Trésor-Info - Publications de la direction générale du Trésor - digitalFlux de publication de la direction générale du Trésor - digitalFluxArticlesTag-digitalCopyright 20242022-10-03T00:00:00+02:00/favicon.pngDirection générale du Trésorhttps://localhost/sitepublic/contact@dgtresor.gouv.fr5ab1c9ba-43c6-445c-91c6-b3e3dc3e51d6Brèves économiques régionales d’Afrique de l’Ouest (hors Nigéria-Ghana) n°461Régional : La CNUCED évalue l'état de préparation au e-commerce dans la CEDEAO2022-10-03T00:00:00+02:00<ul>
<li>Régional : La CNUCED évalue l'état de préparation au e-commerce dans la CEDEAO</li>
<li>Bénin : Le coton représente plus de 70% des exportations au 2ème trimestre 2022</li>
<li>Burkina Faso : Le gouvernement projette un taux de croissance à 4,2% pour 2022</li>
<li>Cap-Vert : 33 M EUR d’investissement dans l’éolien d’ici 2021</li>
<li>Côte d'Ivoire : Les prix bord champ du cacao et du café en hausse pour la campagne 2022-2023</li>
<li>Guinée : Adoption de la LFR 2022 par le CNT</li>
<li>Libéria : La Banque mondiale projette un taux de croissance moyen de 5,2% sur 2023-2024</li>
<li>Niger : 9 M USD des Etats Unis en faveur de la sécurité alimentaire</li>
<li>Sénégal : Annonce de nouvelles mesures pour lutter contre l’inflation</li>
<li>Sierra Leone : Inflation à +28,1% en g.a. en août 2022</li>
<li>Togo : Les recettes touristiques en hausse de 34% en 2021</li>
</ul>58b84010-c3b9-424d-afb8-1afc90897474[Royaume-Uni] Westminster & City News du 10 au 16 juin 2022SER de Londres 2022-06-17T00:00:00+02:00<div style="color: #3c4858; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 24px;"><span style="color: #ff8d7e;"><span style="font-size: 16px;"><strong>Actualité macro-économique</strong></span></span></div>
<div style="color: #3c4858; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 24px;">
<ul style="margin-right: 0px; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px;">
<li>Alors qu’un léger rebond était attendu, le PIB recule de 0,3% en avril après s'être déjà replié de 0,1% en mars</li>
<li>Alors que le chômage augmente légèrement sur les trois mois précédant avril, les autres indicateurs vont dans le sens d’un resserrement du marché du travail</li>
</ul>
</div>
<div style="color: #3c4858; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif, sans-serif; font-size: 14px;"> </div>
<div style="color: #3c4858; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif, sans-serif; font-size: 14px;"><strong><span style="color: #ff8d7e;"><span style="font-size: 16px;">Actualité commerciale</span></span></strong></div>
<ul style="color: #3c4858; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif, sans-serif; font-size: 14px; margin-right: 0px; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px;">
<li style="line-height: 24px;">Le Royaume-Uni annonce l’entrée en vigueur du Digital Economic Agreement signé avec Singapour </li>
<li style="line-height: 24px;">Lors de la London Tech Week, l’orientation vers l’indopacifique est mise en lumière </li>
<li style="line-height: 24px;">La ministre du commerce britannique présente la vision britannique sur le futur du multilatéralisme commercial à la conférence ministérielle de l’OMC</li>
<li style="line-height: 24px;">Selon une étude menée par le think-tank Centre for European Reform, le PIB britannique serait inférieur de 5,2% en fin 2021, par rapport à un scénario contrefactuel sans Brexit </li>
</ul>
<div style="color: #3c4858; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 24px;"> </div>
<div style="color: #3c4858; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif, sans-serif; font-size: 14px;"><span style="color: #ff8d7e;"><strong><span style="font-size: 16px;">Actualité financière</span></strong></span></div>
<ul style="color: #3c4858; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif, sans-serif; font-size: 14px; margin-right: 0px; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px;">
<li style="line-height: 24px;">Le gouvernement publie un concernant les tierces parties critiques (comme les fournisseurs de cloud) dans l’industrie financière</li>
<li style="line-height: 24px;">La Banque d’Angleterre (BoE) publie son sur les plans préparatoires à la résolution bancaire </li>
<li style="line-height: 24px;">La FCA publie une concernant l’accès aux services bancaires</li>
<li style="line-height: 24px;">Charlotte Greken, directrice en charge du secteur des assurances à la Prudential Regulatory Authority, met l’accent sur les investissements productifs dans la réforme de la directive Solvabilité 2</li>
</ul>d48eb305-d49e-496e-9cfd-be995a9a5dfaActualité vue par le Service économique de Rabat - février 2021 Visite au Maroc de Karim Amellal, Ambassadeur et délégué interministériel à la Méditerranée2021-02-15T00:00:00+01:00<p><strong>Mot de la Chef du Service économique</strong></p>
<p>2021 sera pour nos deux pays l’année des plans de relance pour remettre nos économies sur le chemin de la croissance. Si les conditions sanitaires le permettent, la France ambitionne de retrouver un sentier de croissance pré-crise dès la fin de 2022. 100 Mds EUR ont ainsi été mobilisés pour redresser l’économie et faire la « France de demain ». Inscrit dans la continuité des mesures de soutien aux entreprises et salariés lancées dès le début de la crise de la Covid-19, ce plan vise à transformer l’économie et créer de nouveaux emplois. Il repose sur trois piliers : l’écologie, la compétitivité et la cohésion. Le Maroc a lui aussi initié un important et ambitieux plan de relance de 120 Mds MAD, soit environ 11 % de son PIB, dont une partie importante sera consacrée à la relance de l’investissement public et privé dans le pays à travers notamment la mise en place du Fonds Mohammed VI pour l’investissement.</p>
<p>Ces ambitieuses politiques de relance tant au Maroc qu’en France seront sans nul doute source d’opportunités pour nos entreprises qui pourront venir chercher de part et d’autre de la Méditerranée les relais de croissance nécessaires à la reprise et à la consolidation de leur activité. Ce sera le cas pour nos entreprises exportatrices qui pourront bénéficier du renforcement des outils d’accompagnement et de financement prévu par le volet export du plan de relance (chèque VIE, chèque relance export, renforcement de l’assurance prospection...) mais aussi pour celles qui souhaiteront s’implanter ou accroître leur présence au Maroc avec de nouvelles opportunités d’investissement mises en lumière notamment par la banque de projets mise en place par le Ministère de l’industrie. Ce sera aussi le cas pour les entreprises marocaines souhaitant investir et se développer en France et qui pourront être accompagnées, notamment par les équipes de Business France Invest, à cet effet. Nous pouvons donc faire levier de nos plans de relance respectifs pour accroître encore davantage les opportunités d’affaires entre nos deux pays.</p>
<p><strong>Cécile HUMBERT-BOUVIER</strong></p>f13a5d07-d092-46dc-80e6-6c0003aab90fVeille numérique - Etats Baltes - 15 janvier 2021Veille numérique - Etats Baltes - 15 janvier 20212021-01-15T00:00:00+01:00<p><em>Résumé : Les opérateurs de télécommunications poursuivent le déploiement de la 5G dans les trois Etats baltes. Il est à noter que des cyberattaques ont eu lieu en Lituanie et en Estonie en novembre et décembre 2020. Les levées continuent pour les startups du pays, avec un record de </em>Bolt<em> d’un montant de près de 150 M EUR. Enfin, plusieurs initiatives entendent apporter des solutions à la crise sanitaire.</em></p>102de059-13d3-4c72-adea-140035f76951Actualités économiques Nigéria - Ghana semaine 46 du 9 au 15 novembre 2020Publication du Service économique régional d’Abuja, réalisée avec les contributions des SE de Lagos et d’Accra.2020-11-13T00:00:00+01:00<div> </div>
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<p>Faits saillants: </p>
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<p style="text-align: justify;"><strong>- Nigéria :</strong> le gouvernement ratifie l’accord de libre-échange continental africain ; l’accès au crédit s’améliore mais la récession pourrait fragiliser le secteur bancaire ; le Nigéria enregistre 26 millions de nouvelles souscriptions téléphoniques en un an ; la banque digitale nigériane Kuda a réalisé une levée de fonds 10 MUSD ;</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>- Ghana :</strong> signature de deux prêts avec la Chine pour le développement de la téléphonie et du système de gestion du trafic ; le gouvernement souhaite développer les exportations d’huile de palme.</p>
<p> </p>
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<p>Le chiffre de la semaine: </p>
</blockquote>
<h3>83 609</h3>
<p style="text-align: justify;">C’est le nombre de développeurs informatiques au Nigéria, soit le premier effectif d’Afrique où on en compterait environ 700 000.</p>
<div>
<p align="right">Source: <em>Étude de Google et de la International Finance Corporation</em></p>
</div>
<h3 style="text-align: center;">Nigéria</h3>
<p style="text-align: justify;"><strong>Le gouvernement ratifie l’accord de libre-échange continental africain.</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><a href="https://nairametrics.com/2020/10/28/october-pmi-reveals-rebound-in-economic-activities/">Ce mercredi 11 novembre, le Conseil exécutif fédéral du Nigéria a ratifié son adhésion à la zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf).</a> La signature de cet accord par le Nigéria était intervenue le 7 juillet 2019, lors du 12<sup>ème</sup> Sommet extraordinaire de l’Union Africaine. Initié en 2010, ce projet a pour objectif de réduire les tarifs douaniers de 90% pour les États signataires d’ici quinze ans. Les pays signataires ont jusqu’au 5 décembre pour le ratifier avant le lancement effectif de la ZLECAf le premier janvier 2021. Il s’agira de la plus grande zone de libre-échange au monde, par le nombre de pays participants, représentant un PIB de plus de 2 500 Mds USD et rassemblant plus de 1,2 milliard de personnes. Le Nigéria comptant à lui seul 17,1% du PIB du continent. Pour rappel, il est aujourd’hui plus coûteux de commercer au sein du continent africain qu’avec l’extérieur. Le commerce continental ne représentait ainsi que 9,2% du commerce du Nigéria avec l’ensemble de ses partenaires en 2018 et seules 3,5% des importations du Nigéria proviennent de pays africains. <a href="https://www.bloomberg.com/news/articles/2020-11-09/nigeria-exempts-dangote-cement-from-land-border-closure">Alors que le Nigéria maintient toujours ces frontières terrestres fermées depuis août 2020, des autorisations exceptionnelles viennent d’être accordées aux groupes Dangote et BUA pour exporter du ciment vers le Niger et le Togo,</a> ce qui laisse présager un infléchissement de la politique nigériane à cet égard, sans qu’aucune annonce officielle n’ait cependant été faite dans ce sens par les autorités.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>L’accès au crédit s’améliore mais la récession pourrait fragiliser le secteur bancaire. </strong></p>
<p style="text-align: justify;"><a href="https://www.cbn.gov.ng/Out/2020/STD/Q3%202020%20CCS%20REPORT%20final.pdf">D’après l’enquête sur les conditions de crédit menée par la Banque centrale auprès des ménages et des entreprises, l’accès au crédit se serait amélioré en ce troisième trimestre 2020.</a> Le crédit disponible devrait à nouveau progresser lors du dernier trimestre de l’année. En ce qui concerne les ménages il est à noter une baisse de la demande de crédits immobiliers de 10,3% alors que la demande de prêts non garantis est en hausse (+19,1%). Quant aux entreprises, la demande de crédit est repartie à la hausse (+34,9 pour les PME) et cela devrait être également le cas au quatrième trimestre. Par ailleurs, le taux de défaut a diminué ce trimestre mais les préteurs s’attendent à un repart à la hausse des défauts dans le trimestre à venir. Pour rappel, d’après la Banque centrale le taux de prêts non performants atteignait 6,1% fin août. De plus, <a href="https://infodisplay.infodesk.com/item/3c9d71de-6f9c-420e-b158-645371f200a3.html?CU=imf5992&APP=6">d’après Bloomberg, les tests de résistance bancaire conduits par la Banque centrale, indiqueraient que les institutions de crédit pourraient être en difficulté en cas de récession aggravée en cette fin d’année 2020.</a> En cas de contraction de l’activité économique de 3,5% au troisième trimestre, le ratio de fonds propres passerait de 15% à 11,2%. Dans le cas où la chute atteindrait 4% lors du dernier trimestre, les réserves passeraient alors sous la barre des 10% (9,3%). Pour rappel, la législation nigériane demande aux banques qui opèrent à l’international d’avoir un ratio de fonds propres de 15% et de 10% pour celles qui ne sont présentes que sur le marché domestique.</p>
<p style="text-align: justify;" align="left"><strong>Le Nigéria enregistre 26 millions de nouvelles souscriptions téléphoniques en un an.</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><a href="https://www.ncc.gov.ng/statistics-reports/industry-overview#incoming">Selon la <em>Nigerian Communication Commission, </em>le Nigéria comptait 205 millions d’abonnés téléphoniques actifs en septembre 2020, contre 179 millions en septembre 2019.</a> Avec 82,6 millions d’abonnés et 40,3% de part de marché (en hausse +3,8 points en un an), la branche locale du sud-africain MTN accentue sa domination du secteur, suivi par la filiale nigériane de l’indien Airtel avec 55,3 millions d’abonnés et 27% de part de marché (-0,3 point sur les 12 derniers mois) en concurrence avec Glo (54,2 millions d’abonnés et 26,5% de part de marché, soit une baisse d’un point sur l’année). Enfin 9mobile compte 12,7 millions d’abonnés soit 6,2% du marché (-2,3 points par rapport à l’an passé). Le nombre d’abonnés internet a également connu une hausse sensible (+23%) : de 122,8 millions en septembre 2019 à 151,1 millions en septembre 2020. Par ailleurs la télédensité, le nombre de lignes actives pour 100 habitants, a dépassé 100 en mai dernier : le Nigéria compte désormais plus d’abonnements actifs que d’habitants. Le marché des télécommunications nigérian pèse aujourd’hui plus de 6 Mds USD, soit 14,3% du PIB national, ce qui en fait le premier marché d’Afrique.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>La banque digitale nigériane Kuda a réalisé une levée de fonds 10 MUSD.</strong></p>
<p style="text-align: justify;">Kuda est une banque digitale, licenciée auprès de la CBN (Banque centrale du Nigéria) qui propose des services bancaires complets accessibles (gestion de compte courant, épargne, virement, carte de débit…) à tous les détenteurs de téléphone mobile, elle vise les particuliers et bientôt les PME. Fort de sa licence de banque digitale auprès de la CBN, Kuda n’est pas seulement une application fintech (de services financiers digitaux) ou un portefeuille mobile qui se greffe à des banques existantes mais bien une banque à part entière. Kuda est d’ailleurs la première banque nigériane totalement digitale, à l’instar de ses homologues européens Revolut ou N26. Lancée en septembre 2019 par Babs Ogundeyi et Musty Mustapha, elle compte déjà 300 000 clients et traite en moyenne plus de 500 MUSD de transactions chaque mois. Les fonds levés serviront à améliorer leurs services et réaliser des recrutements afin de mieux répondre à la demande de leurs clients au Nigéria. Cette levée de fonds représente le premier montant d’Afrique levé en <em>seed-stage</em> (premier tour de table avec des investisseurs permettant de définir et de valider le concept vis-à-vis du marché). <a href="https://kudabank.medium.com/we-raised-10-million-to-keep-building-africas-best-bank-5ea32af2806e">Cette opération a été dirigée par le fonds capital-risque allemand, Target Global, en collaboration avec le fonds anglais Entrée Capital et le japonais SBI Investment.</a></p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<h3 style="text-align: center;">Ghana</h3>
<p style="text-align: justify;"><strong>Signature de deux prêts avec la Chine pour le développement de la téléphonie et du système de gestion du trafic.</strong></p>
<p style="text-align: justify;">Le Ghana va bénéficier de deux financements octroyés par la Chine, le premier sera dédié au développement du système de gestion du trafic urbain à Accra (100 MUSD) et le second au déploiement du réseau téléphonique dans les régions rurales (155 MUSD). <a href="https://www.graphic.com.gh/news/general-news/ghana-news-100-million-loan-approved-for-accra-traffic-management-project.html">Le financement de 100 MUSD destiné à la gestion du trafic dans le grand Accra sera octroyé par la China Development B</a>ank. En qualité d’aide publique au développement, le projet financé bénéficiera d’exonérations fiscales approuvées par le Parlement ghanéen. Il consiste en la seconde phase d’installation d’un système intégré de caméras de surveillance, dont une partie est destinée à la surveillance des infractions routières, dans la ville d’Accra. La première phase du développement de la gestion du trafic, grâce à l’appui de caméras installées dans la ville, a été réalisée par l’AFD de 2011 à 2020. Huawei devrait fournir une partie du matériel nécessaire. Par ailleurs, <a href="https://www.ghanaweb.com/GhanaHomePage/business/Government-Huawei-officially-launch-rural-telephony-project-in-Ghana-1105876">Huawei mènera le développement du réseau téléphonique dans les zones rurales du p</a>ays. Ce contrat sera financé par un prêt de 155 MUSD de la <em>China Exim Bank</em> au <em>Ghana Investment Fund for Electronic Communications</em> (GIFEC), la structure publique ghanéenne chargée du développement des télécommunications dans le pays. Pour permettre à 3,4 millions de ghanéen d’être connectés au réseau téléphonique national, le projet devrait permettre la construction de 200 sites télécoms. Depuis 2016, le GIFEC a permis à 2000 communautés rurales, soit près de 1,2 millions de ghanéens, d’avoir une connexion au réseau téléphonique dans le cadre du <em>Rural Telephony Project. </em>A terme, ce projet devrait permettre de faire passer la couverture du réseau téléphonique de 83 à 95%. La Chine est le premier fournisseur du Ghana : avec 18% de part de marché, ses exportations vers le Ghana s’élevaient ainsi à 1,9 Mds USD en 2019.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Le gouvernement souhaite développer les exportations d’huile de palme.</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><a href="https://goldstreetbusiness.com/2020/business/agribusiness/export-strategy-to-reverse-ghanas-oil-palm-export-deficit/">Le ministère du Commerce et de l’Industrie et son agence chargée du soutien aux exportations, la <em>Ghana Export Promotion Authority </em>(GEPA), estiment que le Ghana pourrait exporter annuellement 134 MUSD d’huile de palme au cours des 10 prochaines années</a>. En 2018, la production domestique d’huile de palme était inférieure à la consommation locale. Alors que le pays exportait 100 000 tonnes d’huile de palme, il en importait ainsi 320 000 tonnes. Dans son ensemble, la CEDEAO connaîtrait une situation analogue, avec une demande non couverte de 850 000 tonnes. La Stratégie nationale de développement des exportations mise en place par les autorités ghanéennes prévoit de s’appuyer sur les besoins de la sous-région comme débouchés au développement de la filière au Ghana. La GEPA en est le principal acteur, l’établissement a pour mission de soutenir les exportations non-traditionnelles du Ghana, c’est-à-dire de l’intégralité des produits exportables à l’exception des principaux postes d’exportations que représentent l’or, les hydrocarbures et le cacao non-transformé. Afin de pousser à la hausse les exportations d’huile de palme, la GEPA souhaite mettre en avant les exportations d’huile de palme transformée. Celles-ci se sont élevées à 71,3 MUSD en 2018, dont 96% étaient à destination de pays de la CEDEAO, le Sénégal représentant le premier marché à l’export pour l’huile de palme transformée ghanéenne. L’implication d’investisseurs étrangers participe aussi au développement des capacités productives de la filière : en 2019, le sud-coréen Posco et le groupe SocFin, détenu en partie par le groupe Bolloré, avaient chacun investi dans le secteur. Posco s’est impliqué dans le développement d’une raffinerie de palmier à huile quand la SocFin a investi 20 MUSD dans une usine de traitement des palmiers à huile.</p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
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<p style="text-align: center;" align="center"><a href="https://twitter.com/FRTreasury_NG">@FRTreasury_NG</a></p>
<p style="text-align: justify;"><strong><span style="text-decoration: none;"> </span></strong></p>
<p style="text-align: justify;">Clause de non-responsabilité – Le Service économique s’efforce de diffuser des informations exactes et à jour, et corrigera, dans la mesure du possible, les erreurs qui lui seront signalées. Toutefois, il ne peut en aucun cas être tenu responsable de l’utilisation et de l’interprétation de l’information contenue dans cette publication.</p>e2a5f3b9-523d-4c36-b4fc-f2816d18f53dTICTIC – Développement des services financiers digitaux - Inauguration du 7ème plus grand data centre du monde2019-12-10T00:00:00+01:00<p><strong>TIC – Développement des services financiers digitaux</strong></p>
<p style="text-align: justify;">A l’occasion du séminaire « 'Bangladesh Digital Wages Summit », organisé le 20 novembre 2019, les ministres de l’industrie et des TIC ont affirmé que 90% des employés du secteur textile devraient recevoir leur salaire par transfert digital en 2021 et non plus en numéraire. Actuellement sur les 4 M de salariés du secteur RMG, 1,5 M perçoivent déjà leurs émoluements par voie électronique. Le projet de digitalisation est également conjointement porté par la puissante interprofession BGMEA (<em>Bangladesh Garment Manufacturers and Exporters Association</em>), les forums des Nations Unies <em>Better Than Cash Alliance</em> et <em>Business for Social Responsibility</em>. Le secteur textile compte plus de 5000 usines concentrées dans 6 districts et représentait en 2018 86% des exportations du pays.</p>
<p style="text-align: justify;">Un effort de sensibilisation des industriels et des salariés reste encore à faire pour mettre en place les infrastructures nécessaires ; à terme, tous les effectifs de l’industrie devront être digitalisés.</p>
<p style="text-align: justify;">(06/12/2019)</p>
<p style="text-align: justify;"> <a href="https://today.thefinancialexpress.com.bd/trade-market/90pc-rmg-workers-will-get-wages-digitally-by-2021-despite-challenges-1574271250">https://today.thefinancialexpress.com.bd/trade-market/90pc-rmg-workers-will-get-wages-digitally-by-2021-despite-challenges-1574271250</a></p>
<p><strong> </strong></p>
<p><strong>TIC – Inauguration du 7<sup>ème</sup> plus grand <em>data centre</em> du monde </strong></p>
<p>Un <em>Data Centre</em> d’une capacité de 2 petabytes a été inauguré le 26 novembre 2019 par la Première Ministre dans la <em>Bangabandhu Hi-Tech City</em> à Gazipur (nord de Dhaka). Ce « Tier 4 National Data Center » qui s’étend sur 2,8 hectares a été construit à partir de 2016 par l’entreprise chinoise ZTE pour 15,2 Mds Tk (160 M€) dont 12,0 Mds Tk ont été financé par l’Exim Bank of China. Il a obtenu la certification Tier IV auprès de <em>l’Uptime Institute</em> américain et sera exploité par le <em>Bangladesh Computer Council</em> (<a href="http://www.bcc.gov.bd/">http://www.bcc.gov.bd/</a>).</p>
<p> Jusque là, le Bangladesh était dépendant de serveurs situés à l’étranger, ce qui lui était coûteux en devises étrangères, .son data centre de génération Tier III (Bangladesh Army Data Centre) ayant atteint sa capacité maximale.</p>
<p>Ce projet s’inscrit dans la stratégie <em>Digital 2021</em> lancée par Sheikh Hasina en 2009 afin de faire du Bangladesh une économie digitale. 28 parcs de haute technologie sont en cours de construction à travers le pays.</p>
<p>Deux entreprises privées possèdent ou construisent des data centres : <strong>bKash</strong>, leader du paiement mobile, possède un data centre certifié Tier III (bKash Data center ST) tandis que <strong>fiber@homes Ltd</strong> serait en train d’en construire deux, respectivement à Jessore (Jessore Software Technology Park) et à Gazipur (Kaliakoir Hi-Tech Park).</p>
<p>(06/12/2019)</p>
<p><a href="https://www.bangladeshpost.net/posts/bangladesh-becomes-abode-of-world-s-7th-largest-data-centre-18650">https://www.bangladeshpost.net/posts/bangladesh-becomes-abode-of-world-s-7th-largest-data-centre-18650</a></p>
<p><a href="https://www.daily-sun.com/printversion/details/427588/Exploring-Bangladesh-Data-Centre">https://www.daily-sun.com/printversion/details/427588/Exploring-Bangladesh-Data-Centre</a></p>
<p><a href="http://www.theindependentbd.com/post/180018">http://www.theindependentbd.com/post/180018</a></p>
<p><a href="https://www.dhakatribune.com/bangladesh/2019/11/29/bangladesh-becomes-abode-of-world-s-7th-largest-data-centre">https://www.dhakatribune.com/bangladesh/2019/11/29/bangladesh-becomes-abode-of-world-s-7th-largest-data-centre</a></p>
<p><a href="https://today.thefinancialexpress.com.bd/trade-market/bd-top-four-in-digital-economy-growth-1574271277">https://today.thefinancialexpress.com.bd/trade-market/bd-top-four-in-digital-economy-growth-1574271277</a></p>
<p> </p>e84d28e1-c110-4804-abb5-a6358b4dedfdTIC - Classements internationauxTIC - Le palmarès 2019 du «Global Connectivity Index » confirme les progrès du Bangladesh2019-12-10T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;">La 5<sup>ème</sup> édition du 'Global Connectivity Index ' lancé par Huawei en 2015 place le Bangladesh au 73<sup>ème</sup> rang sur 79 pays avec un score de 28 points sur 120, mais il figure parmi les 4 pays ayant le plus progressé depuis 4 ans dans l’économie digitale, aux côtés de l’Ukraine, l’Afrique du sud et l’Algérie.</p>
<p style="text-align: justify;">Les 79 pays couverts par le GCI 2019 représentent ensemble 95% du PIB mondial et 84% de la population.</p>
<p style="text-align: justify;">Le Bangladesh était à la 76<sup>ème</sup> place en 2018 et à la 77<sup>ème</sup> en 2015 la première année du classement avec 21 points. Le GCI classe 79 pays sur 40 indicateurs (<a href="http://www.huawei.com/minisite/gci/en/index.html">www.huawei.com/minisite/gci/en/index.html</a>).</p>
<p style="text-align: justify;">Sans surprise, les trois pays qui figurent sur le podium sont les Etats-Unis, la Suisse et la Suède, la Tanzanie, l’Ouganda et l’Ethiopie fermant la marche. Singapour est 4ème, la Corée du sud 13<sup>ème</sup>; la Malaisie 30<sup>ème</sup> avec 54 points, la Thaïlande 54<sup>ème</sup>, le Vietnam 57<sup>ème</sup>, en Asie du sud, l’Inde figure au 65<sup>ème</sup> rang (34/120), devant le Bangladesh (73<sup>ème</sup>, 28/120) et le Pakistan (76<sup>ème</sup> avec 26 points), Sri-Lanka n’est pas classé.</p>
<p style="text-align: justify;"> Le Bangladesh a enregistré sur les dernières années une forte croissance de la demande de smartphones et de bande passante, tout en améliorant la cybersécurité, l’informatique en nuage (« cloud computing »), et en fournissant des produits et des services de qualité à des prix accessibles pour tous. Depuis 2015, le taux de pénétration des téléphones cellulaires est passé de 7 à 34% de la population, et celui des abonnements de 5 à 41%. Enfin, la couverture du pays en fibre optique (fiber to home FTTH) et l’accessibilité à la bande passante ont enregistré des progrès notables.</p>
<p style="text-align: justify;"> (06/12/2019)</p>
<p style="text-align: justify;"> <a href="https://today.thefinancialexpress.com.bd/trade-market/bd-top-four-in-digital-economy-growth-1574271277">https://today.thefinancialexpress.com.bd/trade-market/bd-top-four-in-digital-economy-growth-1574271277</a></p>
<p style="text-align: justify;"><strong> </strong></p>2b0f5c52-a974-4dca-b39c-23fc9f665c5bL’écosystème des startups en Bosnie-HerzégovineLe secteur des technologies en Bosnie-Herzégovine est en développement, comme en témoignent le dynamisme de quelques parcs technologiques et la multiplication ces dernières années de programmes et évènements destinés aux start-ups et jeunes entrepreneurs. Le secteur affiche toutefois un certain retard et souffre du manque de sources de financement, celui-ci se limitant aux prêts bancaires. Il devra diversifier ses instruments de financement s’il veut monter en puissance.2019-12-09T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;">La Bosnie-Herzégovine a été classée<strong> 91<sup>ème</sup> sur 140 pays en terme de compétitivité à l’échelle internationale</strong> par le <em>Global Competitiveness Report de 2018<a title="" href="#_ftn1" name="_ftnref1"></a> </em>et <strong>49<sup>ème</sup> sur 50 pays européens sur l’indice de développement des TIC<a title="" href="#_ftn2" name="_ftnref2"></a></strong>. L'état actuel de développement du secteur IT montre un certain retard par rapport à la moyenne mondiale et même régionale si on compare le <strong>classement obtenu par la Bosnie-Herzégovine aux autres pays des Balkans sur plusieurs points tels que le dynamisme entrepreneurial, la capacité à innover et l’adoption des TIC où la Bosnie-Herzégovine a le plus mauvais classement</strong>.</p>
<p style="text-align: justify;">Cette situation pourrait évoluer positivement à court-moyen terme. En effet, le secteur IT affiche aujourd'hui un réel dynamisme et présente un potentiel de croissance bien supérieur aux autres secteurs de l’économie comme l'atteste le fait que <strong>la majorité des indicateurs supra sont en hausse </strong>ces dernières années.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong><em>Les parcs technologiques contribuent à développer une communauté d’entrepreneurs dans le secteur des technologies. </em></strong>Le pays compte 4 principaux parcs technologiques : Business Innovation and Technology center (BIT) à Tuzla, Networks à Sarajevo, ICBL à Banja Luka, INTERA Technology Park à Mostar. L’entreprise Ericsson Nikola Tesla (leader européen dans le domaine de la 5G) dispose également d’un centre de recherche sur le site de Mostar.</p>
<p style="text-align: justify;"><a title="" href="#_ftn4" name="_ftnref4"></a><strong><em>Quelques évènements et programmes phares sont organisés chaque année et permettent de créer une dynamique favorable: </em></strong>L’évènement phare « <strong>Sarajevo Unlimited</strong> »<a title="" href="#_ftn1" name="_ftnref1"></a> créé en 2016 avait réuni l’année dernière (en novembre 2018) <strong>3800 personnes et plus d’une centaine d’intervenants internationaux</strong> dans le secteur des technologies (entrepreneurs, décideurs politiques, dirigeants d’incubateurs…). Cette année, l’évènement s'est tenu <strong>du 22 au 24 octobre 2019</strong>.</p>
<p style="text-align: justify;">Un <strong>partenariat pour l’innovation</strong> a été mis en place de 2011 à 2016 dans les villes de Sarajevo, Tuzla, Banja Luka et Mostar. <strong>4,7 M EUR</strong> avaient ainsi été investi dans <strong>24 programmes de formation</strong> et avaient permis de former plus de 2000 jeunes actifs au développement de logiciels. À l’issue du programme, 300 jeunes avaient trouvé un emploi dans le secteur des technologies immédiatement après leur formation.</p>
<p style="text-align: justify;">Des réussites locales sont également encourageantes pour les jeunes entrepreneurs, notamment l’entreprise informatique « <strong>Ministry of programming »</strong> créée en 2015 et basée à Sarajevo qui a reçu en 2017 le prix de <strong>l’entreprise la plus innovante de Bosnie-Herzégovine</strong> par le Conseil des investisseurs étrangers. L’entreprise a développé à ce jour une trentaine de produits et fait partie des entreprises les plus fructueuses du pays.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Les start-ups bosniennes disposent pour le moment de peu de sources de financement disponibles et adaptées à ce type d’activité innovante. </strong>Des investissements, notamment européens et régionaux, se mettent toutefois en place pour soutenir la recherche et développement. Le Digital Agenda for Western Balkans de la Commission européenne inclut dans ses priorités stratégiques le développement de la recherche et de l’innovation dans la région des Balkans et le Western Balkan Investment Fund apporte un soutien financier et technique aux investissements stratégiques dans certains secteurs clés comme l’énergie, les transports ou les infrastructures digitales et a à ce jour contribué au financement à hauteur de 180 M EUR de projets dans le secteur des transports et de la gestion des eaux.</p>
<div>
<p style="text-align: justify;">Toutefois, <strong>le manque de fonds de capital-risque ou d’association de business angels</strong>, qui sont pourtant les sources de financement les plus adaptées pour les start-ups, freine le développement de l'écosystème. Ces sources présentent trois avantages majeurs : elles apportent non seulement un soutien financier mais également un soutien technique aux jeunes entreprises, sont beaucoup moins exigeantes en termes de garantie à fournir et sont souvent moins coûteuses.</p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<br clear="all" /><hr align="left" size="1" width="33%" />
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<p align="left"><strong><em><a title="" href="#_ftn4" name="_ftnref4"> </a></em></strong></p>
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<p><a title="" href="#_ftn4" name="_ftnref4"></a><a title="" href="#_ftnref1" name="_ftn1"></a></p>
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<div><br clear="all" /><hr align="left" size="1" width="33%" /></div>a50504fc-ecfe-49f0-9c3e-784251e27827DIGITAL AFRICA - Une initiative au service de l’innovation en AfriqueCourant 2018, une dizaine d’acteurs issus du monde de l’institutionnel, du privé et de l’associatif-dont l’Agence française de développement (AFD), ont lancé l’initiative Digital Africa. C’est la concrétisation d’un engagement pris en 2017 à Ouagadougou par le Président Emmanuel Macron. Un programme de 65 millions d’euros pour soutenir la dynamique entrepreneuriale africaine et accompagner le développement de projets d’innovation numérique à impact sur le continent.L’initiative Digital Africa, à distinguer du concours éponyme (désormais AFD Digital Challenge), est une association, une plateforme numérique et un label.L’association Digital Africa regroupe 10 membres engagés dans l’accompagnement et le soutien étroits de l’écosystème numérique africain. Il s’agit de CFI, Jokkolabs, Afrilabs, GEN Africa, Bond’Innov, la Fabrique des Mobilités, la Ferme Digitale, Fing, Digital Observer for Africa et le groupe Agence française de développement (AFD). L’AFD va déployer les fonds mis à2019-03-18T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;"><img class="sans-marge" src="/Articles/a50504fc-ecfe-49f0-9c3e-784251e27827/images/95df7f7f-1bbf-4202-8ad5-2de573e8bd3a" alt="Digital Africa" width="771" height="516" /></p>
<p style="text-align: justify;">Courant 2018, une dizaine d’acteurs issus du monde de l’institutionnel, du privé et de l’associatif-dont l’Agence française de développement (AFD), ont lancé l’initiative Digital Africa. C’est la concrétisation d’un engagement pris en 2017 à Ouagadougou par le Président Emmanuel Macron. Un programme de 65 millions d’euros pour soutenir la dynamique entrepreneuriale africaine et accompagner le développement de projets d’innovation numérique à impact sur le continent.</p>
<p style="text-align: justify;">L’initiative Digital Africa, à distinguer du concours éponyme (désormais <a href="https://www.afddigitalchallenge.afd.fr/">AFD Digital Challenge</a>), est une association, une plateforme numérique et un label.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>L’association Digital Africa</strong> regroupe 10 membres engagés dans l’accompagnement et le soutien étroits de l’écosystème numérique africain. Il s’agit de CFI, Jokkolabs, Afrilabs, GEN Africa, Bond’Innov, la Fabrique des Mobilités, la Ferme Digitale, Fing, Digital Observer for Africa et le groupe Agence française de développement (AFD). L’AFD va déployer les fonds mis à disposition sous forme de facilité pour le financement d’amorçage, l’accompagnement et l’assistance technique ainsi que l’appui aux incubateurs et accélérateurs.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>La plateforme numérique Digital Africa</strong> est à la fois un réseau social, un centre de ressources et un réseau de business angels. Elle vient interconnecter entrepreneurs africains et écosystèmes d’innovation (locaux et internationaux). Objectif : fédérer les communautés de savoirs et les initiatives, et mettre à leur disposition ressources et opportunités d’affaires partagées par les partenaires de la démarche Digital Africa. </p>
<p style="text-align: justify;">Outre les entrepreneurs et porteurs de projets, la plateforme s’adresse aux investisseurs (fonds, banque, réseau de business angels) ; accompagnateurs/facilitateurs (hub, accélérateur, incubateur, centre de recherche, université, etc.) et au grand public.</p>
<p style="text-align: justify;">Déjà 135 plateformes d’innovation et incubateurs sur 35 pays, des réseaux d’entrepreneurs de 42 pays, 8 initiatives leaders dans le domaine Tech4good et de nombreux acteurs ont rejoints la plateforme.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Troisième composante de l’initiative, le label Digital Africa</strong> a la charge d’identifier et faire émerger les acteurs, les projets et les évènements innovants en mettant en avant le partage. Il ne s’agit pas d’un sponsoring de nature financière, mais le label renforce leur visibilité, les connecte avec l’écosystème et les dispositifs d’accompagnement et de financement adaptés.</p>
<p style="text-align: justify;">Le sommet Emerging Valley (Marseille, 20-21 novembre 2018) et le African Tour du Agri Startup Summit (Paris, Orléans, Nantes et Roche sur Yon ; 19-23 novembre 2018) ont été les deux premiers événements labélisés Digital Africa.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Pour rejoindre l’initiative ou obtenir plus d’informations: <a href="https://digital-africa.co/">https://digital-africa.co/</a> </strong></p>929e2bd2-f036-4d89-83f6-6ed5c2f21c39Informations économiques d'Afrique de l'Ouest anglophone semaine 11 du 11 au 17 mars 2019Faits saillants :- Nigéria : Stabilisation de l’inflation à 11,31% en février ; la NNPC, Chevron et Dangote Fertiliser Limited signent un accord de fourniture de gaz ; la plateforme d’e-commerce Jumia a déposé son dossier d’introduction au New-York Stock Exchange ; hausse de 14% du nombre d’abonnements internet en 2018 ;- Ghana : L’Autorité des aéroports ghanéens mise en difficulté financière par le poids de sa dette ; la Northern Electricity Distribution Company (NEDCo) en passe de lever 200 MUSD de financements ;- Libéria : Le FMI revoit à la baisse ses prévisions de croissance du PIB pour 2019 ; l’expansion souterraine de la mine d’or New Liberty est à l’étude ;- Sierra Leone : Projet d’installation de mini-réseaux solaires par l’entreprise britannique Winch Energy.2019-03-15T00:00:00+01:00<p><strong>Faits saillants</strong> :</p>
<p>- <strong>Nigéria </strong>: Stabilisation de l’inflation à 11,31% en février ; la NNPC, Chevron et Dangote Fertiliser Limited signent un accord de fourniture de gaz ; la plateforme d’e-commerce Jumia a déposé son dossier d’introduction au New-York Stock Exchange ; hausse de 14% du nombre d’abonnements internet en 2018 ;</p>
<p>- <strong>Ghana </strong>: L’Autorité des aéroports ghanéens mise en difficulté financière par le poids de sa dette ; la Northern Electricity Distribution Company (NEDCo) en passe de lever 200 MUSD de financements ;</p>
<p>- <strong>Libéria </strong>: Le FMI revoit à la baisse ses prévisions de croissance du PIB pour 2019 ; l’expansion souterraine de la mine d’or New Liberty est à l’étude ;</p>
<p>- <strong>Sierra Leone</strong> : Projet d’installation de mini-réseaux solaires par l’entreprise britannique Winch Energy.</p>75bb9eb7-5186-4888-83c2-0723b217dcf6TAXATION OF THE GLOBAL WEB GIANTSA call for adopting the Digital Services Tax (DST) by 2018Editorial from Bruno Le Maire, French Minister for the Economy and Finance, in Børsen,Monday 5th November 2018https://borsen.dk/nyheder/opinion/artikel/11/211295/artikel.html?hl=YTozOntpOjA7czoxNDoiQnJ1bm8gTGUgTWFpcmUiO2k6MjtzOjg6IkJydW5vIExlIjtpOjEwO3M6ODoiTGUgTWFpcmUiO30 "Together, we must acknowledge that the current situation is unfair and we must take action. Six months ahead of the European elections, we have an opportunity to prove that Europe can improve the daily lives of its citizens. It is time for us to seize this opportunity."2018-10-31T00:00:00+01:00<h6 align="center"><strong><span style="text-decoration: underline;">A call for adopting the Digital Services Tax (DST) by 2018</span></strong></h6>
<h6 align="center"><strong><em><span style="text-decoration: underline;"><img class="marge" style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" title="Digital Taxation" src="/Articles/75bb9eb7-5186-4888-83c2-0723b217dcf6/images/8f2a8f01-f4bb-4a47-93de-b49356f063f7" alt="Bruno Le Maire" width="371" height="209" /></span></em></strong></h6>
<p>Editorial from <strong>Bruno Le Maire, French Minister for the Economy and Finance,</strong> in <em>Børsen</em>,</p>
<p>Monday 5th November 2018</p>
<p><em><a href="https://borsen.dk/nyheder/opinion/artikel/11/211295/artikel.html?hl=YTozOntpOjA7czoxNDoiQnJ1bm8gTGUgTWFpcmUiO2k6MjtzOjg6IkJydW5vIExlIjtpOjEwO3M6ODoiTGUgTWFpcmUiO30">https://borsen.dk/nyheder/opinion/artikel/11/211295/artikel.html?hl=YTozOntpOjA7czoxNDoiQnJ1bm8gTGUgTWFpcmUiO2k6MjtzOjg6IkJydW5vIExlIjtpOjEwO3M6ODoiTGUgTWFpcmUiO30</a> </em></p>
<p> </p>
<blockquote>
<p style="text-align: justify;">"Together, we must acknowledge that the current situation is unfair and we must take action. Six months ahead of the European elections, we have an opportunity to prove that Europe can improve the daily lives of its citizens. It is time for us to seize this opportunity."</p>
</blockquote>445afe4b-37b4-4907-a213-a393d3512c37Actualités économiques Japon & Corée - Semaines des 28 mai et 4 juin 2018Le gouvernement japonais a publié le 5 juin son programme de réformes économiques et fiscales prioritaires pour l’exercice 2018 (« Basic Policies for Economic and Fiscal Management and Reform 2018 » mais uniquement en japonais pour le moment). L’objectif qui visait à atteindre un excédent de la balance primaire (balance budgétaire hors intérêts sur la dette) en 2020 est officiellement repoussé de 5 ans à l’année fiscale 2025. 2018-06-11T00:00:00+02:00<p align="center"><em><strong> </strong></em></p>
<p align="center"><strong>Actualités économiques</strong></p>
<p align="center"><em><strong>JAPON COREE </strong></em></p>
<p align="center"><strong>Semaines des 28 mai et 4 juin 2018 </strong></p>
<p align="center"><strong><img class="marge" title="jpkr" src="/Articles/445afe4b-37b4-4907-a213-a393d3512c37/images/2039e3ef-d85e-4ef1-ad74-10803a9c9d6c" alt="jpkr" width="323" height="122" /><br /></strong></p>
<div>
<p><strong><em>Sommaire</em></strong></p>
</div>
<div class="focus">
<h6><strong>Japon</strong></h6>
<ol>
<li><em><strong>Evolutions macroéconomiques</strong></em></li>
<li><em><strong>Relations commerciales et multilatérales</strong></em></li>
<li><em><strong>Entreprises<span style="text-decoration: underline;"><br /></span></strong></em></li>
</ol>
<h6><strong>Corée</strong></h6>
<ol>
<li><em><strong>Evolutions macroéconomiques</strong></em></li>
<li><em><strong>Relations commerciales et multilatérales</strong></em></li>
<li><em><strong>Entreprises</strong></em></li>
</ol>
</div>
<h4><strong>Japon</strong></h4>
<p><em>1. Evolutions macroéconomiques</em></p>
<p style="text-align: justify;">Le gouvernement japonais a publié le 5 juin son programme de réformes économiques et fiscales prioritaires pour l’exercice 2018 (« <em>Basic Policies for Economic and Fiscal Management and Reform 2018 » </em>mais uniquement en japonais pour le moment<em>). </em><strong>L’objectif qui visait à atteindre un excédent de la balance primaire (balance budgétaire hors intérêts sur la dette) en 2020 est officiellement repoussé de 5 ans à l’année fiscale 2025</strong>. Le plan établi également un trois objectifs intermédiaires pour FY 2021 : (i) un déficit primaire à 1,5% du PIB (soit la moitié du déficit de FY 2017), (ii) un déficit budgétaire global inférieur à 3% du PIB et (iii) un niveau de dette publique à 180/185% du PIB (contre 240% actuellement). <span style="text-decoration: underline;"><em>Sources </em></span>: <em>Nomura Research</em></p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p style="text-align: justify;"><strong><img class="marge" style="float: left;" title="robot" src="/Articles/445afe4b-37b4-4907-a213-a393d3512c37/images/5048649c-6093-4ea8-b092-a561141cf845" alt="robot" width="311" height="175" />Le gouvernement japonais a publié sa nouvelle stratégie de croissance 2018 intitulée « Vers une société 5.0 fondée sur l’utilisation des données » </strong>(1). Cette stratégie met l’accent sur le développement de nouvelles solutions de mobilités (véhicule autonome), de l’e-santé, de nouveaux systèmes énergétiques, de la FinTech, du e-government, de nouveaux systèmes de maintenance des infrastructures, de l’agritech et des smart cities. Elle vise également à l’amélioration de la productivité des PME et au renforcement des ressources humaines dans les secteurs prioritaires (IA, Robotique, sciences de la vie). Nouveauté de cette stratégie : le gouvernement prévoit la création d’un conseil réunissant des représentants gouvernementaux et industriels (notamment des employés proches de la production) pour élaborer la stratégie de croissance de 2019 et au-delà. Parmi les objectifs chiffrés : une part de 30% pour les véhicules autonomes (niveau 3) dans les ventes de nouveaux véhicules d’ici 2030 ou encore la création 20 licornes japonaises d’ici 2023 (start-up dont la capitalisation dépasserait 1 Mds USD). Le gouvernement souhaite, entre autres, agir par la réglementation (adoption d’une réglementation adaptée pour les véhicules autonomes, facilitations réglementaires pour les start-up). <em><u>Sources</u> : </em><a href="https://www.kantei.go.jp/jp/singi/keizaisaisei/miraitoshikaigi/dai17/siryou3.pdf"><em>Council on Investment for the Future</em></a><em>, </em><a href="https://asia.nikkei.com/Economy/Japan-aims-to-cultivate-20-unicorns-to-lead-digital-economy"><em>Nikkei</em></a><em>, </em><a href="https://asia.nikkei.com/Politics/Self-driving-vehicles-to-surpass-30-of-new-cars-in-Japan"><em>Nikkei</em></a></p>
<p style="text-align: justify;"><em>(1) Traduction non officielle</em></p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Lancement d’une stratégie de réduction des déchets plastique d’ici la fin de l’année au Japon. </strong>En lien avec le mouvement international de promotion, non seulement du recyclage mais aussi d’une réduction de l’utilisation des sacs et emballages en plastique, le gouvernement japonais a décidé de travailler à la définition d’une stratégie pour réduire le volume massif de déchets plastique générés au Japon. Dès cet été, un conseil constitué de représentants des ministères et agences concernées – en particulier, MOE et METI –, du secteur industriel et d’autres experts sera formé afin de fixer cette stratégie avant la fin de l’année fiscale. Cette stratégie devrait appeler à une réduction des contenants et emballages plastique ; une collecte et une réutilisation efficiente des ressources plastique ; et une diffusion de l’utilisation de bioplastiques dérivés de matériaux végétaux et non du pétrole. L’introduction de telles réglementations pourrait soulever l’opposition de l’industrie et des consommateurs. <em><u>Source</u> : </em><a href="http://the-japan-news.com/news/article/0004467948"><em>The Japan News</em></a></p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p><em>2. Relations commerciales et multilatérales</em></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>L</strong><em><a href="https://asia.nikkei.com/Economy/Abe-vows-to-bring-in-more-foreign-workers"><img class="marge" style="float: right;" title="overseas" src="/Articles/445afe4b-37b4-4907-a213-a393d3512c37/images/61fbf3da-ea47-44fb-8bb9-e5688c94c951" alt="overseas" width="393" height="221" /></a></em><strong>e Premier ministre Shinzo Abe a annoncé, la création d’un nouveau permis de trava</strong><strong>il pour faciliter l’accès des travailleurs étrangers à cinq secteurs manquant cruellement de main d’œuvre</strong> : l’agriculture, la construction, la construction nautique, l’hôtellerie et les soins à la personne. Annoncé lors du conseil sur la politique économique et fiscale, conseil qui vise à établir les priorités de réformes pour l’année fiscale 2018, ce nouveau permis de travail pourrait être soumis à un vote à la Diète dès l’automne pour entrer en application en avril 2019. Le gouvernement voudrait ainsi attirer plus de 500 000 travailleurs étrangers d’ici 2025, ouvrant de plus les portes du pays à de l’immigration faiblement qualifiée. Pour prétendre à ce nouveau visa de travail, les candidats auront deux possibilités : (i) y postuler après avoir terminé leur programme de 5 années comme « stagiaires techniques », l’un des visas de travail les plus utilisés par les travailleurs étrangers sans statut de résident au Japon ou (ii) se soumettre à un test de langue japonaise (pouvoir tenir une conversation basique en japonais) et un test pratique pour s’assurer des compétences dans les cinq domaines visés. <em><span style="text-decoration: underline;">Source </span></em>: <em><a href="https://asia.nikkei.com/Economy/Abe-vows-to-bring-in-more-foreign-workers">Nikkei</a></em></p>
<div id="ftn1"> </div>
<p><em><em>3. Entreprises</em></em></p>
<p style="text-align: justify;"><strong><img class="marge" style="float: left;" title="toshiba" src="/Articles/445afe4b-37b4-4907-a213-a393d3512c37/images/1c3740c1-514b-4ece-be50-3f386e9c7c44" alt="toshiba" width="309" height="206" />Sharp pourrait racheter l’activité PC de Toshiba pour 4 Mds JPY (36 M USD) et revenir ainsi sur un marché que l’entreprise avait quitté 8 ans plus tôt. </strong>Sharp a engagé une nouvelle stratégie d’expansion à la suite de son rachat en 2016 par Hon Hai Precision (Foxconn) et souhaite bénéficier de l’expérience de l’entreprise taiwanaise dans la production de PC pour revenir sur le marché. Toshiba, qui a récemment confirmé la vente de son activité de puces mémoires, continue sa restructuration, en se délestant de ses activités non-rentables : les ventes de PC de Toshiba ont, en effet, diminué de 13% en 2017. Le PDG de Sharp, Tai Jeng-wu, a pour objectif de rentabiliser cet investissement en un ou deux ans. Le contrat actuellement en discussion prévoirait le rachat de 80% des parts de Toshiba Client Solutions, laissant les 20% restant à l’entreprise japonaise. Selon Tai, cette acquisition pourrait également permettre des synergies entre l’expérience des ingénieurs de Toshiba et celle de Sharp sur l’Internet des Objets et l’Intelligence Artificielle. <em><u>Sources</u> : </em><a href="https://www.japantimes.co.jp/news/2018/06/04/business/corporate-business/toshiba-eyes-selling-pc-business-sharp-5-billion/#.WxY3g6Lzu70"><em>Japan Times</em></a><em>, </em><a href="https://asia.nikkei.com/Business/Business-Deals/Sharp-president-confident-Toshiba-PC-unit-purchase-will-soon-pay-off"><em>Nikkei</em></a></p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Le Softbank Vision Fund va investir 2,25 Mds USD dans GM Cruise, succursale de General Motors spécialisée dans le véhicule autonome. </strong>Softbank Vision Fund détiendra ainsi 20% du capital de la société GM Cruise. Une fois l’opération effectuée, General Motors apportera pour sa part 1,1 Md USD à GM Cruise. A la suite de cette annonce, le prix de l’action de General Motors a augmenté de 10%. <em><span style="text-decoration: underline;">Sources </span>: </em><a href="https://asia.nikkei.com/Business/Business-Deals/SoftBank-s-Vision-Fund-invests-2.25bn-in-GM-affiliate"><em>Nikkei</em></a></p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p style="text-align: justify;"><strong>L</strong><em><a href="http://www.lepoint.fr/economie/japon-airbnb-contraint-de-reduire-drastiquement-le-nombre-d-annonces-06-06-2018-2224591_28.php"><img class="marge" style="float: right;" title="airbnb" src="/Articles/445afe4b-37b4-4907-a213-a393d3512c37/images/0fc97773-a7ea-4bfe-9bff-6ee82253c7e6" alt="airbnb" width="407" height="229" /></a></em><strong>a plateforme de location touristique Airbnb a été contrainte de suspendre 80% de ses annonces au Japon, faute de conformité à une nouvelle loi sur le <em>minpaku </em>(littéralement « hébergement chez l’habitant »), qui entrera en vigueur le 15 juin 2018. </strong>Cette loi, le <em>Private Lodging Business Act,</em> vise à encadrer un secteur qui s’est développé jusqu’ici dans une zone juridiquement grise. Les hôtes devront, désormais, enregistrer leur logement auprès des autorités pour pouvoir continuer à le louer. Or, selon l’Agence du Tourisme du Japon, en mai, seuls 724 logements sur les quelques 60 000 inscrits sur le site Airbnb avaient été enregistrés et ce bien la procédure ait été ouverte en mars. Outre ces démarches administratives, la loi impose diverses restrictions dont une limite la durée cumulée de location à 180 nuitées par an et par logement. D’autre part, elle autorise les municipalités à interdire le minpaku dans certains quartiers résidentiels ou à limiter encore le nombre de jours de location. Malgré ces difficultés, cette loi entend avant tout donner un cadre légal clair au secteur du minpaku et ce dans la perspective des Jeux Olympiques de 2020 et l’accueil de près de 40 millions de touristes étrangers à cette occasion. <em><span style="text-decoration: underline;">Sources </span>: </em><em><a href="https://asia.nikkei.com/Business/Airbnb-removes-80-of-Japan-home-share-listings">Nikkei</a></em><em>, </em><em><a href="http://www.lepoint.fr/economie/japon-airbnb-contraint-de-reduire-drastiquement-le-nombre-d-annonces-06-06-2018-2224591_28.php">Le Point</a></em></p>
<p><em> </em></p>
<h4>Corée</h4>
<p align="left"><em>1. Evolutions macroéconomiques et financières </em></p>
<p style="text-align: justify;"><strong><img class="marge" style="float: left;" title="wagekr" src="/Articles/445afe4b-37b4-4907-a213-a393d3512c37/images/6f9fb660-660b-4224-b365-9d3afd95684f" alt="wagekr" width="205" height="255" />L’augmentation du salaire minimum continue de faire débat. </strong>Le think tank public Korea Development Institute (KDI) a publié une étude au début du mois de juin indiquant que le projet du gouvernement du Président Moon Jae-in d’augmenter de 50 % le montant du salaire minimum d’ici 2020 pourrait pénaliser l’emploi. Selon le rapport du KDI, la hausse du salaire minimum mise en œuvre par le gouvernement à partir du 1<sup>er</sup> janvier 2018 (+16,4 % à 7,1 USD/heure) n’aurait à ce stade pas eu d’impact significatif sur l’emploi. Le think tank estime toutefois qu’une nouvelle hausse du salaire minimum serait susceptible d’avoir des conséquences négatives pour l’économie coréenne et pour l’emploi. Selon le KDI, une hausse de 15 % du salaire minimum en 2019 et en 2020 se traduirait par la destruction de 96 000 emplois en 2019 et de 144 000 emplois en 2020. L’OCDE a formulé un diagnostic semblable à celui du KDI dans son rapport de perspectives économiques du mois de mai, mettant en garde le gouvernement coréen contre les effets négatifs d’une augmentation trop rapide du salaire minimum. Le salaire minimum représentait 50 % du salaire médian en Corée en 2016 ; l’augmentation de 50 % prévue par le gouvernement aurait pour conséquence de porter le salaire minimum à 68 % du salaire médian, un niveau supérieur à celui de la quasi-totalité des pays avancés. <em><u>Sources : </u></em><a href="http://koreajoongangdaily.joins.com/news/article/article.aspx?aid=3048957"><em>Joongang Daily </em></a><em><u>; </u></em><a href="http://koreajoongangdaily.joins.com/news/article/article.aspx?aid=3048987"><em>Joongang Daily</em></a></p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p style="text-align: justify;"><em>2. Relations commerciales et multilatérales</em></p>
<p style="text-align: justify;"><em> </em><strong>L</strong><a href="http://koreajoongangdaily.joins.com/news/article/article.aspx?aid=3048938"><em><img class="marge" style="float: right;" title="chkr" src="/Articles/445afe4b-37b4-4907-a213-a393d3512c37/images/2475e030-f32f-43db-b4df-c19ef72795ca" alt="chkr" width="337" height="208" /></em></a><strong>es fabricants de semi-conducteurs coréens font l’objet d’une enquête de la Chine p</strong><strong>our entente s</strong><strong>ur les prix. </strong>Le bureau anti-monopole du ministère du Commerce chinois a ouvert le 4 juin une enquête sur Samsung Electronics, SK Hynix et l’entreprise américaine Micron, les 3 principaux fabricants de semi-conducteurs mondiaux, pour entente sur les prix des mémoires DRAM. Les trois entreprises représentent 90 % du marché mondial de puces mémoire (66 % pour Samsung Electronics et SK Hynix). Paik Un-gyu, le ministre coréen du Commerce, de l’Industrie et de l’Énergie (MOTIE) a réagi en demandant à la Chine de mener son enquête de façon « équitable » et « raisonnable », lors de sa visite à Pékin le 5 juin. Si les entreprises sont effectivement reconnues coupables d’entente sur les prix, elles pourraient chacune se voir imposer une amende comprise entre 400 M USD et 4,4 Mds USD. Selon un représentant de l’un des deux fabricants coréens, la hausse des prix des mémoires DRAM n’est pas le résultat d’une entente, mais serait simplement causée par une « demande explosive » pour ces produits en Chine. <em><u>Sources : </u></em><a href="http://english.yonhapnews.co.kr/news/2018/06/05/0200000000AEN20180605011600320.html"><em>Yonhap</em></a><em><u> ; </u></em><a href="http://pulsenews.co.kr/view.php?sc=30800018&year=2018&no=353937"><em>Pulse</em></a><em><u> ; </u></em><a href="http://koreajoongangdaily.joins.com/news/article/article.aspx?aid=3048938"><em>Joongang Daily</em></a></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;"> </span></p>
<p style="text-align: justify;"><em>3. Entreprises</em></p>
<p style="text-align: justify;"><strong><img class="marge" style="float: left;" title="electric" src="/Articles/445afe4b-37b4-4907-a213-a393d3512c37/images/02b843af-d42a-4c3a-bcec-1421a29d8d24" alt="electric" width="349" height="189" />Les véhicules électriques représentent pour la première fois plus de 20 % des ventes de véhicules propres lors des 4 premiers mois de l’année. </strong>Selon la Korea Automobile Manufacturers Association, durant cette période, plus de 5 500 véhicules électriques ont été vendus en Corée, comptant ainsi pour 22,7% des ventes de véhicules propres. A contrario, la part des véhicules hybrides combinant un moteur diesel ou essence avec un moteur électrique est passée de 81,7% en décembre 2017 à 76,2% en avril 2018. Cette tendance serait due au renforcement du portefeuille de véhicules entièrement électriques des constructeurs automobiles, à l’amélioration de l’autonomie de ces véhicules, ainsi qu’aux mesures du gouvernement pour développer les infrastructures de recharge sur le territoire coréen. Les autorités espèrent ainsi que le marché coréen entrera rapidement dans une phase de maturité. <em><u>Source : </u></em><a href="http://english.yonhapnews.co.kr/business/2018/06/06/99/0501000000AEN20180606002300320F.html"><em>Yonhap</em></a></p>
<p> </p>
<div class="focus">
<p>Les informations présentées dans cette revue d'actualité bimensuelle sont identifiées par le <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Ressources/pays/japon"><span style="color: #15c7d2;">SER de Tokyo et le SE de Séoul</span></a>. Elles n'ont aucune vocation d'exhaustivité. Les avis exprimés sont les résumés des articles sources.</p>
<p><span style="color: #15c7d2;"><a href="https://twitter.com/FRTreasuryJAPAN">Vous pouvez aussi suivre le SER de Tokyo sur Twitter</a>.</span></p>
</div>
<p> </p>12422216-a625-439c-b316-a40743666617Secteur IT en Bosnie-HerzégovineConnectivité Selon l’institut des statistiques de la Bosnie-Herzégovine, en 2016, 61,5% (+4,6% par rapport à 2016) des ménages bosniens ont un accès internet à domicile (96,3 des entreprises), dont 95,8% en haut débit fixe.Le taux de pénétration de la téléphonie mobile est de 96,40 % (abonnements de téléphonie mobile pour 100 habitants). Le fixe est moins développé avec seulement 22,5 lignes de téléphone fixe pour 100 habitants.[1] Le haut débit est développé (ADSL, KDS, WiMAX, fibre optique, accès par satellite) et la population bénéficie d’une bonne couverture mobile par la 3G, l’introduction de la 4G est prévue en 2018.Au regard des vitesses d'accès, la situation est la suivante :65,6 % des utilisateurs utilisent des paquets entre 2 Mb/s et 10 Mb/s29,5 % des utilisateurs utilisent des paquets avec des vitesses au-dessus de 10 Mb/s4,9 % des utilisateurs utilisent des paquets avec des vitesses en dessous de 2Mb/sPositionnement du pays dans les classements internationaux2018-03-19T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;"><strong><span style="text-decoration: underline;"><strong>Connectivité </strong></span></strong></p>
<p style="text-align: justify;">Selon l’institut des statistiques de la Bosnie-Herzégovine, en 2016, 61,5% (+4,6% par rapport à 2016) des ménages bosniens ont un accès internet à domicile (96,3 des entreprises), dont 95,8% en haut débit fixe.</p>
<p style="text-align: justify;">Le taux de pénétration de la téléphonie mobile est de 96,40 % (abonnements de téléphonie mobile pour 100 habitants). Le fixe est moins développé avec seulement 22,5 lignes de téléphone fixe pour 100 habitants.<a title="" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Admin/Articles/New#_ftn1"><span style="text-decoration: underline;">[1]</span></a></p>
<p style="text-align: justify;"> Le haut débit est développé (ADSL, KDS, WiMAX, fibre optique, accès par satellite) et la population bénéficie d’une bonne couverture mobile par la 3G, l’introduction de la 4G est prévue en 2018.</p>
<p style="text-align: justify;">Au regard des vitesses d'accès, la situation est la suivante :</p>
<ul style="text-align: justify; list-style-type: disc;">
<li>65,6 % des utilisateurs utilisent des paquets entre 2 Mb/s et 10 Mb/s</li>
<li>29,5 % des utilisateurs utilisent des paquets avec des vitesses au-dessus de 10 Mb/s</li>
<li>4,9 % des utilisateurs utilisent des paquets avec des vitesses en dessous de 2Mb/s</li>
</ul>
<p style="text-align: justify;"><strong><strong>Positionnement du pays dans les classements internationaux</strong></strong></p>
<p style="text-align: justify;">En 2016, la Bosnie-Herzégovine se classe en 97<sup>ème</sup> position (sur 139 économies) du classement NRI (Network Readiness Index) du World Economic Forum. Au classement ICT Development Index 2017 publié par l’Union Internationale des Télécommunications de l’ONU, la Bosnie-Herzégovine occupe la 83<sup>ème</sup> place (sur 176 pays ; 81<sup>ème</sup> place en 2016), derrière la Serbie (55), le Monténégro (61), la Macédoine (69) et devant l’Albanie (89). Cet indice est composé de 11 indicateurs répartis en 3 catégories mesurant le niveau d’accès aux TIC, l’intensité de leur utilisation et le niveau de compétence et de connaissance de la population.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Appui institutionnel du secteur</strong></p>
<p style="text-align: justify;">Le ministère en charge des TIC est le Ministère de transport et des communications<a title="" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Admin/Articles/New#_ftn2"><span style="text-decoration: underline;">[2]</span></a>. Une Agence de régulation des communications<a title="" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Admin/Articles/New#_ftn3"><span style="text-decoration: underline;">[3]</span></a> (RAK) électroniques et des services postaux est chargée de réguler le secteur. Le Conseil des ministres de Bosnie-Herzégovine a approuvé en mai 2017 la Politique de développement de la société de l'information pour la période 2017-2021. Ce document est aligné sur les sept piliers stratégiques du développement des TIC de la stratégie numérique européenne. Les autorités travaillent maintenant sur l’élaboration de la stratégie de développement de ce secteur et sur le plan d’action de sa mise en œuvre. Chaque entité de Bosnie-Herzégovine (FB-H et RS) a élaboré sa propre stratégie de développement mais sa mise en œuvre varie d’une entité à l’autre. Il existe un manque d’appropriation de l'énorme potentiel de l'industrie du logiciel, et en conséquence le pays enregistre un retard considérable en termes de soutien institutionnel au secteur des TI. Les activités actuelles des institutions de Bosnie-Herzégovine (politiques, stratégies et plan d'action pour le développement de la société de l'information) ne sont pas suffisamment mises en œuvre et valorisées.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>E-government</strong></p>
<p style="text-align: justify;">Le développement de l’e-government est partie intégrante des stratégies élaborées par les deux entités ( RS et FB-H). A l’heure actuelle, la Republika Srpska est beaucoup plus avancée et a mis en service le portail eSrpska (<a href="http://www.esrpska.com/"><span style="text-decoration: underline;">www.esrpska.com</span></a> ), un lieu centralisé pour les services d'administration publique électronique qui offre un certain nombre de services électroniques aux citoyens (G2C) Government-to-Citizen et aux entreprises (G2B) Government-to-Business . Le portail eSrpska est un projet à long terme du gouvernement de la Republika Srpska et de l'Agence pour la société de l'information de la République Srpska AIDRS. Il est conçu comme un lieu où les utilisateurs des services de l'administration publique pourront trouver des informations exactes et fiables en utilisant Internet comme moyen de communication. </p>
<p style="text-align: justify;">D’une manière générale, les services en ligne les plus développés pour l'instant sont les services fournis par les fournisseurs de TIC, ainsi que par le secteur bancaire qui offre des services bancaires électroniques depuis plusieurs années maintenant.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong><span style="text-decoration: underline;">Emergence du secteur des TIC dans l’économie </span></strong></p>
<p style="text-align: justify;">La Bosnie-Herzégovine se situe tout en bas de la liste des pays pour ce qui est des investissements dans la recherche et le développement (0,04% du PIB contre une moyenne mondiale a 2,7% du PIB). Cependant, les entreprises du secteur des logiciels contribuent de manière significative à ce segment en allouant annuellement jusqu'à 10% de leur chiffre d'affaires pour la recherche et le développement de nouveaux produits et services. A cela s’ajoute le fait que ces entreprises investissent largement dans la formation et l'éducation de leurs employés.</p>
<p style="text-align: justify;">Le secteur des TIC est l'un des secteurs de croissance le plus rapide en Bosnie-Herzégovine. L'externalisation des entreprises informatiques occidentales a été le mode opératoire pendant des décennies, mais aujourd'hui, le secteur a le potentiel de devenir une industrie de premier plan. Au cours des dernières années, de jeunes développeurs de logiciels ont commencé à créer leurs propres start-ups, améliorant le processus de numérisation en Bosnie-Herzégovine, et travaillent désormais côte à côte avec de grandes multinationales en sous-traitance. Le nombre d'entreprises et de start-ups de TIC en Bosnie-Herzégovine augmente rapidement et, selon les estimations de BIT Alliance<a title="" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Admin/Articles/New#_ftn4"><span style="text-decoration: underline;">[4]</span></a>, environ 1 400 entreprises travaillent actuellement dans le domaine des TIC et de la programmation informatique.</p>
<p style="text-align: justify;">BIT Alliance est l’association de premier plan des entreprises de l'industrie du logiciel en Bosnie-Herzégovine. Toutes les sociétés membres sont axées sur l'exportation, enregistrant pour 20 M EUR d'exportations en 2015 et employant 1800 personnes, principalement des salariés hautement qualifiés. D’après les estimations de BIT Alliance, la Bosnie-Herzégovine compte entre 2500 et 3500 programmeurs. La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) a reconnu ce potentiel et a aidé financièrement en 2014 BIT Alliance pour lancer un «programme d'initiation aux TIC» d’une durée de six mois.</p>
<p style="text-align: justify;">Sarajevo, la capitale de la Bosnie-Herzégovine, n'a pas de parc technologique, au contraire de Banja Luka et Mostar.</p>
<p style="text-align: justify;">En 2007, Microsoft a ouvert un bureau de représentation en Bosnie-Herzégovine. D’autres acteurs internationaux ou régionaux sont présents sur le marché tels que Deutsche Telekom, Telekom Serbia, Com Trade et Telemach. </p>
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<p><a title="" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Admin/Articles/New#_ftnref1"><span style="text-decoration: underline;">[1]</span></a> <a href="https://rak.ba/bos/index.php?uid=1339152712"><span style="text-decoration: underline;">https://rak.ba/bos/index.php?uid=1339152712</span></a></p>
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<p><a title="" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Admin/Articles/New#_ftnref2"><span style="text-decoration: underline;">[2]</span></a> <a href="http://www.mkt.gov.ba/"><em><span style="text-decoration: underline;">http://www.mkt.gov.ba</span></em></a></p>
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<p><a title="" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Admin/Articles/New#_ftnref3"><span style="text-decoration: underline;">[3]</span></a> <a href="https://rak.ba/eng/"><em><span style="text-decoration: underline;">https://rak.ba/eng/</span></em></a></p>
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<p><a title="" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Admin/Articles/New#_ftnref4"><span style="text-decoration: underline;">[4]</span></a> <a href="http://bit-alliance.ba/about/"><span style="text-decoration: underline;">http://bit-alliance.ba/about/</span></a></p>
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</div>c973c867-053f-4139-9822-dbd66b4c8b34Veille sur le numérique et les start-ups - Irlande et Royaume-Uni - Octobre 2017SommaireTIC/NUMERIQUE : 1. Irlande :Microsoft et General Electrics investissent dans l’énergie éolienne en Irlande«L’affaire Facebook » à nouveau renvoyée devant la CJUE2. Royaume-Uni :Cybersécurité : le National Cyber Security Centre (NCSC) fête sa première année d’activitéLutte contre le terrorisme : Le RU et les Etats-Unis veulent faciliter l’accès aux données des entreprises TechPublication d’une étude indépendante sur le développement de l’IA au Royaume UniSécurité en ligne : Facebook s’engage à lutter contre la « cyber-intimidation »START-UPS1.Irlande :L’Edtech et la Culturetech mis en avant par la French Tech Dublin2. Royaume-Uni :La licence d’Uber à Londres n’est pas renouveléeLa start-up britannique Deliveroo a réalisé 129 M£ de chiffre d’affaires en 2016Cybersécurité : neuf startups ont été sélectionnées pour le programme d’accélération piloté par le GCHQ TIC/Numérique1. IrlandeMicrosoft et General Electrics investissent dans l’énergie éolienne en IrlandeMicro2017-10-31T00:00:00+01:00<h2><img title="banniere_TIC" src="/Articles/c973c867-053f-4139-9822-dbd66b4c8b34/images/0544477a-dbad-40a6-940b-2cb5206d2ddb" alt="Bannière" /></h2>
<h2>Sommaire</h2>
<p><strong>TIC/NUMERIQUE : </strong></p>
<p><strong>1. Irlande :</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li>Microsoft et General Electrics investissent dans l’énergie éolienne en Irlande</li>
<li>«L’affaire Facebook » à nouveau renvoyée devant la CJUE</li>
</ul>
<p><strong>2. Royaume-Uni :</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li>Cybersécurité : le National Cyber Security Centre (NCSC) fête sa première année d’activité</li>
<li>Lutte contre le terrorisme : Le RU et les Etats-Unis veulent faciliter l’accès aux données des entreprises Tech</li>
<li>Publication d’une étude indépendante sur le développement de l’IA au Royaume Uni</li>
<li>Sécurité en ligne : Facebook s’engage à lutter contre la « cyber-intimidation »</li>
</ul>
<p><strong>START-UPS</strong></p>
<p><strong>1.Irlande :</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li>L’Edtech et la Culturetech mis en avant par la French Tech Dublin</li>
</ul>
<p><strong>2. Royaume-Uni :</strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li>La licence d’Uber à Londres n’est pas renouvelée</li>
<li>La start-up britannique Deliveroo a réalisé 129 M£ de chiffre d’affaires en 2016</li>
<li>Cybersécurité : neuf startups ont été sélectionnées pour le programme d’accélération piloté par le GCHQ</li>
</ul>
<h2> </h2>
<h2>TIC/Numérique</h2>
<h4>1. Irlande</h4>
<p><strong>Microsoft et General Electrics investissent dans l’énergie éolienne en Irlande</strong></p>
<p>Microsoft a annoncé dans un <a href="https://news.microsoft.com/2017/10/09/microsoft-ge-sign-agreement-on-new-wind-project-in-ireland/"><span style="text-decoration: underline;">communiqué de presse</span></a> début octobre avoir signé une convention d’achat d’énergie éolienne d’une durée de 15 ans avec General Electrics en Irlande. Le partenariat prévoit l’achat de la totalité de l’électricité produite par le nouveau parc éolien de Tullahennel (comté de Kerry) d’une puissance de 37 MW, pour contribuer à l’alimentation des « data centres » que Microsoft possède sur l’île. Dans le même temps, un accord a été signé par l’entreprise américaine avec Electro Route, une filiale irlandaise de Mitsubishi, pour des services de négoce d’énergie.</p>
<p>Le parc éolien de Tullahennel est particulièrement innovant, en cela qu’il est le premier à intégrer une unité de stockage dans chaque éolienne pour capturer l’énergie produite en excès. Cette technologie permettra d’atténuer les variations de puissance et devrait faciliter l’intégration sur le réseau de sources d’énergies renouvelables intermittentes. Microsoft et GE souhaitent produire avec ce projet des données précieuses pour déterminer la meilleure utilisation possible de ces technologies de stockage.</p>
<p> </p>
<p><strong>« L’affaire Facebook » à nouveau renvoyée devant la CJUE</strong></p>
<p>La Haute Cour de justice irlandaise (Irish High Court) a publié le 8 octobre un <a href="http://www.europe-v-facebook.org/sh2/ES.pdf"><span style="text-decoration: underline;">jugement</span></a> dans « l’affaire Facebook » concernant le transfert de données personnelles de l’Union Européenne vers les Etats-Unis, qui annonce sa décision de renvoyer à nouveau l’affaire devant la Cour de Justice de l’Union Européenne.</p>
<p>L’affaire avait débuté en 2013, lorsqu’un avocat autrichien, Max Schrems, avait déposé une plainte auprès de la Commissaire irlandaise pour la protection des données (Data Protection Commissionner - DPC) contre Facebook Irlande. Selon M. Schrems, les lois américaines sur le renseignement ne permettait pas de garantir la confidentialité des données personnelles transférées par les utilisateurs européens de Facebook vers la maison mère aux Etats-Unis. La DPC avait s’était jugée incompétente et avait renvoyé l’affaire à la CJUE, laquelle avait prononcé, en 2015, l’invalidation du « Safe Harbor » (l’accord encadrant les échanges de données entre l’UE et les Etats-Unis).</p>
<p>Max Schrems avait alors mis à jour sa plainte, ciblant les « Standard Contract Clause » (SCC) utilisée par Facebook pour poursuivre le transfert des données vers les Etats-Unis. La DPC avait estimé que les SCC ne semblaient effectivement pas garantir la protection des données européennes, mais avait refusé d’user de son pouvoir pour interrompre le flux de données vers les Etats-Unis et avait de nouveau saisi la CJUE.</p>
<p>Le jugement de la Haute Cour de Justice suit donc la recommandation d’Helen Dixon, DPC, en estimant que les SCC ne respectent pas les traités européens en portant atteinte à la vie privée des citoyens européens, mais qu’il appartient à la justice européenne d’invalider ces mécanismes.</p>
<p>Les deux partis ont regretté cette décision, estimant que la justice irlandaise était compétente pour juger l’affaire. Max Schrems a affirmé que la DPC disposait de suffisamment d’éléments et avait la légitimité nécessaire pour suspendre les flux de données vers les Etats-Unis sans faire référence à la CJUE ; Facebook, pour sa part, a assuré que les services de renseignement américains ne violaient pas les droits fondamentaux européens.</p>
<p> </p>
<h4>2. Royaume-Uni</h4>
<p><strong>Cybersécurité : le National Cyber Security Centre (NCSC) fête sa première année d’activité </strong></p>
<p>Promesse du gouvernement Cameron, le NCSC a vu le jour en octobre 2016. Il est installé au coeur de Londres depuis février 2017 et constitue désormais l’autorité de référence en matière de cybersécurité britannique. Placé sous la direction de l’agence technique de renseignement britannique (GCHQ), ce centre a pour objectif de coordonner l’ensemble de l’expertise étatique cyber1 et de développer une approche collaborative en lien tant avec les agences gouvernementales que le secteur privé. Le 3 octobre 2017, le NCSC a publié son <a href="https://www.ncsc.gov.uk/content/files/NCSCAnnualReview2017.pdf"><span style="text-decoration: underline;">premier rapport d’activité</span></a>. En un an, il a répondu à 590 attaques de taille significative dont les attaques contre le NHS ou contre les Parlements du RU et de l’Ecosse. Il a contribué à renforcer l’arsenal préventif de l’Armée, du Cabinet Office ou encore du ministère de l’Intérieur. Enfin, pour anticiper la pénurie de talents dans ce secteur, le NCSC a été à l’initiative de plusieurs programmes de détection des talents tels que la CyberFirst Girl Competition qui a réuni 8000 hauts potentiels entre 13 et 15 ans.</p>
<p> </p>
<p><strong>Lutte contre le terrorisme : Le RU et les Etats-Unis veulent faciliter l’accès aux données des entreprises Tech </strong></p>
<p>D’après le <a href="https://www.ft.com/content/09153a74-b5bc-11e7-aa26-bb002965bce8"><span style="text-decoration: underline;">Financial Times</span></a>, les Etats-Unis et le Royaume-Uni travaillent ensemble à un accord qui obligerait les géants américains de la Tech à transmettre, en cas de demande, les données personnelles de ses internautes aux agences de renseignement britanniques. Actuellement, rien n’oblige des services comme Facebook, Hotmail ou Gmail à coopérer avec des gouvernements étrangers lorsque les données sont stockées sur des serveurs américains. Selon des propos rapportés par le FT, le ministère de l’Intérieur britannique espère que l’accord pourra être conclu avant la fin de l’année. Cet accord vient s’ajouter aux demandes de plus en plus fortes adressées par le gouvernement britannique aux entreprises Tech pour qu’elles luttent plus efficacement contre les contenus terroristes en ligne.</p>
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<p><strong>Publication d’une étude indépendante sur le développement de l’IA au RU </strong></p>
<p>Le 15 octobre, Wendy Hall, professeur d’informatique à l’Université de Southampton et le Français Jérôme Pesenti, PDG de Benevolent Tech ont rendu public leurs propositions de collaboration entre le gouvernement et l’industrie pour favoriser le développement de l’IA. Cette <a href="https://www.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/652097/Growing_the_artificial_intelligence_industry_in_the_UK.pdf"><span style="text-decoration: underline;">étude</span></a> formule 18 recommandations s’articulant autour de 4 thématiques clés : créer plus de compétences en IA (1), permettre un meilleur accès aux données (2), favoriser l’adoption de cette technologie (3) et développer la recherche (4). Elle a été mandatée par le gouvernement en mars 2017 dans le cadre de la stratégie numérique du gouvernement (<a href="https://www.gov.uk/government/publications/uk-digital-strategy"><em><span style="text-decoration: underline;">Digital Strategy</span></em></a>) portée par le DCMS (<em>Department for Digital, Culture, Media & Sport</em>). Les recommandations de cette étude seront examinées dans le cadre de la publication de la version finale de la stratégie industrielle du Royaume-Uni (« livre blanc »). Lors de la publication du « livre vert » sur la nouvelle stratégie industrielle britannique, le gouvernement avait réitéré son intention d’investir 4,7 Md£ supplémentaires d’ici 2020- 21 dans un fonds de recherche et développement, qui permettra entre autres de développer la robotique et l’intelligence artificielle (cette annonce figurait dans <em>l’Autumn Statement 2016</em>).</p>
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<p><strong>Sécurité en ligne : Facebook s’engage à lutter contre la « cyber-intimidation »</strong></p>
<p>Facebook a annoncé <a href="http://www.bbc.co.uk/news/technology-41634616"><span style="text-decoration: underline;">un budget d’1M£</span></a> afin qu’un élève de chaque établissement secondaire britannique (4 500 au RU) puisse être formé pour aider ses camarades victimes de « cyber-intimidation ». Les études montrent en effet qu’un élève est plus susceptible de se confier à un autre élève qu’à un parent ou un enseignant. Cette annonce, bien que jugée insuffisante par certaines associations britanniques, va dans le sens du « Livre vert » sur la nouvelle stratégie britannique pour la sécurité en ligne (<a href="https://www.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/650949/Internet_Safety_Strategy_green_paper.pdf"><span style="text-decoration: underline;">Internet Safety Strategy green paper</span></a>) présentée le 11 octobre dernier par Karen Bradley, <em>Secretary of State for Digital, Culture, Media and Sport.</em></p>
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<h2>Start-ups</h2>
<h4>1. Irlande</h4>
<p><strong>L’Edtech et la Culturetech mis en avant par la French Tech Dublin </strong></p>
<p>Le weekend du 29 Septembre s’est tenu ConneXions, le forum franco-irlandais sur le thème du numérique, de l’éducation et de la culture. Organisé dans le cadre de la French Tech par le Service de Coopération et d’Action Culturelle de l’Ambassade de France en Irlande en collaboration avec Business France et Dublin City Council, cette première édition du forum explorait les enjeux liés à la ville connectée et créative, à travers notamment des tables rondes, un hackathon et un start-up market.</p>
<p>La French Tech Dublin a tenu son troisième « meetup » pour l’année 2017 à l’occasion du cocktail de lancement de ConneXions. Comme lors des précédents rendez-vous de la communauté tech, la soirée a permis à de nombreux français et irlandais d’échanger dans une ambiance de « networking » décontractée. La French Tech avait l’honneur d’accueillir Devialet, une des startups française emblématique, qui a présenté son ascension fulgurante sur le marché des enceintes haute-fidélité, et prodigué ses conseils à tous les jeunes entrepreneurs.</p>
<p>Un concours de pitch express entre 9 startups françaises et irlandaises a rythmé la soirée : les entrepreneurs avaient 90 secondes pour présenter leurs innovations dans le domaine de l’éducation et de la culture. Stéphane Crouzat, Ambassadeur de France en Irlande, s’est même prêté au jeu, en se mettant dans la peau du « CEO de l’ambassade » et en réalisant un pitch convainquant.</p>
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<h4>2.Royaume-Uni</h4>
<p><strong>La licence d’Uber à Londres n’est pas renouvelée </strong></p>
<p>Le 22 septembre 2017, Transport for London (TfL), l’autorité des transports de Londres, a refusé de renouveler la licence d’Uber arrivant à expiration le 30 septembre dans la capitale britannique. Dans un communiqué publié sur son site, TfL explique que « l’approche et la conduite d’Uber ont démontré un manque de responsabilité (…) avec des conséquences potentielles pour la sûreté et la sécurité du public ». La régie des transports londoniens cite notamment le laxisme dont ferait preuve Uber dans la vérification du casier judiciaire de ses chauffeurs, ou encore l’utilisation du logiciel Greyball permettant aux chauffeurs d’éviter les autorités. Cette décision, soutenue par le maire de Londres mais jugée « disproportionnée » par Th. May, concerne 40 000 chauffeurs et 3,5 millions de Londoniens utilisant les services de l’entreprise américaine. Après avoir obtenu le soutien de plusieurs centaines de milliers de Londoniens grâce à une pétition sur le site Change.org, Dara Khosrowshahi, le nouveau PDG d’Uber, a présenté ses excuses dans une lettre ouverte tout en réitérant sa volonté de faire appel de cette décision. Uber pourra ainsi continuer à exercer son activité tout le temps de la procédure judiciaire.</p>
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<p><strong>La start-up britannique Deliveroo a réalisé 129 M£ de chiffre d’affaires en 2016</strong></p>
<p>Le chiffre d’affaires de l’entreprise Deliveroo, spécialisée dans la livraison de repas à domicile, <a href="progressé%20de%20611%25"><span style="text-decoration: underline;">a progressé de 611%</span></a> entre 2015 et 2016. Cette forte croissance s’explique principalement par la rapide expansion géographique de l’entreprise. Fondée à Londres en 2012, la start-up est désormais présente dans 84 villes de 12 pays et compte 120 000 restaurants partenaires. En août 2016, une semaine après l’annonce de la faillite de son concurrent Take It Easy, Deliveroo bouclait une levée de fonds de 275 M$ se positionnant parmi les leaders incontestés de la livraison de repas. Toutefois, l’entreprise accuse des pertes en forte croissance atteignant 129 M£ en 2016 (soit une augmentation de 300 %).</p>
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<p><strong>Cybersécurité : neuf startups ont été sélectionnées pour le programme d’accélération piloté par le GCHQ</strong></p>
<p>Le GCHQ, l’agence technique de renseignement britannique a <a href="http://www.cityam.com/274121/licence-innovate-nine-new-cyber-security-startups-chosen"><span style="text-decoration: underline;">sélectionné neuf nouvelles startups</span></a> spécialisées en cybersécurité pour son <a href="https://www.gov.uk/government/news/firms-urged-to-apply-for-groundbreaking-cyber-startup-scheme"><span style="text-decoration: underline;">programme d’accélération</span></a> de 9 mois. Parmi les startups retenues, figurent notamment Cybershield, une entreprise informant les employés en cas de mails suspicieux ou encore Elliptic qui étudie les transactions en cypto-monnaie. Les startups sélectionnées pourront bénéficier d’espaces de travail, de mentorat ou encore de mise en relation avec des investisseurs. Cet accélérateur s’inscrit dans le cadre de la deuxième stratégie du gouvernement en matière de cybersécurité, dotée d’1,9 Md£ sur 5 ans (2016-2021).</p>7f091c8e-b80c-4217-9e07-f7d4a98b9216Étude comparative internationale -Développement de l’économie collaborative dans les transports : les réponses réglementaires apportées dans huit pays Ce "benchmark" international porte sur les initiatives réglementaires prises en réponse au développement de l’économie collaborative dans le secteur du transport routier de voyageurs et de marchandises. Il comprend une fiche pour chacun des 8 pays étudiés : Allemagne, Espagne, États-Unis, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède et Suisse.Les professions du secteur du transport routier de marchandises et de voyageurs sont fortement impactées par le développement de l’économie numérique. Cette étude a eu pour finalité, à partir de l’examen des pratiques de régulation adoptées à l’étranger, d’éclairer les autorités françaises sur l’établissement de régimes juridiques en réponse à ces nouveaux modèles de transport. Ces modes de régulation répondent au double objectif de lutter contre la concurrence déloyale au sein d’une profession réglementée et de ne pas entraver le développement d’un secteur répondant à une demande sociétale forte et à potentiel pour la croissance de l’économie.En F2017-06-30T00:00:00+02:00<p><em> Ce "benchmark" international porte sur les initiatives réglementaires prises en réponse au développement de l’économie collaborative dans le secteur du transport routier de voyageurs et de marchandises. Il comprend une fiche pour chacun des 8 pays étudiés : Allemagne, Espagne, États-Unis, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède et Suisse.</em></p>
<p>Les professions du secteur du transport routier de marchandises et de voyageurs sont fortement impactées par le développement de l’économie numérique. Cette étude a eu pour finalité, à partir de l’examen des pratiques de régulation adoptées à l’étranger, d’éclairer les autorités françaises sur l’établissement de régimes juridiques en réponse à ces nouveaux modèles de transport. Ces modes de régulation répondent au double objectif de lutter contre la concurrence déloyale au sein d’une profession réglementée et de ne pas entraver le développement d’un secteur répondant à une demande sociétale forte et à potentiel pour la croissance de l’économie.</p>
<p>En France, il n’existe pas de définition réglementaire ou législative de l’économie collaborative, terme souvent confondu avec les notions voisines d’économie numérique, d’économie du partage et même d’ubérisation. Si toutes les acceptions d’économie collaborative convergent sur le rôle central de l’intermédiation numérique (la plateforme), elles peuvent diverger en particulier sur la nature de l’échange (commercial ou non) et des parties prenantes principalement concernées (particuliers ou professionnels).</p>
<p><strong>Ce benchmark international propose, pour chaque pays, d’étudier : </strong></p>
<ul style="list-style-type: disc;">
<li>Les conséquences économiques et sociales induites par cette intermédiation numérique dans le secteur du transport routier de voyageurs et de marchandises, au regard de la législation sociale et du travail et des spécificités nationales relatives à certains secteurs d’activité</li>
<li>Le cas échéant, d’établir et d’analyser les réponses apportées par chacun des pays en termes de régulation de ces nouveaux modes d’économie du transport.</li>
</ul>
<h3><a id="1" name="1"></a>*Commandé par le Ministère de la Transition écologique et solidaire et réalisé en mars 2017.</h3>
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<p><img style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" src="/Articles/7f091c8e-b80c-4217-9e07-f7d4a98b9216/images/464671f5-d896-465d-9a6b-833181113d67" alt="ECI transports" width="626" height="441" /></p>