Trésor-Info - Publications de la direction générale du Trésor - Assistance-techniqueFlux de publication de la direction générale du Trésor - Assistance-techniqueFluxArticlesTag-Assistance-techniqueCopyright 20242021-10-25T00:00:00+02:00/favicon.pngDirection générale du Trésorhttps://localhost/sitepublic/contact@dgtresor.gouv.fra5feb196-a99d-46e4-b82b-8ee28b571330Séminaire d'ouverture du projet PARFID - Motivation et mobilisation des administrations des douanes et des impôtsLe Projet d’appui régional à la formation des agents et des cadres des Impôts et des Douanes (PARFID), financé par la DG Trésor, a officiellement été inauguré les 13 et 14 octobre à Abidjan. 2021-10-25T00:00:00+02:00<p style="text-align: justify;">Le projet, financé par la Direction Générale du Trésor (France) et mis en oeuvre par Expertise France, a pour objectif de renforcer les capacités des cadres et des agents des administrations fiscales et douanières des zones économiques de l’UEMOA et de la CEMAC, tout en accompagnant l’évolution des dispositifs de formation de façon harmonisée. Le projet PARFID est déployé en partenariat avec la Direction Générale des Finances Publiques, la Direction Générale des Douanes et des Droits Indirects français et le Campus de l’Agence Française de développement (AFD) avec le soutien des commissions de l’UEMOA et de la CEMAC. L’équipe d’assistance technique est basée à Abidjan.</p>
<p style="text-align: justify;">La DG Trésor a été représentée par M. GALLISSAIRES Daniel, Chef du Service économique régional pour l’Afrique de l’Ouest (hors Nigéria-Ghana), qui a notamment décrit le contexte du projet. Ce dernier s’inscrit dans le cadre du PISD 2020-2023 (plan d’investissement stratégique pour le développement) qui œuvre à une meilleure mobilisation des ressources intérieures dans les économies en développement.</p>
<p style="text-align: justify;">Le projet est organisé en 4 composantes :</p>
<p style="text-align: justify;">1. Une étude sur les besoins en formation des cadres des impôts et des douanes de la sous-région de la CEMAC qui fait suite à une étude préparatoire au projet, laquelle faisait état des besoins en formation des administrations fiscales et douanières pour la sous-région de l’UEMOA. Les deux études permettent de consolider une série de recommandations communes aux 14 pays de la région.</p>
<p style="text-align: justify;">2. L’accompagnement pour la mise à niveau et la cohérence régionale de la formation initiale des cadres et des agents des impôts, en partenariat étroit avec les écoles en charge de la formation aux premiers métiers.</p>
<p style="text-align: justify;">3. L’appui à la régionalisation de la formation continue, et notamment à la mise en place de filières thématiques régionales pour que les cadres et les agents actualisent leurs savoirs au cours de leurs carrières. Cette composante prendra appui sur le réseau d’écoles existant.</p>
<p style="text-align: justify;">4. L’accompagnement du pilotage de la formation vise à renforcer les capacités des concepteurs et des gestionnaires de l’offre de formation, ainsi que des managers, afin d’améliorer l’adéquation de l’offre de formation aux besoins des services pour l’exercice efficient des métiers.</p>
<p style="text-align: justify;">Il fait suite au diagnostic sollicité par la commission de l'UEMOA lors de la réunion des ministres de la Zone franc (RMZF) de mars 2019 et à l’adoption en mars 2020 d’un plan d'action régional visant à renforcer les capacités des agents des douanes et des impôts pour contribuer à l’amélioration de la mobilisation des ressources intérieures, grâce à un dispositif de formation rénové. Suite à sa requête fin 2020, le champ d'application du projet a été étendu à la CEMAC.</p>0e6bcebc-2827-406a-86dd-5412bba1bca7Brèves de l'OMC n°10 - Octobre 2020 : NGOZIRédigé par Jean-Marie PAUGAM - Publié le 04 novembre 2020 2020-11-04T00:00:00+01:00<p>Extrait de l'éditorial</p>
<p>Mme Ngozi Okonjo-Iweala, candidate Nigériane, a remporté très largement la compétition et apparait comme la mieux positionnée pour emporter le consensus permettant sa désignation au poste de directrice générale de l’OMC. Ce résultat a été annoncé par le président du Conseil général, l’ambassadeur David Walker, mandaté pour conduire le processus de sélection, suivant les règles de procédures agréées par les membres de l’OMC, au sein d’une « troïka » lui adjoignant deux assesseurs.</p>
<p>En exprimant leur préférence pour le Docteur Ngozi Okonjo-Iweala, encore mieux connue sur la scène internationale sous son prénom, les membres de l’OMC ont choisi d’opérer trois ruptures.</p>
<p>Désigner pour la première fois une femme à la tête de l’OMC. 25 ans après sa création, plus de 70 ans après celle de son ancêtre le GATT on applaudira la chute du bastion. Deux femmes étaient en finale, trois en lice, qu’elles soient toutes saluées pour leur contribution à cette victoire du genre.</p>
<p>Le choix, également pour la première fois, d’une personnalité africaine. Longtemps pourvoyeuse presque exclusive de matières premières dans le commerce mondial, l’Afrique est désormais engagée dans l’unification de son espace économique intérieur, via son projet de zone de libre-échange continentale. En revendiquant d’accéder à ce poste, l’Union Africaine exprime sa volonté de reprendre une part entière dans la conduite des affaires de la mondialisation.</p>87564676-056f-4613-b91d-1385447efb53Contribution française aux fonds de l’OMCLa France fait un don de 4,5 millions d’euros au total (5 millions de francs suisses) en vue de financer des programmes d’assistance technique et des activités de formation en faveur des pays en développement et des pays les moins avancés (PMA) sur une période de trois ans (2018, 2019 et 2020). Ce montant sera alloué à cinq fonds gérés par l’OMC.https://www.wto.org/french/news_f/pres18_f/pr830_f.htm 2018-12-18T00:00:00+01:00<p style="text-align: justify;">La France fait un don de 4,5 millions d’euros au total (5 millions de francs suisses) en vue de financer des programmes d’assistance technique et des activités de formation en faveur des pays en développement et des pays les moins avancés (PMA) sur une période de trois ans (2018, 2019 et 2020). Ce montant sera alloué à cinq fonds gérés par l’OMC.</p>
<p><a href="https://www.wto.org/french/news_f/pres18_f/pr830_f.htm">https://www.wto.org/french/news_f/pres18_f/pr830_f.htm</a></p>
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