Trésor-Info - Publications de la direction générale du Trésor - french-techFlux de publication de la direction générale du Trésor - french-techFluxArticlesTag-french-techCopyright 20242024-03-13T00:00:00+01:00/favicon.pngDirection générale du Trésorhttps://localhost/sitepublic/contact@dgtresor.gouv.fr4dfadeee-e3f6-4210-a9ee-1fe41ceb1561Le financement des startups à Singapour en 2023La France et Singapour présentent des disparités dans le financement de leurs écosystèmes de startups – dans les secteurs soutenus, l'origine des investissements ou la nature des tours de financement –, mais ces dernières années ont donné lieu à une interconnexion croissante des deux écosystèmes. 2024-03-13T00:00:00+01:00<p style="text-align: center;"> </p>
<div class="focus">
<p style="text-align: justify;">La France et Singapour présentent des disparités dans le financement de leurs écosystèmes de startups – dans les secteurs soutenus, l'origine des investissements ou la nature des tours de financement –, mais ces dernières années ont donné lieu à une interconnexion croissante des deux écosystèmes. Depuis cinq ans, les fonds singapouriens ont joué un rôle actif dans 71 tours de financement de startups françaises, illustrant un intérêt grandissant pour les DeepTech notamment. En retour, les investisseurs européens ont montré un intérêt accru pour les startups de la Cité-Etat avec une augmentation de 16% de leurs financements dans celles-ci entre 2022 et 2023.</p>
</div>
<blockquote>
<h4 style="text-align: justify;">Deux écosystèmes uniques de startups qui se démarquent dans leur région</h4>
</blockquote>
<p style="text-align: justify;"><strong>Hub financier, logistique, commercial mais aussi d’innovation, Singapour se distingue en Asie par son écosystème dynamique de startups, comptant 6 400 entreprises innovantes, soit plus de la moitié des startups en Asie du Sud-Est</strong><a title="" href="#_ftn1" name="_ftnref1">[1]</a>. Parmi celles-ci, 16 sont des licornes valorisées à plus d’1 Md USD<a title="" href="#_ftn2" name="_ftnref2">[2]</a>, dont 8 FinTech. Les startups singapouriennes emploient actuellement 180 000 personnes sur le territoire, ce qui correspond à près de 5% de la population active dans le pays<a title="" href="#_ftn3" name="_ftnref3">[3]</a>. <strong>Rapporté à la population, Singapour est le pays qui compte le plus de startups par habitant, 1 pour 900 habitants</strong>, devant Israël (1 pour 1 100) et la France (1 pour 3 200).</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>En tête parmi les pays de l’Union européenne (UE), la France compte près de 21 000 startups</strong><strong>, </strong><strong>dont 29 licornes, qui emploient actuellement 380 000 individus, soit 1,3% de la population active<a title="" href="#_ftn4" name="_ftnref4">[4]</a></strong>. La part de FinTech parmi les licornes françaises est inférieure à celle des licornes singapouriennes, s’établissant respectivement à 34% et 50%<a title="" href="#_ftn5" name="_ftnref5">[5]</a>, ce qui s’explique en grande partie par la place prépondérante du secteur financier dans l’économie de Singapour (13% du PIB, 200 000 emplois). <strong>La part de licornes au sein des startups singapouriennes est presque deux fois plus élevée qu'en France</strong>, avec une licorne pour 400 startups à Singapour, contre 1 pour 720 en France.</p>
<h5 style="text-align: justify;"><strong><em>Des disparités marquent le paysage financier des startups entre la France et Singapour </em> </strong></h5>
<p style="text-align: justify;"><strong>En 2023, les levées de fonds à Singapour<a title="" href="#_ftn6" name="_ftnref6">[6]</a> ont représenté 5,7 Mds USD (-26%)<a title="" href="#_ftn7" name="_ftnref7">[7]</a>, soit les deux tiers des investissements dans les startups en Asie du Sud-Est l’an dernier, mais nettement moins qu’en France où les startups ont levé 9 Mds USD (-43% par rapport à 2022), montant le plus élevé dans l’UE.</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>La France a enregistré un nombre records d’</strong><strong>«</strong><strong> </strong><strong>exits</strong><strong> </strong><strong>»</strong><strong> en 2023 avec 796 opérations pour un montant total de 20,3 Mds USD</strong><strong> </strong><strong>; contre 109 opérations pour les entreprises singapouriennes (un record également pour la Cité-Etat) pour un montant de 4.9 Mds USD</strong><a title="" href="#_ftn8" name="_ftnref8">[8]</a>. Pour celles financées par du capital-risque (« VC Backed »), le montant total de leurs « exits » s’est établi à 202 M USD (-88% par rapport à 2022) pour 35 opérations contre 11,5 Mds USD (+271%) en 140 opérations pour leurs homologues françaises<a title="" href="#_ftn9" name="_ftnref9">[9]</a>. Toutefois, <strong>avec 16 IPO en 2023 pour un montant total de 495 M USD, les entreprises singapouriennes s’en sortent mieux que leurs équivalents français</strong> (7 IPO pour 247 M USD), dont le montant des opérations n’a jamais été aussi bas depuis 2012<a title="" href="#_ftn10" name="_ftnref10">[10]</a>.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Les startups</strong> <strong>singapouriennes ont levé 249 M USD au cours de 263 phases de pré-amorçage et d'amorçage en 2023</strong>. Ces phases, qui représentent 60% du nombre total de « rounds » (434), ont contribué à 4% du montant total des fonds levés (5,7 Mds USD). Les proportions de financements en Series A, B, et C atteignent respectivement 15%, 15%, et 13%. 53% des fonds proviennent des 11 levées de plus de 100 M USD. <strong>Plus de la moitié des financements des startups singapouriennes a été engagé par des entreprises (contre 22% pour la France), tandis que les fonds de venture capital ont contribué à hauteur de 26% (la moitié des fonds levés en France). </strong>Les investissements américains dans les startups singapouriennes ont connu une chute brutale, passant de 2,4 Mds USD à 680 M USD entre 2022 et 2023 (-72%). <strong>Les investisseurs européens ont montré un intérêt accru pour les startups de la Cité-Etat avec une augmentation d’environ 16% de leurs financements entre 2022 et 2023</strong> (de 405 M USD à 470 M USD) malgré une baisse totale de 26% des fonds levés au cours de la même période (de 7,8 Mds USD à 5,7 Mds USD), augmentant ainsi leur part dans le total des fonds levés par les startups singapouriennes de 5% à 8%<a title="" href="#_ftn11" name="_ftnref11">[11]</a>, et rattrapant celle des investisseurs américains passée de 31% en 2022 à 12% en 2023.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>En France, un montant global de 816 M USD a été mobilisé au cours de 629 phases de pré-amorçage (0-1 M USD) et d'amorçage (1 M à 4 M USD) – en early-stage –, représentant les deux tiers des 1 001 « rounds » réalisés par les startups françaises en 2023</strong>. En dépit de la baisse globale des financements dans les startups en 2023, cette année se distingue par un record depuis 2018 en termes de levées de fonds en phase de pré-amorçage (« pre-seed »), avec un montant de 68 M USD récolté par les jeunes startups françaises. Ces phases de « pre-seed » et « seed » ont contribué à 9% du montant total des fonds levés (9 Mds USD). Les financements en Series A, B, et C représentent des proportions plus significatives, avec 20%, 25%, et 18% respectivement. Plus du quart des fonds provient des 11 levées de plus de 100 M USD (Verkor, Mistral AI, Ynsect, Pasqal). Les investissements américains dans les startups françaises ayant été divisés par 3 par rapport à 2022, la part des fonds levés par des acteurs français et européens a progressé, passant de 64% en 2021 à 77% en 2023. En valeur absolue, les montants levés par les acteurs français et européens restent cependant inférieurs à ceux des années 2021 et 2022 (-31% en 2023 par rapport à 2022).</p>
<h5 style="text-align: justify;"><em><strong>Les levées sont concentrées historiquement dans les FinTech et les plateformes d’e-commerce à Singapour</strong></em></h5>
<p style="text-align: justify;"><strong>A Singapour, les secteurs du e-commerce et des FinTech concernent à eux seuls 8 des 10 levées les plus importantes de l'année. La Cité-Etat entreprend toutefois un recentrage stratégique pour devenir un pôle d’innovation majeur dans des technologies de pointe</strong> <strong>(DeepTech)</strong>, notamment dans les domaines de l'<u>intelligence artificielle</u>, l'<u>informatique quantique</u>, la <u>FoodTech</u>, la <u>santé</u> et la <u>transition énergétique</u>. Au dernier trimestre 2023, la startup Qosmosys (EFE fondée et dirigée par un Français), qui opère dans le domaine de la SpaceTech, et Silicon Box, startup spécialisée dans la production de semi-conducteurs, ont ainsi réalisé des levées de fonds significatives, atteignant respectivement 100 M USD en phase d'amorçage et 139 M USD en Series B. Parmi les secteurs les plus financés en 2023 :</p>
<ol style="text-align: justify;">
<li><strong>E-commerce</strong> : 7 tours de financement pour un montant total de 2,2 Mds USD, principalement attribuable aux trois tours de financement effectués par Alibaba Group pour Lazada, ces derniers ayant généré un montant total de 1,8 Md USD ;</li>
<li><strong>FinTech</strong> : 93 tours de financement pour un montant total de 1,5 Md USD (-53% par rapport à 2022), avec un ticket moyen par levée de fonds de 16,1 M USD ;</li>
<li><strong>Santé</strong> : 40 tours de financement pour un montant total de 423 M USD, avec un ticket moyen par levée de fonds de 10,6 M USD.</li>
</ol>
<p style="text-align: justify;"><strong>La France se distingue par son financement diversifié de secteurs liés aux technologies de rupture</strong>. Un nombre croissant de DeepTech obtiennent le statut de « licorne » en France : Owkin (French Tech 2030), Verkor (Next40), Mistral AI (French Tech 2030) et Exotec (Next40). Des domaines aussi variés que l’énergie (Verkor et mylight150), l’IA (Mistral AI), les semi-conducteurs (Aledia), la FoodTech (Ynsect), et l’informatique quantique (Pasqal) ont bénéficié d'un soutien financier significatif cette année :</p>
<ol style="text-align: justify;">
<li><strong>Énergie et Transport</strong> : 197 tours de financement pour un montant total de 2,7 Mds USD, en légère baisse par rapport à 2022, mais en croissance de 59% par rapport à 2021. Le ticket moyen par levée de fonds s’élève à 13,7 M USD ;</li>
<li><strong>Solutions logicielles pour entreprises (axées sur l'IA et l’informatique quantique)</strong> : 129 tours de financement pour un montant total de 1,6 Md USD, avec un ticket moyen par levée de fonds de 12,4 M USD ;</li>
<li><strong>Santé</strong> : 132 tours de financement pour un montant total de 1,2 Md USD, avec un ticket moyen par levée de fonds de 9,1 M USD.</li>
</ol>
<p style="text-align: justify;"><strong>Au cours de 273 tours de financement</strong><strong>,</strong><strong> les startups de la DeepTech ont levé 4,3 Mds USD en 2023 (+39% par rapport à 2022), soit près de la moitié des fonds levés par les startups en France la même année<a title="" href="#_ftn12" name="_ftnref12">[12]</a></strong>. La région Auvergne-Rhône-Alpes (8,1 M habitants) abrite un nombre de startups ayant déposé un ou plusieurs brevets comparable à celui de Singapour (6 M), totalisant respectivement 324 et 332 entreprises<a title="" href="#_ftn13" name="_ftnref13">[13]</a>. En France, plus de 1 900 startups bénéficiant de protections par brevet sont recensées. Seul un tiers d’entre elles se situent en Île-de-France, bien que la moitié de l'ensemble des startups françaises soit implantée dans la région.</p>
<blockquote>
<h4 style="text-align: justify;">Une interconnexion croissante entre les deux écosystèmes</h4>
</blockquote>
<h5 style="text-align: justify;"><em><strong>Les fonds singapouriens investissent davantage dans les startups françaises que l’inverse</strong></em></h5>
<p style="text-align: justify;"><strong>Depuis 2019, les fonds singapouriens ont joué un rôle actif dans 71 tours de financement de startups françaises, affichant un intérêt croissant pour la France<a title="" href="#_ftn14" name="_ftnref14">[14]</a></strong><strong>. </strong>Le montant des rounds auxquels ces fonds ont participé a été multiplié par 7, passant de 159 M USD en 2019 à 1,2 Md USD en 2022. Bien que ce montant ait diminué à 344 M USD en 2023, le nombre de rounds auxquels ont pris part les investisseurs singapouriens n’a cessé de progresser, de 3 en 2019 à 29 en 2023. Les fonds souverains Temasek et GIC sont particulièrement actifs avec des investissements en <em>late-stage<a title="" href="#_ftn15" name="_ftnref15"><strong>[15]</strong></a></em> dans des startups innovantes comme EcoVadis (Next40), InnovaFeed (Next40), Alan (Next40), Ynsect (Next40) ou Pasqal (French Tech 2030). Temasek va par ailleurs ouvrir en 2024 un nouveau bureau européen à Paris, avec pour objectif affiché d'améliorer son accès aux opportunités d'investissement dans la région. Les fonds singapouriens se positionnent de plus en plus sur le segment DeepTech en France, comme en témoigne la dernière opération de Temasek en 2023 avec la levée de fonds de Pasqal. </p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Les investisseurs français se sont, en comparaison, moins impliqués avec 48 cycles de financement dans les startups singapouriennes depuis 2019<a title="" href="#_ftn16" name="_ftnref16">[16]</a></strong>. Ces cycles ont généré des investissements de 426 M USD en 2020, atteignant ensuite un pic de 806 M USD en 2021, puis en baisse à 143 M USD en 2022 et 119 M USD en 2023. L'essentiel de ces montants est attribuable à deux cycles de financement, totalisant 857 M USD, destinés à la startup de livraison Ninja Van, avec une participation active de DPD Group (filiale de Geopost, le réseau international de livraison de colis du groupe La Poste). Parmi les acteurs majeurs du capital-risque français à Singapour, nous retrouvons notamment Partech avec 18 investissements à Singapour, Eurazeo (4 investissements, dont la « décacorne » Grab), Ventech (3), Cathay Innovation (3), Orange Ventures (2) et Jolt Capital (2). D'autres investisseurs français en capital-risque, tels que Shift4Good et Korelya Capital, ont établi leur présence à Singapour dans le but d'étendre leurs activités en Asie du Sud-Est. Les entreprises françaises présentes à Singapour investissent également dans des startups locales, comme Engie, qui a réalisé trois investissements dans l'énergie et l’internet des objets (IoT) avec TablePointer, Billion Bricks, et UnaBiz (ex-Sigfox, startup IoT française passée sous pavillon singapourien). En 2023, Schneider Electric a également marqué sa présence dans l’écosystème avec un investissement dans une startup singapourienne de la FoodTech, Agros.</p>
<h5 style="text-align: justify;"><em><strong>Un écosystème de startups françaises dynamique à Singapour, porté par la communauté French Tech sur place</strong></em></h5>
<p style="text-align: justify;">A l’occasion des 10 ans de la French Tech Singapore, le SER de Singapour a réalisé un travail de cartographie<a title="" href="#_ftn17" name="_ftnref17">[17]</a> des (i) startups fondées par des Français dont le siège social est à Singapour (EFE<a title="" href="#_ftn18" name="_ftnref18">[18]</a>) et des (ii) startups françaises qui ont un bureau dans la cité-Etat. Au 31/12/2023, 112 startups<a title="" href="#_ftn19" name="_ftnref19">[19]</a> étaient cartographiées.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong><img class="marge" title="A" src="/Articles/4dfadeee-e3f6-4210-a9ee-1fe41ceb1561/images/0db073c1-28ad-4162-8ad2-10be3b1e90a9" alt="A" /> </strong></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Singapour se positionne ainsi parmi les pays d'Asie les plus accueillants pour les startups figurant dans l'indice Next40/FT120</strong>. La cité-Etat représente l'une des destinations privilégiées pour l'expansion de ces entreprises, suivant de près la Chine et le Japon. Parmi les <u>8 startups du Next40 présentes à Singapour</u> figurent Contentsquare, Ivalua, Mirakl, EcoVadis, Vestiaire Collective, Ledger, Shift Technology et Descartes Underwriting. Singapour accueille également 3 startups du nouvel indice French Tech 2030 : EasyMile, YesWeHack et Gatewatcher. D’autres alumni du Next40 comme Believe, OVHcloud dont le siège APAC est à Singapour ou Devialet sont également présents sur le territoire. Pour accompagner ce développement, les entrepreneurs français sur place ont créé en 2018 la communauté French Tech de Singapour, la plus importante d’Asie, qui rassemble des acteurs singapouriens et français issus de l'écosystème tech, des corporates, des fonds d’investissement (VC) et des institutions. La communauté regroupe plus de 5 700 abonnés sur LinkedIn, dont 350 PDG, 1 500 membres sur ses 13 groupes thématiques, et a accueilli plus de 1 000 personnes lors de ses évènements au cours de l’année 2023.</p>
<div><br clear="all" /><hr align="left" size="1" width="33%" />
<div id="ftn1">
<p><a title="" href="#_ftnref1" name="_ftn1">[1]</a> Dealroom, 2024. Disponible <a href="https://app.dealroom.co/companies.startups/f/company_status/not_closed_acquired/company_type/not_service%20provider_government%20nonprofit/data_type/anyof_Verified/growth_stages/not_mature/ownerships/not_public/slug_locations/anyof_singapore_not_france/tags/not_outside%20tech?filter=industries&showMap=false&showStats=true&sort=-valuation&showGrid=false">ici</a>.</p>
</div>
<div id="ftn2">
<p><a title="" href="#_ftnref2" name="_ftn2">[2]</a> Dealroom, 2024. Disponible <a href="https://app.dealroom.co/companies.startups/f/company_status/not_closed_acquired/company_type/not_service%20provider_government%20nonprofit/data_type/anyof_Verified/growth_stages/not_mature/launch_year_min/anyof_2000/ownerships/not_public/slug_locations/anyof_france_not_singapore/tags/anyof_verified%20unicorns%20and%20%241b%20exits_not_outside%20tech?sort=launch_date">ici</a>.</p>
</div>
<div id="ftn3">
<p><a title="" href="#_ftnref3" name="_ftn3">[3]</a> 3.8 M d’actifs. Statista, 2023. Disponible <a href="https://www.statista.com/statistics/795438/employment-in-singapore/">ici</a>.</p>
</div>
<div id="ftn4">
<p><a title="" href="#_ftnref4" name="_ftn4">[4]</a> 30.2 M d’actifs. INSEE, 2022. Disponible <a href="https://www.insee.fr/fr/outil-interactif/5367857/tableau/50_MTS/51_EPA">ici</a>.</p>
</div>
<div id="ftn5">
<p><a title="" href="#_ftnref5" name="_ftn5">[5]</a> Dealroom, 2024. Disponible <a href="https://app.dealroom.co/companies.startups/f/company_status/not_closed_acquired/company_type/not_service%20provider_government%20nonprofit/data_type/anyof_Verified/growth_stages/not_mature/industries/anyof_fintech/ownerships/not_public/slug_locations/anyof_france_not_singapore/tags/anyof_verified%20unicorns%20and%20%241b%20exits_not_outside%20tech?sort=-launch_date">ici</a>.</p>
</div>
<div id="ftn6">
<p><a title="" href="#_ftnref6" name="_ftn6">[6]</a> Dealroom, 2024. Disponible <a href="https://app.dealroom.co/transactions.rounds/f/growth_stages/not_mature/is_verified/anyof_yes/rounds/not_GRANT_SPAC%20PRIVATE%20PLACEMENT/slug_locations/anyof_singapore_not_france/tags/not_outside%20tech/years/anyof_2023?chartDataKey=amount&showStats=true&sort=-amount&statsType=investor-location">ici</a>. En comprenant les catégories « Growth Equity VC » et « Late VC », hors « SPAC » ni « Grant ». Grab ne figure pas, mais Lazada y est répertorié.</p>
</div>
<div id="ftn7">
<p><a title="" href="#_ftnref7" name="_ftn7">[7]</a> Les startups singapouriennes ont levé plus de fonds en 2017 et 2018, et sont restées au même niveau que les startups françaises jusqu’en 2020.</p>
</div>
<div id="ftn8">
<p><a title="" href="#_ftnref8" name="_ftn8">[8]</a> En comprenant les catégories « IPO », « SPAC IPO », « Acquisition » et « Buyout ». Dealroom, 2024. Disponible <a href="https://app.dealroom.co/transactions.exits/f/rounds/anyof_IPO_SPAC%20IPO_ACQUISITION_BUYOUT/slug_locations/anyof_france_not_singapore/years/anyof_2023?showStats=true&sort=-total_ev&statsType=exits-transactions">ici</a>.</p>
</div>
<div id="ftn9">
<p><a title="" href="#_ftnref9" name="_ftn9">[9]</a> Dealroom, 2024. Disponible <a href="https://app.dealroom.co/transactions.exits/f/rounds/anyof_IPO_SPAC%20IPO_ACQUISITION_BUYOUT/slug_locations/anyof_france_not_singapore/vc_backed/anyof_VC%20Backed/years/anyof_2023?showStats=true&sort=-total_ev&statsType=exits-transactions">ici</a>.</p>
</div>
<div id="ftn10">
<p><a title="" href="#_ftnref10" name="_ftn10">[10]</a> Dealroom, 2024. Disponible <a href="https://app.dealroom.co/transactions.exits/f/rounds/anyof_IPO_SPAC%20IPO_not_ACQUISITION_BUYOUT/slug_locations/anyof_france_not_singapore/years/anyof_2023?showStats=true&sort=-total_ev&statsType=exits-transactions">ici</a>.</p>
</div>
<div id="ftn11">
<p><a title="" href="#_ftnref11" name="_ftn11">[11]</a> Dealroom, 2024. Disponible <a href="https://app.dealroom.co/transactions.rounds/f/growth_stages/not_mature/is_verified/anyof_yes/rounds/not_GRANT_SPAC%20PRIVATE%20PLACEMENT/slug_locations/anyof_singapore_not_france/tags/not_outside%20tech/years/anyof_2023?chartDataKey=amount&showStats=true&sort=-amount&statsType=investor-location">ici</a>.</p>
</div>
<div id="ftn12">
<p><a title="" href="#_ftnref12" name="_ftn12">[12]</a> Observatoire DeepTech de Bpifrance. Disponible <a href="https://observatoire.lesdeeptech.fr/transactions.rounds/f/founding_or_hq_slug_locations/anyof_france/growth_stages/not_mature/rounds/not_SPAC%20PRIVATE%20PLACEMENT_CONVERTIBLE_GRANT/tags/anyof_observatoire%20deeptech_not_outside%20tech?chartDataKey=count&showStats=true">ici</a>.</p>
</div>
<div id="ftn13">
<p><a title="" href="#_ftnref13" name="_ftn13">[13]</a> Dealroom, 2024. Disponible <a href="https://app.dealroom.co/companies.startups/f/company_status/not_closed/company_type/not_service%20provider_government%20nonprofit/growth_stages/not_mature/has_patents_categories/anyof_yes/has_website_url/anyof_yes/slug_locations/anyof_singapore_not_~auvergne_rh_ne_alpes~/tags/not_outside%20tech?heatMapType=&id=50788">ici</a>.</p>
</div>
<div id="ftn14">
<p><a title="" href="#_ftnref14" name="_ftn14">[14]</a> Dealroom, 2024. Disponible <a href="https://app.dealroom.co/transactions.rounds/f/growth_stages/not_mature/investors_locations/anyof_Singapore/is_verified/anyof_yes/rounds/not_GRANT_SPAC%20PRIVATE%20PLACEMENT/slug_locations/anyof_france/tags/not_outside%20tech/years/anyof_2020_2021_2022_2023_2019?chartDataKey=amount&showStats=true&sort=-amount">ici</a>. La part prise par les fonds singapouriens dans ces montants n’est pas communiquée.</p>
</div>
<div id="ftn15">
<p><a title="" href="#_ftnref15" name="_ftn15">[15]</a> Entre 2019 et 2023, 80% des fonds proviennent de levées dépassant les 100 M USD.</p>
</div>
<div id="ftn16">
<p><a title="" href="#_ftnref16" name="_ftn16">[16]</a> Dealroom, 2024. Disponible <a href="https://app.dealroom.co/transactions.rounds/f/growth_stages/not_mature/investors_locations/anyof_France/is_verified/anyof_yes/rounds/not_GRANT_SPAC%20PRIVATE%20PLACEMENT/slug_locations/anyof_singapore/tags/not_outside%20tech/years/anyof_2020_2021_2022_2023_2019?chartDataKey=amount&showStats=true&sort=-amount">ici</a>. La part prise par les fonds français dans ces montants n’est pas communiquée.</p>
</div>
<div id="ftn17">
<p><a title="" href="#_ftnref17" name="_ftn17">[17]</a> Cartographie des <u>entreprises innovantes</u> répondant à au moins l’un des critères suivants : (i) celles de moins de 20 ans n'ayant pas réalisé d'« exit » (ni rachat, ni IPO), (ii) celles ayant levé des fonds récemment, quelle que soit leur date de création, (iii) celles faisant partie de la promotion 2023 du Next40/FT120 ou French Tech 2030. Sources : données internes à la French Tech Singapore et Crunchbase, 2023. Cartographie disponible sur Airtable, <a href="https://airtable.com/appnqv3l9UMyeM7vV/shr05oYsXYmmGqfhZ/tblp0nVJDBTAeugz0">ici</a>.</p>
</div>
<div id="ftn18">
<p><a title="" href="#_ftnref18" name="_ftn18">[18]</a> Les Entreprises Françaises de l'Étranger (EFE) sont des entreprises de droit local (ici, Singapour), créées et dirigées par un Français résidant à l'étranger. Nous les considérons dans notre étude comme faisant partie intégrante de l’écosystème French Tech.</p>
</div>
<div id="ftn19">
<p><a title="" href="#_ftnref19" name="_ftn19">[19]</a> Les 5 startups manquantes sont des structures créées par des Français, opérant une activité à Singapour, mais dont le siège social est dans un pays tiers. Par exemple, Botify (FT120) est créée par des Français, a un bureau à Singapour mais son siège social est aux Etats-Unis.</p>
</div>
</div>46099ed3-ebe7-4120-b72b-b94b9d10bc3aLa communauté FRENCH TECH MILAN devient FRENCH TECH ITALY French Tech Italy2023-02-10T00:00:00+01:00<table style="width: 916px;">
<tbody>
<tr>
<td style="width: 296px; text-align: center;"><img class="marge" title="image" src="/Articles/46099ed3-ebe7-4120-b72b-b94b9d10bc3a/images/396320b1-c0f2-4797-a15d-15f5262acb71" alt="image" width="148" height="183" /></td>
<td style="width: 618px;">
<p style="text-align: justify;"> </p>
<h5 style="text-align: justify;"><strong>French Tech Milan devient French Tech Italy et obtient le renouvellement de son statut de communauté, par la Mission </strong><a title="french tech" href="https://lafrenchtech.com/fr/"><strong>French Tech</strong></a><strong> (ministère de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique), pour une durée de 3 ans (à partir de 2023 à 2025).</strong></h5>
</td>
</tr>
</tbody>
</table>
<p style="text-align: justify;">French Tech Italy a pour mission de mobiliser la communauté tech italienne et de mettre en œuvre des actions clés pour assurer la promotion des objectifs de la Mission French Tech sur le territoire (promotion de l'échange entre les écosystèmes tech italien et français, égalité et inclusion hommes-femmes, transition écologique) La French Tech Italy est l'une des 67 Communautés French Tech à l'étranger à recevoir le prestigieux label dans le monde.</p>
<p style="text-align: justify;">Née en 2016, <strong>la </strong><a title="French Tech Milan" href="https://lafrenchtech.com/fr/communaute/milan/"><strong>French Tech Milan</strong></a><strong>, devenue récemment la French Tech Italy, est l'une des premières communautés officielles de la French Tech à l'étranger</strong> (elles sont aujourd'hui 63, réparties dans 50 pays). Elle est née dans le but d'agréger, développer, promouvoir et coordonner l'écosystème des entreprises de la French Tech en Italie, en renforçant leurs liens avec tous les acteurs de l'innovation. <strong>Elle est devenue French Tech Italy lorsque trois Régions sont représentées au conseil d'administration (Lombardie, Latium et Campanie) et entend étendre la communauté à l'ensemble du territoire national.</strong> Avec ces hypothèses, l'engagement de l'Italie et de la France est de collaborer au développement stratégique de l'économie numérique et verte, sanctionné par l'accord bilatéral signé par les deux pays le 26 novembre, connu sous le nom de <a title="traite du quirinal" href="https://www.governo.it/sites/governo.it/files/Trattato_del_Quirinale.pdf">Traité du Quirinal</a>.</p>
<p> </p>
<p> </p>
<p><strong><u>Retrouvez la communauté French Tech Italy sur internet et sur les réseaux sociaux : </u></strong></p>
<p><em><a href="http://www.lafrenchtech.com">www.lafrenchtech.com</a></em></p>
<p><em><a href="https://lafrenchtech.com/fr/communaute/milan/">https://lafrenchtech.com/fr/communaute/milan/</a></em></p>
<p><em><a href="https://www.linkedin.com/company/la-french-tech-italy/">https://www.linkedin.com/company/la-french-tech-italy/</a></em></p>a26a6687-6162-4309-ab69-fac856b669f4French & Italian Tech : Italie-France unies pour le développement durableLa communauté French Tech en Italie a organisé un événement sur le développement durable et les greentechs françaises2022-07-07T00:00:00+02:00<p style="text-align: center;"><img class="marge" title="logos" src="/Articles/a26a6687-6162-4309-ab69-fac856b669f4/images/10d2340e-0cec-4303-8034-8d8aa5098d15" alt="logos" /></p>
<p> </p>
<p style="text-align: justify;">La communauté <strong>French Tech en Italie, </strong>en collaboration avec le<strong> Service économique régional de Rome, </strong>a organisé un événement « French & Italian Tech : Italie-France unies pour le développement durable » le 5 juillet 2022 au Musée national des sciences et techniques Léonard de Vinci de Milan. Le <strong>développement durable</strong> et les <strong>Greentech</strong> étaient au centre des interventions. Après un échange sur le développement de l'écosystème startup et la transition écologique par des fonds d’investissements, les entreprises et startups sont intervenues sur l’efficacité énergétique<a name="_Hlk108178461"></a>, l’alimentation durable et la lutte contre le gaspillage et la durabilité numérique.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Cet événement a été l’occasion de donner de la visibilité aux greentechs françaises : Deepki, HDF Energy, Connecting Food, Phenix, Greenly, à une fintech engagée dans la durabilité numérique Hipay et à des sociétés françaises comme Lactalis, Carrefour, Data4, Dassault Systemes et à l’italienne Enel X.</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>L’Italian Tech compte plus de 14 000 startups innovantes</strong>, dont 75 % opèrent dans le secteur numérique et 16 % dans l'industrie manufacturière, et avec 43 % de femmes. En 2021, année record en termes de montant investi et de nombre de transactions conclues, <strong>les investissements ont atteint 1,252 M€</strong>, dépassant ainsi pour la première fois le seuil du milliard d'euros. L'environnement de travail est favorable aux green tech puisque l'Italie est le leader européen de l'économie circulaire (79,3% des déchets sont recyclés).</p>
<p style="text-align: justify;">La<strong> French Tech</strong>, compte, quant-à-elle, <strong>plus de 20 000 startups dont environ 1 800 greentechs, </strong>5 000 Business Angels, 100 VC et un réseau de communautés à travers le monde, dont celle de Milan. Avec 21 licornes à l'actif, 11,7 Md€ investis (+ 100% par rapport à 2020) et avec 15 méga rounds de plus de 100 M€ (dont 8 d'une valeur de plus de 250 M€), la French Tech se tourne désormais vers l'Italie comme partenaire d'un avenir toujours plus vert.</p>
<p> </p>73462e4f-d2bd-4c64-bc25-1d0fbe9b05c3Forum d'affaires France-CambodgeAvec le soutien de l’ambassade de France, la CCI France Cambodge et la section Cambodge des Conseillers du Commerce Extérieur de la France joignent leurs forces pour organiser un Forum d’affaires les 9 et 10 juin 2022 à Phnom Penh, en présence de François Corbin, représentant spécial du ministre de l’Europe et des Affaires Étrangères pour les relations économiques avec les pays de l’ASEAN. 2022-04-13T00:00:00+02:00<p>Ce Forum en français (traduction en anglais disponible) sera rythmé par une vingtaine de tables rondes et mini-conférences sur les opportunités du Cambodge, des moments aménagés pour vous permettre de présenter votre expertise, deux déjeuners et une grande soirée networking. Il se déroulera 100% en présentiel afin de profiter de la réouverture du pays (pas de quarantaine pour les voyageurs vaccinés).</p>
<p> </p>
<p>Quels sont les secteurs porteurs ? Mon secteur d’activité est-il ouvert aux étrangers ? Existe-t-il des avantages fiscaux pour mon projet d’investissement ? Quel potentiel représente mon entreprise au Cambodge ? Toutes ces questions trouveront réponses au cours de ce Forum, qui vise à rassembler entreprises locales et venues de l’étranger pour nouer des liens concrets.</p>
<p> </p>
<p>👥 Plus de 250 entreprises attendues</p>
<p>📈 19 mini tables-rondes et conférences</p>
<p>🍸 Programme Off pour nouer des liens</p>
<p>🇰🇭 Soirée networking dans un lieu exceptionnel</p>
<p>🗣️ 60 pitchs d’entreprises venues de l’étranger</p>
<p> </p>
<p>Plus de détails sur le site dédié à l'événement :</p>
<p><u><a href="https://sites.google.com/ccifcambodge.org/fafc/accueil">https://sites.google.com/ccifcambodge.org/fafc/accueil</a></u></p>64c86cef-1746-489a-b64b-4335baa8a087Ecosystem Welcome Guide - ÉDITION 2022Ce manuel saura vous guider dans l’écosystème startup et d’innovation aux Pays-Bas. Bonne lecture !2022-03-07T00:00:00+01:00<p><strong>Introduction</strong></p>
<p>L’économie numérique néerlandaise est mature et contribue de manière significative à la prospérité des Pays-Bas. Bien qu’il ne soit pas possible, du fait de son imbrication dans l’économie conventionnelle, d’identifier la contribution globale de l’économie numérique à la prospérité du pays et à sa balance commerciale, il existe aux Pays-Bas un consensus autour de l’aspect stratégique que recèle l’économie numérique. Selon plusieurs méthodes de calcul, l’économie numérique dans son ensemble pourrait représenter environ 10 à 15 % du PIB et 25 à 30 % de la valeur ajoutée générée aux Pays-Bas. À lui seul le secteur des TICs représente 5 % du PIB et 77 000 entreprises qui emploient près de 500 000 personnes.</p>
<p>Le numérique joue un rôle central dans l’économie et l’organisation de la société néerlandaise. Les Pays-Bas comptent parmi les champions européens en matière de transition numérique de leur économie, de l’administration et de leur société. Ils jouissent en effet d’une bonne connectivité numérique et d’une forte appropriation des technologies numériques par les ménages et les entreprises. Cette digitalisation du pays a contribué à une meilleure résilience jusqu’à présent face aux contraintes imposées par la crise Covid. Leur économie numérique est dynamique, et représente un marché-cible pour les modèles disruptifs, tels que l’économie des plateformes : les plateformes néerlandaises dominent le marché domestique et s’exportent facilement à l’international. L’activité de stockage de données informatiques est également un secteur dynamique favorisé par le développement récent d’énergies vertes sur le territoire. L’émergence de champions nationaux et la présence d’acteurs étrangers contribuent au développement et au prestige de l’écosystème numérique néerlandais et confèrent aux Pays-Bas un « avantage du précurseur », que le pays a su mettre à profit.</p>
<p>Le secteur bénéficie désormais de la part du gouvernement d’un traitement similaire aux autres secteurs et infrastructures vitales : port de Rotterdam, aéroport de Schiphol, bassin industriel d’Eindhoven… Le numérique représente en outre un facteur d’attractivité pour le pays et l’un des déterminants de sa compétitivité. Les performances des Pays-Bas en matière d’économie numérique sont à cet égard reconnues dans les classements internationaux.</p>
<p>Cet écosystème engendre toutefois des défis sociaux et environnementaux : la présence de nombreux data centers aux Pays-Bas constitue un enjeu environnemental, et l’essor de l’économie numérique concourt également à favoriser une catégorie de travailleurs « précarisés ». Certains observateurs mentionnent le risque d’une « amazonification » de l’économie en sortie de crise. L’économie numérique constitue de manière croissante une question stratégique et de souveraineté. Malgré la tradition libérale du pays, des sujets tels que la régulation des plateformes, la protection des données et des personnes (consommateurs, emplois), surgissent dans le débat public ; l’État néerlandais a par ailleurs montré qu’il était capable d’intervenir pour protéger la souveraineté de son économie numérique.</p>
<p><strong>SOMMAIRE</strong></p>
<p><em>L’ÉCONOMIE NUMÉRIQUE AUX PAYS-BAS</em></p>
<p><em>PRÉSENTATION DE L’ÉCOSYSTÈME LOCAL</em></p>
<ul>
<li>Quelques influenceurs de la Tech aux Pays-Bas…</li>
<li>Les classements des personnalités à suivre</li>
<li>Techleap : acteur structurant de l’écosystème local</li>
<li>D’autres sources institutionnelles et programmes régionaux</li>
<li>À vos agendas ! Les grands événements récurrents de l’écosystème</li>
<li>Des médias et sources d’information sur la Tech aux Pays-Bas</li>
<li>Géographie de l’écosystème</li>
<li>Les principaux secteurs et opportunités</li>
<li>Les grands succès néerlandais</li>
<li>Les startups devenues des « licornes » en 2020</li>
<li>Et des succès en devenir…</li>
<li>Un écosystème hyperconnecté : la triple hélice néerlandaise</li>
<li>Les écosystèmes thématiques et/ou régionaux de référence</li>
<li>Au plus près des universités</li>
</ul>
<p><em>POUR ALLER PLUS LOIN</em></p>
<ul>
<li>Quelques incubateurs et programmes d’accélération</li>
<li>Quelques programmes notables</li>
<li>Également présents pour vous accompagner</li>
<li>Les sources de financement mobilisables
<ul>
<li>Financements publics</li>
<li>Financements privés</li>
</ul>
</li>
</ul>
<p><em> LA FRENCH TECH AMSTERDAM</em></p>
<ul>
<li>Les événements organisés par la French Tech Amsterdam</li>
<li>Et les événements auxquels la French Tech Amsterdam a participé</li>
<li>Le board de la French Tech Amsterdam</li>
<li>L’écosystème vu par des acteurs de la French Tech Amsterdam</li>
</ul>
<p><em>S’INSÉRER DANS L’ÉCOSYSTÈME – par Business France Amsterdam –</em></p>
<ul>
<li>Implantation sans création d’une société de droit local</li>
<li>Implantation par création d’une société de droit local</li>
<li>Les principales formes de société pour les entrepreneurs aux Pays-Bas</li>
<li>Se lancer aux Pays-Bas</li>
<li>Autres formes d’implantation
<ul>
<li>Création d’une joint-venture</li>
<li>Acquérir une structure locale existante</li>
</ul>
</li>
</ul>
<p><em> CE QUE J’AURAIS AIMÉ SAVOIR AVANT DE PARTIR…</em></p>a466d932-ac29-459e-9ae7-c61caa89f586ECOSYSTEME WELCOME GUIDE - ITALIECe guide vous propose un parcours dans l’écosystème italien de l’innovation.2021-06-03T00:00:00+02:00<p><img class="marge" title="1 page" src="/Articles/a466d932-ac29-459e-9ae7-c61caa89f586/images/4083051d-7b11-47e3-9188-44a8c89fce08" alt="1 page" /></p>efe184b4-2b05-4b2d-8edc-3f715e4ae4c0Paola Trecarichi est la nouvelle présidente de la communauté French Tech Milan !French Tech Milan2021-03-04T00:00:00+01:00<blockquote>
<div class="focus">
<p style="text-align: center;">Le comité de direction de la <strong>French Tech Milan</strong> a choisi la directrice générale de Hipay Italia, <strong>Paola Trecarichi</strong>, comme <strong>présidente</strong>, pour prendre la suite de son prédécesseur, Donigi Facenda, responsable du programme de partenariat pour l’Italie d’OVHcloud.</p>
</div>
</blockquote>
<p style="text-align: center;">Avec un nombre croissant de startups et scaleups,<strong> la communauté French Tech Milan est devenue le centre de référence pour les entreprises technologiques françaises qui s’implantent en Italie</strong>.</p>
<p style="text-align: center;"><strong>French Tech Milan rassemble plus de 90 entreprises innovantes de la French Tech opérant en Italie dans différents domaines.</strong> Outre la Fintech, les secteurs les plus représentés sont les suivants : commerce électronique et RetailTech, marketing numérique, services informatiques, santé en ligne, économie partagée, télécommunications. Parmi les sociétés : BackMarket, Blablacar, Commanders Act, CityScoot, Deezer, LeWagon, Manomano, Mirakl, OVHcloud, Prestashop, Qonto, Sendinblue, Veepee, ...</p>
<p style="text-align: center;">Tournée vers l'avenir et la relance des économies française et italienne, la communauté French Tech Milan est le forum idéal pour dialoguer et échanger des idées sur des projets tech stratégiques tels que Gaia-X (cloud européen) et la protection des données, ainsi que pour soutenir les start-ups qui veulent se développer en Italie et en France.</p>7f0999d8-759a-4543-bc0b-9adcb99d0cf1Mesures à destination des TPE et PME touchées par l'épidémie de covid-19 au Japon - point de situation au 27 maiAprès un premier budget rectificatif adopté le 30 avril, le gouvernement japonais a annoncé fin mai un nouveau volet de mesures de soutien à destination des TPE et PME affectées par la crise du COVID-19, qui devrait être voté avant la fin de la session parlementaire le 17 juin. 2020-06-08T00:00:00+02:00<div class="focus">
<p style="text-align: justify;">Après un premier budget rectificatif adopté le 30 avril, le gouvernement japonais a annoncé fin mai un nouveau volet de mesures de soutien à destination des TPE et PME affectées par la crise du COVID-19, qui devrait être voté avant la fin de la session parlementaire le 17 juin.</p>
<p style="text-align: justify;">Ces mesures sont répertoriées dans le tableau joint, élaboré à partir des documents publiés par le METI. Les conditions sont données à titre indicatif. Pour obtenir les dernières informations, nous vous recommandons de consulter les pages correspondantes des sites internet des ministères et institutions financières. La traduction est libre et n’engage pas la responsabilité du Service économique régional ni de l’Ambassade de France au Japon.</p>
<p style="text-align: justify;"><em>(exercice mené en partenariat avec la Communauté French Tech Tokyo)</em></p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p style="text-align: justify;">Liens :</p>
<p style="text-align: justify;"><a href="https://www.meti.go.jp/covid-19/pdf/pamphlet.pdf"><span style="text-decoration: underline;">https://www.meti.go.jp/covid-19/pdf/pamphlet.pdf</span></a> (brochure en japonais)</p>
<p style="text-align: justify;"><a href="https://webmail.dgtresor.gouv.fr/owa/redir.aspx?C=xUNTve3XQLJUKYm8Uc1u7y37S2uV41xGdDNigznVbUFSWWwJ_dXXCA..&URL=https%3a%2f%2fwww.meti.go.jp%2fenglish%2fcovid-19%2findex.html">https://www.meti.go.jp/english/covid-19/index.html</a> (principales mesures traduites en anglais)</p>
<p style="text-align: justify;">Un guichet téléphonique, à destination des PME et en japonais, a été mis en place par le METI pour répondre aux questions concernant les mesures ci-dessous : 03 3501 1544.</p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
</div>
<h6 style="text-align: justify;"><strong>1. Mesures ciblant les petites entreprises et pouvant également s’appliquer aux start-up. </strong></h6>
<p>Le gouvernement a annoncé le 27 mai une 2ème rallonge budgétaire pour l’année 2020 (1 000 Mds € qui s'ajoutent aux 1 000 Mds € annoncés fin avril), incluant notamment 75 Mds € pour <strong>l’élargissement des dispositifs de soutien financier</strong> à destination des TPE et PME.</p>
<p style="text-align: justify;">Ces dernières pourront bénéficier, quel que soit leur secteur, d’une <span style="text-decoration: underline;">garantie de crédit</span> dès lors qu'elles affichent une baisse de 5% des ventes sur un mois en glissement annuel (garantie auparavant limitée à certains secteurs cibles). Elles pourront souscrire également des <span style="text-decoration: underline;">prêts spéciaux Covid-19</span>, destinés à faciliter le financement de prêts déjà contractés. En complément, le gouvernement prévoit <strong>des apports directs en capital</strong> pour préserver le tissu régional des PME, sous forme de prêts subordonnés pour les restructurations d’entreprises et de start-up (jusqu’à 6 M €) ou de rachat de dettes par des fonds publics-privés. A cet effet, le fonds <em>Regional Economy Vitalization Corporation of Japan</em> (REVIC) devrait bénéficier d’une enveloppe de l’ordre de 8,6 Mds € et le fonds de la <em>Small and Medium Enterprise Foundation (SMRJ)</em> de 504 M €.</p>
<p style="text-align: justify;">Par ailleurs, les conditions d’accès à la <strong>subvention à l’adaptation de l’emploi (chômage partiel)</strong> pour les PME vont être considérablement assouplies, portant l’enveloppe dédiée à ce dispositif à 13,4 Mds € (contre 6,9 Mds dans le premier budget rectificatif). La subvention sera ainsi accessible dès 5 % de baisse des ventes sur un mois (auparavant 10% sur trois mois) et couvrira jusqu’à 9/10 de l’allocation versée à l’employé (avec un plafond de 130 € par jour), sans condition d’ancienneté. 16 Mds € viendront également compléter les 19,3 Mds € déjà engagés fin avril pour financer l’<strong>allocation destinée à garantir la continuité de l’activité. </strong>Cette dernière peut aller jusqu’à 17 300 € pour les PME et jusqu’à 8 600 € pour les entreprises individuelles. Elle est accessible à partir d’une baisse de 50% des ventes sur un mois en glissement annuel. Le second budget rectificatif devrait aussi consacrer 17 Mds € à la <strong>prise en charge jusqu’à 2/3 du montant des loyers des baux commerciaux</strong> sur une période de 6 mois.</p>
<p style="text-align: justify;">Enfin, le METI se verra allouer 830 M € pour étendre les subventions à destination des entreprises qui adoptent des <strong>solutions pour faire face aux défis du COVID-19</strong>, visant en priorité les projets de développement d’outils informatiques pour le télétravail, du e-commerce ou de produits et services permettant de faire face aux difficultés d’approvisionnement.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Des aides des gouvernements locaux viennent s’ajouter aux dispositifs gouvernementaux</strong>, comme par exemple la prise en charge par la ville de Fukuoka (à l'ouest du Japon) jusqu’à 80% du montant du loyer des entreprises en télétravail ou la mise en place de services de médiation pour les prêts à Tokyo. La plupart des préfectures accordent également des allocations de « coopération » aux PME qui ont mis en place des dispositifs de télétravail ou des subventions pour la réorganisation de leurs activités (services de livraison pour les restaurants, organisation d’événements en ligne …).</p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p><strong>2. Initiatives de soutien aux entrepreneurs français au Japon </strong>(<em>nonobstant les prestations déjà offertes en parallèle par la CCIFJ et BF au Japon – cycles de webinars notamment)</em>.</p>
<ul>
<li style="text-align: justify;"><strong>French Tech Tokyo</strong> : <em>mise en ligne le 20 mars d’un questionnaire, sur les réseaux sociaux et les groupes Line des communautés French Tech Tokyo et Kansai pour identifier les besoins et questions des entrepreneurs de la communauté French Tech Tokyo dans le cadre de l’épidémie de Covid-19</em>.</li>
<li style="text-align: justify;"><strong>LumApps </strong>(plateforme professionnelle de gestion des communications internes et des communications externes sur les réseaux sociaux des entreprises) : <em>gratuité des services Lumapps pendant 3 mois.</em></li>
<li style="text-align: justify;"><strong>Encognize G.K. </strong>(Conseil en technologie numérique, en management et <em>leadership</em>, en développement et stratégie d'entreprise et support de réalisation de solutions numériques) : <em>offre spéciale pour les start-up ayant une représentation limitée ou inexistante au Japon mais des discussions ou des projets commerciaux en cours et dont les activités commerciales au Japon sont affectées ou perturbées par les restrictions de déplacement actuelles liées à l’épidémie de COVID-19. Encognize G.K. leur offre des services de continuité des activités au Japon, notamment de coordination commerciale ou de gestion de relations commerciales, grâce à son vivier de consultants basés au Japon</em>.</li>
<li style="text-align: justify;"><strong>Sparkup </strong>(plateforme d’interaction en temps réel d’organisation de réunions et événements en ligne) : <em>Accès gratuit aux fonctionnalités interactives et collaboratives pour les entreprises affectées par le COVID-19 (réunions à distance, webinaires et formations en ligne).</em></li>
<li style="text-align: justify;"><strong>Agorize Japon </strong>(plateforme de <em>challenges d'open innovation</em> en ligne) : l<em>ancement d’un challenge pour lutter contre le COVID-19.</em></li>
<li style="text-align: justify;"><strong>Hireplanner </strong>(plateforme de recrutement cloud bilingue) : <em>création d’une campagne "Solidarité" pour soutenir les entreprises qui cherchent à recruter au Japon pendant l’épidémie de COVID-19. Hireplanner propose une version gratuite (avec un accès limité) à ses fonctionnalités HR Tech en ligne (offres d'emploi gratuites, CV, contenu de marque employeur, etc.) jusqu'à fin août 2020.</em></li>
</ul>
<div class="ephox-sloth-bin ephox-sloth-bin_82374138711586845804965" style="left: -100000px; top: 0px; width: 100px; height: 100px; overflow: hidden; position: fixed; opacity: 0;" contenteditable="true">Appui à la diversification des chaînes d'approvisionnement à l'étranger, notamment en ASEAN.<em> (</em>Budget révisé FY2020 <em>: environ 198M€) <span style="text-decoration: underline;">Conditions</span> : le taux de subvention dépend du ratio d'exportation vers le Japon et de la taille de l’entreprise ou consortium. Conditions: prise en charge jusqu’à 2/3 des dépense pour les PME, 3/4 pour les consortiums de PME</em></div>2ed80024-847b-4c43-99c1-f5567285d042La présence des entreprises françaises à TaïwanLe retour des entreprises taïwanaises de Chine, le leadership de Taïwan dans l’industrie des semi-conducteurs, la forte intégration de Taïwan dans les chaines de valeur et la résilience de l’économie taïwanaise face à la guerre commerciale entre la Chine et les USA contribuent au renforcement de la présence française à Taïwan.2020-03-11T00:00:00+01:00<p>Cette note décrit le renforcement récent de la présence des entreprises françaises à Taïwan.</p>3fc0455f-f206-44c3-a6b2-f5cb9f5b7318Evénement de promotion de l’initiative gouvernementale Next40Le 2 mars 2020, le Service économique régional de l’Ambassade de France au Japon a organisé, en partenariat avec La French Tech Tokyo, un événement de promotion de l’initiative gouvernementale Next40.2020-03-05T00:00:00+01:00<p> </p>
<p><img class="marge" style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" title="FTT" src="/Articles/3fc0455f-f206-44c3-a6b2-f5cb9f5b7318/images/f5e64e9c-31f7-4058-bc7c-f8e1cf258e32" alt="next40" width="564" height="423" /></p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p style="text-align: justify;">Le 2 mars 2020, le Service économique régional de l’Ambassade de France au Japon a organisé, en partenariat avec La French Tech Tokyo, un événement de promotion de l’initiative gouvernementale Next40.</p>
<p style="text-align: justify;">Le Next40 regroupe les 40 start-up françaises identifiées comme ayant le plus fort potentiel pour devenir des leaders technologiques de rang mondial. Ce sont soit des licornes, soit des entreprises ayant réalisé une levée de fonds supérieure à 100 millions d’euros sur les trois dernières années. Le next40 a été conçu pour donner à ces entreprises de la visibilité à l'international et pour leur permettre de croître plus rapidement. Ces entreprises bénéficient du soutien des autorités publiques, d'une promotion internationale et d'un accompagnement médiatique.</p>
<p style="text-align: justify;">Accueillies par Laurent Pic, Ambassadeur de France, les 5 entreprises du Next40 2019 établies au Japon ont pu présenter leurs activités devant un public de plus d'une centaine de représentants d'entreprises, ministères, agences publiques, institutions financières et VCs français et japonais.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>DEVIALET</strong></p>
<ul style="text-align: justify;">
<li>Devialet a reçu de nombreux prix dans le secteur audio, avec plus de 70 prix gagnés pour 160 brevets déposés. La mission de Devialet est d’offrir au plus grand nombre un son haute-fidélité.</li>
<li>En septembre 2018, Devialet a lancé ses activités commerciales au Japon, en partenariat avec la chaîne de grands magasins ISETAN. En avril 2019, la start-up a levé 16 millions d'euros auprès de Korelya Capital et Ginko Ventures.</li>
</ul>
<p style="text-align: justify;"><strong>FINALCAD</strong></p>
<ul style="text-align: justify;">
<li>Finalcad est une plate-forme collaborative conçue pour optimiser l’expérience de terrain des travailleurs dans le secteur de la construction, y compris dans le bâtiment, les infrastructures et l’énergie.</li>
<li>Finalcad a ouvert une filiale au Japon en 2018.</li>
</ul>
<p style="text-align: justify;"><strong>MEERO</strong></p>
<ul style="text-align: justify;">
<li>Meero utilise des algorithmes d’IA et de ML (machine-learning) pour optimiser le processus de retouche photo, tout en faisant office de plateforme de marché pour les photographes du monde entier. En juin 2019, Meero a levé 230 millions $ en série C et compte 31 000 utilisateurs clients sur 4 continents, avec 58 000 photographes sur la plate-forme en ligne. L’entreprise a pour but de créer une communauté de photographes professionnels et de servir de plate-forme de gestion de leurs séances photo du début à la post-production.</li>
<li>En janvier 2019, Meero a ouvert des bureaux à Tokyo.</li>
</ul>
<p style="text-align: justify;"><strong>SHIFT TECHNOLOGY</strong></p>
<ul style="text-align: justify;">
<li>Shift Technology est le seul fournisseur de solutions de détection de fraude et d'automatisation de la gestion de sinistres, fondées sur l’IA et conçues spécifiquement pour les assureurs.</li>
<li>Shift Technology a été sélectionné par le Fintech Business Camp du Tokyo Metropolitan Government à l'automne 2017 et a conclu, en 2018, un partenariat avec MS&AD, assureur non-vie japonais.</li>
</ul>
<p style="text-align: justify;"><strong>SIGFOX</strong></p>
<ul style="text-align: justify;">
<li>Sigfox est l’inventeur du réseau “0G”, le plus grand réseau IoT, conçu pour connecter à Internet des appareils simples, à basse consommation et à faible coût.</li>
<li>Sigfox est partenaire, depuis 2017, de Kyocera Communication Systems Co. Ltd. qui déploie et gère le réseau “0G” au Japon.</li>
</ul>
<p style="text-align: justify;">Pascal Faure, Directeur Général de l’Institut National de la Propriété Industrielle, a clôturé cette séquence en présentant les actions menées par l’INPI en faveur du Next40 et la coopération entre la France et le Japon dans le domaine de la propriété industrielle.</p>b1fb5497-2af2-4dfd-b423-99e214a2d19aMontée en puissance de la participation française au festival fintech de Singapour et à SWITCH en 2019Organisés conjointement par l’Autorité monétaire de Singapour (MAS) et Entreprise Singapour (ESG), la Singapore Week of Innovation and Technology (SWITCH) et le Festival Fintech de Singapour ont rassemblé du 11 au 15 novembre 2019 plus de 60 000 représentants venus de 130 pays, 400 intervenants, 900 exposants, 41 pavillons internationaux. Plus de 50 startups et entreprises françaises ont participé à cet événement phare organisé par la MAS, Enterprise Singapore et la National Research Foundation.2019-12-04T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;"><strong>Singapour est la 4<sup>ème</sup> place financière mondiale et mène depuis 4 ans une politique très volontariste pour soutenir ses Fintech et devenir le pays d’Asie le plus attractif en la matière et le tremplin vers les autres marchés de l’ASEAN</strong>. Le secteur financier y occupe une place prépondérante avec une contribution de 13 % du PIB, 200 institutions financières, 200 000 employés, 250 fonds d’investissement dont 150 fonds de capital-risque. Pour conserver cette position, le gouvernement de la cité-Etat multiplie les initiatives afin de faire grossir l'écosystème <em>fintech</em> local, qui compte environ 600 startups.</p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p style="text-align: center;"><img class="marge" title="50 startups françaises SFF SWITCH" src="/Articles/b1fb5497-2af2-4dfd-b423-99e214a2d19a/images/9c82aa01-9be4-4898-aa33-d59642757228" alt="50 startups françaises SFF SWITCH" width="522" height="391" /></p>
<p style="text-align: center;"> </p>
<p style="text-align: justify;">Cette année, compte-tenu de l’importance des délégations de startups et de Fintechs, le SER de Singapour a proposé à tous d’organiser sur la base d’un co-financement un <strong>Espace « Choose France - La French Tech</strong> ». Cet Espace, organisé par la Chambre de Commerce française de Singapour, a pu être mis en place grâce à l'engagement de la communauté French Tech de Singapour, à un soutien financier du « Community Fund » de la French Tech, et au soutien financier et opérationnel des sponsors (CACIB Crédit Agricole Bank, Bpifrance, Banque de France, CCEF de Singapour, CIC Bank, Société générale Bank). Ainsi, <strong>plus de 50 startups et fintechs françaises, venues de France et présentes à Singapour, ont activement participé à la semaine</strong>. En effet, des délégations conduites par Bpifrance, le Lab de la Banque de France, Le village Crédit Agricole Bank, la Chambre de Commerce française et Girls in Tech, ont pris part aux nombreux évènements de la semaine.</p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
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<p>Le programme des délégations françaises pour la semaine du 11 au 15 novembre 2019 comportait notamment :</p>
</blockquote>
<p style="text-align: justify;">- <strong>KICK-OFF MEETING</strong> : contexte macro-économique de l’ASEAN & Singapour, tendances, pratique des affaires, codes culturels et un FOCUS MARCHÉ : enjeux et potentiel des secteurs FinTech et Ville intelligente.</p>
<p style="text-align: justify;">- <strong>participation au salon SFF x SWITCH 2019 du 11 au 13 novembre 2019</strong>, essentiellement sur l’Espace partagé « Choose France - La French Tech ». La conférence-exposition a porté sur la durabilité, les services financiers, l'industrie 4.0 (Intelligence artificielle, Blockchain, cloud et cybersécurité), l'inclusion financière, et la finance verte.</p>
<p style="text-align: justify;">-<strong> La FRENCH-SINGAPOREAN PITCH SESSION</strong> du 14 novembre 2019 : rencontre de Fintechs françaises et singapouriennes en présence de la Banque de France et de la Monetary Authority of Singhapore (MAS).</p>
<p style="text-align: justify;">- <strong>Le ASIA START-UP SUMMIT</strong> le 15 novembre 2019 : séance de pitch de Startups innovantes de la région ASEAN et de France - Sessions startups / corporates de Business Matching et de speed-meeting B2B.</p>
<p style="text-align: justify;">- <strong>4 évènements de FRENCH TECH NETWORKING</strong> ont été organisés le 11, le 12 et le 13 novembre 2019.</p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<blockquote>
<p>La Banque de France ouvre un deuxième bureau à l'étranger à Singapour</p>
</blockquote>
<p style="text-align: justify;">M. Denis BEAU, 1<sup>er</sup> vice-gouverneur de la Banque de France, qui intervenait au Fintech festival, a annoncé l’ouverture début 2020 du bureau Asie de la Banque de France à Singapour. Il s'agira du deuxième bureau de la Banque de France à l'étranger après New York, ouvert en 2010. Ce bureau assurera un suivi renforcé des places financières asiatiques, et développera des échanges de proximité avec les banques centrales et les autorités financières de la région Asie-Océanie. La MAS et la Banque de France prévoient dans cette perspective de développer leur coopération en matière de Fintechs et de finance verte.</p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
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<p>Une présence qu’il s’agit de renforcer</p>
</blockquote>
<p style="text-align: justify;">Indéniablement, la semaine SWITCH / Fintech Festival de Singapour est devenu l’évènement Tech majeur de la région Asie-Pacifique, qui regroupe les startups, les <em>fintechs</em>, les fonds d’investissements et de capital-risque, les opérateurs du secteur financier et les grands groupes. L’amplification de la présence française pour l’évènement 2020 (pavillon, évènements, intervenants à la conférence, participants aux différents concours,…) va être étudiée afin de tirer le meilleur parti de cette montée en puissance.</p>
<p> </p>8ea380f5-4f95-4bda-8351-90492212df44La Communauté French Tech Taïwan a tenu son premier conseil d’administration à Taipei le 26 avril 2019.Outre son positionnement géographique exceptionnel au cœur des chaines de valeur globales et régionales, un des tout premiers investisseurs étrangers en Chine, 13ème au monde en termes de compétitivité (WEF), 13ème pour l’environnement des affaires (WB), Taïwan est aussi réputé pour sa protection juridique, notamment en termes de propriété intellectuelle, la qualité de son cadre de vie et la gentillesse de ses habitants. Taïwan est classé au 4ème rang mondial en termes de protection des investissements étrangers (BERI) en 2019. Taïwan détient par ailleurs les 5ème réserves mondiales en devises pour une population de 23 millions d'habitants. Son écosystème offre un environnement particulièrement adapté aux entreprises "fabless" et aux startups à la recherche d'un partenaire industriel local, l'industrie représente encore 35% du PIB, avec la promesse d'un accès rapide au marché global en raison de la place centrale de Taïwan dans les chaines de valeur de l'industrie mondiale. UNAB2019-04-28T00:00:00+02:00<p style="text-align: justify;">Outre son positionnement géographique exceptionnel au cœur des chaines de valeur globales et régionales, un des tout premiers investisseurs étrangers en Chine, 13ème au monde en termes de compétitivité (WEF), 13ème pour l’environnement des affaires (WB), Taïwan est aussi réputé pour sa protection juridique, notamment en termes de propriété intellectuelle, la qualité de son cadre de vie et la gentillesse de ses habitants. <strong>Taïwan est classé au 4<sup>ème</sup> rang mondial en termes de protection des investissements étrangers (BERI) en 2019</strong>. Taïwan détient par ailleurs les <strong>5ème réserves mondiales en devises pour une population de 23 millions d'habitants.</strong> Son écosystème offre un environnement particulièrement adapté aux entreprises "fabless" et aux startups à la recherche d'un partenaire industriel local, <strong>l'industrie représente encore 35% du PIB,</strong> avec la promesse d'un accès rapide au marché global en raison de <strong>la place centrale de Taïwan dans les chaines de valeur de l'industrie mondiale</strong>. </p>
<p style="text-align: justify;"><strong> UNABIZ</strong>, société singapourienne créée par deux entrepreneurs français talentueux, simultanément à Singapour et à Taipei, a ainsi noué un partenariat à succès avec<strong> SIGFOX</strong> pour le développement réussi de ses activités à Taïwan et en Asie, <strong>UPMEN</strong> société fabless de Grenoble, inventeur d’une technologie disruptive d’accélération du fonctionnement big data des serveurs informatiques s’est associé à un entrepreneur taïwanais de renom pour conquérir le marché mondial, <strong>DIABNEXT</strong> a inventé un procédé innovant pour le suivi du diabète à distance, <strong>OPTINVENT</strong> et le taïwanais Chasewind développent ensemble une technologie de lunettes à réalité augmentée, <strong>ODYSSEUS</strong> propose des services de lancement de satellites, <strong>SYMAPS</strong> a inventé un algorithme puissant capable d’identifier le meilleur emplacement pour une implantation commerciale, <strong>BAIAN</strong> s’est spécialisé dans les services de rémittence, <strong>SCHOOLAB</strong> s’est implanté durablement à Taïwan au sein du Taiwan Tech Arena (TTA) qui héberge notamment le French Tech Hub,...Cette dynamique illustre le succès de la French Tech Taiwan activement soutenue par le BFT dans le cadre d’un <strong>partenariat avec le ministère taïwanais des sciences et des technologies (MOST)</strong> et les autres membres du Team France Taïwan (Service économique, Business France, CCIFT, CCEF) et les membres de l’écosystème local de l’innovation comme M. Pascal Viaud, représentant de <strong>la métropole de Grenoble, du CEA-Leti</strong> et CEO de la société UBIK, dans le cadre d’un pilotage assuré par M. Laurent Le Guyader, Expert Technique International Innovation à Taipei de 2016 à 2018.</p>
<p style="text-align: justify;">Cette dynamique franco-taïwanaise de l'innovation et de l'entreprenariat connait un nouvel élan depuis l<strong>a création de la Communauté French Tech Taiwan en avril 2019</strong>. Elle est dorénavant animée par un board de représentants d’entreprises françaises qui a désigné deux co-présidents. <strong>Le premier board de cette communauté French Tech Taïwan s’est tenue dans les locaux du TTA, le 26 avril 2019,</strong> en présence du Chef du Service économique, du COCAC, du Directeur du bureau Business France et du Directeur de la CCIFT. Il a notamment permis de faire un premier bilan du lancement récent d’un Club Open Innovation au sein de cette communauté, de rappeler <strong>l’échéance du salon INNOVEX (28/05 – 1/06)</strong> inscrit à la programmation de Business France, ainsi que des contacts pris en France avec la mission French Tech concernant le financement des actions qui pourraient être lancées par cette communauté pour soutenir la dynamique de l’écosystème local de la French Tech et de ses 300 membres.</p>
<p><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" title="Première réunion du board de la French Tech Taïwan avril 2019" src="/Articles/8ea380f5-4f95-4bda-8351-90492212df44/images/99eb6c3b-c0c5-4442-ae77-637e938b4fdf" alt="French Tech Taiwan" width="786" height="786" /> </p>376e7f99-d2e9-4f1a-a48d-dfe5bc0617f6Brèves de l'ASEAN semaine 14 (2019)Brèves de l'ASEAN semaine 14 (2019)2019-04-05T00:00:00+02:00<p><img class="sans-marge" title="Breves ASEAN" src="/Articles/376e7f99-d2e9-4f1a-a48d-dfe5bc0617f6/images/d1def907-f52f-4c02-81d4-087aa9557397" alt="Breves ASEAN" /></p>
<div>
<blockquote>
<p><strong>Faits saillants</strong></p>
</blockquote>
<p style="text-align: justify;"><strong>► La croissance du PIB vietnamien s’établit à 6,8 % au T1 2019</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>► Bangkok, Hanoi-Hô Chi Minh Ville, Phnom Penh et Singapour sont officiellement labellisés « communautés French Tech »<br /></strong></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>► </strong><strong><em>Airbus</em></strong><strong> et l’indonésien <em>GMF AeroAsia</em> signent un nouveau partenariat pour la maintenance de pièces d’appareils A320 et A330</strong></p>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<blockquote>
<p align="center"><strong>Région</strong></p>
</blockquote>
</div>
<ul style="text-align: justify;" type="square">
<li><strong>Bangkok,</strong> <strong>Hanoi-Hô Chi Minh Ville, Phnom Penh et Singapour sont les quatre « communautés French Tech » en ASEAN à avoir été labellisées le 3 avril par le Secrétaire d’Etat au numérique Cédric O et la directrice de la Mission French Tech Kat Borlongan</strong>. Au total, ce sont 13 Capitales, basées en France, et 86 Communautés (38 en France, 48 à l’international, dont 12 en Asie) French Tech qui ont été labellisées. Ces communautés devront permettre le regroupement au niveau local de fondateurs de startups, d'investisseurs et de toutes les parties prenantes de l'écosystème numérique local et aider à l’accélération des startups. Un <em>Community Fund</em>, doté de 2 M EUR, va être lancé et cofinancera les initiatives portées par les Communautés.<br /><br /></li>
<li><strong>La Banque asiatique de développement (BAD) a annoncé ses prévisions de croissance pour l’Asie du Sud-Est, à 4,9 % en 2019 et 5,0 % en 2020</strong>, en légère baisse par rapport à 2018 (5,1 %) ainsi que par rapport à ses précédentes prévisions (croissance anticipée de 5,2 % pour 2019 à l’automne 2018). L’accroissement de la demande domestique devrait permettre de limiter les effets du ralentissement des exportations, estime l’institution. La consommation, stimulée par la hausse des salaires, une inflation et des transferts de migrants stables, devrait tirer la croissance en Indonésie, en Malaisie, aux Philippines, à Singapour et en Thaïlande, tandis que les investissements étrangers devraient soutenir la croissance du Cambodge et du Vietnam.</li>
</ul>
<div style="text-align: justify;">
<blockquote>
<p align="center"><strong>Indonésie</strong></p>
</blockquote>
</div>
<ul style="text-align: justify;" type="square">
<li><strong>Airbus et la filiale de maintenance de <em>Garuda Indonesia</em>,<em> GMF AeroAsia</em>, ont signé un nouveau partenariat qui vient renforcer les capacités de maintenance de l’entreprise indonésienne</strong>. Cette dernière pourra désormais fournir des services de maintenance des pièces d’A320 et A330 pour l’Asie du Sud-Est et recevra de l’avionneur européen les outils nécessaires. <em>GMF AeroAsia </em>était déjà un centre de formation pour la maintenance, certifié par <em>Airbus</em> depuis 2013.<br /><br /></li>
<li><strong>Le gouvernement indonésien a adopté une réglementation encadrant les tarifs des transports à la demande, dans le but de protéger les travailleurs du secteur en instaurant une rémunération minimale</strong>. Cette nouvelle réglementation, qui entrera en vigueur au 1<sup>er</sup> mai 2019, devrait provoquer une hausse des tarifs de l’ordre de 20 %. A noter que d’après une étude de l’<em>University of Indonesia</em> portant sur la valeur ajoutée (évaluée à 3 Mds USD) créée par l’entreprise de transport à la demande <em>Go-jek, </em>les revenus des entrepreneurs proposant leurs services <em>via</em> l’application sont déjà supérieurs (environ 345 USD par mois pour les chauffeurs de deux-roues) au revenu minimum dans les neuf plus grandes villes du pays (environ 275 USD par mois à Jakarta).<br /><br /></li>
<li><strong>Le gouvernement indonésien a annulé la réglementation qui visait à renforcer la collecte fiscale auprès des entreprises indonésiennes opérant sur les sites de e-commerce</strong>. Elle devait obliger les plateformes de e-commerce à reporter les numéros fiscaux des entreprises vendant des produits <em>via</em> leurs sites, et précisait que les transactions en ligne étaient soumises à la TVA et à la taxe sur les produits de luxe. Les acteurs du e-commerce se sont soulevés contre cette réglementation, qui devait entrer en vigueur le 1<sup>er</sup> avril 2019, arguant qu’elle poserait un frein au développement des petites et moyennes entreprises et n’instaurait pas un régime équitable vis-à-vis des entreprises vendant leurs produits sur les réseaux sociaux.</li>
</ul>
<div style="text-align: justify;">
<blockquote>
<p align="center"><strong>Malaisie</strong></p>
</blockquote>
</div>
<ul style="text-align: justify;" type="square">
<li><strong>La valeur des transactions financières réalisées par services bancaires mobiles a doublé en 2018 par rapport à l’année précédente</strong>, selon la banque centrale. Elle est passée de 12,4&nbspMds&nbspUSD en 2017 à 24,5&nbspMds&nbspUSD en 2018, pour un nombre de transactions de 257 millions, contre 108 millions en 2017. Dans le même temps, le nombre d’utilisateurs de services bancaires mobiles est passé de 4,4 à 6,6 millions. Par ailleurs, le nombre d’utilisateurs de services de paiements mobiles non-bancaires a été multiplié par 10 en 2018 (10,4 millions d’utilisateurs, contre moins d’un million en 2017) et ces services ont géré 31,1 millions de paiements pour une valeur totale de 310 M USD, tandis qu’avaient été dénombrées 1 million de transactions pour 58&nbspM&nbspUSD en 2017.</li>
</ul>
<div style="text-align: justify;">
<blockquote>
<p align="center"><strong>Singapour</strong></p>
</blockquote>
</div>
<ul style="text-align: justify;" type="square">
<li><strong>Le gouvernement a présenté au Parlement singapourien un projet de loi visant à lutter contre la dissémination de « <em>fake news</em> »</strong> (<em>Protection from Online Falsehoods and Manipulation Bill</em>). En l’état, le projet autoriserait le gouvernement à demander le retrait ou la correction d’une information fausse et représentant une menace pour l’intérêt général. Non seulement les individus à l’origine de ces informations mais aussi les sites d’information ou les médias sociaux (notamment <em>Twitter, Facebook </em>et <em>Google</em>, dont les sièges régionaux sont basés à Singapour) les relayant pourraient être sanctionnés par les autorités singapouriennes. La diffusion volontaire d’informations fausses serait ainsi punie d’une amende pouvant atteindre 740 000 USD, et possiblement d’emprisonnement (jusqu’à 10 ans).<br /><br /></li>
<li><strong>La société de transport à la demande <em>Uber </em>a ouvert à Singapour ses nouveaux bureaux pour l’Asie Pacifique</strong>. <em>Uber</em> continuera de gérer depuis Singapour les neuf marchés sur lesquels la société opère en Asie bien qu’elle ne soit plus présente en Asie du Sud-Est, après avoir vendu ses activités dans la région à <em>Grab</em> en 2018. </li>
</ul>
<div style="text-align: justify;">
<blockquote>
<p align="center"><strong>Vietnam</strong></p>
</blockquote>
</div>
<ul style="text-align: justify;" type="square">
<li><strong>La croissance du PIB s’établit à 6,8 % en g.a. au premier trimestre 2019</strong>, après 7,3 % au T4 2018. Exception faite de la croissance record observée sur les trois premiers mois de l’année passée (7,5 % au T1 2018), il s’agit du taux le plus élevé pour un premier trimestre depuis 2011. Ce dynamisme est soutenu par l’ensemble des secteurs : sur les trois premiers mois de 2019, le secteur primaire a augmenté de 2,7 % (contribution à la croissance du PIB de 5 %), le secteur secondaire de 8,6 % (contribution de 51 %) et le secteur tertiaire de 6,5 % (contribution de 44 %). Pour rappel, la cible de croissance fixée par le gouvernement vietnamien pour l’année 2019 se situe dans la fourchette de 6,6 à 6,8 %.<br /><br /></li>
<li><strong>Le ministère du plan et de l’investissement a soumis au gouvernement le projet de construction d’un Centre national d’innovation, figurant au programme du Vietnam Innovation Network lancé en août 2018</strong>. Ce complexe de 23 hectares dont l’implantation est prévue sur le site du Hoa Lac Hi-Tech Park, pour un coût estimé à 71,5 M USD, devrait être financé par des entreprises locales et étrangères, sans apport public. Avec ce centre dédié à l’innovation, le gouvernement entend attirer une quarantaine de grandes entreprises, 150 start-ups et PME, une quinzaine de fonds de capital-risque et deux incubateurs, ce qui permettrait la création d’environ 5 000 emplois.<br /><br /></li>
<li><strong>La présidente de l’Assemblée nationale du Vietnam Nguyen Thi Kim Ngan a effectué une visite officielle en France sur invitation de son homologue français Richard Ferrand à l’occasion des 11<sup>èmes</sup> Assises de la coopération décentralisée franco-vietnamienne</strong>, qui se tenaient début avril à Toulouse. A cette occasion, la présidente de l’Assemblée nationale du Vietnam a rencontré le groupe des députés d’amitié France-Vietnam et 15 entreprises françaises pour une séance de travail. Mme Nguyen Thi Kim Ngan s’est également entretenue avec le Premier ministre français Edouard Philippe et a rappelé l’importance de la coopération bilatérale dans les secteurs de l’économie, la défense, la culture, l’éducation.<br /><br /></li>
<li><strong><em>Saint-Gobain</em></strong><strong> a signé un accord avec <em>Vico Quang Tri Co</em> pour la construction d’une usine de production de silicate de calcium</strong>. Le montant de l’investissement serait de 10 M USD.</li>
</ul>
<div style="text-align: justify;">
<blockquote>
<p align="center"><strong>Thaïlande</strong></p>
</blockquote>
</div>
<ul style="text-align: justify;" type="square">
<li><strong>Le thaïlandais<em> Energy Absolute</em> devrait devenir le premier producteur d’énergie d’origine renouvelable du pays d’ici la fin de l’année</strong>, avec l’ajout de capacités éoliennes de 260 MW (dont 138 MW sont déjà opérationnels), pour un investissement total de 564 M USD. L’entreprise entend également développer ses activités dans les secteurs du stockage d’énergie, des véhicules électriques, prévoyant l’allocation de 47 M USD pour la construction de voitures et bateaux électriques et de 125 M USD pour le développement de batteries lithium-ion, mais aussi des biodiesels (budget de 63 M USD pour les activités de développement de nouveaux produits).</li>
</ul>
<div style="text-align: justify;">
<blockquote>
<p align="center"><strong>Philippines</strong></p>
</blockquote>
</div>
<ul style="text-align: justify;" type="square">
<li><strong>La Banque mondiale a revu à la baisse ses prévisions de croissance pour les Philippines, de 6,5 à 6,4 % pour 2019 et de 6,6 à 6,5 % pour 2020</strong>, publiées dans son nouveau rapport <em>Philippines Economic Update</em>. Cet ajustement est en partie imputable au retard dans l’approbation du budget de l’Etat, pesant sur la croissance des dépenses publiques au premier trimestre 2019, et au ralentissement du commerce mondial qui pourrait modérer les exportations de l’archipel. Dans une moindre mesure, le phénomène climatique El Niño qui occasionne des pertes de récoltes agricoles, aura également un effet néfaste sur la croissance économique. Toutefois, la consommation privée devrait se maintenir à un niveau robuste, portée par les transferts de fonds des Philippins résidant à l’étranger et le ralentissement de l’inflation (environ 3 %, après 5,2 % en 2018).</li>
</ul>
<div style="text-align: justify;">
<blockquote>
<p align="center"><strong>Birmanie</strong></p>
</blockquote>
</div>
<ul style="text-align: justify;" type="square">
<li><strong>Le directeur général du <em>Consumer Affairs Department</em>, au sein du ministère du commerce, a tenu une conférence de presse fin mars sur la nouvelle Loi pour la protection des consommateurs, promulguée par le Président de l’Union le 15 mars 2019</strong>. La disposition de la loi portant sur l’étiquetage en birman de tous les produits, y compris importés, entrera en vigueur le 15 mars 2020, laissant ainsi un an aux entreprises pour s’y préparer. Cette disposition de la nouvelle loi annule la directive sur l’étiquetage en birman prise en novembre 2018, qui devait être effective à partir d’avril 2019.</li>
</ul>
<div style="text-align: justify;">
<blockquote>
<p align="center"><strong>Cambodge</strong></p>
</blockquote>
</div>
<ul style="text-align: justify;" type="square">
<li><strong>Lors du 18<sup>ème</sup> Forum gouvernement-secteur privé, le Premier ministre Hun Sen a annoncé un plan de réformes économiques, qui représenteraient jusqu’à 400 M USD d’économies par an pour le secteur privé (soit près de 2 % du PIB du pays)</strong>. Un certain nombre d’initiatives sont envisagées, visant notamment à la réduction des coûts liés au transport et à la logistique, à la réduction des coûts de l’électricité, à la diminution du nombre de jours fériés, à l’introduction d’incitations fiscales et à la révision de la loi sur l’investissement et sur les zones économiques spéciales. Les autorités ont déclaré que ces réformes auraient pour but d’accroître la compétitivité des entreprises cambodgiennes face à l’éventuel retrait du régime « Tout Sauf les Armes », qui représenterait un manque à gagner évalué à 676 M USD.</li>
</ul>
<div style="text-align: justify;">
<blockquote>
<p align="center"><strong>Laos</strong></p>
</blockquote>
</div>
<ul type="square">
<li style="text-align: justify;"><strong>Les travaux sur la voie ferrée devant relier la Chine au Laos devraient être terminés d’ici à 2021</strong>, ont confirmé les autorités laotiennes. 61 % du projet était terminé fin février 2019 et 95 % des terrains nécessaires à la construction ont été acquis. Le montant des indemnisations devrait s’élever à près de 100 M USD.<br /><br /></li>
<li style="text-align: justify;"><strong>1 225 projets d’investissement, en particulier dans le domaine des infrastructures, ont été mis en œuvre illégalement au cours des dernières années</strong>, ont indiqué les autorités. Parmi ceux-ci, les autorités ont signalé des projets d’infrastructures non-approuvés, attribués dans le cadre d’appel d’offres ne répondant pas aux réglementations ou attribués en l’absence d’appel d’offre, ou encore des projets dits « de mauvaise qualité ». Les inspections réalisées devraient permettre au gouvernement de réaliser près des économies de près de 419 M USD.</li>
</ul>
<p> </p>
<p><em>Rédigé par : Pôle macroéconomique SER de Singapour</em><br /><em>Contributions : SE de Bangkok, SE d’Hanoï, SE de Jakarta, SE de Kuala Lumpur, SE de Manille, SE de Rangoun, SE de Phnom Penh et Antenne de Vientiane</em></p>44e19e78-2aa8-4b55-a988-375c1bf9dc4f7ème commission mixte France Taïwan Co-présidée par Claire Cheremetinski, cheffe du Service des Affaires Bilatérales et de l’Internationalisation des Entreprises de la DG Trésor et Jenni Yang, Directrice Générale du Bureau du Commerce extérieur (BOFT) du ministère des Affaires économiques taïwanais (MOEA), la 7ème commission mixte France Taïwan s’est tenue, le 7 novembre 2018, à Taipei.La 7ème commission mixte France Taïwan a permis de souligner les avancées réalisées dans l’accès au marché dans les secteurs agroalimentaire (filière porcine) et cosmétiques (nouvelle loi adoptée en 2018) tout en rappelant les priorités françaises : levée de l’embargo sur les exportations de viandes de bœuf, finalisation d’un accord sur le zonage lors du groupe de travail bilatéral sur l’agriculture en fin d’année. Les attentes françaises dans les secteurs pharmaceutique (délai d’enregistrement,…) et cosmétique (reconnaissance des assesseurs étrangers,…) ont également été rappelées. Les partenariats franco-taïwanais qui illustrent la2018-11-27T00:00:00+01:00<blockquote>
<p>Co-présidée par Claire Cheremetinski, cheffe du Service des Affaires Bilatérales et de l’Internationalisation des Entreprises de la DG Trésor et Jenni Yang, Directrice Générale du Bureau du Commerce extérieur (BOFT) du ministère des Affaires économiques taïwanais (MOEA), la 7<sup>ème</sup> commission mixte France Taïwan s’est tenue, le 7 novembre 2018, à Taipei.</p>
</blockquote>
<p><img class="marge" style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" src="/Articles/44e19e78-2aa8-4b55-a988-375c1bf9dc4f/images/58144107-ad94-4ae8-bf0c-4ffec1290102" alt="7ème commission mixte France-Taiwan" /></p>
<p>La 7ème commission mixte France Taïwan a permis de souligner les avancées réalisées dans l’accès au marché dans les secteurs agroalimentaire (filière porcine) et cosmétiques (nouvelle loi adoptée en 2018) tout en rappelant les priorités françaises : levée de l’embargo sur les exportations de viandes de bœuf, finalisation d’un accord sur le zonage lors du groupe de travail bilatéral sur l’agriculture en fin d’année. Les attentes françaises dans les secteurs pharmaceutique (délai d’enregistrement,…) et cosmétique (reconnaissance des assesseurs étrangers,…) ont également été rappelées. Les <strong>partenariats franco-taïwanais qui illustrent la volonté de la France d’être un partenaire stratégique du programme de modernisation économique de Taïwan « 5+2 »</strong> ont été mis en avant: dans l’IOT avec Sigfox et son agent local Unabiz, dans l’industrie du futur avec le français UPMEM et POWERCHIP, dans le solaire flottant avec Ciel & Terre, avec les banques françaises dans la finance verte.</p>
<p><img class="marge" style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" src="/Articles/44e19e78-2aa8-4b55-a988-375c1bf9dc4f/images/8523538a-292b-4675-920e-f5522fb6a59c" alt="entretiens organisés en marge de cette commission mixte" /></p>
<p><strong>Les entretiens organisés en marge de cette commission mixte, avec Chen Mei-Ling, ministre du Développement National, John Deng, ministre en charge des Négociations Commerciales, Wellington Koo, Président de la commission de régulation du secteur financier (FSC) et D. Weng, PDG de Taiwania Capital, ont notamment permis de promouvoir les réformes du gouvernement en matière d’attractivité</strong>. Chen Mei-Ling a notamment rappelé le 13<sup>ème</sup> rang de Taïwan en 2018 pour l’environnement des affaires, son souhait d’une participation accrue des entreprises françaises au programme « 5+2 » et son intérêt pour le salon Vivatech 2019. Une initiative bilatérale dans la Fintech a été lancée avec la FSC qui est intéressée par la réglementation française sur l’ICO introduite dans le projet de loi PACTE. John Deng a pour sa part indiqué que l’impact des tensions commerciales entre la Chine et les USA sur l’économie restait limité mais que l’on constatait un retour d’entreprises taïwanaises de Chine. Il a rappelé que la politique en faveur des 18 pays d’Asie du sud et du pacifique, lancée en 2016, soutenait la diversification de la présence géographique des entreprises taïwanaises dans les chaines de valeur régionales et globales.</p>
<p><strong>La rencontre avec des startups françaises au Taïwan Tech Arena (TTA) a permis d’illustrer la dynamique de la French Tech Taïwan</strong> et l’intérêt de Taïwan comme porte d’entrée du marché asiatique. <strong>Une réunion de travail avec les représentants de trois grands groupes taïwanais du secteur des TIC (Foxconn, Quanta et Datung)</strong> a mis en lumière leur volonté de renforcer leur présence en Europe et notamment en France. Foxconn a déjà des participations dans Actility, PIQ et Devialet à travers son fonds GINKO Venture et Quanta a exprimé son souhait de participer au plan IA lancé par le Président de la République en 2018.</p>
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<p>Crédit photos DG Trésor</p>b136ea8b-ea2f-42ae-b4a0-d7d0878f9c0dLa Tech au Guatemala, un écosystème en pleine expansion Le Guatemala dispose d’un écosystème de startups dynamique porté par la plateforme d’innovation Campus TEC, laquelle est située dans la Zone 4 de la capitale au sein du « 4 Grados Norte », un quartier anciennement malfamé devenu en quelques années l’un des plus branché de la ville2018-11-23T00:00:00+01:00<p>Le Guatemala dispose d’un écosystème de startups dynamique porté par la <strong>plateforme d’innovation Campus TEC, </strong>laquelle est située dans la Zone 4 de la capitale au sein du « 4 Grados Norte », un quartier anciennement malfamé devenu en quelques années l’un des plus branché de la ville. À l’image de la fameuse Station F à Paris, ce campus ultra moderne, équipé de technologies de pointe, rassemble une multitude d’acteurs pour favoriser les partages d’expériences, les rencontres et les synergies : des entrepreneurs, des programmeurs, des investisseurs, des étudiants, des dizaines de grands groupes nationaux et internationaux du secteur technologique, deux universités, des banques, des commerces, des restaurants, des associations, des conseillers (juridiques, financiers, comptables…), un accélérateur d’entreprises et bien sûr des startups.</p>
<p>Composé également d’espaces de coworking, de salles de repos, d’un atelier de prototypage de type Fablab/Makerspace, et proposant quotidiennement des formations, conférences et évènements sur l’innovation ou l’entreprenariat, le Campus TEC offre un environnement idéal pour concrétiser et accélérer tous projets de création d’entreprise.</p>
<p><strong>Considéré comme le plus grand campus de startups en Amérique centrale,</strong> le Campus TEC ambitionne de devenir <strong>le principal hub technologique d’Amérique latine d’ici 2020</strong>, se désignant ainsi comme la Silicon Valley de la région. Créé en 2010 par Juan Mimi, fondateur de l’entreprise californienne à succès ZipRealty, <strong>le Campus TEC accueille aujourd’hui près de 150 jeunes pousses</strong>. Deux tours de 12 étages sont actuellement en construction, ce qui permettra de doubler dans les 18 prochains mois le nombre de startups au sein du campus et ainsi enrichir la vaste communauté qui le compose. Les dirigeants du Campus TEC cherchent aujourd’hui à étendre son influence en nouant des partenariats avec des acteurs à l’international (incubateurs, plateformes d’innovation, associations, opérateurs publics, grandes entreprises…) et en accueillant des startups étrangères.</p>
<p>Des entreprises à succès sont passées par ces locaux : <a href="https://www.xoom.com/">Xoom</a> (ex-BlueKite, spécialisée dans le transfert de fonds et vendue par le Guatémaltèque Kyle Pasarelli à Paypal pour près d’un milliard de dollars, dont elle est aujourd’hui une filiale), <a href="http://t4m.demo.gt/">Tech4Mobile</a> (appartenant à Vladimir González), <a href="http://www.milkncookies.tv/">Milkn’Cookies</a> (appartenant à Juan Carlos Ruiz; plus de 50 employés), <a href="https://molvu.com/">Molvu</a>, <a href="https://www.widefense.com">Widefense</a>, l’agence <a href="https://royalestudios.com/">Royale Studios</a> ou encore <a href="https://www.multiverse.vc/">Multiverse</a>. Depuis 2017, la startup <a href="https://traeguate.gt/">TraeGuate</a>, cofondée par le français Louis Prouvost, laquelle développe une application de covoiturage pour l’Amérique centrale, est passée par les locaux de Campus TEC. L'entreprise française Orange a notamment déjà eu recours au service d’une société guatémaltèque, présente dans le campus pour son portail internet mobile.</p>
<p>On peut également mentionner d’autres réussites du secteur de la Tech guatémaltèques, hors Campus TEC, telle que l’application internationale <a href="https://fr.duolingo.com/">Duolingo</a>, laquelle a été conçue par l’informaticien guatémaltèque Luis von Ahn. Ce dernier a également développé le système mondialement utilisé <a href="https://www.google.com/recaptcha/intro/v3.html">reCAPTCHA</a>, racheté par Google en 2009 et qui permet de différencier de manière automatisée un utilisateur humain d'un ordinateur. Récemment, la startup <a href="https://www.kingoenergy.com/">Kingo Energy</a> (prix de l’innovation 2014 du MIT), qui a développé un service prépayé d’énergie solaire innovant pour satisfaire les besoins en électricité des populations en zones rurales, a récemment reçu le soutien public de Léonard Di Caprio et près de 1,7 MUSD de financements de la part de Proparco (filiale pour le secteur privé de l’Agence Française de Développement - AFD). Juan Fermin Rodriguez, son fondateur, a par ailleurs été convié à l’édition 2017 du « Hacking de l’hôtel de ville » à Paris, aux côtés de plus de 1000 jeunes pousses du monde entier. On citera aussi le fameux « serial entrepreneur » guatémaltèque de 36 ans, Matías de Tezanos, fondateur, entre autres, de la holding <a href="http://www.peoplefund.com/">PeopleFund</a> qui réalise un chiffre d’affaires de plus de 350 MUSD.</p>
<p>Le Guatemala s’affiche ainsi comme l’un des hubs technologiques les plus prometteurs d’Amérique Latine dont il conviendra de suivre attentivement son évolution. La croissance remarquable de son écosystème de startups local laisse présager une multiplication des collaborations futures au niveau international et français (French Tech).</p>b3a12abf-ca42-46f1-832d-c15db4e44dfdOutreach : Séminaire de la communauté économique française aux États-UnisLe 19 octobre 2018, l’ensemble des acteurs institutionnels d’appui à l’économie française aux États-Unis se sont réunis à l’Ambassade de France à Washington pour la troisième édition du séminaire de la communauté économique française aux États-Unis.Plus de 80 participants sont venus de 20 villes à travers les États-Unis, reflétant la densité et la diversité de la présence économique française dans ce pays : les 9 comités CCE aux États-Unis, les 20 chambres de commerce franco-américaines, Business France, les Consuls généraux de France aux États-Unis, Atout France, la French Tech et les différents services de l’Ambassade de France actifs en matière économique. Cette édition a vu la participation pour la première fois de Bpifrance et de Paris Région Entreprises, reflétant ainsi le rôle montant des régions dans le soutien de notre économie à l’international. M. Alain Bentéjac, Président du Conseil National des Conseillers du Commerce Extérieur et M. Frédéric Doré, Directeur des Amériq2018-10-25T00:00:00+02:00<blockquote>
<p style="margin: 0in 0in 0pt;">Le 19 octobre 2018, l’ensemble des acteurs institutionnels d’appui à l’économie française aux États-Unis se sont réunis à l’Ambassade de France à Washington pour la troisième édition du séminaire de la communauté économique française aux États-Unis.</p>
</blockquote>
<p style="margin: 0in 0in 0pt;">Plus de 80 participants sont venus de 20 villes à travers les États-Unis, reflétant la densité et la diversité de la présence économique française dans ce pays : les 9 comités CCE aux États-Unis, les 20 chambres de commerce franco-américaines, Business France, les Consuls généraux de France aux États-Unis, Atout France, la French Tech et les différents services de l’Ambassade de France actifs en matière économique. Cette édition a vu la participation pour la première fois de Bpifrance et de Paris Région Entreprises, reflétant ainsi le rôle montant des régions dans le soutien de notre économie à l’international. M. Alain Bentéjac, Président du Conseil National des Conseillers du Commerce Extérieur et M. Frédéric Doré, Directeur des Amériques au Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, ont fait le déplacement depuis Paris pour cet évènement, ainsi que leurs équipes.</p>
<p style="margin: 0in 0in 0pt;"> </p>
<p style="margin: 0in 0in 0pt;">Réunis à l’initiative du service économique régional des États-Unis et sous le haut patronage de l’Ambassadeur de France, ce séminaire a permis d’échanger librement sur des sujets d’intérêt commun, comme les enjeux de la relation économique franco-américaine et la place de la France dans les classements internationaux et de dessiner des axes d’action commune.</p>
<p style="margin: 0in 0in 0pt;"> </p>
<p style="margin: 0in 0in 0pt;">À l’issue de ce séminaire, les participants ont également pu échanger avec des partenaires américains tels que l’Organization for International Investment, le Département du Commerce, l’U.S. Chamber of Commerce et la National Governors Association, réunis à la Résidence de France, et qui sont autant de partenaires utiles pour développer l’action commune sur l’ensemble des territoires américains.</p>
<p style="margin: 0in 0in 0pt;"> </p>
<p style="margin: 0in 0in 0pt;">Lancé en 2016, ce séminaire annuel est devenu à la fois un évènement incontournable et nécessaire dans le contexte politique américain et alors que la France souhaite faire passer des messages forts sur la transformation économique à l’œuvre dans notre pays.</p>
<p style="margin: 0in 0in 0pt;"> </p>
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<p><img class="marge" src="/Articles/b3a12abf-ca42-46f1-832d-c15db4e44dfd/images/997cefb6-e035-4821-9bb0-23eeb12e8773" alt="Plénière du séminaire" /></p>0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900acFrance at the CEATEC The CEATEC (Combined Exposition of Advanced Technologies) is the leading technology trade fair in Japan. It aims to create business opportunities and facilitate information exchange across a wide range of stakeholders of the Tech industry, while facilitating the advent of the “Society 5.0” championed by the Japanese Government and helping to solve social issues through technology.French companies turn out in large numbers at CEATEC 2018, showcasing French technological expertise including across a large spectrum of industrial activities France was under the spotlight with a strong presence at CEATEC 2018, with a dedicated France Pavilion in the Co-creation Park and no less than 16 companies exhibiting on the salon. They gave rotating pitch presentations to visitors and during a special event under the theme “Assets of French Technology”.The active participation of these companies displayed French expertise in the field of innnovation, digital and industry. Especially, the 2018-10-19T00:00:00+02:00<h2 style="text-align: center;"><strong> </strong></h2>
<p style="text-align: center;"><strong> <img class="marge" title="a" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/13dcef52-c3a2-47f2-a7be-2ab440cbf589" alt="Logo Ceatec" width="438" height="282" /></strong></p>
<p> </p>
<div class="focus">
<p style="text-align: justify;">The CEATEC (<em>Combined Exposition of Advanced Technologies</em>) is the leading technology trade fair in Japan. It aims to create business opportunities and facilitate information exchange across a wide range of stakeholders of the Tech industry, while facilitating the advent of the “Society 5.0” championed by the Japanese Government and helping to solve social issues through technology.</p>
</div>
<h5><strong><u>French companies turn out in large numbers at CEATEC 2018, showcasing French technological expertise including across a large spectrum of industrial activities </u></strong></h5>
<p style="text-align: justify;">France was under the spotlight with a strong presence at CEATEC 2018, with a dedicated France Pavilion in the Co-creation Park and no less than 16 companies exhibiting on the salon. They gave rotating pitch presentations to visitors and during a special event under the theme “Assets of French Technology”.</p>
<p style="text-align: justify;">The active participation of these companies displayed French expertise in the field of innnovation, digital and industry. Especially, the entire value chain was represented. It is worth mentioning a strong showing in robotics where France benefited from its good positioning in software to deliver a powerful impression in Japan, the world leading country for robots.</p>
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<p><strong><span style="text-decoration: underline;"><span style="text-decoration: none;"><img class="marge" style="float: right;" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/fb01412c-390f-47fd-865d-76672b1a0e80" alt="Buddy" width="342" height="228" /></span></span></strong></p>
<p><strong><span style="text-decoration: underline;"><span style="text-decoration: none;"><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/84dfa264-bd73-40c0-aead-44e2d67ad52a" alt="Hoomano" width="341" height="227" /></span></span></strong></p>
<p style="text-align: center;"> Source : ロボスタ - ロボット情報WEBマガジン : <a class="twitter-timeline-link" dir="ltr" title="https://buff.ly/2CP2pJE" href="https://t.co/Pqxbq8OTKg" target="_blank" rel="nofollow noopener noreferrer" data-expanded-url="https://buff.ly/2CP2pJE"><span class="js-display-url">buff.ly/2CP2pJE </span></a></p>
<p style="text-align: justify;">The Ambassador of France, Mr Laurent Pic, visited the Pavilion on Tuesday, October 16. He was greeted by Parliamentary Vice-Minister for Economy and Industry Akimasa Ichikawa and JEITA president Masaki Sakuyama at a welcome ceremony where all three gave short speeches celebrating France-Japan cooperation in the field of new technologies.</p>
<p><strong><span style="text-decoration: underline;"><span style="text-decoration: none;"><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/11343c0f-ea9c-47a1-bb19-cf6d9185b1ec" alt="Ceremonie" width="507" height="310" /></span></span></strong></p>
<p style="text-align: justify;">Mr Laurent Pic met with representatives of each French exhibitors on their booth. He also toured the Pavilion together with Minister of Economy and Industry Hiroshige Seko, who discussed with several French innovative companies representatives.<strong><s><span style="text-decoration: none;"> <br /></span></s></strong></p>
<p style="text-align: center;"> <strong><span style="text-decoration: underline;"><span style="text-decoration: none;"><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/7c6663a7-3f57-449d-ac70-d622cbc6d452" alt="Ministre" width="510" height="383" /></span></span></strong></p>
<h5><strong><span style="text-decoration: underline;">French representatives of industry and public officials actively participated in the majors events of CEATEC 2018</span></strong></h5>
<p style="text-align: justify;">Mr. Philippe Forestier, Founding Member and Global affairs special adviser of Dassault Systèmes, talked on open innovation, education and other subjects of interest during the opening Global Symposium on Monday, October 15, along with BDI chairman Dieter Kempf, JEITA chairman Masaki Sakuyama and Salesforce CEO Parker Harris. He also introduced the French strategy to develop the Industry of the Future in France and the efforts of the Alliance Industrie du Futur (AIF) to transform the economic patterns of the French industrial companies and modernize their productive assets through digitization. He later joined the Japanese Minister of Economy and Industry Hiroshige Seko on the stage as a special guest during the opening ceremony of CEATEC 2018.</p>
<p style="text-align: justify;">The economic department of the Embassy of France also took part in several seminars and panel discussions during CEATEC 2018, on subjects such as the education of human resources in the Tech industry, transborders data flows and regulations, and international cooperation in the context of the hosting of G7 by France and G20 by Japan in 2019. Especially, it gave a presentation on the pioneering tuition-free and teacher-free coding school Ecole 42 (<em>School 42</em>) which recently built up on its success in France by opening a Silicon Valley campus.</p>
<p><strong><s><span style="text-decoration: none;"> </span></s></strong></p>
<p><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/a3a1f711-7edc-4af9-b1e4-9f03d8936d0c" alt="groupe" /></p>
<p><strong><s><span style="text-decoration: none;"> </span></s></strong></p>
<p><strong><s><span style="text-decoration: none;"> </span></s></strong></p>
<div class="focus">
<p>Below is a list of participating French companies with a short motto / message to the Japanese public:</p>
<p><strong>WeAre</strong>: “<em>Let’s build</em><em> together the next success stories</em>”</p>
<p><a href="https://buddytherobot.com/fr/buddy-le-robot-emotionnel-famille/"><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/25ce0346-53e5-4ba9-88ba-e7abc9368868" alt="WeAre" /></a></p>
<p><a href="https://www.weare-aerospace.com/fr/we-are-groupe/">site web</a></p>
<p><strong>Dassault Systemes</strong>: “<em>Dassault Systemes’ 3DEXPERIENCE Lab Startup Accelerator Program enables startups to reduce the gap between ideation and product, while extending and improving the real world with sustainable and social innovation. It benefits Japanese startups to design, simulate, build and deliver their products and services in a highly customized way for both local Japanese customers and international markets.</em> ”</p>
<p><a href="https://buddytherobot.com/fr/buddy-le-robot-emotionnel-famille/"><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/d5a0eb38-aeed-464f-98b7-c2c54bc121a2" alt="b" /></a></p>
<p><a style="font-family: Calibri, sans-serif; font-size: 14.666666984558105px;" href="https://webmail.dgtresor.gouv.fr/owa/redir.aspx?C=vb0OZtWAs00WBkHsatzOYXrSYpcOojSVIcXHF3hk0fhk5hij6zvWCA..&URL=http%3a%2f%2f3dexperiencelab.3ds.com%2fen%2f" target="_blank" rel="noopener noreferrer">http://3dexperiencelab.3ds.com/en/</a></p>
<p><strong>Valeo</strong>: “<em>Valeo leads the three revolutions of Mobility: Electrification, Digitalization and Autonomous Driving.</em>”</p>
<p><a href="https://www.3ds.com/fr/"><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/a265aec1-4324-4938-8b79-66d86d6abd64" alt="c" /></a></p>
<p><em><a href="https://www.valeo.com/fr/">site web</a></em></p>
<p><strong>Bluefrogrobotics</strong>: “<em>WE WANT EVERYONE TO ADOPT HIS PERSONAL EMOTIONAL ROBOT! Challenge achieved as BUDDY is the first emotional companion robot to hit the market this year! Japan is a front runner for the growth of its aging population. BUDDY is undoubtedly the ideal companion for providing individuals with a high quality of life and social well-being.</em>”</p>
<p><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/119a0235-8706-4810-bddf-afcd3ecf7d72" alt="d" width="266" height="74" /></p>
<p><a href="https://buddytherobot.com/fr/buddy-le-robot-emotionnel-famille/">site web</a></p>
<p><strong>Dracula Technologies</strong>: “<em>Dracula Technologies has created LAYER®, organic photovoltaic cells by inkjet printing. LAYER® is efficient to answer batteries’ problematics for IoT. It makes sense to present our innovative technology at Japanese major which are at the cutting-edge of the electronic market</em><em>.</em> ”</p>
<p><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/0d38649f-f3ad-438e-97cd-230c6af53af1" alt="e" width="131" height="94" /></p>
<p><a href="https://dracula-technologies.com/fr/layer/">site web</a></p>
<p><strong>Hoomano</strong>: “<em>Artificial Intelligence to enable everyone to interact instinctively with technology.</em>”</p>
<p><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/f665b2c7-d248-49d7-b9ff-ff1107835204" alt="f" width="173" height="96" /></p>
<p><em><a href="https://hoomano.com/fr/accueil/"> site web</a></em></p>
<p><strong>Ironova</strong>: “<em>EmotionSense : Emotions at the heart of technology"</em></p>
<p><em><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/9dd5ea22-59f6-477e-b62e-65150156212a" alt="g" width="258" height="73" /></em></p>
<p><a href="https://www.ironova.com/">site web</a></p>
<p><strong>Manutech</strong>: “<em>Manutech USD : Europe largest femtosecond laser platform for the industry. Dream a surface, Manutech design it gor you.</em>”</p>
<p><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/8e775a82-3de7-49b1-a34c-5c65d0d3e144" alt="h" width="243" height="80" /></p>
<p><a href="http://www.manutech-usd.fr/">site web</a></p>
<p><strong>Nanomakers</strong>: “<em>Nanomakers produces patented silicon based nanopowders for material reinforcement : they double the anode energy density of Li-ion batteries and disruptively improve the mechanical properties of elastomers, metal alloys and ceramics. Nanomakers nanopowders are very attractive for the Japanese market : here, world leaders in the field of materials highly appreciate our best-in-class innovative nano-additives.</em>”</p>
<p><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/16c5581c-5d08-472a-a726-7082262dd420" alt="i" width="477" height="55" /></p>
<p><a href="https://www.nanomakers.fr/">site web</a></p>
<p><strong>Norimat</strong>: “<em>Flash production of high-performance materials”</em></p>
<p><em><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/9f500872-69e2-4b82-b908-209aff9ad198" alt="j" width="247" height="92" /></em></p>
<p><a href="http://www.norimat.com/">site web</a></p>
<p><strong>Secure IC</strong>: “<em>Thanks to its technical excellence and its experience securing devices for customers in many vertical markets all over the world, Secure-IC hopes to help Japan towards a more secure connected society, with the goal of the Tokyo 2020 Olympics</em>”</p>
<p><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/c03725ca-bac7-43d8-900c-5af84b3fc9dd" alt="k" width="285" height="96" /></p>
<p><a href="http://www.secure-ic.com/">site web</a></p>
<p><strong>Sigfox</strong>: “<em>Sigfox, the world’s leading IoT service provider, is a reality in Japan with our Sigfox Operator, Kyocera Communication Systems (KCCS). From Kyushu to Hokkaido, let’s make things come alive!</em> ”</p>
<p><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/84737640-72b2-4d6e-8bcb-431c2d182ee6" alt="l" width="255" height="103" /></p>
<p><a href="https://www.sigfox.com/en">site web</a></p>
<p><strong>NCSIMUL</strong>: <em>“NCSIMUL for Intelligent CNC Machining – The Best Solutions to increase the productivity of your CNC Machin</em><em>es!”</em></p>
<p><em><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/827c582c-0bfa-4444-9173-db01224b624e" alt="m" width="252" height="88" /></em></p>
<p><a href="https://www.ncsimul.com/">site web</a></p>
<p><strong>Sparkup</strong>: “<em>Sparkup revolutionizes the way of working in Japan with its digital platform of intercation and collaboration</em>”</p>
<p><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/dc52bd93-9134-4b61-8d6d-bb147f3f50a4" alt="n" width="218" height="111" /></p>
<p><a href="http://www.sparkup.co/"> site web</a></p>
<p><strong>STIL</strong>: “<em>STIL offers smart sensing solutions to improve productivity & quality control in major industries.</em>”</p>
<p><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/45bdab58-6ec6-40a6-83f7-8212c0c0f808" alt="o" width="184" height="93" /></p>
<p><a href="http://www.stil-sensors.com/?lang=FR">site web</a></p>
<p><strong>Uwinlock</strong>: “<em>UWINLOC is the first and unique solution enabling to locate what matters to you with a battery-less tag!</em>”</p>
<p><img class="marge" src="/Articles/0c95a4ec-93b8-4dbe-95ad-41fa466900ac/images/a5b790a7-496a-4122-ad7a-1b59220f5aeb" alt="0" width="329" height="73" /></p>
<p><a href="http://uwinloc.com/">site web</a></p>
<p> </p>
</div>f56c43ac-4e06-434a-b0c9-4ce5290f66fdLe Japon lance sa propre initiative de soutien aux start-up, « J-Startup », inspirée de la French Tech (MàJ Juillet 2018)Site Internet (en japonais): https://www.j-startup.go.jp/En lançant officiellement son initiative de soutien aux start-up, J-Startup, le 11 juin dernier, le Japon entre définitivement dans la compétition mondiale de l’innovation. Inspiré par la French Tech, le programme J-Startup se fixe trois priorités : encourager le développement de start-up japonaises sur le territoire national, promouvoir les start-up japonaises à l’international et accompagner les start-up étrangères souhaitant se développer au Japon. L’objectif du gouvernement est de créer 20 licornes japonaises d’ici 2023.1. « Select & Connect » : une stratégie pour encourager le développement des start-up japonaises les plus prometteuses sur le territoire national 1.1.« Select » : Contrairement à la French Tech qui se veut une initiative de soutien à l’ensemble des start-up, l’initiative J-Startup a pour but de sélectionner 100 start-up, parmi les 10 000 start-up japonaises identifiées à ce jour, sur la base de critère2018-07-31T00:00:00+02:00<h5><strong><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" title="jstartup" src="/Articles/f56c43ac-4e06-434a-b0c9-4ce5290f66fd/images/a15df201-2643-4127-93e4-1ca4725d1a30" alt="jstartup" width="204" height="179" /><br /></strong></h5>
<p><strong><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" title="js2" src="/Articles/f56c43ac-4e06-434a-b0c9-4ce5290f66fd/images/3f0c12d9-c32f-4345-b1b9-53416a8b025b" alt="js2" width="516" height="266" /></strong></p>
<p style="text-align: center;"><em>Site Internet (en japonais): <a href="https://www.j-startup.go.jp/">https://www.j-startup.go.jp/</a> </em></p>
<div class="focus">
<p style="text-align: justify;"><em>En lançant officiellement son initiative de soutien aux start-up, J-Startup, le 11 juin dernier, le Japon entre définitivement dans la compétition mondiale de l’innovation. Inspiré par la French Tech, le programme J-Startup se fixe trois priorités : encourager le développement de start-up japonaises sur le territoire national, promouvoir les start-up japonaises à l’international et accompagner les start-up étrangères souhaitant se développer au Japon. L’objectif du gouvernement est de créer 20 licornes japonaises d’ici 2023.</em></p>
</div>
<h5 style="text-align: justify;"><strong>1. « Select & Connect » : une stratégie pour encourager le développement des start-up japonaises les plus prometteuses sur le territoire national </strong></h5>
<p style="text-align: justify;"><strong>1.1.</strong> <strong>« Select »</strong> : Contrairement à la French Tech qui se veut une initiative de soutien à l’ensemble des start-up, l’initiative J-Startup a pour but de sélectionner 100 start-up, parmi les 10 000 start-up japonaises identifiées à ce jour, sur la base de critère précis : niveau d’innovation, business plan, produit ou service répondant aux ODD de l’ONU, etc…</p>
<p style="text-align: justify;">Après avoir reçu de nombreuses recommandations de la part de venture capitalists, accélérateurs et responsables innovation de grands groupes japonais, le comité de sélection composé d’experts et de professeurs a sélectionné 92 start-up en juin 2018 (cf Annexe). Ces sélections pourraient avoir lieu tous les ans.</p>
<p style="text-align: justify;">Parmi les 92 start-up sélectionnées cette année, 22% sont dans le secteur des <strong>plateformes/services</strong>, 20% dans l<strong>’IoT/TIC/Applications,</strong> 14% dans la<strong> santé/biologie</strong>, 13% dans l’<strong>IA</strong>, 8% dans la <strong>robotique</strong>, 8% dans le secteur <strong>manufacturier</strong> ou des <strong>matériaux</strong>, 6% dans le <strong>spatial</strong>, 5% dans la <strong>mobilité</strong>, 4% dans <strong>l’environnement/énergie</strong>.</p>
<p>Ces start-up bénéficient de l’appui gouvernemental suivant :</p>
<ul>
<li>Utilisation du logo de J-Startup</li>
<li>Communication spécifique sur les sites internet et médias japonais et étrangers</li>
<li>Participation à des missions du Premier ministre ou des ministres à l’étranger</li>
<li>Exposition dans des évènements au Japon et à l’étranger</li>
<li>Business matching</li>
<li>Facilitation réglementaire</li>
<li>Participation à l’élaboration de nouvelles réglementations</li>
</ul>
<p style="text-align: justify;"><strong>1.2. </strong><strong>« Connect » : </strong>J-Startup repose sur une communauté composée de ministères et organismes publics (METI, NEDO, JETRO), de partenaires (Grands groupes, VC, accélérateurs) et la centaine de start-up sélectionnées avec comme objectif de faire bénéficier rapidement et facilement ces dernières de l’ensemble des dispositifs de soutien privés et publics disponibles.</p>
<h5 style="text-align: justify;"><strong>2. « Go Global » : un dispositif de promotion des start-up japonaises dans les salons internationaux et une opportunité pour la France d’attirer des talents japonais </strong></h5>
<p style="text-align: justify;">Comme la French Tech, l’initiative japonaise souhaite promouvoir ses 100 « J-Startup » à l’international et ce via le <a href="https://www.jetro.go.jp/services/j_startup.html"><strong>JETRO</strong></a>. Ce dernier prévoit notamment la mise en place de « Startup Tour », visant à placer les start-up japonaises sur les grands salons tech mondiaux (CES, Slush, Viva Technology, Web Summit, Tech in Asia…).</p>
<p style="text-align: justify;">Des «<strong> JETRO Global Acceleration Hub »</strong> seront par ailleurs créés dans des hauts lieux mondiaux de l’innovation (Sillicon Valley, Shanghai, Paris…). Ils offriront des consultations aux start-up, leur fourniront des informations sur le marché local, leur proposeront du mentorat et leur donneront accès au réseau local. Le 1<sup>er</sup> sera installé à <strong>Paris</strong>, comme annoncé le 13 juillet 2018, lors de la signature de la déclaration conjointe sur la coopération en matière d’innovation et d’économie numérique (<strong><a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2018/07/30/la-france-et-le-japon-ont-signe-une-declaration-conjointe-sur-l-innovation-et-l-economie-numerique-le-13-juillet-2018-a-paris">cf Article correspondant</a></strong>).</p>
<h5 style="text-align: justify;"><strong>3. </strong><strong>« Inboud » : une stratégie d’attractivité à l’attention des start-up étrangères ou une opportunité pour les start-up française cherchant à se développer au Japon et en Asie</strong></h5>
<p style="text-align: justify;">Deux outils seront mis en place afin d’attirer des start-up étrangères sur le sol japonais :</p>
<ul>
<li style="text-align: justify;">L’utilisation des « JETRO Global Acceleration Hub » comme <strong>fenêtres vers le Japon </strong>: le JETRO proposera ainsi un appui pour l’installation des start-up étrangères au Japon via notamment des études de marché ou encore un business plan adapté au Japon.</li>
<li style="text-align: justify;">La <strong>mise en place d’un « start-up visa » national</strong>, allégeant les procédures administratives des start-up étrangères souhaitant s’installer au Japon. A ce jour, les « start-up visa » ont été mis en place uniquement dans quelques localités (Tokyo, Osaka, Fukuoka…) et pour une durée de 6 mois seulement. Le gouvernement japonais souhaite étendre ce type de visa à l’ensemble du territoire japonais et le rendre valide pendant un an.</li>
</ul>
<p> </p>2329d5ce-e10a-4380-905f-ea39755c8179Le secteur des technologies de l'information et de la communication (TIC) et "La French Tech" aux Emirats arabes unis (EAU) Le dynamisme du secteur des TIC aux EAUEn 2017, le marché des TIC aux EAU est évalué à 4,6 Mds $, contre 3,2 Mds $ en 2010 et devrait atteindre près de 6 Mds $ à l’horizon 2019. Il est composé à 41% de la vente de services IT, à 36% de matériel et à 23% de logiciels. Les principaux segments porteurs aux EAU sont les objets connectés (IoT), les solutions dédiées aux « villes intelligentes » et l’informatique en nuage, pour laquelle les dépenses sont passées de 51 M $ en 2011 à 381 M $ en 2016. En 2015, le chiffre d’affaire du secteur des télécoms s’est élevé à 6,4 Mds $, les EAU ayant l’un des taux de pénétration mobile les plus élevés au monde, évalué à 204 %. Avec 92 % des foyers disposant d’une ligne internet fibre optique, les EAU sont le 2ème pays le plus connecté au monde après la Corée du Sud. Selon l’Autorité de régulation des télécoms, le secteur des TIC représente actuellement 5% du PIB émirien.Outre le dynamisme du marché domestique, le secteur bénéficie de la poli2018-06-28T00:00:00+02:00<p><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/2329d5ce-e10a-4380-905f-ea39755c8179/images/91586cc8-cda4-46da-a9cf-0bb0401f40ac" alt="French tech" width="510" height="235" /></p>
<p> </p>
<p><strong>Le dynamisme du secteur des TIC aux EAU</strong></p>
<p style="text-align: justify;">En 2017, le marché des TIC aux EAU est évalué à 4,6 Mds $, contre 3,2 Mds $ en 2010 et devrait atteindre près de 6 Mds $ à l’horizon 2019. Il est composé à 41% de la vente de services IT, à 36% de matériel et à 23% de logiciels. Les principaux segments porteurs aux EAU sont les objets connectés (IoT), les solutions dédiées aux « villes intelligentes » et l’informatique en nuage, pour laquelle les dépenses sont passées de 51 M $ en 2011 à 381 M $ en 2016. En 2015, le chiffre d’affaire du secteur des télécoms s’est élevé à 6,4 Mds $, les EAU ayant l’un des taux de pénétration mobile les plus élevés au monde, évalué à 204 %. Avec 92 % des foyers disposant d’une ligne internet fibre optique, les EAU sont le 2<sup>ème</sup> pays le plus connecté au monde après la Corée du Sud. Selon l’Autorité de régulation des télécoms, le secteur des TIC représente actuellement 5% du PIB émirien.</p>
<p style="text-align: justify;">Outre le dynamisme du marché domestique, le secteur bénéficie de la politique volontariste du gouvernement en matière de d’innovation et de transition numérique. L’Emirat de Dubaï s’est ainsi doté dès 2014 de l’entité « Smart Dubaï », visant à en faire la ville la plus intelligente (et la plus heureuse) à l’échelle mondiale, moyennant des investissements estimés à 8 Mds $. Une stratégie multisectorielle (économie, qualité de vie, mobilité, gouvernance, environnement, etc.) a été élaborée. Des résultats sont déjà perceptibles à l’image des « e-services » publics, de la création de quartiers intelligents (Dubai Design District, Dubai Silicon Oasis) et de 500 spots wifi, l’installation de compteurs et de réseaux intelligents pour la distribution de l’eau et l’électricité, le déploiement de capteurs de trafic pour le transport, etc. L’Emirat veut aussi rendre 25 % de son système de transport autonome à l’horizon 2030. De plus, Dubaï s’est doté d’une feuille de route relative à l’usage technologie <em>blockchain</em> au sein des entités publiques en octobre 2016, tandis qu’à l’échelle fédérale, un secrétaire d’Etat à l’Intelligence artificielle, âgé de 27 ans, a été nommé en 2017 au sein du gouvernement. Une accélération des initiatives en matière de <em>smart city </em>est en cours, les autorités s’étant données pour objectif de faire de Dubaï la ville intelligente, la plus connectée et la plus durable à l’horizon 2020, date où la ville accueillera l’Exposition Universelle.</p>
<p><strong>L'émergence d'un écosystème "Tech" aux EAU</strong></p>
<p style="text-align: justify;">Actuellement, le pays compte une vingtaine d’incubateurs, situés dans les zones franches qui jouent le rôle de « cluster ». On dénombre ainsi une majorité d’incubateurs spécialisés dans les nouvelles technologies (à Dubaï, In5 dans la zone franche TECOM, Dubaï Internet City, Dubaï Media City et Dubaï Knowledge Village, Dubai Silicon Oasis et à Abu Dhabi, Flat6Labs à Twofour54). En 2017, le centre financier international de Dubaï (DIFC) a lancé l’incubateur HIVEN dédié aux FinTech. Le centre financier international d’Abu Dhabi (ADGM) est également actif dans ce domaine. En outre, les EAU comptent de multiples investisseurs dédiés aux start-ups de la région, à l’image des fonds de capital-risque Wamda Capital, Middle East Venture Partners, Beco Capital, MBC Ventures, iMENA Holding, ainsi que la plateforme d’investissement participatif Beehive. Ainsi, près de 800 M $ ont été investis dans les start-ups aux EAU en 2016, soit 90% du total des investissements de la région Afrique du Nord Moyen-Orient.</p>
<p><strong>La French Tech aux EAU</strong></p>
<p style="text-align: justify;">La communauté de start-ups françaises aux EAU est florissante, avec plus d’une trentaine d’entités identifiées, fédérées autour du « French Tech Hub Dubai UAE », labellisé en octobre 2016. Les start-ups œuvrent dans des secteurs variés : marketing/ data (Daxium, Axionable, Iconiction), livraison par géolocalisation (Fetchr), média (Diwanee), santé connectée (AEDMAP, Bodyo), restauration (eat), cosmétiques (GlamBox), e-listes (MyList), connectivité/Lifi (Zero.1), télécom (Qosi), etc. De plus, plusieurs entreprises créées en France ont implanté une filiale aux EAU, d’où elles rayonnent au Moyen-Orient (Effilab, Criteo, Parrot, Ekimetrics, etc.). Depuis son lancement, le « French Tech Hub Dubai UAE » est particulièrement actif avec l’organisation, avec la chambre de commerce et d’industrie française de Dubaï et des Emirats du Nord - FBC (« French Business Council »), d’une récompense annuelle (« French Tech Award ») décernée en 2017 à Zero.1 et en 2018 à Bodyo.</p>
<p style="text-align: justify;">En outre, plusieurs entreprises françaises implantées localement participent également à la transition numérique et sont associées aux initiatives du « French Tech Hub Dubai UAE », notamment dans le domaine des transports (Alstom, Thales, AKKA technologies), des technologies propres (Veolia, EDF, Engie, Schneider Electric, Akuo Energy), du mobilier urbain et de la communication (JC Decaux), des « e-services » (Idemia, Atos) et des télécoms (Orange Business Services, Sofrecom).</p>
<p><strong>Les principaux acteurs de la Tech aux EAU :</strong></p>
<p><a href="https://dubai.lafrenchtech.com/">French Tech Dubai UAE</a></p>
<p><a href="http://www.fbcdubai.com/">French Business Council </a></p>
<p><a href="https://www.fbgabudhabi.com/">French Business Group </a></p>
<p><a href="https://www.businessfrance.fr/">Business France </a></p>e34d17a0-6887-4b98-a871-90e53e172171Veille sur le numérique et les start-ups - Irlande et Royaume-Uni - Décembre 2017 Sommaire :TIC/NUMERIQUE : 1/ Irlande :Les PME irlandaises en retard dans leur préparation à l’entrée en vigueur du RGPDApple commencera à acquitter ses 13 milliards d’euros d'amende début 2018Facebook va déclarer des revenus publicitaires hors d'Irlande 2/ Royaume-Uni :Investissement dans les infrastructures de télécommunicationL’ICO aide les PME à se préparer au RGPDSTART-UPS : 1/ Irlande : La French Tech Dublin fête Noël 2/ Royaume-Uni :La licorne Transferwise lève 280 M$Appui à l’émergence d’écosystèmes numériques dans les régionsUber perd son procès en appel en matière de droit du travail TIC/Numérique1. IrlandeLes PME irlandaises en retard dans leur préparation à l’entrée en vigueur du RGPDLe nouveau texte de référence européen en matière de protection des données à caractère personnel, le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) entrera en vigueur dans moins de 6 mois, le 25 Mai 2018. Toutes les entités t2017-12-14T00:00:00+01:00<p><img title="Bannière" src="/Articles/e34d17a0-6887-4b98-a871-90e53e172171/images/c15e3895-7a4a-4a1b-8ee0-639c1c7148dc" alt="Bannière - Veille sur le numérique et les start-ups" /></p>
<h3 style="text-align: justify;">Sommaire :</h3>
<p style="text-align: justify;"><strong>TIC/NUMERIQUE : </strong></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>1/ Irlande :</strong></p>
<ul style="text-align: justify;">
<li>Les PME irlandaises en retard dans leur préparation à l’entrée en vigueur du RGPD</li>
<li>Apple commencera à acquitter ses 13 milliards d’euros d'amende début 2018</li>
<li>Facebook va déclarer des revenus publicitaires hors d'Irlande</li>
</ul>
<p style="text-align: justify;"> <strong>2/ Royaume-Uni :</strong></p>
<ul style="text-align: justify;">
<li>Investissement dans les infrastructures de télécommunication</li>
<li>L’ICO aide les PME à se préparer au RGPD</li>
</ul>
<p style="text-align: justify;"><strong>START-UPS :</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><strong> 1/ Irlande : </strong></p>
<ul style="text-align: justify;">
<li>La French Tech Dublin fête Noël</li>
</ul>
<p style="text-align: justify;"> <strong>2/ Royaume-Uni :</strong></p>
<ul style="text-align: justify;">
<li>La licorne Transferwise lève 280 M$</li>
<li>Appui à l’émergence d’écosystèmes numériques dans les régions</li>
<li>Uber perd son procès en appel en matière de droit du travail</li>
</ul>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<h3 style="text-align: justify;">TIC/Numérique</h3>
<h4 style="text-align: justify;">1. Irlande</h4>
<p style="text-align: justify;"><strong>Les PME irlandaises en retard dans leur préparation à l’entrée en vigueur du RGPD</strong></p>
<p>Le nouveau texte de référence européen en matière de protection des données à caractère personnel, le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) entrera en vigueur dans moins de 6 mois, le 25 Mai 2018. Toutes les entités traitant des données personnelles en Europe devront s’y conformer, en établissant notamment des procédures claires pour obtenir le consentement des utilisateurs et utiliser leurs informations de manière transparente et sécurisée.</p>
<p>Selon une étude commandée par un cabinet de conseil en protection de donnée, les petites et moyennes entreprises irlandaises ne se préparent pas suffisamment rapidement à cette échéance. Alors que 69% des 175 entreprises interrogées déclarent traiter des données personnelles, un tiers reconnaissent ne pas avoir commencé à se préparer pour la mise en œuvre du RGPD, et 57% échangeraient encore des données personnelles par courrier électronique !</p>
<p>Il est pourtant très probable que les contrôles soient nombreux lors des mois qui suivront l’entrée en vigueur du RGPD : l’Office of the Data Protection Commissionner (équivalent irlandais de la CNIL) a vu son budget augmenter en conséquence de 56% pour l’année 2018. La majorité des entreprises interrogées sont bien conscientes de ce risque, puisque 55% d’entre elles pensent avoir à subir des contrôles dans les 18 prochains mois. Les amendes en cas de non-respect du règlement pourraient aller jusqu’à 20 millions d’euros ou 4% du chiffre d’affaires.</p>
<p> </p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Apple commencera à acquitter ses 13 milliards d’euros d'amende début 2018</strong></p>
<p>La Commission Européenne avait conclu en août 2016, au terme d’une enquête débutée en 2014, que le régime fiscal dont bénéficiait Apple en Irlande était assimilable à une aide d’Etat et par conséquent contraire aux règles de concurrence européennes. Cette aide s’est matérialisée notamment par un taux d’imposition effectif de 0,005% en 2014. L’entreprise américaine avait été condamnée à reverser 13 milliards d’euros au fisc irlandais auxquels s’ajoutent les intérêts de retard.</p>
<p>Malgré l’appel de la décision par Apple et le gouvernement irlandais, la Commission demande depuis près d’un an à ce que la somme soit transférée sur un compte de séquestre. Devant la lenteur du gouvernement irlandais à organiser ce transfert, celle-ci a saisi la CJUE en octobre au motif que l’Irlande n’avait pas respecté l’échéance initialement fixée pour janvier 2017.</p>
<p>Le ministre des finances Paschal Donohoe a finalement trouvé un accord avec Apple début décembre, qu’il a soumis à Margrethe Vestager, Commissaire Européenne à la concurrence. Les détails concernant le montant exact ont ainsi été arrêtés et la procédure d’appel d’offres pour confier la gestion du compte de séquestre a été lancée. Les premiers versements d’Apple sur ce compte sont désormais prévus pour mars 2018.</p>
<p> </p>
<p><strong>Facebook va déclarer des revenus publicitaires hors d’Irlande</strong></p>
<p>La compagnie américaine a annoncé mardi 12 décembre dans un communiqué sa décision de restructurer la façon dont elle déclare ses revenus publicitaire. Le chiffre d’affaires tiré de la publicité vendue par les équipes locales de Facebook dans les pays ou la compagnie est implantée sera désormais enregistré directement par les filiales, plutôt que par le siège international situé à Dublin, comme c’est actuellement le cas. Le communiqué précise que la décision a été prise dans un « souci de transparence » pour répondre à la demande de visibilité émanant de gouvernements et responsables politiques « un peu partout dans le monde ».</p>
<p>Si cette annonce semble en effet aller dans le sens de la proposition européenne sur la taxation des géants du numérique portée notamment par le Président Macron, un doute subsiste sur les effets réels qu’aura cette modification sur les impôts payés par Facebook. Ceux-ci étant prélevés sur les bénéfices, la déclaration de revenus locaux par les filiales de la compagnie ne garantit pas en soi une augmentation des impôts payés localement. Selon la manière dont la compagnie déclarera ses dépenses, l’essentiel des bénéfices pourrait continuer d’être consolidé à Dublin.</p>
<p> </p>
<h4 style="text-align: justify;">2. Royaume-Uni<strong><u><br /></u></strong></h4>
<p style="text-align: justify;"><strong>Investissement dans les infrastructures de télécommunication </strong></p>
<p style="text-align: justify;">Le National Productivity Investment Fund (NPIF) prévoit de consacrer 740 M£ d’ici 2022 dans le développement de la 5G et de la fibre sur le territoire britannique. Sur ces 740 M£, 10 M£ permettront de tester la sécurité des réseaux 5G en partenariat avec le National Cyber Security Centre (NCSC), autorité de référence en matière de cybersécurité britannique créée en octobre 2016 et 5 M£ pour tester la 5G sur les routes dans la perspective du déploiement des voitures autonomes. Le gouvernement lancera également un Challenge Fund doté de 190 M£ qui permettra de financer des projets locaux de déploiement de la fibre optique. </p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p style="text-align: justify;"><strong>L’ICO aide les PME à se préparer au RGPD</strong></p>
<p style="text-align: justify;">Le 1er novembre, la CNIL britannique a mis en service une ligne téléphonique pour les PME qui souhaitent bénéficier de conseils personnalisés pour se conformer au RGPD avant le 25 mai 2018, date de sa mise en application. Ce nouveau service s’ajoute à un ensemble d’outils disponibles sur le site, dont le nombre de téléchargements (plus de 70 000 pour certains) traduit la forte préoccupation des entreprises britanniques pour cette législation. Ce règlement sera applicable en droit britannique avant même la sortie effective du Royaume-Uni de l’Union européenne. Etant donné l’application extraterritoriale du GDPR, toute entreprise traitant les données de citoyens européens, qu’elle soit basée ou non au sein de l’UE, devra s’y conformer.</p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<h2 style="text-align: justify;">Start-ups</h2>
<h4 style="text-align: justify;">1. Irlande</h4>
<p style="text-align: justify;"><strong>La French Tech Dublin fête Noël</strong></p>
<p style="text-align: justify;">Environ un an après son lancement en Irlande, la communauté French Tech de Dublin s’est réunie mercredi 29 novembre pour son plus important évènement de l’année : la French Tech Christmas Party. Grâce à ses sponsors (Schneider, Crédit Agricole Assurances et les CCEF), la soirée a pu accueillir plus de 200 personnes à l’Opium, bar branché de Dublin. La soirée a mis en avant l’écosystème French Tech avec notamment la présence d’invités français et irlandais pour présenter différentes opportunités pour les start-ups en France.</p>
<p style="text-align: justify;"><img title="FT1" src="/Articles/e34d17a0-6887-4b98-a871-90e53e172171/images/c0f84c86-0128-40e3-ae91-7581a2bbe358" alt="Foule Xmas Party" /></p>
<p style="text-align: justify;">Les membres de la communauté ont pu découvrir les dispositifs French Tech Ticket et French Tech Visa, qui ont pour objet l’accompagnement des start-ups internationales qui souhaitent se développer en France. Usheru, startup irlandaise lauréate du French Tech Ticket début 2017, était venue spécialement de Toulouse avec l’incubateur qui l’accueille, Ekito, pour raconter leur histoire commune et présenter leur retour d’expérience.</p>
<p style="text-align: justify;">L’accélérateur du Crédit Agricole « Le Village by CA » a ensuite donné le coup d’envoi du « Fintech Startup Challenge ». Ce concours organisé en partenariat avec la French Tech Dublin permettra à une start-up irlandaise dans le domaine des technologies financières de gagner une semaine d’accélération à Paris au contact des plus grandes entreprises françaises.</p>
<p style="text-align: justify;">David Jullo, président de la Communauté French Tech de Dublin, a conclu les présentations en dressant un bilan très positif de cette première année d’activité en Irlande, se félicitant de l’engouement suscité par les nombreux évènements organisés, et promettant une année 2018 toute aussi riche, avec notamment une série d’évènement sur le thème de la blockchain.</p>
<p style="text-align: justify;"><img title="FT2" src="/Articles/e34d17a0-6887-4b98-a871-90e53e172171/images/a68580f7-e9c6-4c92-88a8-ff369b8b76bf" alt="Membres French Tech" /></p>
<h4 style="text-align: justify;"> </h4>
<h4 style="text-align: justify;">2. Royaume-Uni<strong><span style="text-decoration: underline;"><br /></span></strong></h4>
<p><strong>La licorne Transferwise lève 280 M$</strong></p>
<p>La société britannique Transferwise offre un service de transferts de fonds plus économique que les banques traditionnelles (coût total de transaction à hauteur de 0,5 %, contre de 3 % à 5 % pour une banque classique). Cette fintech valorisée à 1,6Md$ est présente dans 59 pays et couvre 504 voies d’échanges de devises « currencies routes ». Cette société, rentable depuis début 2017, cherche désormais à se développer dans la zone Asie-Pacifique. Avec cette nouvelle levée de fonds annoncée le 1er novembre, Transferwise aura levé 397M$ depuis sa création à Londres en 2011.</p>
<p><strong> </strong></p>
<p><strong>Appui à l’émergence d’écosystèmes numériques dans les régions </strong></p>
<p>Comme annoncé par Th. May le 15 novembre 2017, Tech City UK, l’organisation lancée en 2010 par D. Cameron pour soutenir le numérique au Royaume-Uni<em>1</em>, bénéficiera de 21 M£ sur les 4 années à venir afin d’accélérer l’essor de pôles Tech régionaux. Renommée “Tech Nation”, l’organisation appuiera prioritairement 11 régions : Cambridge, Bristol/Bath, Manchester, Newcastle, Leeds/Sheffield, Reading, Birmingham, Edimbourg, Glasgow, Belfast et Cardiff.</p>
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<p><strong>Uber perd son procès en appel en matière de droit du travail</strong></p>
<p>Le 10 novembre, l’ « <em>Employment Appeal Tribunal </em>» a confirmé la décision rendue, fin octobre 2016, par la juridiction spécialisée en matière de litiges du travail de Londres (<em>employment tribunal</em>). Cette dernière avait demandé une requalification du statut des chauffeurs d’Uber. D’après cette décision très médiatisée, les chauffeurs d’Uber sont qualifiés à tort d’autoentrepreneurs (<em>self employed</em>) alors qu’ils devraient pouvoir bénéficier de l’ensemble des droits associés au statut d’employé, tels que le salaire minimum, les congés payés ou encore les droits syndicaux. Cette décision s’ajoute à l’annonce quelques mois plus tôt, de l’autorité des transports de Londres, qui a refusé de renouveler la licence d’Uber arrivant à expiration le 30 septembre.</p>bf40c234-5807-46ad-818a-01097c70ab27Réunion du comité de pilotage du French Tech Hub Milan autour de l’Ambassadeur de France en Italie, Christian Masset L’Ambassadeur de France en Italie, Christian Masset, a présidé lundi 27 novembre 2017 au Palais Farnèse une réunion du Comité de pilotage du French Tech Hub Milan, un an après la labellisation du Hub italien.La réunion a permis de faire le bilan de la 1ère année d’existence du Hub, consacrée principalement à la promotion de l’écosystème français des startups en Italie, et d’adopter un programme opérationnel pour l’année 2018 : organisation d’un événement sur le capital-risque à Milan au 1er semestre 2018, rencontre du French Tech Milan autour d’une personnalité de la Tech, participation du French Tech Milan au comité de pilotage d’un festival des startups organisé par la Chambre de commerce et d’industrie France Italie et enfin poursuite du programme YEI Franci@StartUp.Sur la promotion de la French Tech, sont intervenus Vincent Guitton, ministre conseiller pour les affaires économiques de l’ambassade, Patrizia Galbiati, cheffe de pôle Tech et services de Business France Ital2017-12-04T00:00:00+01:00<p> </p>
<p><img style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" title="French Tech Hub Milan" src="/Articles/bf40c234-5807-46ad-818a-01097c70ab27/images/3ac3735f-bafe-49a4-907a-73296b8ad1b0" alt="French Tech Hub Milan" width="375" height="135" /></p>
<p>L’Ambassadeur de France en Italie, Christian Masset, a présidé lundi 27 novembre 2017 au Palais Farnèse une réunion du Comité de pilotage du French Tech Hub Milan, un an après la labellisation du Hub italien.</p>
<p>La réunion a permis de faire le bilan de la 1<sup>ère</sup> année d’existence du Hub, consacrée principalement à la promotion de l’écosystème français des startups en Italie, et d’adopter un programme opérationnel pour l’année 2018 : organisation d’un événement sur le capital-risque à Milan au 1<sup>er</sup> semestre 2018, rencontre du French Tech Milan autour d’une personnalité de la Tech, participation du French Tech Milan au comité de pilotage d’un festival des startups organisé par la Chambre de commerce et d’industrie France Italie et enfin poursuite du programme YEI Franci@StartUp.</p>
<p>Sur la promotion de la French Tech, sont intervenus Vincent Guitton, ministre conseiller pour les affaires économiques de l’ambassade, Patrizia Galbiati, cheffe de pôle Tech et services de Business France Italie, Tiffany Ziller, attachée recherche et innovation, ainsi Philippe Berdou, chef de pôle Attractivité et acteurs de l’export au ministère de l’Europe et des Affaires étrangères.</p>
<p>Les entreprises (360 Capital Partners, Dassault Systèmes, Equinix, Invitalia Ventures, LVentures Group, OVH, Pi Campus, Splio, Translated et Qwant), les associations (Netcomm et Italia Start-up), le président de la CCI France Italie, Denis Delespaul, le président du comité Italie des CCEF, Marcel Patrignani, ont ensuite évoqué les leviers de développement de la French Tech en Italie et des échanges franco-italiens dans le numérique.</p>
<p>La rencontre a permis de mettre en lumière les nombreuses pistes de coopération franco-italienne dans le secteur du numérique, notamment pour la promotion de la French Tech en Italie.</p>101aa79c-e3d2-4172-a863-f7db06e5beb4Participation de Benjamin Griveaux au Forum économique franco-émirien Le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Economie et des Finances a participé, le jeudi 9 novembre 2017 à Dubaï, au forum économique franco-émirien organisé à l’occasion de la visite officielle du Président de la République aux Émirats arabes unis.Après avoir prononcé une allocution introductive, Benjamin Griveaux a pris part à la première table ronde du forum économique franco-émirien portant sur les opportunités et l’innovation, aux côtés d'Hisham Al Shirawi, Vice-président de la Chambre de commerce et d’Industrie de Dubaï, d'Idriss Al Rifai, Président-fondateur de Fetchr, de Noah Raford, directeur des opérations et de l’innovation de Dubai Future Foundation ainsi que de Sonia Weymuller, Partenaire Venture Souq (modératrice de la session).Les tables rondes suivantes ont été consacrées aux deux autres thèmes de l’Expo 2020 Dubaï (mobilité et durabilité), avec la participation, du côté français, de Jean-Charles Decaux, co-directeur général de JCDecaux, Laurence Battle, p2017-11-13T00:00:00+01:00<p style="text-align: center;"> </p>
<p><img style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" title="Présentation de Benjamin Griveaux lors du panel "Opportunité"" src="/Articles/101aa79c-e3d2-4172-a863-f7db06e5beb4/images/347f0b3e-fde1-400f-8d28-2f35d28e8f54" alt="Participation de Benjamin Griveaux, Secrétaire d'Etat auprès du Ministre de l'Economie et des finances au panel "Opportunité" lors du Forum Franco-Emirien" width="502" height="376" /></p>
<p>Le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Economie et des Finances a participé, le jeudi 9 novembre 2017 à Dubaï, au forum économique franco-émirien organisé à l’occasion de la visite officielle du Président de la République aux Émirats arabes unis.</p>
<p>Après avoir prononcé une allocution introductive, Benjamin Griveaux a pris part à la première table ronde du forum économique franco-émirien portant sur les opportunités et l’innovation, aux côtés d'Hisham Al Shirawi, Vice-président de la Chambre de commerce et d’Industrie de Dubaï, d'Idriss Al Rifai, Président-fondateur de Fetchr, de Noah Raford, directeur des opérations et de l’innovation de Dubai Future Foundation ainsi que de Sonia Weymuller, Partenaire Venture Souq (modératrice de la session).</p>
<p>Les tables rondes suivantes ont été consacrées aux deux autres thèmes de l’Expo 2020 Dubaï (mobilité et durabilité), avec la participation, du côté français, de Jean-Charles Decaux, co-directeur général de JCDecaux, Laurence Battle, présidente du directoire de RATP Dev, Jean-Bernard Lévy, Président-directeur général d’EDF et Isabelle Kocher, directrice générale du groupe ENGIE.</p>
<p>Le secrétaire d’État s’est parallèlement réuni avec la délégation de PME organisée par Business France à cette occasion ainsi qu’avec des membres du « French Tech Hub Dubai UAE » (le seul du Moyen-Orient, qui a fêté le mois dernier son premier anniversaire).</p>
<p><img style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" title="Benjamin Griveaux et Claire Cheremetinski ont pris part à la rencontre French Tech et PME organisée en marge du Forum économique Franco-Emirien" src="/Articles/101aa79c-e3d2-4172-a863-f7db06e5beb4/images/f4ac7a1a-48e2-4c52-ba68-4b35448db4bc" alt="Benjamin Griveaux et Claire Cheremetinski ont pris part à la rencontre French Tech et PME organisée en marge du Forum économique Franco-Emirien" width="523" height="392" /></p>
<p>Avant de participer à la clôture du forum économique franco-émirien par le Président de la République, le secrétaire d’État a assisté à la signature de plusieurs contrats (EDF, Akuo Energy) et accords institutionnels (Paris Europlace, MEDEF International, Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Île-de-France) avec des partenaires émiriens.</p>
<p><img style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" title="Signature d'un accord de partenariat entre EDF, représenté par Jean-Bernard Lévy, Saeed Al Tayer, DG de DEWA et Mohammed Al Ramahi DG de Masdar portant sur la phase 3 du Parc solaire Al Maktoum de Dubai (800 MW) " src="/Articles/101aa79c-e3d2-4172-a863-f7db06e5beb4/images/3da87a9a-f67f-44b0-88a8-33d23c7ce251" alt="Signature d'un accord de partenariat entre EDF, représenté par Jean-Bernard Lévy, Saeed Al Tayer, DG de DEWA et Mohammed Al Ramahi DG de Masdar portant sur la phase 3 du Parc solaire Al Maktoum de Dubai (800 MW) " width="527" height="351" /></p>
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<p><img style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" title="Signature d'un accord de partenariat entre le MEDEF International et la Chambre de Commerce de Dubai portant sur la création d'un forum d'hommes d'affaires franco-émirien" src="/Articles/101aa79c-e3d2-4172-a863-f7db06e5beb4/images/40e93368-0c54-4933-9b98-134d673fc6b9" alt="Signature d'un accord de partenariat entre le MEDEF International et la Chambre de Commerce de Dubai portant sur la création d'un forum d'hommes d'affaires franco-émirien" width="615" height="351" /></p>
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<p>Le forum économique franco-émirien a été organisé et financé par Chambre de Commerce et d’Industrie de Dubaï (« Dubai Chamber of Commerce and Industry »), avec l’appui du réseau de la Direction générale du Trésor aux Émirats arabes unis ainsi que de la Chambre de Commerce et d’Industrie française de Dubaï et des Émirats du Nord (« French Business Council »).</p>