019 : le commerce mondial devrait croître de 1% en 2019, en nette décélération au regard d’une croissance de 3,6% en 2018 et près de 5% en 2017. En dépit du contexte mondial morose, <strong>les échanges extérieurs français ont fait preuve de dynamisme</strong> en 2019 et le solde commercial français s’est amélioré, après 3 années de détérioration. Les exportations françaises ont progressé de 3,3% et le déficit commercial sur les biens s’est réduit de près de 4 Mds€ à -59 Mds€. En volume, <strong>la part de marché de la France dans le monde est restée stable à 3,5%</strong>. À titre de comparaison, la part de marché du Japon est de 3,7% et celle de la Chine de 11,8% (1<sup>er</sup> exportateur mondial devant l’Allemagne).</p>
<h5 style="text-align: justify;">1. L’excellente performance de nos exportations vers le Japon (7,7 Mds€, en hausse de 17%) est tirée par les livraisons aéronautiques.</h5>
<p style="text-align: justify;">Les <strong>exportations françaises vers le Japon ont progressé de 17% en 2019 à 7,7 Mds€, </strong>après une hausse de +2,5% en 2018. Hors aéronautique, les exportations françaises vers le Japon ont néanmoins accusé une très légère baisse à -0,9%.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>* </strong>Grâce aux livraisons d’avions de la marque Airbus, les exportations de <strong>matériels de transport</strong> ont doublé en 2019 à 2,2 Mds€. Le secteur des <strong>matériels de transport</strong> devance désormais le secteur agroalimentaire et devient le 1<sup>er</sup> poste d’export au Japon avec <strong>28% du total exporté</strong>, dont <strong>24% pour les seuls aéronefs</strong>. Des contrats majeurs ont en effet été signés avec plusieurs compagnies aériennes japonaises entre 2013 et 2016 pour près de 80 appareils. Sur 2019, 19 avions Airbus ont été livrés dont 11 avions A320, 1 avion A321, 5 avions A350 et 2 avions A380. </p>
<p style="text-align: justify;"><strong>* </strong>Le <strong>secteur de l’agroalimentaire</strong> (16% du total exporté, 2<sup>ème</sup> poste à l’export en 2019) a également tiré son épingle du jeu en 2019, affichant une performance de +7% (à 1,27 Mds€), en lien avec l’entrée en vigueur au 1<sup>er</sup> février 2019 de l’APE UE-Japon et la promotion des produits européens qui a accompagné toute la phase de négociation. Les exportations de vins (+12%) ont pleinement bénéficié de la suppression totale des droits de douane, les exportations de produits laitiers et fromages ont également progressé de 7,5%, malgré certaines difficultés relatives aux règles d’origine et à l’accès aux contingents tarifaires mais une amélioration est attendue sur l’année 2020.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>* </strong>Le secteur des <strong>produits textiles, habillement, cuir et chaussures</strong> enregistre également une excellente performance (+15%) et représente 9% des exportations françaises au Japon. Les produits de luxe semblent avoir bénéficié de la bonne tenue de la consommation des ménages japonais et de l’afflux de touristes sur les trois premiers trimestres 2019.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>* Plusieurs secteurs affichent en revanche des replis</strong> : -10% pour les exportations françaises de machines industrielles et agricoles, - 5% pour les produits manufacturiers, - 5% sur les produits métallurgiques. Le secteur des <strong>produits pharmaceutiques, </strong>qui pèse 11% des exportations françaises au Japon, confirme sa baisse, avec un repli de 13% en 2019 (après -7% en 2018). Au-delà de la tendance baissière des prix des médicaments (désormais très règlementés au Japon dans un contexte d’encadrement du déficit des caisses d’assurance maladie), certaines entreprises du secteur affirment s'approvisionner auprès de leurs usines locales d'autres pays. Dès lors, le repli des exportations françaises de produits pharmaceutiques ne traduirait pas encore nécessairement une perte de part de marché des sociétés françaises.</p>
<h5 style="text-align: justify;">2. Les importations françaises ont connu une hausse modérée à 10,3 Mds€ (+2%)</h5>
<p style="text-align: justify;">Les importations françaises de produits japonais ont augmenté de +2% en 2019, après une hausse de 1% en 2018. L’appréciation du yen en 2019 (+6% en moyenne contre euro) a certainement participé à la hausse en valeur des importations françaises. La structure sectorielle des importations françaises est restée inchangée avec une part majeure d’importations de <strong>biens d’équipement</strong> et biens <strong>intermédiaires</strong> :</p>
<p style="text-align: justify;">* Les importations françaises de <strong>matériels de transport</strong> ont progressé de 4% et représentent 32% des importations françaises (dont 14% pour les véhicules automobiles, 4% pour les motocycles et 10% pour les accessoires et pièces détachées). <strong>Les matériels de transport restent le 1<sup>er</sup> poste à l’import et le 1<sup>er</sup> déficit commercial de la France vis-à-vis du Japon</strong> : le déficit commercial sur les véhicules automobiles/motocycles et accessoires atteint 2,6 Mds€.</p>
<p style="text-align: justify;">* Les importations françaises de <strong>machines industrielles et agricoles</strong> se sont contractées de 2% et représentent le 2<sup>ème</sup> poste à l’import (23% du total).</p>
<p style="text-align: justify;">* Enfin, bien que représentant une part infime des importations, notons que les importations de <strong>produits alimentaires japonais) </strong>1% du total importé) ont crû de 8% en 2019, profitant vraisemblablement de la communication autour de l’APE UE/Japon et traduisant l’attrait des consommateurs français pour l’art culinaire nippon (et notamment le saké/nihonshu).</p>
<h5 style="text-align: justify;">3. Le déficit commercial de la France avec le Japon atteint -2,6 Mds€ en 2019 vs -3,4 Mds€ en 2018</h5>
<p style="text-align: justify;"><strong>Le déficit commercial de la France avec le Japon a été réduit de près de 1 Md€ sur 2019. </strong>Il s’agit du plus faible déficit commercial bilatéral observé en 4 ans. Le déficit français vis-à-vis du Japon reste néanmoins <strong>structurel</strong> sur les 14 dernières années. Le solde commercial français est significativement bénéficiaire sur 3 segments seulement : l’agroalimentaire, les pharmaceutiques, et les produits du textile, habillement, chaussures. Selon les douanes françaises, le Japon est le <strong>12<sup>ème</sup> client de la France</strong> (stable par rapport à 2018), son <strong>12<sup>ème</sup> fournisseur</strong> (-1 place) et son <strong>2<sup>ème</sup> partenaire commercial asiatique</strong> après la Chine.</p>
<p style="text-align: justify;">Les statistiques du <strong>déficit bilatéral font toutefois l’objet d’un débat, ancien, avec le Japon. </strong>Les douanes françaises communiquent sur un déficit bilatéral de 2,6 Mds€ tandis que le Japon communique lui-même sur un déficit de 569 MdsY envers la France (-4,7 Mds€). 2 principaux facteurs expliquent cet écart : 1) la mesure des flux réalisée au moment des départs/arrivées (une exportation française d'un bien sera comptabilité en fonction du prix de vente du bien tandis que l'importation du bien au Japon sera comptabilisée en prix de vente + fret + assurance, et vice versa pour un bien exporté par le Japon 2) l’importance probable du transit des exportations de marchandises japonaises, via notamment les ports de Rotterdam et Anvers, qui masquent une partie des flux bilatéraux.</p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p style="text-align: center;"><strong>Annexe </strong>(voir pièce-jointe pour la totalité des annexes)</p>
<table style="width: 916px;">
<tbody>
<tr>
<td style="width: 447px;"><strong>Solde commercial France - Japon</strong><img class="marge" title="Evolution" src="/Articles/ca8e315c-89c8-4aa3-8ad2-bc8b1e7ad8d3/images/e48640cd-bb51-42e7-bf46-6cba07a9857a" alt="Evolution" /></td>
<td style="width: 467px;"><strong>Solde commercial global de la France</strong><img class="marge" title="Evolution" src="/Articles/ca8e315c-89c8-4aa3-8ad2-bc8b1e7ad8d3/images/844cdf37-7e39-49fd-9cf6-0138733ed78b" alt="Evolution" /></td>
</tr>
</tbody>
</table>
<table style="width: 916px;">
<tbody>
<tr>
<td style="width: 447px;"><strong>Structure des exportations françaises vers le Japon</strong><img class="marge" title="Structure" src="/Articles/ca8e315c-89c8-4aa3-8ad2-bc8b1e7ad8d3/images/6ac46899-dde3-4091-bd74-aa5471381ea5" alt="Structure" width="416" height="256" /> </td>
<td style="width: 467px;"><strong>Structure des importations françaises du Japon</strong><img class="marge" title="Structure" src="/Articles/ca8e315c-89c8-4aa3-8ad2-bc8b1e7ad8d3/images/36a875bb-2909-4f72-95fe-1e99cd20122d" alt="Structure" width="413" height="247" /></td>
</tr>
</tbody>
</table>
<div class="focus">
<p>Les informations présentées dans ce point d'actualité sont identifiées par le <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Ressources/pays/japon"><span style="color: #15c7d2;">SER de Tokyo</span></a>. Elles n'ont aucune vocation d'exhaustivité. L'illustration de l'article est une image du journal <a href="https://asia.nikkei.com/Business/Transportation/Japan-s-ANA-takes-risk-with-superjumbo-A380-on-Hawaiian-flights">Asian Nikkei Review/Reuters</a>.</p>
<p><span style="color: #15c7d2;"><a href="https://twitter.com/FRTreasuryJAPAN">Vous pouvez aussi vous abonner à la lettre bimensuelle d'actualités économiques Japon Corée et suivre le SER de Tokyo sur Twitter</a>.<br /></span></p>
</div>
<div class="ephox-sloth-bin ephox-sloth-bin_5296491211578909986394" style="left: -100000px; top: 0px; width: 100px; height: 100px; overflow: hidden; position: fixed; opacity: 0;" contenteditable="true">https://www.tresor.economie.gouv.fr/Pays/JP</div>ba0dc99a-c8f0-4cf8-a017-303b2031c3c9Actualités économiques d'Afrique de l'Ouest anglophone semaine 7 du 10 au 16 février 2020Publication du Service économique régional d’Abuja, réalisée avec les contributions des SE de Lagos et d’Accra.2020-02-14T00:00:00+01:00<blockquote>
<p>Faits saillants</p>
</blockquote>
<p>- <strong>Nigéria</strong> : Hausse des échanges commerciaux bilatéraux avec la France en 2019 ; baisse des recettes fiscales en 2019 suite à la mauvaise performance des revenus pétroliers ; la Banque centrale limite à 6 le nombre d’entreprises ayant accès au marché des changes pour l’importation de produits laitiers ; le Nigéria représenterait le plus grand potentiel en énergie solaire de la région, selon Bloomberg ;</p>
<p>- <strong>Ghana</strong> : Le Vice–Président défend le bilan du gouvernement en vue des élections de fin d’année ; hausse de 18,3% du crédit au secteur privé.</p>1c87a493-a7f2-4112-9c62-784d19030866Filière élevage - produits laitiersRelance de la filière laitière par un programme de la Banque Mondiale2019-12-15T00:00:00+01:00<p>La filière laitière connait depuis une dizaine d’années une <strong>croissance soutenue</strong>. La production a été multipliée par 4,3 en seulement dix ans pour atteindre 9,9 millions de tonnes de lait sur l’année fiscale 2018-19. Cette augmentation résulte davantage d’une augmentation du cheptel que d’une hausse de la productivité. La production reste néanmoins très inférieure à la demande, estimée par le <em>Department of Livestocks Services</em> à 15,2 millions de tonnes. Toutefois, il est important de noter que les fermiers bangladais produisent majoritairement du lait de chèvre, presque exclusivement pour l’autoconsommation. Ainsi, d’après un rapport FAO/UNIDO, celui représentait 54,2% de la production en 2017-18 contre 42,4% pour le lait de vache (soit près de 4 millions de tonnes sur l’année fiscale).</p>
<p>Selon le <em>National Dairy Development Forum</em> (NDDF), le nombre d’exploitations laitières s’élève aujourd’hui à 1,2 M (formelles et informelles) contre 200.000 il y a quelques années. Elles font vivre 9,4 M de personnes..</p>
<p>L’industrie laitière souffre en effet principalement d’un <strong>très mauvais rendement des animaux</strong>. Les exploitations laitières sont de petites tailles et les bovins bénéficient rarement d’une alimentation adaptée. 70% des producteurs laitiers sont des petits exploitants. Ces unités de production comprennent généralement une à trois vaches laitières de races locales produisant moins de 500 kg par vache et par an (contre plus de 2 000kg dans des pays comme le Vietnam). Selon une étude de la FAO, une meilleure alimentation des vaches laitières <strong>permettrait de multiplier par six</strong> la production laitière par tête. La filière locale a été pendant de longues années concurrencée par le lait importé qui profite de faibles droits de douane et de subventions de la part des pays producteurs, accusés de dumping par les fermiers locaux. Vendu au même prix que le lait produit localement, le lait d’origine étrangère bénéficie d’une meilleure image auprès des consommateurs. En 2018, le Bangladesh a importé 138 000 tonnes de lait et crème pour une valeur de 26,24 Mds Tk (280 M€), principalement sous forme de lait en poudre</p>
<p>Un projet Banque Mondiale d’une enveloppe de 500 M$ visant à améliorer la productivité a été signé en décembre 2018 et permettra d’engager les réformes nécessaires.</p>
<p>(13/12/2019)</p>
<p><a href="http://projects.worldbank.org/P161246?lang=en">http://projects.worldbank.org/P161246?lang=en</a></p>
<p>Le projet se décompose en 4 composantes :</p>
<ul>
<li>Composante A : Amélioration de la productivité en aidant la formation de regroupements d’éleveurs ainsi qu’en agissant sur les intrants (alimentation, hybridation, vaccins)</li>
<li>Composante B : Développement de la chaîne de valeur en améliorant le lien entre producteurs et acheteurs et en communiquant auprès des consommateurs sur l’importance du bien-manger</li>
<li>Composante C : Renforcement de la gestion des risques, notamment climatiques notamment via l’appui à l’introduction d’une assurance sur le bétail</li>
<li>Composante D : Renforcement des capacités pour le Department of Livestock Services</li>
</ul>
<p><a href="http://today.thefinancialexpress.com.bd/public/editorial/self-sufficiency-in-livestock-1564923005">http://today.thefinancialexpress.com.bd/public/editorial/self-sufficiency-in-livestock-1564923005</a></p>
<p align="left">Self-sufficiency in livestock August 05, 2019</p>
<p> <a href="http://today.thefinancialexpress.com.bd/public/editorial/cattle-farms-make-miracle-happen-1564666518">http://today.thefinancialexpress.com.bd/public/editorial/cattle-farms-make-miracle-happen-1564666518</a></p>
<p>Nilratan Halder | August 02, 2019 Cattle farms make miracle happen</p>
<p><a href="https://www.thedailystar.net/frontpage/news/cattle-antibiotics-entering-food-chain-1806331">https://www.thedailystar.net/frontpage/news/cattle-antibiotics-entering-food-chain-1806331</a></p>
<p>September 28, 2019 Cattle antibiotics entering food chain</p>
<p><a href="https://www.dhakatribune.com/bangladesh/development/2018/01/03/national-dairy-development-forum-established">https://www.dhakatribune.com/bangladesh/development/2018/01/03/national-dairy-development-forum-established</a></p>
<p><a href="https://www.thedailystar.net/frontpage/lab-tests-milk-everything-same-only-results-vary-1795705">https://www.thedailystar.net/frontpage/lab-tests-milk-everything-same-only-results-vary-1795705</a></p>
<p> September 05, 2019 <strong>Lab Tests on Milk: Everything same, only results vary; <em>Wide gaps in findings raise questions about credibility; experts blame machines, methods, men behind the machines and reagents </em></strong></p>
<p><a href="https://www.thedailystar.net/backpage/news/test-pasteurised-milk-four-labs-1771486">https://www.thedailystar.net/backpage/news/test-pasteurised-milk-four-labs-1771486</a></p>
<p>July 15, 2019 <strong>Test pasteurised milk at four labs <em>HC tells BSTI as test reports stir controversy</em></strong></p>7a97ad75-522f-4344-b404-a09d3092e18eEnjeux et opportunités pour les produits laitiers français dans le cadre de l'APE UE-JaponL'Accord de Partenariat Economique entre l'UE et le Japon (APE UE-Japon) représente de belles opportunités pour les produits laitiers français dont la consommation par les Japonais est en constante progression.Vous trouverez ci-joint une note faisant le bilan des exportations françaises de produits laitiers au Japon et détaillant les enjeux ainsi que les opportunités de l'APE UE-Japon.2019-04-09T00:00:00+02:00<p><img class="sans-marge" src="/Articles/7a97ad75-522f-4344-b404-a09d3092e18e/images/a029e0fb-1735-41f4-a4f4-3b6877c2f754" alt="Fromages" /></p>
<p style="text-align: justify;">L'Accord de Partenariat Economique entre l'UE et le Japon (APE UE-Japon) représente de belles opportunités pour les produits laitiers français dont la consommation par les Japonais est en constante progression.</p>
<p style="text-align: justify;">Vous trouverez ci-joint une note faisant le bilan des exportations françaises de produits laitiers au Japon et détaillant les enjeux ainsi que les opportunités de l'APE UE-Japon.</p>539343bb-c78c-4b3c-b1f5-595f9a92bfe7Les enjeux d’accès au marché pour les produits laitiers en IndonésieLa consommation de produits laitiers en Indonésie continue à croître plus vite que la production locale. Selon le dernier rapport du Ministère de l’Agriculture sur le secteur, publié en avril 2018, la consommation s’élève à 14,3 kg par habitant par an (soit 3,8 millions de tonnes par an) en 2015 contre 9,3 dix ans plus tôt, soit un taux de croissance de 5% en moyenne par an. Le taux de croissance de la production de lait n’atteint que 2% en moyenne par an. Consommation de produits laitiers par habitants (Ministère de l’Agriculture indonésien, 2018)La production nationale ne couvre plus que 19 % des besoins locaux. Les 81% restants proviennent de l'importation sous forme majoritairement de poudre de lait écrémé. Si l’Indonésie a toujours été dépendante de l’étranger pour répondre à ses besoins en lait, le déficit laitier s’est fortement accentué au cours des 20 dernières années poussé par l’émergence d’une classe moyenne dont les besoins alimentaires se diversifient.Afin de so2018-06-19T00:00:00+02:00<p style="text-align: justify;"><strong>La consommation de produits laitiers en Indonésie continue à croître plus vite que la production locale</strong>. Selon le dernier rapport du Ministère de l’Agriculture sur le secteur, publié en avril 2018, la consommation s’élève à 14,3 kg par habitant par an (soit 3,8 millions de tonnes par an) en 2015 contre 9,3 dix ans plus tôt, soit un taux de croissance de 5% en moyenne par an. Le taux de croissance de la production de lait n’atteint que 2% en moyenne par an.</p>
<p align="center"><img class="marge" title="consommation produits laitiers" src="/Articles/539343bb-c78c-4b3c-b1f5-595f9a92bfe7/images/7802b02a-5e2a-435d-8e87-fc8e05471453" alt="conso dairy" /></p>
<p style="text-align: center;"> <em>Consommation de produits laitiers par habitants (Ministère de l’Agriculture indonésien, 2018)</em></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>La production nationale ne couvre plus que 19 % des besoins locaux.</strong> Les 81% restants proviennent de l'importation sous forme majoritairement de poudre de lait écrémé. Si l’Indonésie a toujours été dépendante de l’étranger pour répondre à ses besoins en lait, le déficit laitier s’est fortement accentué au cours des 20 dernières années poussé par l’émergence d’une classe moyenne dont les besoins alimentaires se diversifient.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Afin de soutenir la production indonésienne, le ministère de l'Agriculture impose depuis juillet 2017 à tous les fabricants de produits laitiers de s’approvisionner en priorité localement (règlement gouvernemental no. 26/2017).</strong> Les industries de transformation et les importateurs doivent établir des partenariats – validés annuellement par le ministère de l’Agriculture – avec les producteurs locaux pour obtenir un permis d'importation. Ces partenariats doivent couvrir entre autre les prix, la répartition des bénéfices et offrir des garanties de commercialisation.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Cette mesure s’ajoute au contrôle sanitaire strict qu’impose l’Indonésie aux producteurs étrangers depuis les lois sur l’élevage et la santé animale de 2009 et 2014</strong> (lois no. 18/2009 et 41/2014, couvrant aussi la certification halal). Toutes les sociétés exportatrices doivent être pré-listées auprès du ministère de l’Agriculture indonésien dans le cadre d’un accord bilatéral entre l’Indonésie et le pays où leurs unités de production sont installées. Les autorités sanitaires françaises ont fait enregistrer 56 établissements en 2015, soit le deuxième contingent après celui pré-listé par les Etats-Unis.</p>
<p style="text-align: justify;">Ces mesures sont en ligne avec les objectifs traditionnels de la politique agricole indonésienne prônant à la fois l’autosuffisance alimentaire pour les denrées de base et la lutte contre la pauvreté en milieu rural. L’agriculture demeure le principal secteur d’emploi des actifs indonésiens (32 % de la population active) et contribue à hauteur de 14 % au PIB du pays.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>La France est le quatrième fournisseur de lait de l’Indonésie derrière la Nouvelle-Zélande (33 % de part de marché), l’Australie (13,5 %) et les Etats-Unis (12,4 %).</strong> En 2017, elle a exporté 107 M USD de lait (soit une part de marché de 11,5 %), 2,9 fois plus qu’il y a 10 ans.</p>
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