Trésor-Info - Publications de la direction générale du Trésor - PandemieFlux de publication de la direction générale du Trésor - PandemieFluxArticlesTag-PandemieCopyright 20242021-02-26T00:00:00+01:00/favicon.pngDirection générale du Trésorhttps://localhost/sitepublic/contact@dgtresor.gouv.fr6f88c279-a5f7-4c34-9a54-1ab7fc606427Brèves économiques d'IrlandeLa propagation du variant britannique en Irlande a plongé le pays dans un confinement strict depuis le 24 décembre 2020 et récemment prolongé jusqu’au 5 avril 2021. En conséquence, l’activité économique a fortement ralenti, notamment dans les services et la construction, tandis que la publication des résultats annuels pour 2020 voit bientôt sonner l’heure du bilan.2021-02-26T00:00:00+01:00<h2 style="color: #333333;">Sommaire</h2>
<h5 style="color: #333333;">Macroéconomie, p. 2</h5>
<ol>
<li>Prévisions de croissance </li>
<li>Activité économique</li>
<li>Chômage</li>
<li>Immobilier</li>
<li>Consommation</li>
<li>Commerce extérieur</li>
<li>Investissements directs étrangers</li>
</ol>
<h5 style="color: #333333;">Finances publiques, p. 6</h5>
<ol>
<li>Exchequer</li>
<li>Dette publique</li>
<li>Facilité pour la Relance et la Résilience</li>
</ol>
<h5 style="color: #333333;">Secteur financier et assurances, p. 8</h5>
<ol>
<li>Rapport sur la stabilité financière</li>
<li>Ulster Bank</li>
</ol>
<h5 style="color: #333333;">Entreprises, p. 9</h5>
<ol>
<li>Covid-19</li>
<li>Brexit</li>
<li>Startups</li>
<li>Investissements en capital-risque</li>
</ol>269bb4ea-b940-4f32-9409-5be03bebbbf6Brèves de l'OMC n° 12 - Décembre 2020 : Bilan d'ouverture Brèves de l'OMC n° 12 - Décembre 2020 : Bilan d'ouverture 2020-12-19T00:00:00+01:00<p>Extrait de l'éditorial : <strong>Bilan d’ouverture</strong></p>
<p style="text-align: justify;">L’administration Biden entrera en fonction fin janvier : débloquera-t-elle le processus de nomination de la directrice générale de l’OMC ? Dans quelle situation cette dernière trouvera-t-elle alors l’organisation ?</p>
<p style="text-align: justify;">Le passif est lourd. Blocage de son exécutif. Blocage de son Organe d’appel. Blocage de la seule négociation multilatérale active pour réformer les subventions à la pêche. Clivages profonds sur les enjeux des règles commerciales en matière de développement, d’agriculture, de propriété intellectuelle, de subventions industrielles, de numérique, d’environnement. Manque de respect par les Membres de leurs obligations de base en matière de transparence. Toutes les apparences d’une faillite potentielle, au terme pas si lointain...</p>
<p style="text-align: justify;">A l’actif, les ferments d’un renouveau. L’administration américaine sortante aura eu au moins un mérite, en dépit de méthodes plus que discutables et d’objectifs souvent fluctuants, celui de faire prendre conscience des défis systémiques auxquels est confrontée l’OMC : capacité à régir la relation entre capitalismes privé et d’Etat ; à différencier les responsabilités des pays en développement ; à mettre à jour ses règles d’équité concurrentielle en matière de défense commerciale et d’encadrement des subventions industrielles. Une majeure partie des Membres de l’OMC s’est engagée depuis trois ans dans la dynamique plurilatérale, celle d’une organisation à plusieurs vitesses, au sein de laquelle certains entendent progresser plus rapidement sur des enjeux d’avenir : la numérisation de l’économie et la transition écologique. La crise de COVID-19 représentera sans doute un point de basculement : elle a mis à nu l’importance stratégique du commerce pour la sécurité sanitaire et alimentaire des populations, du fait de l’imbrication des chaines de valeur qui les approvisionnent. Plus que jamais du fait de cette crise et pour conduire sa mission de régulation du commerce, l’OMC devra se repenser comme force au service d’enjeux extra-économiques, ceux du développement durable. C’est le sens des propositions récentes de l’UE pour la santé et le climat.</p>24798538-dd2c-46e1-b490-658fd351d68dBrèves de l'OMC n°4 - Avril 2020 : "Sicken-Thy-Neighbor" ? L'OMC au défi du COVID-19Brèves2020-04-29T00:00:00+02:00<p><em>Extrait de l'Editorial</em> :</p>
<p style="text-align: justify;">La perspective est sans surprise, aussi sans pitié : l’OMC entrevoit une chute du commerce mondial des marchandises située entre le dixième (scenario proche de 2008) et le tiers (plutôt la crise de 1929) de son niveau de l’an dernier, suivant la durée des confinements et l’ampleur des réactions des gouvernements. A côté des armes monétaire et budgétaire, la politique commerciale peut-elle aider entreprises et travailleurs privés d’activité et contribuer à résoudre la crise?</p>
<p style="text-align: justify;">Le commerce exerce un impact direct sur les approvisionnements en matériels et médicaments indispensables à la lutte contre le virus. Les règles de l’OMC autorisent les mesures affectant leurs échanges, dès lors qu’elles poursuivent un objectif de santé publique. Ceux qui seraient tentés d’y dénoncer le protectionnisme devront y regarder à deux fois : une collectivité nationale peut légitimement vouloir restreindre quelque temps ses exportations (le GATT l’autorise pour les produits essentiels à la santé et, sous certaines conditions, les produits alimentaires), stimuler son approvisionnement en médicaments génériques en délivrant des licences obligatoires (système adapté à Doha en 2001 pour les pays les plus pauvres), ou abaisser le coût de ses achats médicaux en en supprimant les droits de douanes. En matière sanitaire la seule question pertinente n’est pas celle du droit, incontesté, d’un Etat à agir sur son commerce pour protéger sa population, mais de déterminer s’il est possible d’atteindre des résultats plus efficaces par la coopération commerciale internationale...</p>