Trésor-Info - Publications de la direction générale du Trésor - TPEFlux de publication de la direction générale du Trésor - TPEFluxArticlesTag-TPECopyright 20242021-05-07T00:00:00+02:00/favicon.pngDirection générale du Trésorhttps://localhost/sitepublic/contact@dgtresor.gouv.fr94679588-9a09-4a48-b565-8ac4652ea225Brèves économiques régionales d’Afrique de l’Ouest (hors Nigéria-Ghana) n°398Amélioration de la conjoncture au sein de l’UEMOA en mars 20212021-05-07T00:00:00+02:00<ul>
<li>Actualité régionale : Amélioration de la conjoncture au sein de l’UEMOA en mars 2021</li>
<li>Bénin : S&P maintient la note du Benin à « B+ »</li>
<li>Burkina Faso : 493 K tonnes de coton pour la campagne 2020-2021</li>
<li>Cap-Vert : Baisse des exportations de 36,8% en g.a au premier trimestre 2021</li>
<li>Côte d’Ivoire : 230 M EUR pour renforcer la compétitivité des industries sucrières</li>
<li>Guinée : Fin de la mission de consultation 2021 du FMI au titre de l’article IV</li>
<li>Libéria : Prolongement de la suspension des droits d’importation sur le riz</li>
<li>Mali : Signature d’un accord-cadre pour soutenir le secteur cotonnier</li>
<li>Mauritanie : Etat d’avancement des travaux relatifs à la construction du Terminal à Conteneurs et Hydrocarbures</li>
<li>Niger : Ratification de contrats de financement pour le projet de riposte face à la COVID-19 et l’expansion de l’accès à l’électricité</li>
<li>Sénégal : Le Gouvernement obtient 350 Mds FCFA du FMI</li>
<li>Sierra Leone : Mise en service de mini-réseaux électriques solaires dans 4 localités</li>
<li>Togo : Suspension de l’exportation de la ferraille et des sous-produits ferreux</li>
</ul>cc37607d-615a-4389-8055-940afd8b5952Étude comparative internationale : accès des TPE et PME européennes au financement en fonds propresDans le cadre de la préparation du rapport annuel de l'Observatoire du financement des entreprises (OFE) , les services économiques régionaux du Trésor de six pays européens (Allemagne, Espagne, Italie, Suède, Pays-Bas, Royaume-Uni) ont été sollicités par le Pôle d’analyse économique du secteur financier (PAESF), en charge du rapport, pour réaliser une étude comparative internationale sur l'accès au financement en fonds propres des TPE et PME. Retrouvez les principales conclusions.2021-03-30T00:00:00+02:00<center>
<p><img class="marge" title="étude accès fonds propres entreprises européennes DG Trésor" src="/Articles/cc37607d-615a-4389-8055-940afd8b5952/images/64fdbb6b-ffc4-4dcc-b043-1112646cfaed" alt="étude accès fonds propres entreprises européennes DG Trésor" width="658" height="439" /></p>
</center>
<p>La nouvelle étude comparative internationale du Trésor s'intéresse aux sources de financement externe en fonds propres des entreprises. Elle a été réalisée sur la base des contributions de six services économiques à l'international (Berlin, Stockholm, Madrid, Rome, La Haye, Londres) autour de quatre thèmes : </p>
<ol>
<li>études économiques ;</li>
<li>infrastructures et institutions en place ;</li>
<li>perceptions des entreprises vis-à-vis de ce mode de financement ;</li>
<li>impact de la crise.</li>
</ol>
<h2>Les principales conclusions</h2>
<p>Cette étude a permis de montrer que :</p>
<ul>
<li>Les modes dominants de financement externe en fonds propres sont très différents selon les pays ;</li>
<li>Le degré d'ouverture aux capitaux étrangers varie en fonction des modes de financement ;</li>
<li>Les pouvoirs publics ont dans la plupart des pays une action de soutien au financement en fonds propres des PME nationales ; </li>
<li>L'impact de la crise a poussé les investisseurs en fonds propres à revoir leur stratégie ;</li>
<li>Des mesures de soutien public au financement en fonds propres ont été mises en places dans tous les pays concernés par l'étude.</li>
</ul>
<h5>+ Retrouver les conclusions de l'étude comparative internationale : télécharger <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/cc37607d-615a-4389-8055-940afd8b5952/files/babfa007-4e31-4b47-9a3e-ae485e99393b" target="_blank" rel="noopener noreferrer">la note de synthèse >></a></h5>
<div class="focus">
<h4>Les études comparatives internationales du Trésor</h4>
<p>Réalisées par le réseau international de la DG Trésor, les services économiques en ambassade, les études comparatives internationales correspondent ont pour objectif d’éclairer la décision publique lors de la préparation, la mise en œuvre et/ou le contrôle d’une politique nationale.</p>
<p>Chaque année, le réseau de la DG Trésor réalise plus d’une trentaine d’études à la demande des cabinets ministériels, du Parlement, des corps de contrôle ou d’autres administrations, qui participent directement des réformes mises en œuvre en France.</p>
</div>
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<p> </p>02376a46-9c0b-445b-ad54-2fef0d0119c9Participation du Service économique régional de Rome à l'étude sur l'accès des TPE et PME européennes au financement en fonds propresLes Services économiques analysent les situations macroéconomiques et financières de chaque pays ainsi que l’évolution de l’environnement des affaires au niveau local. Cette expertise est notamment mise à profit pour réaliser des études comparatives internationales pour le compte de la Direction générale du Trésor ou de commanditaires extérieurs (cabinets, ministères techniques, autres directions du Ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance etc.). 2021-03-30T00:00:00+02:00<p style="text-align: justify;">Dans le cadre de la préparation du rapport annuel de l'Observatoire du financement des entreprises (OFE), les Services économiques régionaux du Trésor de six pays européens (Allemagne, Espagne, Italie, Suède, Pays-Bas, Royaume-Uni) ont été sollicités par le Pôle d’analyse économique du secteur financier (PAESF), en charge du rapport, pour réaliser une <strong>étude comparative internationale sur l'accès au financement en fonds propres des TPE et PME</strong>.</p>
<p style="text-align: justify;">La nouvelle étude comparative internationale du Trésor s'intéresse aux sources de financement externe en fonds propres des entreprises. Elle a été réalisée sur la base des contributions du Service économique de Rome ainsi que de cinq autres Services économiques (<a title="SER Berlin" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Pays/DE?listePays=DE" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Berlin</a>, <a title="SER Stockholm" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Pays/SE?listePays=SE" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Stockholm</a>, <a title="SER Madrid" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Pays/ES?listePays=ES" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Madrid</a>, <a title="SE La Haye" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Pays/NL?listePays=NL" target="_blank" rel="noopener noreferrer">La Haye</a>, <a title="SER Londres" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Pays/GB?listePays=GB" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Londres</a>) autour de quatre thèmes : </p>
<ol>
<li style="text-align: justify;">études économiques ;</li>
<li style="text-align: justify;">infrastructures et institutions en place ;</li>
<li>perceptions des entreprises vis-à-vis de ce mode de financement ;</li>
<li>impact de la crise.</li>
</ol>
<h2 style="color: #333333; margin-top: 48px;">Les principales conclusions</h2>
<p>Cette étude a permis de montrer que :</p>
<ul>
<li style="text-align: justify;">Les modes dominants de financement externe en fonds propres sont très différents selon les pays ;</li>
<li style="text-align: justify;">Le degré d'ouverture aux capitaux étrangers varie en fonction des modes de financement ;</li>
<li style="text-align: justify;">Les pouvoirs publics ont dans la plupart des pays une action de soutien au financement en fonds propres des PME nationales ; </li>
<li style="text-align: justify;">L'impact de la crise a poussé les investisseurs en fonds propres à revoir leur stratégie ;</li>
<li style="text-align: justify;">Des mesures de soutien public au financement en fonds propres ont été mises en places dans tous les pays concernés par l'étude.</li>
</ul>
<p> </p>232805f1-2337-4a33-87c4-3fcc2052783eNumérisation des entreprises françaisesLa transformation numérique est un processus multidimensionnel, vecteur d’innovation et nourrit les gains de productivité. Le degré de numérisation des entreprises françaises est comparable à celui observé en Europe. Comme à l’étranger, les PME et a fortiori les TPE accusent un retard de numérisation par rapport aux grandes entreprises. La crise sanitaire a montré que le numérique contribue à la résilience de l’économie, en permettant des modes d’organisation flexibles et la vente à distance.2020-11-26T00:00:00+01:00<center><iframe title="YouTube video player" src="https://www.youtube.com/embed/IYbcntevGjc" width="560" height="315" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></center>
<p> </p>
<p>Les technologies numériques transforment les économies : elles modifient les relations entre entreprises et consommateurs, la façon dont les entreprises interagissent entre elles, et leurs méthodes de production. La transformation numérique est un processus multidimensionnel, vecteur d'innovation et nourrit les gains de productivité.</p>
<p>Le degré de numérisation des entreprises françaises est comparable à celui qui est observé en Europe aussi bien sur les outils numériques matures (progiciels de gestion, traitement automatisé des factures) que sur les technologies émergentes (informatique en nuage, données de masse, intelligence artificielle). En particulier, l'économie française présente un taux de robotisation cohérent avec sa structure sectorielle et sa population active.</p>
<p>En France comme dans le reste de l'Europe, les PME et <em>a fortiori</em> les TPE accusent un retard dans l'adoption de technologies numériques par rapport aux grandes entreprises. Ce retard concerne toutes les technologies numériques : les TPE et PME sont moins bien connectées à l'internet haut débit et très haut débit, ont moins recours aux logiciels de gestion, à la vente en ligne, à l'informatique en nuage et à l'analyse de données.</p>
<p>La crise sanitaire a montré que le numérique peut contribuer à une plus grande résilience de l'économie, en permettant des modes d'organisation flexibles et la vente à distance. Une politique publique de numérisation du tissu productif devrait cibler prioritairement les entreprises les plus contraintes financièrement et disposant d'un accès limité à l'information sur les bénéfices des technologies numériques. Elle doit s'accompagner d'un soutien aux infrastructures (Très Haut Débit, 5G) et d'un ensemble cohérent de politiques visant à faciliter le développement du numérique (soutien à la recherche, formation, cybersécurité, etc.). C'est pourquoi la numérisation de l'économie est un axe important des mesures prioritaires du plan de relance.</p>
<p>.</p>
<p style="text-align: center;"><img class="marge" title="TE-271" src="/Articles/232805f1-2337-4a33-87c4-3fcc2052783e/images/d4f007d9-c2e0-4ad2-9e82-8dcc7cbeac35" alt="TE-271" /></p>
<p style="text-align: center;"> </p>
<h4><strong>+ Télécharger l'étude complète <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/232805f1-2337-4a33-87c4-3fcc2052783e/files/d13107c0-d820-4304-8a53-bfc6dbd3178e">Trésor-Éco n° 271>></a><br /></strong></h4>
<h4><strong>+ Autres publications à consulter sur le sujet :</strong></h4>
<ul>
<li>
<h6>Cette G., Devillard A. et V. Spiezia (2020), “<a href="https://publications.banque-france.fr/en/growth-factors-developed-countries-1960-2019-growth-accounting-decomposition" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Growth factors in developed countries : A 1960-2019 growth accounting decomposition</a>”, <em>Banque de France WP 783</em>.</h6>
</li>
<li>
<h6>Brynjolfsson E., Rock D. & C. Syverson (2017), “<a href="https://www.nber.org/papers/w24001" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Artificial intelligence and the modern productivity paradox: A clash of expectations and statistics</a>”, <em>NBER WP 24001</em>.</h6>
</li>
<li>
<h6>Aghion P., Antonin C. et S. Bunel (2019), « <a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/4253049?sommaire=4253159" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Intelligence artificielle, croissance et emploi: le rôle des politiques</a> », <em>Économie et statistique</em>, 510, 149-164.</h6>
</li>
<li>
<h6>Bounie D., Camara Y. & J. W. Galbraith (2020), “<a href="https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3588373" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Consumers' Mobility, Expenditure and Online-Offline Substitution Response to COVID-19: Evidence from French Transaction Data</a>”, <em>SSRN</em>.</h6>
</li>
</ul>
<h4><strong>+ Voir toute la collection des études Trésor-Éco : <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/tags/Tresor-Eco">Français</a> / <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/tags/Tresor-Economics">English</a></strong></h4>df17a219-238e-4b52-90f3-e294fbda02f0Digitalisation in France's business sectorDigital transformation is a multi-dimensional process, a vector of innovation and feeds productivity gains. The degree to which French businesses have digitalised is comparable to the rest of Europe. As abroad, SMEs and a fortiori VSEs lag behind large companies in terms of digitisation. The health crisis has shown that digital technology contributes to the resilience of the economy by allowing flexible organisational modes and distance selling.2020-11-26T00:00:00+01:00<p>Digital technology transforms economies: it changes how businesses and consumers interact, how businesses interact with each other, and how they organise their production processes. Digital transition is a multidimensional process, a driver of innovation and a source of productivity gains.</p>
<p>The degree to which French businesses have digitalised is comparable to the rest of Europe, in terms of both mature technology (enterprise resource planning systems, automated invoice processing) and emerging technology (cloud computing, big data, artificial intelligence). In terms of robotics, the degree of automation in France's economy is notably consistent with its sectoral structure and labour force.</p>
<p>In France and the rest of Europe, SMEs (and, not surprisingly, VSEs) are late adopters compared to large enterprises. The digital divide is observed across all areas of technology: SMEs and VSEs are less likely to have a high-speed or ultra-high-speed internet connection and are less likely to use management software, e-commerce, cloud computing and data analysis.</p>
<p>The pandemic has shown how digital technology can contribute to greater economic resilience by allowing work to be organised more flexibly and goods to be sold remotely. A government initiative to digitalise the business sector should prioritise firms that have the most limiting financial constraints and that lack access to information on the benefits of digital technology. Any such initiative should also include infrastructure support (ultra-high-speed internet, 5G) and a coherent set of policies to encourage digital development (support for research, training, cybersecurity, etc.). This is why digitalisation features prominently in the priority measures of the recovery plan.</p>
<p> </p>
<p style="text-align: center;"><img class="marge" title="TE-271en" src="/Articles/df17a219-238e-4b52-90f3-e294fbda02f0/images/192291b1-3128-433a-bb0e-ac8ee33797d5" alt="TE-271en" /> </p>346915af-88d3-4754-8620-7fcdb3f3d372Covid-19 : lancement d'un plan de soutien aux entreprises françaises exportatricesBruno Le Maire, ministre de l’Economie et des Finances, et Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, annoncent un plan de soutien exceptionnel aux entreprises françaises exportatrices en réponse au ralentissement économique lié à l’épidémie de Covid-19.2020-03-31T00:00:00+02:00<center>
<p><img class="marge" title="©thomaslerchphoto / Stock.Adobe.com" src="/Articles/346915af-88d3-4754-8620-7fcdb3f3d372/images/c347d8d8-0541-4e39-aed5-eaee8fe7c770" alt="©thomaslerchphoto / Stock.Adobe.com" /></p>
</center>
<div class="focus">
<p>Ce plan d’urgence permettra à la fois de <strong>soutenir les entreprises exportatrices face aux conséquences immédiates de la crise</strong>, notamment en sécurisant leur trésorerie, et d’<strong>assurer leur rebond à l’international après la crise</strong>. <strong>Il s’adresse en particulier aux PME et ETI</strong>, moteurs essentiels pour les filières industrielles dans les territoires et vient compléter les mesures d’urgence prises par le Gouvernement en soutien aux entreprises françaises. Il comprend 4 mesures exceptionnelles.</p>
</div>
<h3>4 mesures exceptionnelles pour soutenir les entreprises exportatrices</h3>
<p>Le plan de soutien aux entreprises françaises exportatrices comprend 4 mesures exceptionnelles pour soutenir les entreprises exportatrices :</p>
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<li><strong>L’octroi des garanties de l’Etat à travers Bpifrance Assurance Export pour les cautions et les préfinancements de projets export sera renforcé afin de sécuriser la trésorerie des entreprises exportatrices.</strong> Les quotités garanties seront ainsi relevées à 90% pour toutes les PME et ETI. La durée de validité des accords de garanties des préfinancements export sera prorogée, pour atteindre six mois.</li>
<li><strong>Les assurances-prospection en cours d’exécution seront prolongées d’un an</strong>, permettant une extension de la période de prospection couverte.</li>
<li><strong>Une capacité de 2 milliards d'euros sera apportée à l’assurance-crédit export de court terme</strong> grâce à l’élargissement du dispositif de réassurance publique Cap Francexport. Ce dispositif couvrira l’ensemble des pays du globe.</li>
<li><strong>L’accompagnement et l’information par les opérateurs de la Team France Export (Bpifrance, Business France et les Chambres de commerce et d’industrie) seront renforcés</strong>, en lien avec les régions et le réseau des conseillers du commerce extérieur, en complémentarité avec les acteurs privés de l’accompagnement. Une veille spécifique sur chaque zone géographique intéressant les entreprises est mise enplace. Business France adapte également son offre existante afin de proposer des solutions aux entreprises face à l’impossibilité de déplacement à l’étranger.</li>
</ol>
<p>Les outils de soutien financier à l’export demeurent en outre pleinement disponibles pour aider les entreprises à conserver ou rapidement reconquérir leurs marchés à l’international et seront utilisés activement pour soutenir le rebond des entreprises une fois la pandémie passée, de même que l’action de la Team France Export : </p>
<ul>
<li><strong>l’Assurance Prospection</strong>, qui appuie les PME et ETI pour explorer des opportunités sur de nouveaux marchés ;</li>
<li><strong>les FASEP</strong>, subvention d’études préalables aux projets d’infrastructures et de démonstrateurs de technologies innovantes ;</li>
<li><strong>l’assurance-crédit</strong> opérée par Bpifrance Assurance Export ;</li>
<li><strong>les prêts du Trésor</strong> pour les projets d’Etat à Etat dans les pays émergents et en développement, notamment pour répondre aux besoins sanitaires des pays touchés par le coronavirus en positionnant l’offre industrielle française en la matière.</li>
</ul>
<h3><strong>>> Télécharger <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/346915af-88d3-4754-8620-7fcdb3f3d372/files/ac9fae14-efbc-42a2-9b95-bc0fe4b8a07f" target="_blank" rel="noopener noreferrer">le dossier consacré au plan d'urgence pour les entreprises exportatrices</a></strong></h3>
<h3><strong>>> Download the English version : <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/346915af-88d3-4754-8620-7fcdb3f3d372/files/0bbd94dc-a5d3-4de6-8d3b-c5a0e5abe818">Support plan for French exports</a></strong></h3>
<h5><strong>+ Retrouver <a href="https://info-entreprises-covid19.economie.gouv.fr/kb" target="_blank" rel="noopener noreferrer">toutes les mesures d'urgence de soutien aux entreprises</a></strong></h5>
<h5><strong>En savoir plus :</strong></h5>
<ul>
<li><a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/services-aux-entreprises" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Toutes les informations sur le soutien public à l'export</a></li>
<li><a title="FASEP" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/services-aux-entreprises/le-fasep" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Toutes les informations sur le FASEP</a></li>
<li><a title="le guide du FASEP" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Institutionnel/Niveau2/Pages/3c714fc2-ff65-4dad-bfac-28f1faeca917/files/ca4bdff4-3aff-4309-a3a8-3b000cb8ed62" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Télécharger le guide du FASEP</a></li>
<li><a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/services-aux-entreprises/le-pret-du-tresor#a" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Toutes les informations sur les prêts du Trésor </a></li>
</ul>
<h5><strong>Lire aussi :</strong></h5>
<ul>
<li><a title="Toutes les Histoires de FASEP" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/tags/histoires-fasep" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Toutes les Histoires de FASEP</a></li>
</ul>48a93754-9e38-4d85-b37a-c3ed37c86533Trésor-Economics No. 159 - Access to financing for French VSEsVery small enterprises (VSEs), which make up 96% of French businesses, fare en essential component of the French economy. They are the main local economic driver, cross-cutting a wide range of sectors, including retailers, crafts and tradespeople, self-employed professionals, service providers, accommodation and food services. They are also present in manufacturing and information and communications technology (ICT). Although at first glance the VSE ecosystem appears straightforward, a closer look reveals greater complexity. VSEs cover a very wide range of businesses, encompassing three million companies with diverse profiles across different sectors and legal statuses, and boasting varying levels of employment and growth.VSEs' contribution to the economy in 2013 in the main non-farm market sectors may seem modest, providing 17.1% of added value, 18% of salaried employment and 14.7% of investment. But behind these figures lies a more mixed story. Their contribution to employment is2015-12-17T00:00:00+01:00<p>Very small enterprises (VSEs), which make up 96% of French businesses, fare en essential component of the French economy. They are the main local economic driver, cross-cutting a wide range of sectors, including retailers, crafts and tradespeople, self-employed professionals, service providers, accommodation and food services. They are also present in manufacturing and information and communications technology (ICT). Although at first glance the VSE ecosystem appears straightforward, a closer look reveals greater complexity. VSEs cover a very wide range of businesses, encompassing three million companies with diverse profiles across different sectors and legal statuses, and boasting varying levels of employment and growth.</p>
<p>VSEs' contribution to the economy in 2013 in the main non-farm market sectors may seem modest, providing 17.1% of added value, 18% of salaried employment and 14.7% of investment. But behind these figures lies a more mixed story. Their contribution to employment is underestimated due to the large number of self-employed persons. VSEs did however play a significant role in those sectors where they are traditionally more prevalent, i.e. personal services, accommodation and food services, and the construction industry.</p>
<p>Most VSEs are small: some 60% (excluding autoentrepreneurs, a simplified entrepreneur scheme) do not boast salaried employees and the number of employees increases only very gradually with the age of the company. Job creation is an important issue. VSEs' recruitment plans are strongly related to their growth targets. In addition, staff numbers depend on a range of economic and non-financial factors that vary depending on the company's strategy. While there appears to be a certain degree of reluctance to hire new staff, a small section of the ecosystem stands out due to the significant growth momentum it is enjoying; this in turn has a positive knock-on effect by feeding into the various layers of the economy.</p>
<p>The VSE landscape is constantly changing on the one hand and relatively stable on the other. Many new businesses are starting up, but many others are closing down. Furthermore, VSEs established during the recent financial crisis have reported a greater number of bankruptcies. The weakening of this type of business in the wake of the financial crisis has raised questions as to whether or not VSEs have access to sufficient funding during tougher economic times. They appear to have sufficient access to investment loans and this does not seem to have a negative impact on their capital expenditure projects. By contrast, the results of a survey on their access to lines of credit paint a different picture. However, our interpretation of these results must take into account the company's financial situation ; for example, the survey revealed that 17% of VSEs are in a very difficult financial position.</p>
<p>To avoid putting a strain on short-term cash flow, VSEs can opt for other funding options such as pre-financing of the CICE (competitiveness and employment tax credit). A new, more suitable factoring service could offer a solution to certain business-to-business sectors. At the same time, company managers must enhance their financial knowledge to boost their companies' access to the loan products provided by retail banking networks.</p>
<p style="text-align: center;"><img title="Trésor-Economics No. 159" src="/Articles/48a93754-9e38-4d85-b37a-c3ed37c86533/images/33b83332-6a0d-4d33-888c-7d5e59a182e1" alt="Trésor-Economics No. 159" /></p>53987f1d-c429-4139-8857-df9e4ebdef03Trésor-Éco n° 159 - Les TPE françaises et leur accès au financementEn représentant 96 % des entreprises françaises, les TPE (très petites entreprises) sont une composante essentielle du tissu économique français. Elles incarnent notre tissu économique de proximité, recouvrant une grande variété de métiers (commerçants, artisans, professions libérales, prestataires de services, restaurateurs et hôteliers…), tout en étant présentes dans l'industrie ou le secteur des TIC. Derrière la simplicité de sa représentation, l'appréhension de l'écosystème est plus complexe. Sous le vocable TPE, le champ couvert est particulièrement large : il s'agit de plus de 3 millions d'entreprises auxquelles sont rattachées des profils hétérogènes en termes de secteur, de statut juridique, d'emploi et de croissance.Le poids économique des TPE en 2013 dans les secteurs principalement marchands apparaît modéré en contribuant à 17,1 % de la valeur ajoutée, 18 % de l'emploi salarié et 14,7 % de l'investissement. Ces chiffres masquent une analyse plus contrastée. Leur contributi2015-12-17T00:00:00+01:00<p>En représentant 96 % des entreprises françaises, les TPE (très petites entreprises) sont une composante essentielle du tissu économique français. Elles incarnent notre tissu économique de proximité, recouvrant une grande variété de métiers (commerçants, artisans, professions libérales, prestataires de services, restaurateurs et hôteliers…), tout en étant présentes dans l'industrie ou le secteur des TIC. Derrière la simplicité de sa représentation, l'appréhension de l'écosystème est plus complexe. Sous le vocable TPE, le champ couvert est particulièrement large : il s'agit de plus de 3 millions d'entreprises auxquelles sont rattachées des profils hétérogènes en termes de secteur, de statut juridique, d'emploi et de croissance.<br /><br />Le poids économique des TPE en 2013 dans les secteurs principalement marchands apparaît modéré en contribuant à 17,1 % de la valeur ajoutée, 18 % de l'emploi salarié et 14,7 % de l'investissement. Ces chiffres masquent une analyse plus contrastée. Leur contribution à l'emploi est sous-estimée compte tenu de l'importance des travailleurs non salariés. Par ailleurs d'un point de vue sectoriel, leur poids économique est substantiel dans les secteurs structurellement portés par les TPE (services à la personne, restauration et hôtellerie, construction).<br /><br />Les TPE sont majoritairement de taille réduite : environ 60 % des TPE (hors autoentrepreneurs) n'ont pas de salarié et la taille de l'effectif augmente très peu avec l'ancienneté. La question de la création d'emploi n'est pas triviale. En premier lieu, la propension des TPE à embaucher est fortement dépendante de leur objectif de développement. Puis, selon la stratégie de croissance ambitionnée, la taille de l'effectif est influencée par un ensemble de facteurs économiques et qualitatifs. Bien qu'une certaine réticence à l'embauche puisse être décelée, une frange restreinte de l'écosystème se démarque par une dynamique de croissance notable qui profite aux autres strates du tissu économique.<br /><br />La démographie des TPE se caractérise par un dualisme opposant un renouvellement continu et une grande stabilité des entreprises déjà installées. Le dynamisme de la création d'entreprises trouve son pendant dans un nombre important de cessations. De plus les TPE créées pendant la crise ont enregistré un plus grand nombre de défaillances. La fragilisation de la démographie dans le sillage de la crise financière a posé la question de la capacité des TPE à se financer de manière satisfaisante dans un contexte économique fortement dégradé. Leur accès au crédit d'investissement apparaît satisfaisant et ne constitue pas un frein à leurs projets d'investissement. L'enquête sur les crédits de trésorerie fait en revanche état de quelques tensions. L'interprétation de ces résultats nécessite toutefois de prendre en compte le contexte financier de la demande au vu de l'hétérogénéité des situations ; notamment 17 % des TPE seraient dans une situation financière très délicate.<br /><br />Pour prévenir les tensions de trésorerie, les TPE peuvent envisager d'autres sources de financement telles que le préfinancement du CICE. Une nouvelle offre d'affacturage plus adaptée peut constituer une solution pour certains secteurs du B to B. Parallèlement, la montée en compétences des dirigeants en gestion financière s'impose en vue d'améliorer leur accès aux produits de financement issus des réseaux bancaires.</p>
<p style="text-align: center;"><img title="Trésor-Éco n° 159" src="/Articles/53987f1d-c429-4139-8857-df9e4ebdef03/images/21b0f149-2e99-4116-8835-0ee084bc6fc2" alt="Trésor-Éco n° 159" /></p>