Trésor-Info - Publications de la direction générale du Trésor - conferenceFlux de publication de la direction générale du Trésor - conferenceFluxArticlesTag-conferenceCopyright 20242024-02-01T00:00:00+01:00/favicon.pngDirection générale du Trésorhttps://localhost/sitepublic/contact@dgtresor.gouv.fr88ea907a-a1d3-43f6-8cff-b397e8eb5165"Innovation, investissements et entrepreneuriat dans les secteurs de l'agritech et de l'agroalimentaire"Le 30 janvier dernier s'est tenu l'évènement "Innovation, investissements et entrepreneuriat dans les secteurs de l'agro-technologie et de l'agroalimentaire" accueilli par HEC Paris au Qatar et organisé par Delphine Acloque, experte française conseillère en sécurité alimentaire auprès du ministère des municipalités du Qatar.2024-02-01T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;"><strong>L'événement, soutenu par le service économique de Doha, a été inauguré en présence de S.E. Jean-Baptiste Faivre, Ambassadeur de France au Qatar.</strong> La conférence a permis à d'éminents représentants d'entreprises et d'experts en sécurité alimentaire du Qatar, de la France et de la région du Golfe, de se rencontrer, de partager leur expérience entrepreneuriale et d'échanger leurs points de vue sur la transformation technologique dans le secteur agricole, le changement climatique et les menaces pour la sécurité alimentaire mondiale. Les panélistes ont également discuté du rôle du secteur privé dans le soutien aux efforts des gouvernements pour relever les défis de la sécurité alimentaire.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Les discussions, animées par Delphine Acloque et son collègue Mark Velders, ont mis l'accent sur l'augmentation des investissements dans les entreprises agri-tech et food-tech et dans les projets pilotes</strong>, soulignant que les pays du Golfe se positionnent en pionniers dans ce domaine. Mme Efi Frager, chef du service économique de l'ambassade de France, a aussi souligné dans ses remarques conclusives l'importance de ce type d’initiative afin de « réunir les entrepreneurs, les innovateurs et les institutions en vue d'améliorer la durabilité sur l'ensemble de la chaîne de valeur alimentaire". Son discours a souligné la solide coopération entre la France et le Qatar dans le domaine de l'agriculture, qui a débuté il y a six ans maintenant par une déclaration d’intention entre le ministre français de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire. Une coopération qui a déjà donné lieu à plusieurs partenariats importants, en plus d’échanges opérationnels réguliers.</p>54c2dbc9-4188-4a1a-bcbd-a32c42112459Brèves de l'OMC n° 6 - Mois de Juillet-Août 2023 : « L’OMC face au risque de fragmentation de l’économie mondiale ».Brèves de l'OMC - n° 6 Mois de Juillet-Août 2023 : « L’OMC face au risque de fragmentation de l’économie mondiale ».2023-09-14T00:00:00+02:00<p>Editorial :<strong> « L’OMC face au risque de fragmentation de l’économie mondiale ».</strong></p>
<p>Le monde actuel est confronté à de nombreux challenges, tant géopolitiques que climatiques et économiques, qui accroissent le risque de fragmentation de l’économie mondiale. Déjà matérialisé par la hausse des mesures restrictives au commerce ces dernières années et les tensions sur les chaînes d’approvisionnement pendant la crise sanitaire, ce risque s’accroît avec les tensions géopolitiques et le risque de constitution de plusieurs blocs économiques rivaux.</p>
<p>L’OMC comme le FMI ont alerté récemment sur le coût économique élevé qu’aurait cette fragmentation pour tous les pays, mais plus encore pour les pays en développement. Bien que les estimations varient, une <a href="https://www.imf.org/en/Blogs/Articles/2023/08/28/the-high-cost-of-global-economic-fragmentation">étude</a> du FMI estime que l'augmentation des restrictions au commerce international pourrait réduire la production économique mondiale de 7 % à long terme, soit l’équivalent de la taille combinée des économies française et allemande.</p>
<p>Les économistes de l'OMC ont analysé quant à eux différents scénarios sur le futur du commerce mondial d’une reprise de la coopération internationale (« reglobalisation ») à une scission en deux blocs commerciaux rivaux, en passant par des schémas de rivalité partielle entre plusieurs blocs. Selon eux, le niveau à long terme (jusqu’en 2050) du PIB mondial réel pourrait diminuer d'au moins 5 %, certaines économies en développement étant confrontées à des pertes de bien-être à deux chiffres (<a href="https://www.wto.org/english/res_e/publications_e/oneyukr_e.htm">ici</a>).</p>
<p>Ces scénarios sombres peuvent être évités ou leurs effets les plus négatifs sur la croissance mondiale atténués. Les ministres du commerce extérieur des pays du G20 viennent ainsi lors de leur réunion de Jaipur (<a href="https://www.g20.org/content/dam/gtwenty/gtwenty_new/document/G20_Trade_and_Investment_Ministers_Meeting.pdf">ici</a>) en Inde de réaffirmer « qu'un système commercial multilatéral fondé sur des règles, non discriminatoire, juste, ouvert, inclusif, équitable, durable et transparent, avec l'OMC en son centre, est indispensable pour faire progresser nos objectifs communs de croissance inclusive, d'innovation, de création d'emplois et de développement durable ».</p>
<p>L’OMC, malgré tous ses défauts bien connus qu’accentuent les tensions actuelles, joue un rôle important à cet égard. Tout d’abord, en continuant de garantir stabilité et prévisibilité des règles commerciales internationales, d’où l’importance des travaux en cours pour réparer son système de règlement des différends. Ensuite, en encourageant des accords sur les défis communs pour lesquels un consensus est atteignable, à l’image de l’accord de l’OMC de juin 2022 sur l’interdiction des subventions à la pêche illégale. Enfin, en étant un lieu de dialogue et d’échanges sur les enjeux nécessitant une plus grande compréhension mutuelle et coopération internationale, par exemple sur le numérique, l’environnement et la politique industrielle.</p>
<p>Une feuille de route ambitieuse alors que débute la préparation de la 13<sup>ème</sup> Conférence ministérielle de l’OMC à Abou Dhabi fin février 2024. <strong> </strong><strong> </strong></p>
<p align="center"><strong> </strong></p>ea9255bf-6e8a-451b-9627-3ea8be1b8b7fConférence à Vienne : « Durabilité : avantage concurrentiel ou nécessité pour survivre ? »NNN2022-10-06T00:00:00+02:00<p><img class="marge" title="Table_ronde_durabilité_Vienne" src="/Articles/ea9255bf-6e8a-451b-9627-3ea8be1b8b7f/images/3cb9b192-ad05-4ead-85bf-66d15db3f799" alt="Table_ronde_durabilité_Vienne" width="835" height="466" /></p>
<p> </p>
<p style="text-align: justify;">Le Service économique de Vienne a co-organisé le 5 octobre avec la <a title="Chambre de commerce franco-autrichienne" href="https://www.ccfa.at/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Chambre de commerce franco-autrichienne</a>, Mazars, Schneider Electric Autriche et la banque Raiffeisen de Haute-Autriche <span style="text-decoration: underline;">une table ronde sur le développement durable</span> dont le sous-titre était :</p>
<p style="text-align: center;"> " <strong>Durabilité : avantage concurrentiel ou nécessité pour survivre ?"</strong></p>
<p style="text-align: justify;">Le directeur général énergie / climat du ministère de l’environnement (<a title="Ministère autrichien de la protection du climat" href="https://www.bmk.gv.at/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">BMK</a>), M. Jürgen Schneider, a rappelé les évolutions réglementaires récentes ou en cours en Autriche en matière de développement durable.</p>
<p style="text-align: justify;">M. Sagmeister, DG de <a title="Schneider Electric Autriche" href="https://www.se.com/at/de/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Schneider Electric Autriche</a>, a présenté le programme de Schneider Electric « Ocean Plastic » qui consiste à récupérer les plastiques en mer pour les recycler notamment en prises électriques et autres éléments d’une installation électrique.</p>
<p style="text-align: justify;">M. Wolfgang Aschenwald, de la banque <a title="Raiffeisen de Haute-Autriche" href="https://www.raiffeisen.at/ooe/rlb/de/privatkunden.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Raiffeisen de Haute-Autriche</a>, a insisté les risques liés à la durabilité des activités des entreprises qui vont avoir un impact direct sur les taux des prêts qui leur sont accordés ainsi que sur la demande des épargnants, des investisseurs ou des ONG adressées aux banques pour tenir compte de la durabilité dans leur politique d’octroi de crédit.</p>
<p style="text-align: justify;">Enfin, M. Philipp Killius, partenaire chez <a title="Mazars Austria" href="https://www.mazars.at/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Mazars Austria</a>, a centré son intervention sur les obligations de rapportage qui vont être progressivement introduites par le droit européen et qui vont obliger à partir de 2024 les entreprises à rédiger des rapports sur la durabilité et le respect des normes environnementales et sociales tout au long de leur chaine de production, y compris chez leurs fournisseurs.</p>
<p style="text-align: justify;"> </p>
<p style="text-align: justify;"><img class="marge" title="Conférence durabilité Vienne" src="/Articles/ea9255bf-6e8a-451b-9627-3ea8be1b8b7f/images/f7fcca72-a2b3-4b9c-abcb-f026080ba2aa" alt="Conférence durabilité Vienne" width="1249" height="387" /></p>
<p> </p>
<p> </p>
<p style="text-align: justify;"> </p>82124ed6-555e-460e-90a5-fcbfc06c04bbBrèves de l'OMC n° 6 - Juin 2022 : Le verre à moitié plein Brèves de l'OMC n°6 - Juin 2022 : Le verre à moitié plein 2022-07-13T00:00:00+02:00<p>Editorial : <strong>le verre à moitié plein !</strong></p>
<p style="text-align: justify;">La 12<sup>ème</sup> Conférence ministérielle de l’OMC s’est achevée le 17 juin par un succès, après prolongation et non sans avoir frôlé l’échec. Ce succès envoie un signal bienvenu pour le multilatéralisme dans un monde divisé et une économie mondiale au bord de la crise de nerfs. Le « paquet » du 17 juin est substantiel, même si son ambition a dû être revue à la baisse :</p>
<p style="text-align: justify;">- un accord sur l’interdiction des subventions à la pêche illicite, aux stocks surexploités et à la pêche en haute mer non régulée. C’est le 1er accord de l’OMC dans le domaine environnemental, en réponse aux objectifs de développement durable de l’ONU. Il est prévu de le compléter à l’avenir par des disciplines sur les subventions contribuant aux surcapacités et à la surpêche ;</p>
<p style="text-align: justify;">- une décision facilitant temporairement l’octroi de licences obligatoires sur les vaccins anti-Covid (dérogation à certaines dispositions de l’accord de l’OMC sur la propriété intellectuelle) et une déclaration politique sur commerce et santé. Cette dérogation était très importante pour un grand nombre de PED. Une discussion s’engagera prochainement sur une éventuelle extension de cette dérogation aux traitements et diagnostics anti-Covid ;</p>
<p style="text-align: justify;">- une déclaration sur la sécurité alimentaire insistant sur le maintien de l’ouverture des marchés et une décision de ne pas appliquer de restrictions aux exportations aux achats du Programme alimentaire mondial (PAM) ;</p>
<p style="text-align: justify;">- une déclaration ministérielle qui lance les travaux de réforme de l’OMC, avec entre autres l’objectif d’un système de règlement des différends « pleinement opérationnel » pour 2024. Cette déclaration inclut également, pour la première fois, une référence au changement climatique. Il importe maintenant d’avancer concrètement sur ces sujets ;</p>
<p style="text-align: justify;">- une décision reconduisant le moratoire de 1998 sur les droits de douane relatifs aux transactions électroniques jusqu’au 31 mars 2024. C’était l’attente principale des milieux d’affaires. </p>
<p style="text-align: justify;">Seul le programme de travail sur les négociations agricoles n’a pas été adopté, en raison de fortes divergences. On retiendra néanmoins l’adoption d’un programme de travail sur les défis actuels entourant l’accord sur les mesures sanitaires et phytosanitaires (SPS).</p>
<p style="text-align: justify;">L’UE a joué un rôle constructif tout au long des négociations et contribué largement au succès final. Tous les acteurs ont su faire les concessions nécessaires pour éviter un échec qui aurait pu être fatal. Mais les défis de fond auxquels fait face l’OMC demeurent et justifient plus que jamais l’agenda de réforme : divisions géopolitiques, paralysie de l’Organe d’appel, désaccords sur le rôle du commerce dans le développement, difficultés à traiter les sujets du 21<sup>ème</sup> siècle (environnement, numérique).</p>
<p style="text-align: justify;">Au même moment, le 5<sup>ème</sup> anniversaire de la mise en œuvre de l’accord de l’OMC sur la facilitation des échanges montre son impact positif sur la baisse des coûts du commerce et la numérisation des douanes. L’OMC a encore un rôle à jouer !</p>f9781207-54fc-4096-abad-4cd42fbd6b49Conférence "Construire un partenariat public privé réussi - Expérience française" à SarajevoUne conférence sur le thème des partenariats publics privés (PPP) intitulée « Construire un partenariat public-privé – Expérience française » s’est tenue mercredi , le 20 octobre à Sarajevo, à l’hôtel Holiday. L’événement a été organisé par le Service économique de Zagreb en présence de deux experts de FININFRA, le centre d’expertise du gouvernement français pour les projets d’infrastructures.2021-10-27T00:00:00+02:00<p style="text-align: justify;">Une conférence sur le thème des partenariats publics privés (PPP) intitulée « Construire un partenariat public-privé – Expérience française » s’est tenue mercredi , le 20 octobre à Sarajevo, à l’hôtel Holiday. L’événement a été organisé par le Service économique de Zagreb en présence de deux experts de FININFRA, le centre d’expertise du gouvernement français pour les projets d’infrastructures.</p>
<p style="text-align: justify;">La conférence s’est ouverte par une brève introduction de SE Mme Christine Toudic, Ambassadrice de France en BIH puis le Ministre des transports et des Communications de BiH, M. Vojin Mitrović, s’est adressé aux participants. Mme Florence Bouyala Imbert, conseillère économique a pris la parole à son tour pour introduire le sujet ainsi que les experts de FININFRA, M. Pierre-Antoine Rohan et M. Louis-Gonzague Melchior.</p>
<p style="text-align: justify;">Après avoir présenté leur structure, FININFRA ainsi que leurs missions, les deux experts ont présenté l’approche française des PPP à travers des exemples de projets de LGV, le nouveau palais de justice de Paris ou encore EuroDisney. Des exemples, à la fois concrets et connus qui ont permis d’illustrer leurs propos. Ils ont particulièrement insisté sur l’objectif de cette conférence qui n’était pas de promouvoir un modèle universel de PPP mais d’inspirer par des exemples de PPP réussis.</p>
<p style="text-align: justify;">L’audience, constituée de représentants des gouvernements, des circonscriptions administratives, de municipalités, de l’administration et d’institutions financières (IFC<a title="" href="#_ftn1" name="_ftnref1">[1]</a>) a suivi avec beaucoup d’intérêt l’exposé de l’expérience française, que FININFRA a réussie à rendre accessible malgré la technicité du sujet.</p>
<p style="text-align: justify;">M. Nebojša Grbušić, directeur exécutif pour la région des Balkans pour le Groupe Veolia est intervenu à la fin de la présentation afin d’évoquer des projets de PPP menés par Veolia partout le monde. Il a notamment cité en exemple un contrat avec la Compagnie des eaux de Szeged, en Hongrie, et au Japon, la digitalisation de la station d'épuration d'Hiroshima.</p>
<p style="text-align: justify;">Suite à la conférence, certains participants - Le bureau national de coordination de la réforme publique (PARCO) ainsi que l’IFC représentée par sa directrice nationale - ont pris part à des entretiens bilatéraux afin d’échanger avec nos experts sur des problématiques plus précises et la mise en œuvre de futurs projets.</p>
<p style="text-align: justify;">Ces rendez-vous bilatéraux font état d’un manque d’infrastructures sociales et de transport en BIH mais ils témoignent d’une volonté d’agir de manière locale et ciblée, dans un pays où les PPP sont encore rares.</p>
<div><br clear="all" /><hr align="left" size="1" width="33%" />
<div id="ftn1">
<p style="text-align: justify;"><a title="" href="#_ftnref1" name="_ftn1">[1]</a> L’IFC (<em>International Finance Corporation</em>) est une filiale de la Banque Mondiale.</p>
</div>
</div>81a38213-eb51-46a0-8de8-ff15fbaaf3eeBrèves de l'OMC n° 05 - Mai 2021 : Le temps des compromisBrèves de l'OMC n° 05 - Mai 2021 : Le temps des compromis2021-06-01T00:00:00+02:00<p style="text-align: left;" align="center">Extrait de l'éditorial : <strong>Le temps des compromis</strong></p>
<p>Les négociations s’intensifient, les options se resserrent, les positions se durcissent : l’OMC négocie! Sans doute comme on ne l’avait plus vue faire depuis bien longtemps. L’impulsion donnée par la nouvelle Directrice générale, en perspective de la réunion ministérielle de fin d’année, aura contribué à cette mise en mouvement. Le changement d’humeur internationale associé à l’entrée en action de la nouvelle administration américaine en aura renforcé l’élan. Pour viser quoi? Au minimum deux résultats directement lisibles par les opinions publiques.</p>
<p>La réforme des subventions à la pêche, pour aider à réaliser le 14è objectif de développement durable, celui de la préservation des océans. Sous la houlette déterminée de l’ambassadeur de Colombie, qui préside les négociations, des lignes de compromis émergent désormais : insatisfaisantes par définition, pour les Membres retranchés dans le confort de positions bloquantes, inchangées depuis près de 20 ans : sur la nature des subventions acceptables ou à prohiber, sur l’étendue du traitement spécial et différencié à accorder à la pêche artisanale, sur l’équilibre entre régimes d’interdiction pure et simple des soutiens aux activités de pêche et prise en compte des systèmes de gestion durable des stocks. Rien ne garantit un accord <em>in fine</em>. Mais on est entré dans «le temps du deal» et la Directrice générale de l’OMC a convoqué une réunion ministérielle consacrée à cette question pour la mi-juillet afin d’en presser l’aboutissement. Rien ne sert plus de reporter les échéances.</p>
<p> </p>1f3dd572-0d60-46ac-9c9e-05db8e8eac59Bercy France Export 2021 : une édition placée sous le signe de la relance verte à suivre en ligne le 2 févrierBercy France Export est le rendez-vous annuel d'échanges sur les enjeux de l'export organisé par le Ministère de l'Économie, des Finances et de la Relance. Rendez-vous le 2 février pour échanger avec les acteurs clefs de la communauté des exportateurs français : entreprises, banques, assureurs, membres de la Team France Export, conseillers économiques en ambassade et autres acteurs institutionnels.2021-01-27T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;">Bercy France Export est le rendez-vous annuel d'échanges sur les enjeux de l'export organisé par le Ministère de l'Économie, des Finances et de la Relance. Rendez-vous le 2 février pour échanger avec les acteurs clefs de la communauté des exportateurs français : entreprises, banques, assureurs, membres de la Team France Export, conseillers économiques en ambassade et autres acteurs institutionnels.</p>
<p style="text-align: justify;">Cette année l'événement est dédié à la “Relance verte” avec un focus spécial sur le verdissement des financements export et sur tous les outils et les moyens mis à la disposition des entreprises pour continuer à exporter malgré la crise, dans le cadre du plan France Relance.</p>
<p style="text-align: justify;">Au programme l’édition 2021 de Bercy France Export :</p>
<p style="text-align: justify;"> Présentation détaillée de la politique de financement export pour 2021 ;</p>
<ul style="text-align: justify; list-style-type: disc;">
<li>Présentation des opportunités et des nouveaux défis en matière d’exportation offerts par la transition écologique ;</li>
<li>Focus sur les outils et les moyens mis à la disposition des entreprises pour continuer à exporter malgré la crise, dans le cadre du plan France Relance ;</li>
<li>Ateliers interactifs en présence d’agents de la direction générale du Trésor, de Bpifrance Assurance Export, de Business France ;</li>
<li>Sessions de networking et rendez-vous privatifs avec les chefs de Services économiques et les directeurs-pays de Business France pour en savoir plus sur les opportunités commerciales offertes par certains des marchés émergents les plus attractifs.</li>
</ul>
<p style="text-align: justify;"> Dans le contexte sanitaire actuel, cet évènement se tiendra en format digital :</p>
<p style="text-align: justify;"><a href="https://hopin.com/events/bercy-france-export-2021-81ad449b-787a-470d-93eb-53fffc7459a1"><span style="text-decoration: underline;">Inscrivez-vous sur la plateforme pour participer aux différentes sessions</span></a></p>
<p style="text-align: justify;"> Contact : <span style="text-decoration: underline;">BFE2021@dgtresor.gouv.fr</span></p>9dcf4432-c428-455e-baf6-0197a360aec5Conférence-débat sur les perspectives et opportunités du Koweït Le 7 novembre, le French Business Council de Dubaï a tenu une conférence consacrée aux perspectives et opportunités d’affaires au Koweït. Organisée avec le concours du Service économique de Koweït City, la conférence a réuni plus de 80 participants en abordant les opportunités d’un marché encore méconnu offrant pourtant de réelles opportunités ouvertes par un plan d’investissement de 150 Mds USD. 2019-11-10T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;"><span id="DeltaPlaceHolderMain">Pour en savoir plus, voir en annexe la présentation du Chef du Service économique « Kuwait Outlook » ainsi que le programme détaillé de la conférence. A noter que nos Services économiques au Liban, en Iran, aux Emirats arabes unis ou encore en Oman ont également conduit cette même opération dans la période récente, toujours en collaboration avec le French Business Council. </span></p>
<p> <img class="marge" title="photo du groupe" src="/Articles/9dcf4432-c428-455e-baf6-0197a360aec5/images/0f2f4097-0c3e-4d3f-a36e-b7e4c41c912d" alt="photo du groupe" width="689" height="423" /></p>
<p style="text-align: justify;"><span id="DeltaPlaceHolderMain"><span class="ms-rteFontSize-1">De gauche à droite : Agnès Lopez Cruz (Directrice Générale du French Business Council), Arnaud Boulanger, CSE, Bader Al Kharafi (PDG du groupe ZAIN, 1er opérateur mobile koweitien), Marie Masdupuy, ambassadeur de France au Koweït, Jean-Paul Scheuer (Sanofi).</span></span></p>
<p style="text-align: justify;"><br /><span id="DeltaPlaceHolderMain"></span></p>7a0ebcb3-3ced-471d-b5be-bea18a2e2130Conférence sur le Moyen-Orient avec un focus sur l'IrakLe 24 avril 2019, s'est tenue, à Dubaï, une conférence sur la situation économique et politique au Moyen-Orient et les nouvelles perspectives offertes par le marché irakien. Organisée à l'initiative du French Business Council Dubai & Northern Emirates (la Chambre de Commerce Française pour Dubaï et les Emirats du Nord), elle a réuni une soixantaine d'entreprises françaises.Le Chef du Service économique régional pour le Levant, l’Iran et l’Irak, M. Jacques de Lajugie, et l'adjoint du Chef du Service économique de Bagdad, M. Florentin Hyvert, ont notamment pu présenter, à cette occasion, les avancées du processus de reconstruction dans lequel l'Irak s'est officiellement engagé lors de la conférence internationale s'étant tenue, du 12 au 14 février 2018, à Koweït.Conscient des besoins du pays à court, moyen et long terme, l'ensemble des sociétés représentées a manifesté, lors de la séquence de questions/réponses, son désir de prendre part aux efforts entrepris par l'Irak.2019-05-28T00:00:00+02:00<p><img class="marge" src="/Articles/7a0ebcb3-3ced-471d-b5be-bea18a2e2130/images/454acaba-cc48-4823-abc2-2546d9b5281d" alt="Conférence sur le Moyen-Orient avec un focus sur l'Irak" /></p>
<p style="text-align: justify;">Le 24 avril 2019, s'est tenue, à Dubaï, une conférence sur la situation économique et politique au Moyen-Orient et les nouvelles perspectives offertes par le marché irakien. Organisée à l'initiative du <em>French Business Council Dubai & Northern Emirates</em> (la Chambre de Commerce Française pour Dubaï et les Emirats du Nord), elle a réuni une soixantaine d'entreprises françaises.</p>
<p><img class="marge" title="M. Jacques de Lajugie, Chef du Service économique régional pour le Levant, l’Iran et l’Irak" src="/Articles/7a0ebcb3-3ced-471d-b5be-bea18a2e2130/images/2d856049-50d2-449f-82bb-6dacd02714cd" alt="M. Jacques de Lajugie, Chef du Service économique régional pour le Levant, l’Iran et l’Irak" /></p>
<p style="text-align: justify;">Le Chef du Service économique régional pour le Levant, l’Iran et l’Irak, M. Jacques de Lajugie, et l'adjoint du Chef du Service économique de Bagdad, M. Florentin Hyvert, ont notamment pu présenter, à cette occasion, les avancées du processus de reconstruction dans lequel l'Irak s'est officiellement engagé lors de la conférence internationale s'étant tenue, du 12 au 14 février 2018, à Koweït.</p>
<p><img class="marge" title="M. Florentin Hyvert, adjoint du Chef du Service économique de Bagdad" src="/Articles/7a0ebcb3-3ced-471d-b5be-bea18a2e2130/images/b13177bc-b04e-42a0-92fb-4e3a90ab34e8" alt="M. Florentin Hyvert, adjoint du Chef du Service économique de Bagdad" /></p>
<p style="text-align: justify;">Conscient des besoins du pays à court, moyen et long terme, l'ensemble des sociétés représentées a manifesté, lors de la séquence de questions/réponses, son désir de prendre part aux efforts entrepris par l'Irak.</p>
<p style="text-align: justify;"><img class="marge" title="Conférence sur le Moyen-Orient avec un focus sur l'Irak" src="/Articles/7a0ebcb3-3ced-471d-b5be-bea18a2e2130/images/b9e97f74-0b1f-4fd1-9a68-5899e26e044b" alt="Conférence sur le Moyen-Orient avec un focus sur l'Irak" /></p>