Trésor-Info - Publications de la direction générale du TrésorFlux de publication de la direction générale du TrésorFluxArticlesCentraleCopyright 20242024-03-27T00:00:00+01:00/favicon.pngDirection générale du Trésorhttps://localhost/sitepublic/contact@dgtresor.gouv.fr7c8970cc-75d5-489a-929a-aac2671773ecRetour sur la première édition du Séminaire Transition : Les Enjeux des Bouclages dans la Transition Énergétique et ClimatiqueLe Séminaire Transition, fruit de la collaboration entre la direction générale du Trésor et la direction générale de l'Énergie et du Climat, réunit des experts de divers horizons pour explorer les intrications entre les sciences physiques et l'économie dans la recherche de solutions durables. La première séance, qui s'est tenue le vendredi 22 mars en présentiel, a permis d’explorer les défis majeurs associés aux bouclages dans la transition énergétique et climatique.2024-03-27T00:00:00+01:00<p><img style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/7c8970cc-75d5-489a-929a-aac2671773ec/images/0e25720c-5db0-4c83-af43-bb4d3786ae28" alt="ouverture dorothée rouzet" width="610" height="407" /></p>
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<p style="text-align: left;">La semaine dernière, le <strong>Séminaire Transition</strong> s'est tenu au centre de conférences Pierre Mendès France du ministère de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique.</p>
<p>Co-organisée par la direction générale du Trésor et la direction générale de l'Énergie et du Climat, la première édition de ce séminaire a rassemblé plus de 200 participants, marquant ainsi une étape importante dans la compréhension collective des bouclages de la transition énergétique et climatique.</p>
<p>L'événement a débuté par une ouverture de <strong>Dorothée Rouzet</strong>, cheffe économiste de la direction générale du Trésor, soulignant l'importance de cette rencontre pour la formulation de politiques éclairées dans le domaine de la transition énergétique et climatique. Ensuite, une table ronde animée par <strong>Laurent Michel</strong>, Président de l’Autorité environnementale, a introduit les principaux bouclages de la transition, à la croisée des approches ingénieurs et économiques, avec la participation de <strong>Anna Creti</strong>, professeure à l’Université Paris Dauphine – PSL et directrice de la chaire économie du climat, <strong>Aurélien Peffen</strong>, expert en modélisation des systèmes énergétiques chez Enerdata, et <strong>Sophie Szopa</strong>, directrice de recherche au CEA en modélisation de la chimie atmosphérique et coordinatrice et auteure principale au GIEC.</p>
<p>Une seconde table ronde, animée par <strong>Selma Mahfouz</strong>, directrice expertise ESG à Crédit Mutuel Alliance Fédérale, s'est concentrée sur le bouclage biomasse, avec la participation de <strong>Jérôme Mousset</strong>, directeur bioéconomie et énergies renouvelables à l’ADEME, <strong>Philippe Delacote</strong>, directeur de recherche à l’INRAE et responsable du pôle Agriculture, Forêts de la chaire économie du climat, et <strong>Benoît Gabrielle</strong>, professeur à AgroParisTech.</p>
<p>Les échanges entre ces experts ont permis d'approfondir la compréhension des enjeux liés aux bouclages dans la transition énergétique et climatique, offrant des perspectives nouvelles et des pistes de réflexion pour l'avenir.</p>
<p>La journée s'est conclue avec une synthèse par <strong>Diane Simiu</strong>, directrice du climat, de l’efficacité et de l’air, de la direction générale de l’énergie et du climat, qui a mis en avant les principaux enseignements et orientations à tirer de ce séminaire.</p>
<p>Cette session inaugurale a confirmé l'importance capitale des bouclages, en mettant en exergue le bouclage biomasse. Durant cet après-midi riche en échanges, les participants ont eu l'opportunité d'explorer les diverses dimensions de cette notion complexe, allant des aspects techniques aux implications économiques et sociales.</p>
<p>Le point saillant de ce séminaire résidait dans la nécessité de concilier les approches "ingénieurs" et économiques. Les discussions ont ainsi mis en lumière les défis inhérents à cette convergence d'expertises, tout en soulignant l'importance cruciale de cette démarche pour la mise en place de solutions viables à long terme. </p>
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<h5 style="text-align: center;"> Découvrez le replay du séminaire</h5>
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<p style="text-align: center;"><iframe title="YouTube video player" src="https://www.youtube.com/embed/JTJylTOdPUo?si=vu6_QDMnth6uH5Xz" width="560" height="315" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p>8cb7e378-554b-4a27-a1cc-cb887d6eb5b8La conduite de la politique monétaire en zone euro et aux États-UnisLes politiques monétaires de la Fed et de la BCE ont toutes deux grandement évolué depuis la crise financière de 2008. Les deux banques centrales ont dû s’adapter à des chocs récurrents (notamment, dernièrement, crise sanitaire et choc inflationniste) en faisant évoluer leurs instruments, dans le but de remplir leurs mandats respectifs. Après une période de taux bas et d’accroissement des bilans, la Fed et la BCE ont entamé, à partir de mi-2022, un resserrement monétaire de grande ampleur.2024-03-26T00:00:00+01:00<p>La politique monétaire recouvre les décisions prises par une banque centrale en vue d'influencer le coût et la disponibilité de la monnaie dans une économie. La Banque centrale européenne (BCE) a pour mandat principal d'assurer la stabilité des prix tandis que la Réserve fédérale américaine (Fed) vise à la fois la stabilité des prix et le plein emploi. En matière de stabilité des prix, les deux banques centrales se sont fixé une cible d'inflation de 2 % à moyen terme.</p>
<p>Traditionnellement, les taux directeurs constituent l'instrument principal utilisé par une banque centrale pour mener à bien son mandat. Les taux directeurs sont les taux d'intérêt appliqués par les banques centrales aux prêts qu'elles octroient aux banques commerciales et aux dépôts qu'elles reçoivent. Les taux directeurs agissent sur l'économie réelle via plusieurs canaux : par les taux d'intérêts, les prix des actifs et le taux de change.</p>
<p>Depuis une quinzaine d'années, la Fed et la BCE ont fait évoluer la conduite de leur politique monétaire pour faire face aux différentes crises : crise financière en 2008, crise des dettes souveraines en Europe en 2010, crise sanitaire en 2020 et, enfin, choc inflationniste en 2021 amplifié par l'invasion de l'Ukraine par la Russie en 2022.</p>
<p>Pour lutter contre les conséquences de ces crises et remédier aux limites du taux plancher zéro (<em>zero lower bound</em>), la BCE et la Fed ont développé une panoplie d'outils, dits non conventionnels, tels que des programmes de rachat d'actifs (assouplissement quantitatif – <em>quantitative easing</em>) pour agir aussi sur les taux longs, la communication pour influer sur les anticipations de taux (<em>forward guidance</em>), les opérations de refinancement de long terme pour soutenir le crédit bancaire, ou encore les taux de dépôt négatifs.</p>
<p>L'orientation des politiques menées par la Fed et la BCE a été proche depuis 2008, sauf entre 2015 et 2019, période au cours de laquelle la Fed normalisait sa politique en remontant ses taux tandis que la BCE maintenait une politique de taux bas. La BCE a eu tendance à réagir plus tardivement que la Fed aux premières crises, mais a adapté ses instruments tout aussi rapidement et vigoureusement face à la pandémie.</p>
<p>L'envolée de l'inflation en sortie de pandémie, qui se situe depuis 2022 à des niveaux très supérieurs à la cible de la Fed et de la BCE, a conduit les deux banques centrales à procéder à un fort resserrement monétaire (<em>cf.</em> Graphique).</p>
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<p style="text-align: center;"><img class="marge" title="TE-340" src="/Articles/8cb7e378-554b-4a27-a1cc-cb887d6eb5b8/images/30ffb14b-cf26-41c4-9b92-19e9f9a6be79" alt="TE-340" /></p>
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<h4><strong>+ Télécharger l'étude complète <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/8cb7e378-554b-4a27-a1cc-cb887d6eb5b8/files/f0d13f3b-36bb-4fbb-a204-9442c8c79f15" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Trésor-Éco n° 340>></a><br /></strong></h4>
<h4><strong>+ Autres publications à consulter sur le sujet :</strong></h4>
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<li><strong> Banque centrale européenne (juillet 2021), <a href="https://www.ecb.europa.eu/home/search/review/html/ecb.strategyreview_monpol_strategy_overview.en.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Déclaration de stratégie de politique monétaire à l'issue de la revue stratégique</a>.<br /></strong></li>
<li><strong> Federal Reserve (janvier 2012), <a href="https://www.federalreserve.gov/monetarypolicy/files/FOMC_LongerRunGoals.pdf" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Déclaration de stratégie de politique monétaire</a>. </strong></li>
<li><strong> Blot C., Bozou C. et Creel J. (2022), <a href="https://www.cairn.info/l-economie-europeenne-2022--9782348074387-page-36.htm#:~:text=La%20r%C3%A9vision%20propos%C3%A9e%20en%20juillet,%C2%BB%202%20%25%20%C3%A0%20moyen%20terme." target="_blank" rel="noopener noreferrer">« La révision de la stratégie de la BCE »</a> dans <em>L’économie européenne 2022, </em>OFCE<em>, </em>La Découverte.<br /></strong></li>
<li><strong> Mishkin F. (1995) <a href="https://pubs.aeaweb.org/doi/pdfplus/10.1257/jep.9.4.3" target="_blank" rel="noopener noreferrer">“Symposium on the monetary transmission mechanism”, </a><em>Journal of economic perspectives</em>, n° 4, pp. 3-10.</strong></li>
</ul>
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<p>• <strong>Selon l’Insee, </strong><a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7942824"><strong>les créations d’entreprises</strong></a><strong> refluent légèrement en février </strong>(−0,3 % après +2,6 % en janvier), du fait d’un recul des créations d’entreprises classiques (−0,9 % après +2,8 %).</p>
<p>• <strong>En mars, l’indice</strong> <a href="https://www.pmi.spglobal.com/Public/Home/PressRelease/8f8e0e8c04074b8e96ef75390cfbec7f"><strong>PMI <em>flash</em> composite</strong></a><strong> de la France recule légèrement, </strong>après sa forte hausse du mois précédent (−0,4 pt à 47,7 après +3,5 pt), se plaçant en-dessous du seuil traditionnel d’expansion pour un 10<sup>e</sup> mois consécutif. Le PMI services diminue (−0,6 pt à 47,8 après +3,0 pt) tandis que le PMI industrie chute plus lourdement (−1,3 pt à 45,8, après +4,0 pt).</p>
<h5 style="color: #333333; margin-top: 48px; text-align: center;">Zoom sur les climats des affaires sectoriels</h5>
<p><strong>►</strong><strong>En mars, l’indicateur synthétique du climat des affaires est en hausse </strong>(+2 pt à 100) et atteint sa moyenne de long terme pour la première fois depuis septembre 2023 : selon ce signal, l’activité française évoluerait à un rythme de croissance moyen. Cette progression se reflète dans tous les secteurs d’activités à l’exception du bâtiment. Les hausses concernent les services (+2 pt à 102) et l’industrie (+1 pt à 102) ; ce dernier climat atteint son plus haut niveau depuis mars 2023. En outre, le climat des affaires dans le gros progresse (+2 pt à 95) mais reste sous sa moyenne. Enfin, le climat dans le bâtiment se dégrade (−1 pt à 102). Par ailleurs, le climat de l’emploi est stable et confirme son rebond du mois précédent au-dessus de sa moyenne de long terme (inchangé à 102).</p>
<p> <img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/8fd8fd86-3e25-49e7-986f-b16972ff7a89/images/dd2183a2-2b53-4ed3-9fb5-82624f2119eb" alt="Climats des affaires sectoriels Insee" width="917" height="597" /></p>52be1be1-b0fc-4018-80f7-dd947aae9ef2Flash Conjoncture Pays avancés - La Banque centrale du Japon augmente ses tauxFlash Conjoncture Pays avancés - La Banque centrale du Japon augmente ses taux2024-03-25T00:00:00+01:00<p style="text-align: left;">En janvier, en zone euro, la balance commerciale se dégrade (+11,4 Mds€ après +16,8 Mds€). En Italie, la production industrielle recule (−1,2 % après +1,2 %). En février, en zone euro, l’inflation harmonisée (IPCH) recule (+2,6 % après +2,8 %) ainsi qu’en Italie (+0,8 % après +0,9 %). Au Royaume-Uni, l’inflation (IPC) recule (+3,4 % après +4,0 %). En mars, en zone euro, l’indice des directeurs d’achats (PMI) dans le secteur manufacturier recule et reste sous le seuil d’expansion à 50 (45,7 après 46,5) ainsi qu’en Allemagne (41,6 après 42,5) et augmente au Royaume-Uni (49,9 après 47,5). Dans le secteur des services, le PMI augmente en zone euro (51,1 après 50,2) ainsi qu’en Allemagne (49,8 après 48,3) et baisse légèrement au Royaume-Uni (53,4 après 53,8). En Allemagne, les perspectives économiques s’améliorent selon l’indice de l’institut Ifo (87,5 après 84,4) et selon l’indice ZEW (31,7 après 19,9). Aux États-Unis, en février, les mises en chantier rebondissent (+10,7 % après −12,3 %).</p>
<p style="text-align: left;">Au Japon, la production industrielle recule en janvier (−6,7 % après +1,0 %). En février, l’inflation (IPC) augmente (+2,8 % après +2,2 %) et la balance commerciale se dégrade (−452 Mds¥ après +12 Mds¥). En mars, les PMI progressent dans le secteur manufacturier (48,2 après 47,2) et dans le secteur des services (54,9 après 52,9).</p>
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<p style="text-align: center;"><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/52be1be1-b0fc-4018-80f7-dd947aae9ef2/images/320fe17d-f72f-4f09-98c7-9d461442274a" alt="Indicateurs" /></p>
<p><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/52be1be1-b0fc-4018-80f7-dd947aae9ef2/images/d83559f3-e110-44bc-a05a-57f1cb959e74" alt="Japon : Taux d'intérêt à court terme" /></p>0f19dadd-c753-4855-9c1f-f49a9aae8073Le Fonds français pour l'environnement mondial et Conservation International soutiennent les réserves vitales de la planèteUn investissement de 2,5 M€ vise à répondre aux crises du climat et de la biodiversité en Amazonie2024-03-21T00:00:00+01:00<p><a href="https://www.ffem.fr/fr">Le Fonds français pour l'environnement mondial (FFEM)</a> et <a href="https://www.conservation.org/home">Conservation International</a> annoncent conjointement un investissement de 2,5 M€ destiné à répondre aux crises interdépendantes du changement climatique et de la perte de biodiversité en Amazonie.</p>
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<p>Ce soutien s'ajoute à l'engagement précédent de 13 M€ fourni par la direction générale du Trésor français et constitue le premier financement gouvernemental entièrement consacré à la sauvegarde des réserves vitales de la Terre - des zones cruciales contenant des réserves de carbone irrécupérable et une grande biodiversité dans divers écosystèmes tels que les forêts, les mangroves et les tourbières. Ces réserves sont essentielles pour atténuer les effets les plus dramatiques du changement climatique.</p>
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<p>Le financement servira à la protection et à la conservation d'une biodiversité importante ainsi que de 235 millions de tonnes de <a href="https://www.conservation.org/projects/irrecoverable-carbon">carbone irrécupérable</a> dans la forêt amazonienne. Cette initiative est conforme à l'engagement pris par Conservation International et le FFEM d'aider les communautés locales et régionales à préserver l'Amazonie.</p>
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<p>"Ce projet est un bel exemple de <a href="https://oneplanetsummit.fr/en/coalitions-82/alliance-conservation-rainforests-194">l'Alliance pour la conservation des forêts tropicales</a> que la France a contribué à lancer en 2019 avec une triple stratégie : préserver, restaurer et gérer durablement les forêts et leurs écosystèmes", a déclaré Stéphane Cieniewski, conseiller pour l'environnement et le climat au Trésor français. "Pour atteindre ces objectifs, nous devons trouver des solutions concrètes à nos problèmes communs, non pas en cloîtrant les forêts tropicales, mais en impliquant les peuples autochtones et les communautés locales (PACL) qui vivent dans la forêt et en sont issus, et qui en sont les premiers gardiens."</p>
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<p>Désignées comme "réserves vitales", ces zones contiennent de fortes concentrations de carbone irrécupérable et de biodiversité. Mettant l'accent sur l'inclusivité, la résilience climatique et la finance durable, le projet vise à développer des modèles financiers innovants pour assurer l'intégrité à long terme de ces régions.</p>
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<p>"En investissant dans les réserves vitales du monde, le gouvernement français fait progresser la science de demain tout en respectant son engagement audacieux de soutenir les zones protégées et les efforts de conservation locaux et autochtones en Amazonie ", a déclaré le <a href="https://www.conservation.org/experts-list/m-sanjayan-phd">Dr M. Sanjayan</a>, PDG de Conservation International. "Ensemble, nous pilotons un nouveau modèle de partenariat permettant d'exploiter la science et l'action sur le terrain pour maximiser l'impact. Nous devons faire face aux crises du climat et de la biodiversité en tandem, et c'est précisément ce que font les réserves vitales : elles sécurisent le carbone que nous devons protéger pour éviter une catastrophe climatique tout en sauvegardant certains des points chauds de biodiversité les plus riches du monde."</p>
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<p>"Les forêts tropicales sont l'un des écosystèmes majeurs pour la régulation du climat, à la fois en termes de stockage de carbone et de circulation systémique de l'eau sur Terre. Cependant, la déforestation et le changement climatique sapent ces fonctions critiques et alimentent une spirale descendante", a déclaré Stéphanie Bouziges-Eschmann, secrétaire générale du FFEM. "Ce projet permettra de débloquer de nouvelles sources de financement pour ces réserves vitales qui sont sous-financées, tout en tirant parti de la force des PACL qui gèrent actuellement plus d'un tiers des zones de carbone irrécupérable et de la biodiversité de la planète."</p>
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<p>Conservation International prévoit de collaborer avec les gouvernements et les PACL de Bolivie, d'Équateur, de Guyane et du Pérou pour conserver le carbone irrécupérable et la biodiversité. Ces régions ont été sélectionnées pour leur riche biodiversité et leurs espèces uniques, formant des réserves vitales grâce à une combinaison de zones protégées et de territoires autochtones.</p>
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<p><strong>Les initiatives spécifiques à chaque pays sont les suivantes :</strong></p>
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<li><strong>Bolivie :</strong> Création d'un corridor de conservation reliant les réserves et les terres autochtones, sauvegardant 64 millions de tonnes de carbone irrécupérable et diverses espèces menacées.</li>
<li><strong>Équateur :</strong> Relier les territoires et les parcs nationaux pour protéger 17 espèces animales menacées et 7,3 millions de tonnes de carbone irrécupérable.</li>
<li><strong>Guyane :</strong> Préservation des mangroves et des forêts anciennes sur 495 000 hectares afin de protéger diverses espèces sauvages et 69 millions de tonnes de carbone irrécupérable.</li>
<li><strong>Pérou :</strong> Création de la réserve communale de Lower Putumayo pour sauvegarder 95 millions de tonnes de carbone irrécupérable et protéger les terres autochtones abritant des jaguars, des tapirs et d'autres espèces uniques.</li>
</ul>
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<p>Ces régions, confrontées aux menaces potentielles de l'exploitation minière, de l'abattage illégal et de l'expansion de l'agriculture, serviront de modèles pour les futurs efforts de conservation dans d'autres zones critiques.</p>
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<p>Le partenariat entre la France et Conservation International contribue à l'initiative <a href="https://www.conservation.org/projects/our-future-forests-amazonia-verde">"Our Future Forests-Amazonia Verde",</a> qui soutient les efforts de conservation des PACL dans toute l'Amazonie. Cette collaboration crée un précédent pour l'établissement de réserves vitales similaires dans le monde entier, afin de lutter contre le changement climatique et les crises de la biodiversité tout en respectant les cultures et les connaissances locales.</p>
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<h5>+ <a title="CP" href="https://presse.economie.gouv.fr/le-fonds-francais-pour-lenvironnement-mondial-et-conservation-international-soutiennent-les-reserves-vitales-de-la-planete/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Consultez le communiqué de presse</a></h5>
<h5>+ <a href="https://presse.economie.gouv.fr/download/?n=1666%20-%20English%20version%20-%20Vital%20reserves%20in%20the%20Amazon-pdf&id=125988" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Access the press release in english</a></h5>b4a6fc63-1dd4-4595-8330-c043c020a75bFin Infra a reçu une délégation de MadagascarAvec l’appui du Service Economique de Tananarive, Fin Infra a organisé du 11 au 15 mars 2024 une semaine d’immersion et de rencontres destinée à une délégation de Madagascar composée de l’Unité PPP (U3P), de l’Agence de Développement Economique (EDBM) et du Ministère de l’Industrialisation et du Commerce (MIC).2024-03-21T00:00:00+01:00<p> </p>
<p style="text-align: center;"> <img class="marge" src="/Articles/b4a6fc63-1dd4-4595-8330-c043c020a75b/images/51478eec-1dae-4092-9724-621c95540292" alt="fin infra reçoit une délégation de Madagascar" width="693" height="462" /></p>
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<p>Alors que plusieurs grands projets se développent à Madagascar sous la forme de partenariats public-privé en particulier dans les domaines portuaire, aéroportuaire et hydroélectrique, ce voyage d’étude financé par la BAfD avait pour objectif de partager l’expérience française en matière de bonnes pratiques relatives aux PPP et de favoriser la montée en compétences des organismes nationaux en charge des grands projets d’infrastructures et de l’attractivité des investissements.</p>
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<p>L’équipe de Fin Infra a assuré deux journées de formation à Bercy. Les chefs de bureau Multifin2 et Fininter2 ont eu l’occasion d’échanger sur les enjeux de la relation économique bilatérale et de présenter les outils de financement export de la DG Trésor.</p>
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<p>La mission a également permis de partager des contacts utiles au développement de projets avec l’écosystème français intervenant dans les infrastructures. Ainsi, l’AFD, Proparco et Expertise France ont présenté leur offre d’accompagnement. L’Institut de la Gestion Déléguée (IGD) et Paris Europlace ont partagé leurs activités et axes de travail. Les outils internationaux de soutien au développement d’infrastructures durables tels que SOURCE, plateforme multilatérale de préparation des projets, et l’initiative française FAST-Infra, mécanisme de labélisation des projets durables, ont fait l’objet d’une présentation.</p>
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<p>La délégation a également rencontré des acteurs actifs en Afrique, notamment des fonds d’investissement (STOA, Meridiam), des sociétés de conseil en ingénierie et en développement de mobilité durable (EGIS, TRANSDEV), des conseils financiers et juridiques (Ernst&Youg, Finance Consult) et un développeur de projets hydroélectriques (EDF).</p>f400245c-4954-4cf5-8359-e9282702803bPerspectives mondiales au printemps 2024, une croissance modérée et inégaleSelon les prévisions de la DG Trésor, l’économie mondiale progresserait de 3,1 % en 2024 et 3,2 % en 2025. Ce rythme est légèrement plus élevé que prévu à l’été mais reste inférieur à la moyenne pré-crise, ce qui reflète l’impact du resserrement monétaire et les incertitudes géopolitiques. La croissance serait modérée dans les économies avancées, avec de fortes disparités entre les pays, et soutenue dans les pays émergents, malgré un ralentissement en Chine. 2024-03-19T00:00:00+01:00<p>La croissance mondiale atteindrait +3,1 % en 2024, un rythme similaire à celui de 2023, avant d'augmenter légèrement en 2025, à +3,2 %. Ce scénario est légèrement plus favorable que ce qui était prévu à l'automne 2023. Malgré l'allègement des contraintes sur la production et le reflux confirmé de l'inflation, l'activité resterait freinée par les effets du resserrement monétaire et les incertitudes géopolitiques. Le rythme de croissance de l'économie mondiale serait ainsi un peu inférieur à sa moyenne de la fin des années 2010.</p>
<p>Dans les économies avancées, la croissance resterait modeste, avec de fortes disparités entre les pays. En 2024, l'activité serait dynamique aux États-Unis et en Espagne, mais morose dans les autres grandes économies avancées, notamment au Royaume-Uni et en Allemagne. En 2025, les taux de croissance se rapprocheraient, avec une accélération de l'activité en zone euro et un ralentissement aux États-Unis, sous l'hypothèse d'un retour progressif du taux d'épargne vers sa moyenne historique.</p>
<p>L'activité ralentirait d'abord en 2024 dans les grandes économies émergentes (Inde, Turquie, Brésil) avant de rebondir en 2025. En Chine, l'activité poursuivrait son ralentissement, faute de rééquilibrage de son modèle de croissance vers la demande interne. <br />Après s'être contracté en 2023, le commerce mondial se redresserait en 2024 et en 2025. La demande mondiale adressée à la France serait moins dynamique que le commerce mondial, ce qui reflète l'activité moins allante en zone euro : elle devrait timidement rebondir en 2024 avant d'accélérer plus franchement en 2025 (<em>cf.</em> Graphique).</p>
<p>Les incertitudes géopolitiques, le calendrier et l’ampleur de la baisse des taux directeurs, et l'évolution des comportements de consommation constituent les principaux aléas entourant ce scénario.</p>
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<p style="text-align: center;"><img class="marge" title="TE-339" src="/Articles/f400245c-4954-4cf5-8359-e9282702803b/images/7168195c-1e72-42a5-9d8c-5a733cc1108f" alt="TE-339" /><br /> </p>
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<h4><strong>+ Autres publications à consulter sur le sujet :</strong></h4>
<ul>
<li><strong> Geoff Barnard et Patrice Ollivaud (2024), "<a href="https://oecdecoscope.blog/2024/02/29/whither-excess-household-savings-a-key-known-unknown/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Whither excess household savings? A key known unknown</a>", OECD Ecoscope</strong></li>
<li><strong> Commission européenne (février 2024), "<a href="https://economy-finance.ec.europa.eu/economic-forecast-and-surveys/economic-forecasts/winter-2024-economic-forecast-delayed-rebound-growth-amid-faster-easing-inflation_en" target="_blank" rel="noopener noreferrer">A delayed rebound in growth amid faster easing of inflation</a>"</strong></li>
<li><strong> FMI (janvier 2024), « <a href="https://www.imf.org/fr/Publications/WEO/Issues/2024/01/30/world-economic-outlook-update-january-2024" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Le recul de l’inflation et la stabilité de la croissance ouvrent la voie à un atterrissage en douceur</a> », Mise à jour des perspectives de l’économie mondiale</strong></li>
<li><strong> OCDE (février 2024), « <a href="https://oecd.org/perspectives-economiques/fevrier-2024/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Consolider les fondements de la croissance</a> », Perspectives économiques</strong></li>
</ul>
<h4><strong>+ Voir toute la collection des études Trésor-Éco : <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/tags/Tresor-Eco" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Français</a> / <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/tags/Tresor-Economics" target="_blank" rel="noopener noreferrer">English</a></strong></h4>
<h4>+ S’abonner à la collection Trésor-Éco : <a href="https://login.newsletter-dgtresor.fr/users/subscribe/js_id/78ml/id/1" target="_blank" rel="noopener noreferrer">bit.ly/Trésor-Eco</a></h4>e6d05976-fec3-4e2c-acb0-c9f0aa1367ccFlash conjoncture France - La Banque de France prévoit une croissance ralentie pour 2024 mais en progression en 2025 et 2026Dans ses projections macroéconomiques intermédiaires, la Banque de France prévoit que la croissance du PIB resterait ralentie en 2024 à +0,8 %, après +0,9 % en 2023, avant d’accélérer en 2025 et 2026, à respectivement +1,5 % et +1,7 %. 2024-03-18T00:00:00+01:00<p>• <strong>Dans ses projections macroéconomiques intermédiaires, la </strong><a href="https://www.banque-france.fr/fr/publications-et-statistiques/publications/projections-macroeconomiques-mars-2024"><strong>Banque de France</strong></a><strong> prévoit que la croissance du PIB <a>resterait ralentie</a></strong><a id="_anchor_1" href="#_msocom_1" name="_msoanchor_1"></a> <strong>en 2024 à +0,8 %, après +0,9 % en 2023, avant d’accélérer en 2025 et 2026, à respectivement +1,5 % et +1,7 %.</strong></p>
<p>• <strong>La Note de Conjoncture de l’Insee fait état d’une activité atone au 1<sup>er</sup> trimestre (+0,0 %) puis qui reprendrait au 2<sup>e</sup> trimestre (+0,3 %).</strong> Elle serait principalement portée par la demande intérieure hors stock et les variations de stock au 1<sup>er</sup> trimestre et par la demande intérieure hors stock et le commerce extérieur au 2<sup>e</sup> trimestre.</p>
<p>• <strong>Dans son </strong><a href="https://www.banque-france.fr/fr/actualites/enquete-mensuelle-de-conjoncture-debut-mars"><strong>enquête mensuelle de conjoncture</strong></a><strong> à début mars, la Banque de France estime que l’activité progresserait légèrement au 1<sup>er</sup> trimestre (+0,2 %).</strong> Les difficultés de recrutement seraient stables, à un niveau encore significatif (41 % des entreprises) et les difficultés d’approvisionnement se replieraient légèrement (12 % en février après 14 % en janvier).</p>
<p>• D’après la banque de France, le climat dans les services et dans l’industrie progresserait en février (respectivement +1 pt à 98 et +2 pt à 96) alors qu’il reculerait dans le bâtiment (−1 pt à 94).</p>
<h5 style="color: #333333; margin-top: 48px; text-align: center;">Zoom sur les climats des affaires globaux</h5>
<p><a><strong>►La </strong></a><a href="https://www.banque-france.fr/fr/actualites/enquete-mensuelle-de-conjoncture-debut-mars"><strong>Banque de France</strong></a><strong> prévoit une croissance en légère hausse au 1<sup>er</sup> trimestre (+0,2 % en v.t.) <a>en cohérence avec le Point de conjoncture de l’Insee paru le 7 février (prévision de +0,2 % au T1) </a></strong><strong>et au-dessus de sa dernière prévision</strong><a id="_anchor_2" href="#_msocom_2" name="_msoanchor_2"></a> <strong>parue le 14 mars (+0,0 % au T1). </strong>Après une légère hausse au 4<sup>e</sup> trimestre (+0,1 %), l’activité économique progresserait au 1<sup>er</sup> trimestre, portée par les services marchands, grâce notamment aux services aux entreprises, à l’information‑communication, aux services de transport et aux services aux ménages, tandis que l’activité dans le commerce serait en baisse. La Note de conjoncture de l’Insee prévoit également une hausse de ce secteur au premier semestre (+0,2 % puis +0,4 %). En février, la Banque de France note une progression de l’activité dans l’industrie et dans les services marchands. Au sein du bâtiment, l’activité résiste dans le second œuvre et le gros œuvre, après un mois de janvier particulièrement atone. D’après les anticipations des entreprises pour le mois de mars, les évolutions seraient plus contenues dans les différents secteurs d’activité : l’activité progresserait peu dans l’industrie, dans les services elle croitrait plus modérément, et dans le second œuvre du bâtiment elle évoluerait peu mais dans le gros œuvre elle se contracterait. Dans l’industrie manufacturière, la baisse de la valeur ajoutée sur le trimestre s’illustre par le repli de <a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7935153">l’indice de production industrielle</a> (publié par l’Insee) qui se replie nettement −1,6 % en janvier ; l’enquête Banque de France affiche un redressement nette de l’activité en février. <a>Toujours côté industrie, l’énergie connaîtrait un faible repli de son activité ce trimestre : globalement, l’Insee dans sa Note de conjoncture fait état d’une activité qui se contracterait au 1<sup>er</sup> trimestre (−0,5 %) et rebondirait par la suite (+0,5 % au 2<sup>e</sup> trimestre). </a>Les difficultés d’approvisionnement diminuent dans tous les secteurs industriels, à l’exception de l’automobile, où elles refluent suite aux difficultés d’acheminement causées par la situation en Mer Rouge. Ces difficultés baissent à nouveau dans le bâtiment, jusqu’à devenir quasiment inexistantes en février. Du côté des prix, les industriels déclarent une légère baisse du prix des intrants, mais les prix des produits finis restent stables. </p>
<p style="text-align: center;"> </p>
<p><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/e6d05976-fec3-4e2c-acb0-c9f0aa1367cc/images/6ccb8a8c-9488-472d-8ac5-5a39a379c702" alt="Climats des affaires globaux" width="911" height="594" /></p>cc6b67c0-2af7-4100-9638-9909241d114bFlash Conjoncture Pays avancés - Le taux de chômage italien est en baisse depuis 2021 Flash Conjoncture Pays avancés - Le taux de chômage italien est en baisse depuis 2021 2024-03-18T00:00:00+01:00<p>En février, l’inflation (au sens de l’IPCH, estimation détaillée) reflue en <strong>Allemagne</strong> (+2,7 % après +3,1 %) et en <strong>Espagne</strong> (+2,9 % après +3,5 %). En revanche, l’inflation (au sens de l’IPC) progresse légèrement aux <strong>États-Unis</strong> (+3,2 % après +3,1 %). Le PIB progresse au 4<sup>e</sup> trimestre 2023 au <strong>Japon</strong> (2<sup>e</sup> estimation, +0,1 % après −0,8 %) et en janvier au <strong>Royaume-Uni</strong> (+0,2 % après −0,1 %). En janvier, la production industrielle (au sens de l’IPI) recule en <strong>zone euro</strong> (−3,2 % après +1,6 %) et au <strong>Royaume-Uni</strong> (−0,2 % après +0,6 %), tandis qu’elle progresse aux États-Unis (+0,1 % après +−0,5 %). La balance commerciale anglaise se dégrade également en janvier (−3,1 Md£ après −2,6 Md£), tandis qu’elle s’améliore en <strong>Italie</strong> (+6,8 Md€ après +5,0 Md€). Le taux de chômage progresse légèrement au <strong>Royaume-Uni</strong> en décembre (3,9 % après 3,8 %). En janvier, les ventes au détail continuent de reculer en Espagne (−0,5 % après −1,1 %) et en Italie (−0,1 % après −0,2 %), mais elles s’améliorent en février aux États-Unis (+0,6 % après −1,1 %).</p>
<p style="text-align: center;"> <img class="marge" src="/Articles/cc6b67c0-2af7-4100-9638-9909241d114b/images/993090cb-2062-49d3-b646-e3e5af6fcf04" alt="Indicateurs" /></p>
<p style="text-align: center;"> </p>
<p style="text-align: center;"> <img class="marge" src="/Articles/cc6b67c0-2af7-4100-9638-9909241d114b/images/27c5b04e-de4c-4024-a61c-9594c7426a5b" alt="Zone euro : taux de chômage harmonisé" /></p>e9223e4a-1739-4469-bd93-59e58aac69c4Les réserves nettes de changeEn conformité avec la Norme Spéciale de Diffusion des Données (NSDD) du FMI, telle qu’appliquée au sein du Système Européen de Banques Centrales, les avoirs mensuels de réserves et les disponibilités en devises sont depuis mai 2000 valorisés en euros sur la base des cours de change de fin de mois.2024-03-15T00:00:00+01:00<p>Les réserves nettes de change de l'État s'élèvent à la fin du mois de février 2024 à 222 231 M€ (240 587 M$) contre 222 947 M€ (241 608 M$) à la fin du mois de janvier 2024, soit une baisse de 716 M€, qui intègre, comme indiqué ci-dessus, l’incidence des modalités de valorisation aux cours de change de fin de mois.</p>
<p> </p>
<p> </p>
<p>Les réserves nettes de l'État se répartissent comme suit :</p>
<table border="0" cellspacing="0" cellpadding="0">
<tbody>
<tr>
<td valign="top" width="306">
<p>Réserves en or </p>
</td>
<td valign="top" width="129">
<p align="right">146 974 M€</p>
</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top" width="306">
<p>Réserves nettes en devises</p>
</td>
<td valign="top" width="129">
<p align="right">29 509 M€</p>
</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top" width="306">
<p>Position de réserve au FMI</p>
</td>
<td valign="top" width="129">
<p align="right">6 649 M€</p>
</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top" width="306">
<p>Avoirs en DTS </p>
</td>
<td valign="top" width="129">
<p align="right">35 664 M€</p>
</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top" width="306">
<p>Autres avoirs de réserve</p>
</td>
<td valign="top" width="129">
<p align="right">3 436 M€</p>
</td>
</tr>
</tbody>
</table>
<p> </p>
<p>Un tableau détaillé des avoirs de réserves et disponibilités en devises à fin février 2024 est joint en annexe. Il distingue en particulier les réserves officielles en devises des autres avoirs en devises (dépôts dans des établissements bancaires de la zone euro).</p>
<p> </p>dec434cf-8ff0-4a37-b684-de360c2ba343Flash conjoncture France - L’indice de production industrielle se replie nettement en janvier L’indice de production industrielle s’est replié en janvier 2024 dans l’ensemble de l’industrie (−1,1 % après +0,4 %), en raison d’une baisse dans l’industrie manufacturière (−1,6 % après +0,5 %) pénalisée à la fois par des contrecoups passagers et une détérioration des secteurs encore touchés par la crise énergétique.2024-03-11T00:00:00+01:00<p>• <strong>L’</strong><a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7935153"><strong>indice de production industrielle</strong></a><strong> s’est replié en janvier 2024 dans l’ensemble de l’industrie (−1,1 % après +0,4 %)</strong>, en raison d’une baisse dans l’industrie manufacturière (−1,6 % après +0,5 %) pénalisée à la fois par des contrecoups passagers et une détérioration des secteurs encore touchés par la crise énergétique. L’indice rebondit dans l’énergie (+1,6 % après ‑0,3 %) et accélère dans l’industrie agro-alimentaire (+1,5 % après +1,4 %).</p>
<p>• <strong>En février, les immatriculations de voitures particulières neuves se sont partiellement redressées (+3,6 % après −10,7 %) </strong>mais restent sous leur niveau d’avant crise (−18,9 % par rapport à la moyenne de 2019) ; elles s’en soient rapprochées davantage en 2023. Les ventes aux particuliers ont rebondi (+2,3 % après −21,7 %) et celles aux entreprises se sont améliorées (+2,3 % après +0,4 %).</p>
<p>• L’indice des directeurs d’achats (PMI) définitif connaît une hausse sensible en France (+3,5 pt à 48,1, révisé de +0,4 pt) en lien avec la hausse de l’activité passée dans les services (+3,0 pt à 48,4 révisé de +0,4 pt) ainsi que dans l’industrie (+5,9 pt à 46,9).</p>
<p>• <strong>En janvier, le </strong><a href="https://lekiosque.finances.gouv.fr/"><strong>déficit commercial</strong></a><strong> en biens se dégrade (à −7,4 Md€ après −6,9 Md€)</strong>, résultat d’une baisse des exportations plus forte que celle des importations.</p>
<p>• <strong>Le </strong><a href="https://www.banque-france.fr/fr/statistiques/balance-des-paiements-de-la-france-jan-2024"><strong>déficit des transactions courantes</strong></a><strong> s’est creusé en janvier à –1,0 Md€ </strong>après −0,2 Md€ en décembre 2023. En cumul sur 12 mois, le déficit revient à 28,2 Md€ en janvier après 60,9 Md€ en raison de la réduction de la facture d’énergie et du solde des biens (hors énergie).</p>
<h5 style="color: #333333; margin-top: 48px; text-align: center;">Zoom sur l'indice de production industrielle (IPI)</h5>
<p><strong>En janvier 2024, l’indice de production industrielle (IPI) dans l’industrie manufacturière s’est nettement replié après une faible croissance en décembre (−1,6 % en variation mensuelle après +0,5 % après révision).</strong> Si l’indice est resté dynamique dans l’agroalimentaire (+1,5 % après +1,4 %), il a reculé dans tous les autres sous-secteurs. Les « autres produits industriels » ont été affectés (−1,5 % après +1,3 % en v.m.) par le contrecoup de la production dans le caoutchouc-plastique et dans la métallurgie, tandis qu’en parallèle, le repli de l’aéronautique et la dégradation de la production dans l’automobile pour le 3<sup>e</sup> mois consécutif ont pénalisé les matériels de transport (−5,3 % après +1,6 % en v.m.). Ce secteur reste le secteur industriel dont la reprise après la crise Covid est la plus lente (−17,3 % d’écart moyen à 2019 en 2023 après −25,7 % en 2022, −18,7 % en janvier 2024). L’IPI dans la construction s’est une nouvelle fois amélioré en janvier (+0,3 % en v.m. après +1,8 % et +1,7 % par rapport à 2019) après une relative stabilité en 2023.</p>
<p style="text-align: center;"> </p>
<p><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/dec434cf-8ff0-4a37-b684-de360c2ba343/images/a3ed4a26-de64-422b-a3c6-4c02860fafb5" alt="Indices de production industrielle sectoriels" width="912" height="456" /></p>
<p> </p>818ef507-1495-4ec5-b755-e27f142c7e7bFlash Conjoncture Pays avancés - La production industrielle allemande se redresse en janvier Flash Conjoncture Pays avancés - La production industrielle allemande se redresse en janvier 2024-03-11T00:00:00+01:00<p>L’activité a progressé de +0,2 % au 4<sup>e</sup> trimestre 2023 en <strong>Italie</strong> selon l’estimation détaillée (inchangée par rapport à l’estimation <em>flash</em>, après +0,2 % au 3<sup>e</sup> trimestre), et stagne en <strong>zone euro</strong> selon la 3<sup>e</sup> estimation (−0,0 % après −0,1 %). L’indice des directeurs d’achat (PMI définitif) dans le secteur des services augmente en <strong>zone euro</strong> en février (50,2 après 48,4), en <strong>Allemagne </strong>(48,3 après 47,7), en <strong>Italie </strong>(52,2 après 51,2), en <strong>Espagne</strong> (54,7 après 52,1), mais diminue au <strong>Royaume-Uni</strong> (53,8 après 54,3) et au <strong>Japon</strong> (52,9 après 53,1). L’indice ISM dans le secteur des services diminue aux <strong>États-Unis</strong> (52,6 après 53,4) en février. En <strong>zone euro</strong>, les ventes au détail progressent de +0,1 % en janvier (après −0,6 %). La production industrielle (au sens de l’IPI) rebondit en janvier en <strong>Espagne</strong> (+0,4 % après −0,6 %), et en <strong>Allemagne</strong> (+0,6 % après −1,8 %). Les commandes à l’industrie chutent en <strong>Allemagne</strong> en janvier (−11,3 % après +12,0 %). L’excédent commercial s’améliore en <strong>Allemagne</strong> en janvier (+27,5 Md€ après +23,3 Md€), mais le déficit se creuse aux <strong>États-Unis</strong> (−67,4 Md$ après −64,2 Md$). Le taux de chômage augmente aux <strong>États-Unis</strong> en février (3,9 % après 3,7 %).</p>
<p style="text-align: center;"><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/818ef507-1495-4ec5-b755-e27f142c7e7b/images/931b584f-a4d7-4596-ada0-769e42c9c6da" alt="Indicateurs" /></p>
<p><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/818ef507-1495-4ec5-b755-e27f142c7e7b/images/a597e5f5-5dea-447b-a603-25ad0dd600c3" alt="Production et commandes dans le secteur manufacturier en Allemagne" /></p>45b6a3b3-220b-41b7-b5cf-9faad616ae18A la une d'Objectif Afrique : L'année 2024 marque un début de retour des pays africains sur le marché des EurobondsRetrouvez le numéro 244 d'Objectif Afrique2024-03-11T00:00:00+01:00<div class="focus">
<h2>L’année 2024 marque un début de retour des pays africains sur le marché des Eurobonds</h2>
</div>
<p> </p>
<p>Après presqu’un an d’inactivité sur le marché des Eurobonds, le début de l’année 2024 marque un regain d’intérêt des marchés pour la dette des Etats africains. La Côte d’Ivoire, le Bénin et le Kenya ont ainsi réussi leurs émissions d’Eurobonds, pour un total de 4,8 Md USD. Ces émissions, largement sursouscrites, signalent un fort intérêt des investisseurs malgré les défis économiques et d’endettement que connaissent nombre de pays d’Afrique subsaharienne. Si la pandémie de la Covid-19 et la remontée des taux directeurs états-uniens avaient restreint l’accès des pays africains aux marchés de capitaux internationaux, ces émissions réussies indiquent une amélioration des conditions financières mondiales, susceptibles de favoriser des émissions d’Eurobonds par davantage de pays africains.</p>
<p>La Côte d’Ivoire, après deux ans d’absence sur le marché des Eurobonds, et le Bénin, ont respectivement pu lever 2,8 Md USD à 8,5 % et 750 M USD à 8,4 %, des taux d’endettement soutenables et compétitifs au vu des niveaux encore élevés des taux américains. Au Bénin, la sursouscription témoigne de la confiance des investisseurs dans la stabilité et la croissance économique du pays, renforcée par des réformes structurelles et une gestion prudente de sa dette.</p>
<p>Les marchés témoignent également d’un regain d’intérêt pour la dette africaine malgré les risques de défaut, comme en témoigne la levée de fonds du Kenya. Le pays a réussi d’importantes émissions totalisant 1,5 Md USD à un taux particulièrement élevé de 10,4 %, bien au-dessus des émissions réalisées en Afrique de l’ouest. Cette émission témoigne de la situation financière critique du pays, le Kenya consacre en effet 60 % de ses recettes fiscales au service de la dette et fait face à d’importantes échéances de remboursement au moins de juin (2 Md USD). </p>
<p> </p>
<h6><em>Situation du stock d’Eurobonds africains au troisième trimestre 2023</em></h6>
<p><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" title="Situation du stock d'Eurobonds africains au troisième trimestre 2023" src="/Articles/45b6a3b3-220b-41b7-b5cf-9faad616ae18/images/7145129c-cc58-4c7b-840c-8cba8040e1cf" alt="Situation du stock d'Eurobonds africains au troisième trimestre 2023" /><em>Source: Gregory Smith, Lead Economist at World Bank</em></p>
<p> </p>
<h4><a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/45b6a3b3-220b-41b7-b5cf-9faad616ae18/files/ccb56d9b-9926-4821-93b4-d2a856cfd465">Télécharger le numéro 243 d'Objectif Afrique >></a></h4>35970be3-fdeb-4022-95dd-c015a6a72669Onze lauréats retenus pour l’appel à projets FASEP 2023 « Agriculture et alimentation durables »Onze entreprises bénéficieront d’une aide de l’Etat dans le cadre de l’appel à projets « Agriculture et alimentation durables », financé sur le Fonds d’études et d’aide au secteur privé (FASEP). Doté en 2023 d’une enveloppe de 5 millions d’euros, les appels à projets permettent d’accompagner chaque année de nombreux projets innovants et durables portés par des petites et moyennes entreprises françaises issues de tous les secteurs de l’économie.2024-03-07T00:00:00+01:00<p>A l’occasion du lancement du plan « Osez l’export ! » présenté le 31 août 2023, la Direction Générale du Trésor a décidé de consacrer son appel à projets annuel, doté d’une enveloppe de 5 millions d’euros de dons FASEP, à l’agriculture et l’alimentation durables.</p>
<p>Enjeu prioritaire pour les pays développés comme en développement, ce thème a été choisi afin d’accompagner des projets innovants, en phase avec le double objectif intrinsèque à l’outil FASEP de soutien à l’internationalisation des entreprises françaises et de contribution à l’aide publique au développement.</p>
<p>Un comité interministériel a sélectionné les lauréats de cet appel à projets parmi les 29 candidatures reçues.</p>
<p>Au total, ce sont 11 projets répartis dans 10 pays qui seront soutenus financièrement. Sur ces 11 projets lauréats, 8 sont portés par des PME.</p>
<p> </p>
<blockquote>
<h4>Présentation des projets retenus</h4>
</blockquote>
<p>Les solutions retenues cette année couvrent trois thématiques liées à l’agriculture et l’alimentation durables. La première concerne l’amélioration des ressources pour les exploitations. La deuxième concerne le suivi de la production à travers le développement de solutions de biocontrôle ou de gestion de l’irrigation. Enfin, la dernière thématique recoupe l’ensemble des projets consacrés à la partie avale de la production, tels que le stockage, le transport et la transformation. </p>
<p> </p>
<p style="text-align: center;"><img class="marge" title="carte du monde" src="/Articles/35970be3-fdeb-4022-95dd-c015a6a72669/images/ca22a17b-d94b-4653-ba67-c90f151c63d5" alt="carte du monde" /></p>
<p> </p>
<blockquote>
<h4>Liste des lauréats</h4>
</blockquote>
<h5><strong>Amélioration des ressources </strong></h5>
<ul>
<li><u>Côte d’Ivoire</u></li>
</ul>
<p>Grâce à son projet de culture in vitro, <strong>Vitropic</strong> permet d’œuvrer à l’intensification durable de la culture du plantain.</p>
<ul>
<li><u>Liban</u></li>
</ul>
<p>Le projet de <strong>Microhumus</strong> contribuera à la rénovation des sols dégradés au Liban</p>
<ul>
<li><u>Projet de la Fondation Avril au Maroc</u></li>
</ul>
<p>La Fondation Avril via <strong>Agropol</strong> participera au développement de la filière oléagineuse au Maroc.</p>
<p> </p>
<p> </p>
<h5><strong>Suivi de la production</strong></h5>
<ul>
<li><u>Kenya</u></li>
</ul>
<p>Le projet d’<strong>Eléphant Vert</strong> vise à démontrer la performance économique et environnementale de deux bio-stimulants innovants sur quatre filières agricoles clés du Kenya.</p>
<ul>
<li><u>Côte d’Ivoire</u></li>
</ul>
<p><strong>Cap 2020</strong> mettra en place un suivi automatique et à distance des charançons de la banane, principaux ravageurs pouvant causer des dégâts considérables sur les cultures de bananier</p>
<ul>
<li><u>Rwanda</u></li>
</ul>
<p>Dans le but de contribuer à la sécurité alimentaire du pays, <strong>IMV Technologies</strong> mettra en place une solution visant à optimiser les résultats de l’insémination artificielle sexée afin d’améliorer la génétique des vaches laitières.</p>
<ul>
<li><u>Sénégal</u></li>
</ul>
<p><strong>Meoss et BWI</strong> souhaitent contribuer à une meilleure gestion de la ressource eau au Sénégal grâce à l’utilisation de données satellitaires multi-capteurs</p>
<ul>
<li><u>Mozambique</u></li>
</ul>
<p><strong>FGM International</strong> mettra en place un système d’irrigation gravitaire à faible impact énergétique pour contribuer à la sécurité alimentaire du pays, confronté à une sécheresse persistante.</p>
<p> </p>
<h5><strong>Transformation, transport et stockage</strong><strong> </strong></h5>
<ul>
<li><u>Irak</u></li>
</ul>
<p>Les entreprises <strong>Airwell et O </strong>installeront des chambres froides solaires autonomes en Irak afin de mieux conservern less fruits et légumes et limiter les pertes alimentaires.</p>
<ul>
<li><u>Egypte</u></li>
</ul>
<p><strong>Nord Céréales</strong> porte un projet d’automatisation des processus de livraison des grains entre les principaux silos du pays afin de limiter les pertes quantitatives lors des transferts de marchandises.</p>
<ul>
<li><u>Indonésie</u></li>
</ul>
<p>Le projet de l’entreprise <strong>Biotanah</strong> vise à installer des sécheurs de riz mobiles se présentant comme une alternative pérenne et durable au séchage naturel au soleil qui devient de plus en plus incertain avec le dérèglement climatique et au séchage industriel à air chaud qui est coûteux, peu accessible et carboné.</p>
<p> </p>
<p> </p>
<div class="focus">
<p>Qu’est-ce que le FASEP ?</p>
<p>Destiné à tous types d’entreprises et prioritairement les PME, le FASEP est une subvention (ou une avance remboursable) pour financer des études de faisabilité ou la démonstration de technologies vertes et innovantes. Il intervient en amont d’un projet d’infrastructures. Dispositif de soutien à l’internationalisation des entreprises françaises, il permet à l’entreprise porteuse de l’étude de démontrer l’efficacité de ses méthodes et d’acquérir une référence dans le pays partenaire.</p>
</div>
<p> </p>
<blockquote>
<p>Liens utiles :</p>
</blockquote>
<p>+ <a title="Toutes les informations sur le Fonds d'études et d'aide au secteur privé (FASEP)" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/services-aux-entreprises/le-fasep" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Toutes les informations sur le Fonds d'études et d'aide au secteur privé (FASEP)</a></p>
<p>+ <a title="histoires de fasep" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/tags/histoires-fasep" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Retrouver des exemples de projets soutenus par le Trésor via le FASEP</a></p>
<p> + <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/35970be3-fdeb-4022-95dd-c015a6a72669/files/4cc0b1c7-419e-4504-b6fa-0bd6030bf8ae" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Télécharger le dossier de presse</a></p>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p>25a5aedf-f9c5-4fe4-8ff9-8e96b71a06e5Les réserves officielles de changeEn conformité avec la Norme Spéciale de Diffusion des Données (NSDD) du FMI, telle qu’appliquée au sein du Système Européen de Banques Centrales, les avoirs mensuels de réserves et les disponibilités en devises sont depuis mai 2000 valorisés en euros sur la base des cours de change de fin de mois. 2024-03-07T00:00:00+01:00<p>En conformité avec la Norme Spéciale de Diffusion des Données (NSDD) du FMI, telle qu’appliquée au sein du Système Européen de Banques Centrales, les avoirs mensuels de réserves et les disponibilités en devises sont depuis mai 2000 valorisés en euros sur la base des cours de change de fin de mois.</p>
<p>Les avoirs de réserves officiels et autres avoirs en devises s'élèvent à la fin du mois de février 2024 à 225 601 M€ (244 236 M$) contre 226 483 M€ (245 440 M$) à la fin du mois de janvier 2024, soit une baisse de 882 M€, qui intègre, comme indiqué ci-dessus, l’incidence des modalités de valorisation aux cours de change de fin de mois.</p>
<p> </p>
<p>Les réserves de l'Etat se répartissent comme suit :</p>
<table border="0" cellspacing="0" cellpadding="0">
<tbody>
<tr>
<td valign="top" width="304">
<p>Réserves en or</p>
</td>
<td valign="top" width="120">
<p align="right">146 974 M€</p>
</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top" width="304">
<p>Réserves en devises </p>
</td>
<td valign="top" width="120">
<p align="right">32 878 M€</p>
</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top" width="304">
<p>Créances sur le FMI </p>
</td>
<td valign="top" width="120">
<p align="right">42 313 M€</p>
</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top" width="304">
<p>Autres avoirs de réserve</p>
</td>
<td valign="top" width="120">
<p align="center"> 3 436 M€</p>
</td>
</tr>
</tbody>
</table>
<p> </p>
<p><strong>1/</strong> <strong><u>Les réserves en or</u></strong> ont diminué de 321 M€.</p>
<p> </p>
<p><strong>2/</strong> <strong><u>Les réserves en devises</u></strong> ont diminué de 178 M€.</p>
<p> </p>
<p><strong>3/ <u>Les créances sur le Fonds Monétaire International</u> </strong>ont diminué de 355 M€</p>
<p> </p>
<p><strong>4/</strong> <strong><u>Les autres avoirs de réserve</u></strong> ont diminué de 28 M€.</p>5114ff28-07dd-4e6e-bd38-1592493a9c5cFlash Conjoncture Pays avancés - L’inflation est stable ou en baisse dans les principaux pays avancésFlash Conjoncture Pays avancés - L’inflation est stable ou en baisse dans les principaux pays avancés2024-03-06T00:00:00+01:00<p><strong>Aux États-Unis,</strong> le PIB (2e est.) augmente (+0,8 % après +1,2 %) au T4 2023. <strong>Aux États-Unis</strong>, en janvier, la consommation baisse (−0,1 % après +0,6 %), comme les commandes de biens durables (−6,1 % après −0,3 %) et les dépenses de construction non résidentielles (−0,1 % après +0,1 %), tandis que les dépenses de construction résidentielles augmentent (+0,2 % après +1,4 %). <strong>Outre-Atlantique,</strong> l'ISM manufacturier augmente (47,8 après 49,1) en février, tandis que la confiance des ménages baisse (106,7 après 110,9). <strong>Au Royaume-Uni</strong>, le PMI manufacturier définitif de février augmente, mais reste sous son seuil d’expansion (47,5 après 47,0), comme <strong>en Italie</strong> (48,7 après 48,5), alors qu’il baisse <strong>au Japon </strong>(47,2 après 48,0), en <strong>zone euro </strong>(46,5 après 46,6) et <strong>en Allemagne</strong> (42,5 après 45,5). Il passe toutefois au-dessus de son seuil d’expansion <strong>en Espagne </strong>(51,5 après 49,2). <strong>Au Japon</strong>, la production industrielle (IPI) baisse (−7,4 % après +1,2 %) en janvier. En janvier, l’inflation baisse <strong>au Japon</strong> (au sens de l’IPC, +2,2 % après +2,6 %), en <strong>zone euro</strong> (IPCH, +2,6 % après +2,8 %), <strong>en Allemagne </strong>(IPCH, +2,7 % après +3,1 %), <strong>en Espagne</strong> (IPCH, +2,9 % après +3,5 %), et est stable <strong>en Italie </strong>(IPCH, à +0,9 %). <strong>Au Japon</strong>, le chômage baisse (2,4 % après 2,5 %) en janvier, comme en <strong>zone euro</strong> (6,4 % après 6,5 %), alors qu’il stagne <strong>en Allemagne </strong>(à 3,1 %) et <strong>en Italie</strong> (à 7,2 %). <strong>En zone euro</strong>, l'indicateur de sentiment économique de la Commission (ESI) baisse (+95,4 après +96,1) en février. <strong>En Allemagne</strong>, les ventes au détail baissent (−0,4 % après −0,5 %) en janvier.</p>
<p style="text-align: center;"> <img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/5114ff28-07dd-4e6e-bd38-1592493a9c5c/images/537f608e-0213-4e6e-a654-0f65714a4be5" alt="Indicateurs" /></p>
<p><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/5114ff28-07dd-4e6e-bd38-1592493a9c5c/images/7ad41032-6fd5-4b23-8bfe-599371a9b073" alt="Espagne Inflation totale" /></p>bd577be0-4e10-48fb-9ec3-99bcaaf870ddEtude comparative internationale sur la réutilisation des eaux usées Cette synthèse s’appuie sur les travaux menés par les services économiques régionaux de Berlin, Madrid, Tokyo et Londres menés en juillet 2022. Les services économiques de six pays (Italie, Espagne, Belgique, Singapour, Japon et Israël) ont été sollicités pour réaliser un travail de parangonnage concernant la réutilisation des eaux usées sur demande de la Direction générale des entreprises du MEFSIN.2024-03-05T00:00:00+01:00<p>Les travaux s’intéressaient principalement à trois aspects :</p>
<ul type="disc">
<ul type="circle">
<ul type="square">
<ul type="disc">
<li>Le cadre général entourant l’usage de l’eau et les enjeux de réutilisation,</li>
<li>Les aspects réglementaires encadrant la réutilisation des eaux usées,</li>
<li>Le modèle économique de cette filière.</li>
</ul>
</ul>
</ul>
</ul>
<p> </p>
<div class="focus">
<p>Téléchargez l'étude <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/bd577be0-4e10-48fb-9ec3-99bcaaf870dd/files/1e8e051a-1bac-4ae5-ac34-c3fa682302d1">ici</a></p>
</div>560a97a1-ad6b-443e-a3b1-78257434cd89Etude comparative internationale sur l’accompagnement de la filière automobile dans sa transitionDans le cadre de réflexions sur l’accompagnement de la filière automobile française dans sa transition énergétique, la direction générale des entreprises a souhaité solliciter quatre services économiques régionaux du réseau international de la direction générale du Trésor (Royaume-Uni, Espagne, Allemagne, Japon) pour une étude de parangonnage afin d’identifier d’éventuelles bonnes pratiques de soutien à l’électrification de la filière.2024-03-05T00:00:00+01:00<p>Les principales conclusions de cette étude de parangonnage :</p>
<ul type="disc">
<ul type="circle">
<ul type="square">
<ul type="disc">
<li>La filière automobile, encore largement dominée par la production de modèles à combustion classique, est structurante dans l’ensemble des économies des pays étudiés.</li>
<li>Les engagements pris en faveur de l’électrification de la filière varient selon les géographies.</li>
<li>L’impact de la mutation de la filière en faveur de la transition énergétique est considérable en termes d’emplois.</li>
<li>Des mesures concrètes de soutien à l’offre et à la demande de véhicules électriques sont annoncées dans tous les pays.</li>
</ul>
</ul>
</ul>
</ul>
<p> </p>
<div class="focus">
<p>Téléchargez l'étude <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/560a97a1-ad6b-443e-a3b1-78257434cd89/files/068c528e-b9eb-456e-9c3c-bb111e3ce08e">ici</a></p>
</div>607ecef8-8a92-43bc-956c-88d776cf4d0eLe marché unique européen, un vecteur d'intégration économique et commercialeLe marché unique est le plus grand marché développé au monde, au sein duquel les relations économiques entre les États membres sont très étroites. Il a permis de favoriser l'innovation, la hausse de la productivité, celle du PIB ainsi que la convergence dans l'Union européenne. Le marché unique n’a par ailleurs pas conduit à une hausse de la spécialisation relative des États membres de l’UE. Entre 1984 et 2019, leurs structures d’exportations de biens vers le reste du monde se sont rapprochées.2024-03-05T00:00:00+01:00<p>Le marché unique se trouve au cœur de l'intégration européenne, avec pour objectif la stabilité politique et la prospérité économique de ses États membres. En 2023, il regroupe 27 pays, 23 millions d'entreprises et près de 450 millions d'habitants, ce qui en fait le plus grand marché développé au monde, au sein duquel les relations économiques et financières entre les États membres sont très étroites (voir carte ci-contre).</p>
<p>Le marché unique a permis de favoriser l'innovation, la hausse de la productivité et la convergence dans l'Union européenne (UE), comme attendu lors de sa création. Le renforcement des relations économiques internes et la convergence économique permis par le marché unique ont ainsi contribué à une hausse substantielle des revenus et des niveaux de vie des États membres de l'UE.</p>
<p>Entre 1984 et 2019, les structures des exportations de biens des économies européennes vers le reste du monde se sont rapprochées, reflétant vraisemblablement le développement du commerce intra-branche. Le marché unique n'a donc pas conduit à une augmentation de la spécialisation relative des États membres, où chacun se serait spécialisé dans des secteurs différents.</p>
<p> </p>
<p style="text-align: center;"> <br /><img class="marge" title="TE-338" src="/Articles/607ecef8-8a92-43bc-956c-88d776cf4d0e/images/6ad16c73-8919-4425-8532-032c755f4ebb" alt="TE-338" /> </p>
<p> </p>
<p> </p>
<h4><strong>+ Télécharger l'étude complète <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/607ecef8-8a92-43bc-956c-88d776cf4d0e/files/2e933859-a8b7-44bb-8dd0-d1f73b34899a" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Trésor-Éco n° 338>></a><br /></strong></h4>
<h4><strong>+ Autres publications à consulter sur le sujet :</strong></h4>
<ul>
<li><strong> Cecchini P. (1988), "<a href="https://aei.pitt.edu/99590/1/1992_benefits.pdf" target="_blank" rel="noopener noreferrer">The European Challenge. 1992: The Benefits of a Single Market</a>”. <br /></strong></li>
<li><strong> Mayer T., Vicard V. & Zignago S. (2018), "<a href="https://academic.oup.com/economicpolicy/article-abstract/34/98/145/5486061?redirectedFrom=fulltext&login=false" target="_blank" rel="noopener noreferrer">The cost of non-Europe, revisited</a>", <em>Economic Policy </em>34(98), pp. 145-199.</strong></li>
<li><strong> Felbermayr G., Groeschl J. & Heiland I. (2022), "<a href="https://www.econstor.eu/bitstream/10419/273443/1/1852580127.pdf" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Complex Europe: Quantifying the cost of disintegration</a>", <em>Journal of International Economics, </em>138.<br /></strong></li>
<li><strong> Bighelli T., Di Mauro F., Melitz M.J. & Mertens M. (2023), "<a href="https://www.econstor.eu/bitstream/10419/233622/1/1756257841.pdf" target="_blank" rel="noopener noreferrer">European firm concentration and aggregate productivity</a>", <em>Journal of the European Economic Association, </em>21(2), pp. 455-483.<br /></strong></li>
</ul>
<h4><strong>+ Voir toute la collection des études Trésor-Éco : <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/tags/Tresor-Eco" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Français</a> / <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/tags/Tresor-Economics" target="_blank" rel="noopener noreferrer">English</a></strong></h4>
<h4>+ S’abonner à la collection Trésor-Éco : <a href="https://login.newsletter-dgtresor.fr/users/subscribe/js_id/78ml/id/1" target="_blank" rel="noopener noreferrer">bit.ly/Trésor-Eco</a></h4>e984f0ce-bb1e-48b2-be92-6e37d6b386ebFlash conjoncture France - L’inflation continue son ralentissement en févrierLes résultats détaillés des comptes nationaux de l’Insee révisent la croissance du PIB à la hausse de +0,1 % (+0,1 pt par rapport à la première estimation) après 0,0 % au 3ème trimestre 2023. 2024-03-04T00:00:00+01:00<p>• <strong>Les </strong><a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7929879"><strong>résultats détaillés des comptes nationaux</strong></a><strong> de l’Insee révisent la croissance du PIB à la hausse de +0,1 % (+0,1 pt par rapport à la première estimation) après 0,0 % au 3ème trimestre 2023. </strong>Les composantes de la demande sont peu modifiées : la révision à la baisse de l’investissement est contrebalancée par une légère révision à la hausse de la consommation. La contribution de la demande intérieure à la croissance est ainsi inchangée (à −0,1 pt après +0,4 pt). La croissance pour l’année 2023 s’établit à +0,9 % pour une prévision de +1,0 % pour l’année 2023 dans le PLF 2024.</p>
<p>• <strong>En février, </strong><a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7928636"><strong>l’indice des prix à la consommation (IPC)</strong></a><strong> continue sa normalisation : </strong>l'inflation sur un an baisserait à +2,9 % après +3,1 % selon l’estimation provisoire de l’Insee.</p>
<p>• Selon l’enquête mensuelle de l’Insee, <a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7928049"><strong>la confiance des ménages</strong></a><strong> se dégrade</strong> de deux points à 89 en février.</p>
<p>• <strong>En janvier,</strong> <a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7929491"><strong>la consommation des ménages en biens</strong></a> <strong>recule légèrement (−0,3 % après +0,3) </strong>; cette baisse est due au recul des achats de biens fabriqués (−1,5 %), en particulier des achats de voitures.</p>
<p>• L’<a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7928986"><strong>indice des prix de production de l’industrie</strong></a> française diminuent de nouveau sur un mois en janvier (−0,8 % après −0,3 % en décembre), tout comme ceux des produits destinés au marché français (−1,3 % après −0,1 % au mois précédent).</p>
<p>•<strong> En décembre 2023,</strong> <strong>la </strong><a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7928575"><strong>production dans les services</strong></a><strong> rebondit nettement sur un mois</strong> (+1,2 %), après des baisses en novembre (−0,6 %) et en octobre (−0,7 %), grâce aux activités administratifs et de soutien.</p>
<h5 style="color: #333333; margin-top: 48px; text-align: center;">Zoom sur l'indice des prix à la consommation</h5>
<p><strong>En février, l’inflation en France (au sens de l’IPC) diminue à +2,9 % en glissement annuel, selon les résultats provisoires de l’Insee</strong><strong>, après +3,1 % en janvier. </strong>Cette baisse de l’inflation sur un an s’explique par le ralentissement des prix de l’alimentation, des produits manufacturés et des services sur un an. <a name="_Hlk157760009"></a>Les prix de l’énergie et du tabac accélèrent en revanche sur un an. En variation mensuelle, les prix à la consommation rebondissent à +0,8 % en février, après −0,2 % le mois précédent. Cette hausse s’explique notamment par la hausse des tarifs régulés d’électricité ce mois-ci. <img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/e984f0ce-bb1e-48b2-be92-6e37d6b386eb/images/0ad1409c-9e16-406b-9ef1-6863595190bc" alt="Indice des prix à la consommation et contributions" /></p>64f850de-6ec7-44e9-99c9-40035796ddc9Présentation du label "Relance" : orienter l’épargne vers le financement de long terme des entreprises françaises Le label « Relance » vient reconnaître les fonds qui s’engagent à mobiliser rapidement des ressources nouvelles pour soutenir les fonds propres et quasi-fonds propres des entreprises françaises (PME et ETI) cotés ou non.2024-03-01T00:00:00+01:00<center>
<p style="text-align: left;"><img class="marge" title="france relance" src="/Articles/64f850de-6ec7-44e9-99c9-40035796ddc9/images/eac128a7-4fe6-48f7-9b8d-e55359f2c554" alt="france relance" />Le 19 octobre 2020, Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, a présidé à Bercy, une réunion réunissant associations et fédérations du secteur financier, d’entreprises et d’épargnants.</p>
</center>
<p>Cette réunion a acté, par la signature d’un accord de Place, le lancement du <strong>label « relance » qui vient reconnaître les</strong> <strong>fonds d’investissement à même de mobiliser rapidement des ressources nouvelles pour soutenir les fonds propres et quasi-fonds propres des entreprises françaises</strong>, et en particulier des PME et ETI. L’enjeu du label est de permettre aux épargnants d’identifier aisément les placements à même de répondre aux besoins des entreprises, favorisant ainsi leur mobilisation pour la relance.</p>
<p>Afin de pouvoir utiliser le label, les organismes de placement collectifs doivent respecter les critères d’éligibilité définis dans la <strong>Charte du label « Relance ».</strong> Cette Charte impose aux organismes de placement collectifs labellisés <strong>d’investir une partie significative de leur actif dans des entreprises françaises (fonds propres ou quasi-fonds propres), dont des PME et ETI</strong>. Elle inclut également un ensemble de <strong>critères environnementaux, sociaux et de bonne gouvernance</strong> (ESG) qui doit guider la politique d’investissement et d’engagement actionnarial des fonds labellisés. En particulier, ceux-ci doivent s’engager à ne pas financer le secteur du charbon.</p>
<p>Les seuils retenus permettent d’apposer le label sur des fonds présentant des <strong>profils de risque variés</strong>, qu’il s’agisse de fonds de capital-investissement ou investis dans des valeurs cotées françaises et européennes.</p>
<p>Les fonds labellisés doivent également s’astreindre à un <strong><em>reporting</em> semestriel</strong>, attestant de leur respect de la Charte et valorisant la contribution de l’épargne financière au dynamisme de l’économie et des territoires.</p>
<p>Le suivi du respect par les fonds labellisés de la bonne application de la Charte du label est assuré par la direction générale du Trésor. Tout organisme de placement collectif souhaitant utiliser le label doit contacter la DG Trésor à l’adresse <a href="mailto:label-relance@dgtresor.gouv.fr">label-relance@dgtresor.gouv.fr</a> selon les modalités définies dans la Charte.</p>
<p>Le suivi de la dynamique de labellisation est assuré par le <strong>Comité de suivi du label « Relance »,</strong> constitué de l’Association française de la gestion financière (AFG), France Invest, la Fédération française de l’Assurance (FBF), la Fédération bancaire française (FBF), l’Association nationale des conseils financiers (ANACOFI), la Chambre nationale des conseils en gestion de patrimoine (CNCGP), l’Association française d’épargne et de retraite (AFER), la Fédération française des associations d’actionnaires salariés et anciens salariés (FAS), la Fédération des associations indépendantes de défense des épargnants pour la retraite (FAIDER) et la Fédération des investisseurs institutionnels et des clubs d'investissement (F2IC).</p>
<p><strong>Les <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/64f850de-6ec7-44e9-99c9-40035796ddc9/files/2ced785e-9b6a-4f7e-983e-c05ea2b1d163" target="_blank" rel="noopener noreferrer">premiers fonds labellisés</a></strong> ont été annoncés à l’occasion de la réunion du 19 octobre.</p>
<div class="focus">
<h3 style="text-align: left;" align="center"><strong>Comment obtenir le label « Relance » ?</strong></h3>
<p>Lorsqu’ils souhaitent obtenir le droit d’usage du label « relance », les organismes de placement collectif ou leur société de gestion contactent par message électronique l’organe de contrôle à l’adresse <a href="mailto:label.relance@dgtresor.gouv.fr">label-relance@dgtresor.gouv.fr</a>.</p>
<p>La société de gestion complète alors le formulaire dédié synthétisant les principales informations nécessaires à l’examen du dossier. Elle transmet par mail, en plus du formulaire, la documentation règlementaire du fonds, le document d’informations clefs, d’éventuels documents complémentaires relatifs à la politique ESG et tout autre document qu’elle jugera utile pour l’examen de son dossier.</p>
<h5><a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/64f850de-6ec7-44e9-99c9-40035796ddc9/files/5c864045-e770-4e2d-a868-d4279dd9c0be" target="_blank" rel="noopener noreferrer">> Le formulaire</a></h5>
<br />
<p>L’absence de retour de l’organe de contrôle sous trois semaines à compter de la date de réception de ces éléments vaut ouverture du droit d’utiliser le label « Relance ».</p>
<p>Le droit d’usage du label relance est ouvert pour 4 ans à compter de la date de labellisation.</p>
</div>
<h5>+ Le communiqué de presse du 19 octobre 2020 : <a class="ext" title="« https://minefi.hosting.augure.com/Augure_Minefi/default.ashx?WCI=ContenuEnLigne&ID=1320786A-76D7-4722-9C36-1359E3531488 » dans une nouvelle fenêtre" href="https://minefi.hosting.augure.com/Augure_Minefi/r/ContenuEnLigne/Download?id=B9BC24AD-811E-4F70-8F09-B4F7941B0AF6&filename=302%20-%20Pr%C3%A9sentation%20de%20la%20feuille%20de%20route%20de%20la%20Place%20de%20Paris%20par%20Bruno%20Le%20Maire%20avec%20Alain%20Griset_.pdf" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Présentation de la feuille de route de la Place de Paris par Bruno Le Maire avec Alain Griset</a></h5>
<h5>+ Le communiqué de presse du 2 mars 2021 : <span class="views-field views-field-title"><span class="field-content"><a class="ext" title="« https://minefi.hosting.augure.com/Augure_Minefi/default.ashx?WCI=ContenuEnLigne&ID=E5F980D6-EC13-4E7C-BCCF-8C70A8FA030E » dans une nouvelle fenêtre" href="https://minefi.hosting.augure.com/Augure_Minefi/default.ashx?WCI=ContenuEnLigne&ID=E5F980D6-EC13-4E7C-BCCF-8C70A8FA030E" target="_blank" rel="noopener noreferrer">La mobilisation de l’épargne pour le financement des entreprises franchit une nouvelle étape avec près de 150 fonds labellisés « Relance »</a></span></span></h5>
<h5>+ Téléchargez <a href="https://minefi.hosting.augure.com/Augure_Minefi/r/ContenuEnLigne/Download?id=3B01632A-100E-4773-99D7-C95C6A711FF9&filename=302%20-%20Dossier%20de%20presse%20-%20Feuille%20de%20route%20de%20la%20Place.pdf" target="_blank" rel="noopener noreferrer">le dossier de presse</a></h5>
<h5>+ Téléchargez <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/64f850de-6ec7-44e9-99c9-40035796ddc9/files/c77e5ff7-7e94-4397-8602-376da08cbe8e" target="_blank" rel="noopener noreferrer">la Charte du label Relance (novembre 2021)</a></h5>
<h5>+ Téléchargez <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/64f850de-6ec7-44e9-99c9-40035796ddc9/files/a452738b-e579-417d-9ec8-9c49ae096420" target="_blank" rel="noopener noreferrer">le logo du label Relance </a></h5>
<h5>+ Téléchargez <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/64f850de-6ec7-44e9-99c9-40035796ddc9/files/686625ec-432d-40ff-b2b4-b1a2c959bdc7" target="_blank" rel="noopener noreferrer">l'accord de Place</a></h5>
<h5>+ Téléchargez <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/64f850de-6ec7-44e9-99c9-40035796ddc9/files/0fc0fbe2-34d4-4803-8015-9999c7f5899a">la liste des fonds labellisés (01 mars 2024)</a></h5>
<h5>+ Téléchargez <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/64f850de-6ec7-44e9-99c9-40035796ddc9/files/4f486f41-704b-4cc6-9718-5a769c41dfdd" target="_blank" rel="noopener noreferrer">la FAQ Obtention et utilisation du label "Relance" (novembre 2021)</a></h5>
<p> </p>
<p>Page publiée initialement le 19 octobre 2020, mise à jour le 02 janvier 2024.</p>33d63e9f-a7dc-413c-a28a-d32da922c473Barriers to Migration in the European Union: Does Joining the Union Lead to Lower Barriers?Ce document de travail examine l'impact de l'adhésion à l'UE sur la migration en Europe. Il reprend et étend les analyses de Head & Mayer (2021) sur les frictions migratoires. Il confirme leurs résultats mais suggère que la libéralisation qu'ils estiment dans les années 1960 doit être nuancée, et que la stagnation ultérieure peut être due à un effet de composition. Une analyse événementielle montre que l'entrée d'un pays dans l'UE coincide bien avec une plus grande ouverture aux migrants.2024-02-27T00:00:00+01:00<blockquote>
<p>La série des Documents de Travail présente des travaux menés au sein de la DG Trésor, diffusés dans le but d’éclairer et stimuler le débat public. Ces travaux n’engagent que leurs auteurs.</p>
</blockquote>
<p> </p>
<p>Ce document de travail s’intéresse à l’effet de l’entrée dans l’Union européenne sur l’ouverture aux migrants, européens ou non. Il réplique et étend les analyses à partir de modèles de gravité de Head & Mayer (2021) sur les barrières à la migration au sein des pays européens. À l’aide d’une analyse événementielle, nous montrons de plus que l’adhésion à l’Union Européenne est à l’origine d'une réduction des barrières à la migration, de plus de 25 % par rapport à leur niveau 5 ans avant l'entrée dans l'Union, pour les migrants communautaires.</p>
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<p style="text-align: center;"> <img class="marge" title="DT-2023-1" src="/Articles/33d63e9f-a7dc-413c-a28a-d32da922c473/images/986be50b-e6a4-45e5-899b-2b64aa58046f" alt="DT-2023-1" /></p>
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<p> </p>92074a41-9bfd-4643-9bf3-8f3fb952c244La mobilité intra-européenne des personnesL’Union européenne (UE) établit un marché commun et une citoyenneté européenne, sur le principe de libre circulation. L’extension de l’UE a permis une hausse de la mobilité intracommunautaire. La réduction des barrières à la mobilité a soutenu la productivité du travail au sein de l’UE et l’intégration économique de ses membres. Des obstacles à la mobilité persistent néanmoins, comme les différences linguistiques ou culturelles et la reconnaissance des qualifications sur le marché du travail.2024-02-27T00:00:00+01:00<p>L'objectif de l'Union européenne (UE) est de construire un marché économique commun et de faire émerger une citoyenneté européenne, fondés sur un principe de libre circulation des personnes, des marchandises, des services et des capitaux. Concernant les personnes, si les textes européens s'adressaient d'abord à la mobilité des travailleurs, ils se sont ensuite élargis aux autres motifs migratoires, en particulier les études par le biais du programme Erasmus+.</p>
<p>Dans les statistiques internationales, un immigré est défini comme une personne vivant en dehors de son pays de naissance (ce qui exclut donc les déplacements touristiques ou les trajets domicile-travail transfrontaliers). À la faveur notamment de la levée graduelle des barrières légales, la part moyenne des immigrés dans la population des pays européens a plus que doublé depuis 1960, passant de 4,5 % de la population des pays de l'UE27 à plus de 11 % en 2019. En 2019, sur ces 11 %, 3,7 % des habitants de l'UE étaient des immigrés originaires d'un autre pays de l'UE (<em>cf.</em> Graphique). Ces immigrés intracommunautaires sont en moyenne plus qualifiés et plus souvent en emploi que les immigrés extracommunautaires.</p>
<p>L'adhésion d'un pays à l'UE se traduit par une forte baisse des barrières institutionnelles pouvant entraver la mobilité des personnes depuis et vers ce pays. L'adhésion s'accompagnerait ainsi d'une baisse immédiate des frictions formelles et informelles affectant la migration des autres Européens vers ce pays, qui seraient réduites de près d'un tiers 10 ans après l'intégration.</p>
<p>Cette réduction des barrières à la mobilité intracommunautaire des personnes contribue au bon fonctionnement économique du marché intérieur, en ouvrant aux entreprises et aux travailleurs de nouvelles possibilités d'appariement, ce qui favorise la productivité de l'UE. Cet effet est particulièrement bénéfique, tant à l'échelle régionale que nationale, quand les compétences des travailleurs immigrés sont complémentaires à celles des travailleurs natifs du pays, ou lorsque les immigrés répondent à des besoins non pourvus dans certains secteurs des pays d'accueil.</p>
<p>En dépit de la levée des barrières de jure à la mobilité intracommunautaire, des obstacles de facto demeurent, comme les barrières linguistiques ou culturelles, les problèmes de reconnaissance des compétences sur le marché du travail, ou l'hétérogénéité des systèmes de sécurité sociale.</p>
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<p style="text-align: center;"> <img class="marge" title="TE-337" src="/Articles/92074a41-9bfd-4643-9bf3-8f3fb952c244/images/6df211cb-c3f1-4193-b11e-a12607a60a0a" alt="TE-337" /></p>
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<h4><strong>+ Télécharger l'étude complète <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/92074a41-9bfd-4643-9bf3-8f3fb952c244/files/32c36874-bda7-4292-8915-6457b6a8e339" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Trésor-Éco n° 337>></a><br /></strong></h4>
<h4><strong>+ Autres publications à consulter sur le sujet :</strong></h4>
<ul>
<li><strong> Batut C. (2023), “<a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2024/02/27/barriers-to-migration-in-the-european-union-does-joining-the-union-lead-to-lower-barriers" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Barriers to Migration in the European Union: Does Joining the Union L</a></strong><strong><a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2024/02/27/barriers-to-migration-in-the-european-union-does-joining-the-union-lead-to-lower-barriers" target="_blank" rel="noopener noreferrer">ead to Lower Barriers?</a>”, <em>Document de Travail de la DG Trésor</em>, n° 2023/1 x</strong></li>
<li><strong> Insee, « <a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/6793391" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Immigrés et descendants d’immigrés en France</a> », <em>Insee Références</em>, édition 2023 </strong></li>
<li><strong> Batut C., Rachiq C. (2021), « <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2021/11/16/discriminations-sur-le-marche-du-travail-comment-les-mesurer-quel-cout-economique" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Discriminations sur le marché du travail : comment les mesurer, quel coût économique ?</a> », <em>Trésor-Éco</em>, n° 293 <br /></strong></li>
<li><strong> Bara Y.-M., Brischoux M., Sode A., (2015), « <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2015/02/03/tresor-eco-n-143-quelle-mobilite-du-travail-pour-l-europe" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Quelle mobilité du travail pour l’Europe ? </a>», <em>Trésor-Éco</em>, n° 143 <br /></strong></li>
</ul>
<h4><strong>+ Voir toute la collection des études Trésor-Éco : <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/tags/Tresor-Eco" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Français</a> / <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/tags/Tresor-Economics" target="_blank" rel="noopener noreferrer">English</a></strong></h4>
<h4>+ S’abonner à la collection Trésor-Éco : <a href="https://login.newsletter-dgtresor.fr/users/subscribe/js_id/78ml/id/1" target="_blank" rel="noopener noreferrer">bit.ly/Trésor-Eco</a></h4>4756a784-87d2-4712-a4e9-dbf132e97fdbBarriers to Migration in the European Union: Does Joining the Union Lead to Lower Barriers?This working paper examines the impact of EU membership on migration in Europe. It takes up and extends the analyses of Head & Mayer (2021) on migration frictions. It confirms their results but suggests that the liberalisation they estimate in the 1960s needs to be qualified, and that the subsequent stagnation may be due to a composition effect. A contingency analysis shows that a country's entry into the EU coincides well with greater openness to migrants.2024-02-27T00:00:00+01:00<blockquote>
<p>The Working Papers series presents work carried out within DG Treasury, distributed with the aim of enlightening and stimulating public debate. The authors are solely responsible for their work.</p>
</blockquote>
<p> </p>
<p>This working paper looks at the effect of joining the European Union on openness to migrants, both European and non-European. It replicates and extends Head & Mayer's (2021) gravity model-based analyses of barriers to migration within European countries. Using an event analysis, we show in addition that EU membership is responsible for a reduction in barriers to migration, of over 25% compared to their level 5 years prior to EU entry, for EU migrants.</p>
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<p style="text-align: center;"> <img class="marge" title="DT-2023-1en" src="/Articles/4756a784-87d2-4712-a4e9-dbf132e97fdb/images/56d001bc-5f53-4a76-a246-3b0e525a362d" alt="DT-2023-1en" /></p>
<p> </p>2ac2f613-9ae0-460c-a3b7-499e3e06eda3Flash conjoncture France - Les PMI rebondissent fortement en février Le Gouvernement a revu sa prévision de croissance pour le PIB à la baisse, à +1,0 % pour 2024. 2024-02-26T00:00:00+01:00<p>Le Gouvernement a revu sa prévision de croissance pour le PIB à la baisse, à +1,0 % pour 2024.</p>
<p>• <a href="https://www.pmi.spglobal.com/Public/Home/PressRelease/90fa725802f842be9ed49f44ebcd5e9f">L’indice composite PMI</a> a le vent en poupe puisqu’il prend +3,1 points en février. Il s’établit ainsi à 47,7 et atteint son niveau le plus haut depuis 9 mois mais reste inférieur à son seuil d’expansion (50). Cette nette amélioration suit la progression des indices dans l’industrie (+3,7 pt à 46,8) et dans les services (+2,6 pt à 48,0).</p>
<p>• Selon <a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7771860">les enquêtes mensuelles de l’Insee</a>, le climat des affaires se dégrade légèrement en février (−1 à 98) mais reste proche de sa moyenne de long terme. Le climat se dégrade dans le commerce de détail (−1 à 98) et dans les services (−1 à 99) mais progresse dans l’industrie (+2 à 100) et reste stable dans le bâtiment (à 103)</p>
<p>• Selon la Banque de France, <a href="https://www.banque-france.fr/fr/statistiques/commerce-de-detail-jan-2024-jan-2024">les ventes dans le commerce de détail</a> ont subi un contrecoup en janvier (−0,5 % après +0,3 %) et demeurent en dessous de leur niveau d’avant-crise (−4,2 % par rapport à la moyenne de 2019).</p>
<p>• Les <a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7765358">créations d’entreprises</a> rebondissent selon l’Insee en janvier (+2,7 % après −1,5 % en décembre), notamment grâce aux micro-entreprises (+2,7 % après +0,0 %).</p>
<h5 style="color: #333333; margin-top: 48px; text-align: center;">Zoom sur les climats des affaires globaux</h5>
<p style="text-align: center;"> </p>
<p><strong>En février, l’indice composite PMI rebondit fortement (+3,1 pt à 47,7 après −0,2), un plus haut depuis 9 mois.</strong> Il évolue toujours sous son seuil traditionnel d’expansion (50) et rejoint un niveau plus cohérent avec la croissance suggérée par les climats de l’Insee et de la Banque de France. Il est à la fois soutenu par la forte hausse du solde d’activité dans les services (+2,6 pt à 48,0 après −0,3) et du PMI dans l’industrie (3,7 pt à 46,8 après +1,0 pt). <strong>Le climat des affaires de l’Insee recule en février (−1 à 98) mais reste proche de sa moyenne de long terme.</strong> Cette évolution fait écho à celle des climats dans les services (−1 à 99) et dans le commerce de détail (−5 à 99 après +4) qui subit un clair contrecoup. Les soldes d’activité passée et les soldes prospectifs sont en effet au rouge en février dans ces deux secteurs. En revanche, le climat dans l’industrie progresse et rejoint sa moyenne de long terme (+2 à 100), même si une forte hétérogénéité entre les sous-secteurs subsiste.</p>
<p style="text-align: center;"> <img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/2ac2f613-9ae0-460c-a3b7-499e3e06eda3/images/d4c32a45-9b27-4f97-98e6-38d2b5362c0a" alt="Climats des affaires globaux" /></p>
<p> </p>
<p style="text-align: center;"> </p>
<p style="text-align: center;"> </p>
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<p style="text-align: center;"> </p>07c48a55-5bac-46b2-a5ae-d807206ce283Flash Conjoncture Pays avancés - Aux États-Unis, la perspective d’une baisse prochaine des taux s’éloigneFlash Conjoncture Pays avancés - Aux États-Unis, la perspective d’une baisse prochaine des taux s’éloigne2024-02-26T00:00:00+01:00<p>En février, l’indice des directeurs d’achats (PMI) recule en <strong>zone euro</strong> (46,1 après 46,6), tout comme en <strong>Allemagne</strong> (42,3 après 45,5) et au <strong>Japon</strong> (47,2 après 48,0). À l’inverse, il augmente légèrement au <strong>Royaume-Uni</strong> (47,1 après 47,0). Dans le même temps, le PMI pour les services augmente en <strong>zone euro</strong> (50,0 après 48,4) ainsi qu’en <strong>Allemagne</strong> (48,2 après 47,7). L’indice reste stable outre-Manche (54,3 après 54,3) et il baisse au <strong>Japon</strong> (52,5 après 53,1). Le climat des affaires outre-Rhin (mesuré par l’enquête IFO) progresse (84,1 après 83,5). En janvier, la balance commerciale nippone enregistre à nouveau un excédent (+235 Md ¥ après –440 Md ¥). En <strong>zone euro</strong>, l’inflation (au sens de l’IPCH) baisse légèrement d’après l’estimation définitive (+2,8 % après +2,9 %) mais augmente en <strong>Italie</strong> (+0,9 % après +0,5 %). En <strong>Allemagne</strong>, la 2<sup>nd</sup> estimation du PIB confirme le recul de l’activité au 4<sup>e</sup> trimestre 2023 (–0,3 % après –0,0 %).</p>
<p> <img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/07c48a55-5bac-46b2-a5ae-d807206ce283/images/6e42756a-f6c2-4d51-a425-d4a8e6a0fca4" alt="Indicateurs" /><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/07c48a55-5bac-46b2-a5ae-d807206ce283/images/8ddfad8d-c309-48d6-9438-75fab907a0b9" alt="Etats-Unis : Inflation et taux Fed Funds" /></p>24825f18-7c0f-44fc-ae96-0a096f2c8309Flash Conjoncture Pays avancés - La Commission européenne revoit à la baisse ses prévisions de croissance du PIB pour les principaux pays européens en 2024, à l’exception de l’EspagneFlash Conjoncture Pays avancés - La Commission européenne revoit à la baisse ses prévisions de croissance du PIB pour les principaux pays européens en 2024, à l’exception de l’Espagne2024-02-20T00:00:00+01:00<p>Aux <strong>États-Unis</strong>, en janvier, la production industrielle (−0,1 % après +0,0 %), les ventes au détail (−0,8 % après +0,4 %) et les mises en chantier (−14,8 % après +3,3 %) baissent. On observe également une baisse de l'inflation (au sens de l’IPC, +3,1 % après +3,4 %). Au 4<sup>e</sup> trimestre 2023, selon les 1<sup>ères</sup> estimations, le PIB recule au <strong>Royaume-Uni</strong>, (−0,3 % après −0,1 %), en lien avec le repli du PIB mensuel de décembre (−0,1 % après +0,2 %), et au <strong>Japon </strong>(−0,1 % après −0,8 %). En <strong>zone euro</strong>, la 2<sup>e</sup> estimation confirme la stabilité de l’activité au 4<sup>e</sup> trimestre 2023 (+0,0 % après −0,1 %). En décembre, le taux de chômage outre-Manche (3,8 % après 3,9 %) baissent, alors que la production industrielle (+0,6 % après +0,5 %) et la balance commerciale (−2,6 Md£ après −3,7 Md£) augmentent. La production industrielle nippone augmente également en décembre (+1,2 % après −1,3 %) selon la 1<sup>ère</sup> estimation, tout comme celle de la zone euro (+2,6 % après +0,4 %). En décembre, la balance commerciale baisse en zone euro (+16,8 Md€ après +20,3 Md€).augmente en <strong>Italie</strong> (+4,5 Md€ après +3,0 Md€). En <strong>Allemagne</strong>, en février, l’indice ZEW révèle une nette amélioration des anticipations des analystes du secteur financier (+19,9 après +15,2). En <strong>Espagne</strong>, en janvier, l'inflation (au sens de l’IPCH) augmente (+3,5 % après +3,4 %) selon l’estimation définitive.</p>
<p> <img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/24825f18-7c0f-44fc-ae96-0a096f2c8309/images/114bd353-c7b8-45de-a9b5-351e7d6897f3" alt="Indicateurs" /><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/24825f18-7c0f-44fc-ae96-0a096f2c8309/images/246035da-92e1-4ebb-99f7-b5efd3ac38a3" alt="Comparaison des prévisions de croissance de la Commission européenne" /></p>bfd8df13-5f62-43e0-8326-0ec3405782c0Le succès du plan épargne retraite, plus de 95 milliards d’euros d’encours par près de 10 millions de Français. La Loi PACTE de 2019 portée par Bruno Le Maire a permis la création d’un nouveau plan d’épargne retraite (PER) plus attractif pour les épargnants et mieux adapté aux besoins de financement des entreprises qui se caractérise par la possibilité de développer une épargne retraite à titre individuel ou dans un cadre professionnel.2024-02-19T00:00:00+01:00<p style="text-align: left;"><strong>Quatre ans </strong><strong>après </strong><strong>l’adoption de la loi PACTE et le lancement du nouveau PER le 1er octobre 2019, son déploiement se poursuit avec succès</strong><strong>.</strong></p>
<p> </p>
<p style="text-align: center;"><em><strong> <img class="marge" src="/Articles/bfd8df13-5f62-43e0-8326-0ec3405782c0/images/8267b199-8f92-4b86-9917-e5de7a074106" alt="Pièces sur un ordinateur" width="549" height="343" /> </strong></em></p>
<p style="text-align: left;"> </p>
<p>Au 30 septembre 2023, sur la base des données mises à disposition par l’ensemble des fédérations professionnelles commercialisant des PER, plus de 9,8 millions de nouveaux PER ont été ouverts.</p>
<p>Les encours constitués sur ces derniers atteignent plus de 95 milliards d’euros. Cette forte dynamique concerne tant les PER d’entreprise, collectifs (21,8 Mds d’euros d’encours) et obligatoires (18,4 Mds d’euros d’encours), que les PER individuels (55,2 Mds d’euros d’encours et plus de 3,4 millions de titulaires).</p>
<p>Ce nouveau placement qui remplace les autres plans d'épargne retraite, connaît une croissance qui ne résulte pas uniquement des transferts d’anciens produits : un peu moins d’un PER individuel sur deux correspond à la création d’un nouveau contrat et n’est pas issu d’un transfert.</p>
<p> </p>
<div class="focus">
<p><strong>Le Plan Epargne Retraite</strong></p>
<p>Le PER est d’abord un produit d’épargne de long terme et lisible pour les épargnants, il permet de diversifier et d’enrichir l’épargne des Français.</p>
<p>C’est également un outil du financement de l’économie et des entreprises par des investissements en fonds propres qui soutiennent leur développement et les accompagnent dans les transitions à venir.</p>
</div>
<p> </p>
<h4><strong>Liens utiles :</strong></h4>
<ul>
<li><a href="https://presse.economie.gouv.fr/epargne-retraite-deploiement-du-per-plus-de-95-mds-deuros-dencours-et-plus-98-m-de-titulaires-a-la-fin-du-troisieme-trimestre-2023/">Epargne retraite - Déploiement du PER : plus de 95 Mds d’euros d’encours et plus 9,8 M de titulaires à la fin du troisième trimestre 2023 - Presse - Ministère des Finances (economie.gouv.fr)</a></li>
<li><a href="https://www.economie.gouv.fr/PER-epargne-retraite">Le nouveau Plan Epargne Retraite (PER) | economie.gouv.fr</a></li>
<li><a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2023/10/05/deploiement-du-per-pres-de-85-mds-d-euros-d-encours-et-plus-7-4-m-de-titulaires-a-fin-mars-2023">Déploiement du PER : près de 85 Mds d’euros d’encours et plus 7,4 M de titulaires à fin mars 2023 | Direction générale du Trésor (economie.gouv.fr)</a></li>
</ul>
<p><strong> </strong></p>553657c0-0c7a-47e0-afdb-6f4ef3f7127eFlash conjoncture France - L’inflation diminue et le taux de chômage est stableD’après l’Insee, l’inflation en glissement annuel diminue en janvier à +3,1 % et le taux de chômage fait état d'une stabilité à 7,5 % au 4e trimestre 2023.2024-02-19T00:00:00+01:00<div>
<div>
<p style="text-align: justify;"><strong>• Dans sa dernière parution, la prévision de croissance moyenne issue du Consensus Forecasts s’établît à +0,7 % pour la France en 2024 et +1,3 % en 2025.</strong></p>
<p style="text-align: justify;">• <strong>D’après l’</strong><a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7766498"><strong>Insee</strong></a><strong>, l’inflation en glissement annuel diminue en janvier à +3,1 %</strong><strong>.</strong> Cette estimation n’est pas révisée par rapport aux résultats provisoires publiés le 31 janvier.</p>
<p style="text-align: justify;">• <strong>En décembre, selon l’</strong><a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7766714"><strong>Insee</strong></a><strong>, </strong><strong>l’index dans le bâtiment a légèrement progressé </strong>(+0,3 pt à 130,6) <strong>alors que celui dans les travaux publics s’est contracté </strong>(−0,7 pt à 129,6).</p>
<p style="text-align: justify;">• <strong>L’<a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7765269">Insee</a> fait état d’une stabilité du taux de chômage qui s’établit à 7,5 % au 4<sup>e</sup> trimestre 2023</strong>, soit +0,0 point (+29 000 chômeurs) par rapport au trimestre précédent.</p>
<p style="text-align: justify;">• <strong>Selon l’</strong><a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7767321"><strong>Insee</strong></a>, <strong>en janvier 2024, le prix du pétrole en euros rebondit </strong>(+3,1 % sur un mois après −7,3 % en décembre 2023). Les prix en euros des matières premières importées (hors énergie) se replient (−0,7 % après +0,6 %).</p>
<h5 style="color: #333333; margin-top: 48px; text-align: center;">Zoom sur l'indice des prix à la consommation</h5>
<p style="text-align: justify;"><a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7766498"><strong>L’inflation</strong></a><strong> en glissement annuel diminue en janvier à +3,1 %.</strong> Cette estimation n’est pas révisée par rapport aux résultats provisoires publiés le 31 janvier 2024 par l’Insee. Cette baisse de l’inflation sur un an s’explique par le ralentissement des prix de l’alimentation, des produits manufacturés et de l’énergie ; les prix des services accélèrent en revanche très légèrement, tandis que l’inflation du tabac augmente fortement sous l’effet de la revalorisation annuelle des accises. L’inflation sous-jacente diminue également, à +3,0 % sur un an, après +3,4 % en décembre. Au sens de l’IPC harmonisé, l’inflation diminue également en janvier, à +3,4 % sur un an, après +4,1 %.</p>
<p style="text-align: left;"> <img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/553657c0-0c7a-47e0-afdb-6f4ef3f7127e/images/8648f136-797e-45fa-a836-44eda5eb88e8" alt="Indice des prix à la consommation et contributions" width="891" height="535" /></p>
</div>
</div>72a44200-9eec-4ed4-8625-f5bc6101fae4Placement d’un expert technique international (ETI) sur l’hydrogène bas carbone au ministère de l’énergie du ChiliLoïc Lespagnol, Expert technique international sur l’hydrogène bas carbone a pris ses fonctions fin mai 2023 au sein de la Division des nouveaux carburants et combustibles du Ministère de l’Energie du Chili. Il participe aux travaux d’élaboration du plan d’action chilien pour l’hydrogène. Il est également en charge du montage et de l’animation du groupe de travail franco-chilien sur l’hydrogène bas carbone et renouvelable. 2024-02-15T00:00:00+01:00<p>Ce groupe de travail a pour objectif de faire le point sur la situation de la coopération bilatérale sur l'hydrogène, d'encourager la mise en œuvre de nouvelles opportunités de coopération sur des sujets connexes (corridors maritimes verts, stockage de l’énergie renouvelable produite au Chili, formation et recherche sur les énergies renouvelables ou décarbonées, etc.) et de coordonner les soutiens publics nécessaires au développement de projets, ainsi que de répondre à des demandes spécifiques formulées par les participants publics et privés.<br />Ce poste d’expert technique international mis à disposition du ministère de l’énergie chilien par Expertise France a été créé et financé par la Direction Générale du Trésor.</p>
<p style="text-align: center;"><img class="marge" title="ETI groupe de travail" src="/Articles/72a44200-9eec-4ed4-8625-f5bc6101fae4/images/0353013c-dd6a-4d78-b18c-6ebd41fd2544" alt="ETI groupe de travail" /></p>
<p style="text-align: left;"> Ancien directeur adjoint de l’Association Internationale du Transport Aérien (IATA), Loïc Lespagnol a notamment travaillé sur l’atténuation de l’impact climatique des compagnies aériennes, avec un accent particulier sur la réduction de l’empreinte carbone et sur les biocarburants.</p>
<p style="text-align: left;"> </p>
<p style="text-align: left;">Au sein de la division des nouveaux carburants et combustibles, il a pour mission d’étudier, analyser et évaluer l'utilisation de l'hydrogène bas carbone et de ses dérivés au Chili ; de participer aux rencontres avec la société civile et les communautés locales organisées par le ministère de l’énergie chilien pour présenter les projets d’hydrogène bas carbone du Chili et les retombées pour le pays ; accompagner les entreprises françaises du secteur (Total Eren, ENGIE, EDF, Air Liquide, CVE, le consortium de l’aéroport de Santiago ADP-Vinci, Airbus, etc.) dans le développement d’une industrie de l’hydrogène au Chili et renforcer la coopération bilatérale franco-chilienne de long terme nécessaire pour faciliter la transition énergétique.</p>
<p style="text-align: center;"><img class="marge" src="/Articles/72a44200-9eec-4ed4-8625-f5bc6101fae4/images/d5852d5e-30d1-4a3b-8d12-a170b8d209e5" alt="ETI photo d'équipe" /></p>de5ccab3-b93e-473e-9f62-779f29a7987bUn expert français de l’industrie nucléaire rejoint l'Institute for Korea Spent Nuclear Fuel (iKSNF) pour renforcer les coopérations et les relations techniques France-Corée du Sud.Pascal Claude Leverd, Expert technique international en matière de stratégie et de développement de l'indistrie nucléaire a pris ses fonctions en novembre 2022 au sein de l'Institute for Korea Spent Nuclear Fuel (iKSNF) en Corée du Sud. Il apporte la vision et l’expérience françaises et conseille en matière de stratégie et de développement de programme. 2024-02-15T00:00:00+01:00<p>L’industrie nucléaire est identifiée comme un secteur prioritaire de renforcement la relation bilatérale. La Corée du Sud possède une industrie électronucléaire développée et performante, participant à près d’un tiers, à sa production d'électricité. Comme la France, elle envisage de prolonger la durée de vie de ses réacteurs nucléaires et d’en construire de nouveaux afin d’accroître sa production d'électricité, tout en atteignant les objectifs qu’elle s’est fixée de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Parallèlement, et en l’absence d’action, la Corée sera confrontée d’ici 2030 à la saturation de ses piscines d’entreposage de combustibles usés.</p>
<p>Après des postes au Commissariat à l'énergie atomique (CEA), à l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) et à l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra), Pascal Claude Leverd a été accueilli en novembre 2022 au service de l'Institute for Korea Spent Nuclear Fuel (iKSNF), en qualité d’expert technique international (ETI). Ce poste, déployé par Expertise France, a été créé par la Direction générale du Trésor. A son arrivée en Corée du Sud, Pascal Claude Leverd a été reçu par l’ambassadeur, la cheffe du service économique et le conseiller nucléaire de l’ambassade de France à Séoul.</p>
<p style="text-align: center;"><img class="marge" src="/Articles/de5ccab3-b93e-473e-9f62-779f29a7987b/images/cd5f4fe4-0220-482b-86a3-6a90d3777ebb" alt="accueil Pascal Claude Leverd" /></p>
<p>L'Institute for Korea Spent Nuclear Fuel (iKSNF) a été créé en 2022 alors que la Corée du Sud venait de lancer un ambitieux programme national en vue d’acquérir les technologies et les méthodes de gestion de ses déchets radioactifs de haute activité. Disposant d’une compétence interministérielle, l’iKNSF est localisé à Daejeon, dans la « Techno Valley » coréenne, un pôle scientifique de portée internationale, où sont regroupés la plupart des instituts de recherche scientifique coréens et les organismes en charge de la sécurité nucléaire.</p>
<p>Dans le domaine de la gestion des déchets radioactifs de haute activité, la France maîtrise des technologies uniques et dispose de savoir-faire lui offrant une position reconnue de leader mondial. Au sein de l’iKSNF, Pascal Claude LEVERD apporte la vision et l’expérience françaises et conseille en matière de stratégie et de développement de programme. La mise en valeur des pratiques et du savoir-faire français au cœur des structures coréennes facilite les échanges et les collaborations dans un domaine qui présente des enjeux scientifiques, techniques, environnementaux et économiques majeurs.</p>
<p style="text-align: center;"> <img class="marge" src="/Articles/de5ccab3-b93e-473e-9f62-779f29a7987b/images/33cbd994-4f77-4999-8863-ac436f8ce3ba" alt="Pascal Claude Leverd prise de parole" /></p>
<p>Depuis sa prise de poste, Pascal Leverd a rédigé plusieurs articles publiés dans la presse nationale et spécialisée. Il est par ailleurs régulièrement invité à intervenir dans des tables rondes ou des séminaires – y compris à l’international - pour y présenter l’industrie nucléaire française et la gestion des combustibles en France.</p>fb8ea973-df88-4f9a-ae89-07f68326728dTaux moyen de rendement des obligations des sociétés privées (TMO)Le Taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées (TMO) est le taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées émises au cours du semestre précédent. L'article 14 de la loi du 10 septembre 1947 dispose qu'il constitue le taux plafond pour l'intérêt servi par les coopératives à leur capital. Il est également le taux minimum de rémunération des accords de participation. L'accord détermine l'affectation des sommes issues de la participation.2024-02-14T00:00:00+01:00<h2>Plusieurs affectations sont possibles :</h2>
<ul>
<li>acquisition d’actions de l’entreprise ; </li>
<li>compte courant bloqué dans l’entreprise ;</li>
<li>acquisition de titres de SICAV ; </li>
<li>acquisition de parts de Fonds Communs de Placement d’Entreprise ; </li>
<li>PEE, PEI ou PPESV ;</li>
<li>souscription d’actions des sociétés créées par les salariés en vue de la reprise de leur entreprise.</li>
</ul>
<p>Les comptes courants bloqués sont rémunérés à un taux déterminé par l'accord qui ne peut être inférieur au taux moyen des obligations des sociétés privées.</p>
<p>Lorsque le Taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées constaté est négatif, il est recommandé de retenir pour son application dans les cas listés ci-dessus un taux nul.</p>
<p> </p>
<table border="1" summary="Tableau des TMO" cellspacing="0" cellpadding="0">
<tbody>
<tr style="height: 47px;">
<td style="width: 120.359px; height: 47px;" valign="top">
<p align="center"><strong>Année</strong></p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 47px;" valign="top">
<p align="center"><strong>Semestre de publication</strong></p>
</td>
<td style="width: 93.1719px; height: 47px;" valign="top">
<p align="center"><strong>Taux</strong></p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 47px;" valign="top">
<p align="center"><strong>Date de publication au JO</strong></p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 38px;">
<td style="width: 120.359px; height: 38px;" valign="top">
<p>2023</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 38px;" valign="top"><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second semestre</span></td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 38px;" valign="top">3,37%</td>
<td style="text-align: right; width: 361.109px; height: 38px;" valign="top">14 février 2024</td>
</tr>
<tr style="height: 38px;">
<td style="width: 120.359px; height: 38px;" valign="top">
<p>2023</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 38px;" valign="top"><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">premier semestre</span></td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 38px;" valign="top">3,14%</td>
<td style="text-align: right; width: 361.109px; height: 38px;" valign="top">26 juillet 2023</td>
</tr>
<tr style="height: 38px;">
<td style="width: 120.359px; height: 38px;" valign="top">
<p>2022</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 38px;" valign="top">second semestre</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 38px;" valign="top">2,51 %</td>
<td style="text-align: right; width: 361.109px; height: 38px;" valign="top">10 mars 2023</td>
</tr>
<tr style="height: 38px;">
<td style="width: 120.359px; height: 38px;" valign="top">
<p>2022</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 38px;" valign="top">premier semestre</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 38px;" valign="top">1,325 %</td>
<td style="text-align: right; width: 361.109px; height: 38px;" valign="top">5 août 2022</td>
</tr>
<tr style="height: 38px;">
<td style="width: 120.359px; height: 38px;" valign="top">
<p>2021</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 38px;" valign="top">second semestre</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 38px;" valign="top">0,27%</td>
<td style="text-align: right; width: 361.109px; height: 38px;" valign="top">14 janvier 2022</td>
</tr>
<tr style="height: 38px;">
<td style="width: 120.359px; height: 38px;" valign="top">
<p>2021</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 38px;" valign="top">premier semestre</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 38px;" valign="top">0,2%</td>
<td style="text-align: right; width: 361.109px; height: 38px;" valign="top">15 septembre 2021</td>
</tr>
<tr style="height: 38px;">
<td style="width: 120.359px; height: 38px;" valign="top">
<p>2020</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 38px;" valign="top"><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second</span> semestre</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 38px;" valign="top">-0,02%</td>
<td style="text-align: right; width: 361.109px; height: 38px;" valign="top">14 février 2021</td>
</tr>
<tr style="height: 38px;">
<td style="width: 120.359px; height: 38px;" valign="top">2020</td>
<td style="width: 340.359px; height: 38px;" valign="top">premier semestre</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 38px;" valign="top">0,2%</td>
<td style="text-align: right; width: 361.109px; height: 38px;" valign="top">1er octobre 2021</td>
</tr>
<tr style="height: 38px;">
<td style="width: 120.359px; height: 38px;" valign="top">2019</td>
<td style="width: 340.359px; height: 38px;" valign="top"><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second</span> semestre</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 38px;" valign="top">0,12%</td>
<td style="text-align: right; width: 361.109px; height: 38px;" valign="top">5 février 2020</td>
</tr>
<tr style="height: 38px;">
<td style="width: 120.359px; height: 38px;" valign="top">2019</td>
<td style="width: 340.359px; height: 38px;" valign="top">premier semestre</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 38px;" valign="top">0,62%</td>
<td style="text-align: right; width: 361.109px; height: 38px;" valign="top">24 juillet 2019 </td>
</tr>
<tr style="height: 38px;">
<td style="width: 120.359px; height: 38px;" valign="top">2018</td>
<td style="width: 340.359px; height: 38px;" valign="top">second semestre</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 38px;" valign="top">0,97%</td>
<td style="text-align: right; width: 361.109px; height: 38px;" valign="top">26 janvier 2019</td>
</tr>
<tr style="height: 41px;">
<td style="width: 120.359px; height: 41px;" valign="top">
<p>2018</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 41px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 41px;" valign="top">
<p>1,04%</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 41px;" valign="top">
<p align="right">29 juillet 2018</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2017</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>second semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>0,95 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">8 février 2018 </p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2017</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>1,15 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">31 août 2017 </p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2016</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second</span> semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p> 0,63%</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">13 janvier 2017 </p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2016</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>0,80 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">14 juillet 2016 </p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2015</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second</span> semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>1,19%</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">14 janvier 2016 </p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2015</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>0,96%</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">16 septembre 2015 </p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2014</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second</span> semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>1,5%</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">6 mars 2015</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2014</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>2,28%</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">4 septembre 2014 </p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2013</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second </span>semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>2,62% </p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">11 février 2014 </p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2013</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>2,3%</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">17 juillet 2013</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2012</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second</span> semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>2,41%</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">15 janvier 2013 </p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2012</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>3,15%</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">8 juillet 2012</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2011</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second</span> semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>3,36 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">14 janvier 2012</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2011</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>3,80 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">19 juillet 2011</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2010</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second</span> semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>3,17 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">18 janvier 2011</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2010</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>3,59 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">3 juillet 2010</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2009</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second</span> semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>3,82 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">6 janvier 2010</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2009</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>3,97 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">4 juillet 2009</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2008</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second</span> semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>4,46 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">14 janvier 2009</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2008</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>4,54 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">8 juillet 2008</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2007</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second</span> semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>4,65 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">13 janvier 2008</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2007</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>4,47 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">12 juillet 2007</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2006</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second </span>semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>4,11 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">13 janvier 2007</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2006</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>4,00 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">12 juillet 2006</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2005</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second</span> semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>3,56 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">15 janvier 2006</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2005</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>3,79 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">12 juillet 2005</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2004</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second</span> semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>4,26 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">19 janvier 2005</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2004</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p style="text-align: center;">4,47 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">16 juillet 2004</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2003</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second</span> semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>4,51 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">16 janvier 2004</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2003</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>4,29 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">19 juillet 2003</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2002</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second</span> semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>4,88 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">10 janvier 2003</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2002</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>5,40 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">5 juillet 2002</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2001</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px;">second</span> semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>5,05 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">18 janvier 2002</p>
</td>
</tr>
<tr style="height: 50px;">
<td style="width: 120.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>2001</p>
</td>
<td style="width: 340.359px; height: 50px;" valign="top">
<p>premier semestre</p>
</td>
<td style="text-align: center; width: 93.1719px; height: 50px;" valign="top">
<p>5,37 %</p>
</td>
<td style="width: 361.109px; height: 50px;" valign="top">
<p align="right">14 juillet 2001</p>
</td>
</tr>
</tbody>
</table>
<p><img class="marge" style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" src="/Articles/fb8ea973-df88-4f9a-ae89-07f68326728d/images/ba683e4e-70e7-4893-bcaf-ec6e873c97fb" alt="Illustration TMO" width="827" height="551" />Crédit illustration : Getty images</p>37675da8-5da2-47ee-adc9-0522765c949eRetour sur Bercy France Export 2024Pour la 10ème édition de Bercy France Export, près de 600 personnes se sont rassemblées le 6 février 2024 à Bercy. C’est dans une salle de conférence comble que les acteurs de la communauté de l'export se sont réunis mardi afin de mieux connaître les dispositifs de soutien à l'export et de faire le point sur les réformes en cours dans ce domaine et découvrir la politique de financement export pour 2024.2024-02-14T00:00:00+01:00<h3 style="text-align: left;">Le rendez-vous phare de la communauté française de l'export</h3>
<p> </p>
<p>Pour la 10ème édition de Bercy France Export, près de 600 personnes se sont rassemblées le 6 février 2024 à Bercy. C’est dans une salle de conférence comble que les acteurs de la communauté de l'export se sont réunis mardi afin de mieux connaître les dispositifs de soutien à l'export et de faire le point sur les réformes en cours dans ce domaine et découvrir la politique de financement export pour 2024.</p>
<p> </p>
<p style="text-align: center;"><img class="marge" src="/Articles/37675da8-5da2-47ee-adc9-0522765c949e/images/5b7f7a96-8a06-4a8c-91d4-adc7b2257900" alt="BFE salle comble" width="551" height="367" /></p>
<p style="text-align: center;"> </p>
<h3>Une journée sur le thème de la simplification à l'export</h3>
<p> </p>
<p>Bruno Le Maire, ministre de l'Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, a annoncé à cette occasion un ensemble de mesures de simplification des assurances-export ainsi que l’évolution des règles de « Part française ». Ces mesures s’inscrivent dans le cadre du Plan « Osez l’export ! » annoncé le 31 août 2023, qui vise à assurer une meilleure lisibilité des règles de part française, mais également dans une dynamique plus large de simplification des procédures engagée par le Gouvernement.</p>
<p> </p>
<p style="text-align: center;"><img class="marge" src="/Articles/37675da8-5da2-47ee-adc9-0522765c949e/images/77a6ff8a-ee9b-4554-8cbc-65e01c4241ea" alt="BFE table ronde" width="551" height="367" /></p>
<p> </p>
<p>La matinée de travail a démarré par une session plénière animée par Pierre Darbre, sous-directeur du financement international des entreprises de la Direction Générale du Trésor. Elle a été rythmée par la présentation du bilan d’activité 2023 et l’annonce de la Politique de financement Export 2024 ainsi qu’une table ronde sur l’hydrogène et ses opportunités dans les exportations françaises » animée par Magali Cesana, cheffe du service des affaires bilatérales, de l’internationalisation des entreprises et de l’attractivité (SABINE) de la direction générale du Trésor Dorothée Rouzet, cheffe économiste, a présenté les enjeux macroéconomiques et l’impact des lois récentes sur la compétitivité française. Des témoignages vidéo d’entreprises qui ont bénéficié d’aides à l’export (Fasep, garanties…) ont également ponctué les échanges. La matinée s’est clôturée par le discours de Bertrand Dumont, directeur général du Trésor.</p>
<p> </p>
<p style="text-align: center;"><img class="marge" src="/Articles/37675da8-5da2-47ee-adc9-0522765c949e/images/a216096f-07bd-4df6-b99f-8d877492c7b7" alt="BFE salle vue de haut" width="551" height="367" /></p>
<p> </p>
<p>Des ateliers thématiques et géographiques se sont tenus l’après-midi sur le décryptage de la politique de financement export 2024 et la présentation des outils de financement direct à l’export, ainsi que des rendez-vous personnalisés entre les entreprises et les chefs des services économiques et régionaux du Trésor.</p>
<p style="text-align: center;"> </p>
<p style="text-align: center;"><iframe title="YouTube video player" src="https://www.youtube.com/embed/REIdxbWsFYg?si=DS_wV4xbpBep14TU" width="560" height="315" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p>afa872eb-dfb6-43df-bf24-f3345838e5d4Flash conjoncture France - La Banque de France anticipe un léger redressement de la croissance au 1er trimestre (+0,1 % à +0,2 %) Dans son dernier point de conjoncture, la Banque de France prévoit un léger redressement de la croissance au 1er trimestre 2024, de l’ordre de +0,1 % à +0,2 %, après deux trimestres de stabilité. 2024-02-12T00:00:00+01:00<p>• <strong>Dans son dernier point de conjoncture, la Banque de France prévoit un léger redressement de la croissance au 1<sup>er</sup> trimestre 2024</strong>, de l’ordre de +0,1 % à +0,2 %, après deux trimestres de stabilité. L’activité serait portée par un regain modéré dans l’industrie ainsi que par les services d’information-communication, l’hébergement-restauration, les transports et les services aux entreprises. La construction pourrait connaître un très léger redressement.</p>
<p>• <strong>L’Insee confirme sa prévision de croissance de +0,2 % aux 1<sup>er</sup> et 2<sup>e</sup> trimestres dans son point de conjoncture </strong>publié le 7 février. Contrairement à la Banque de France, l’Insee croit à un nouveau recul de la construction, tandis que le PIB serait soutenu par la consommation des ménages, et par la timide hausse de l’industrie et des services.</p>
<p>• <strong>En décembre, </strong><a href="https://lekiosque.finances.gouv.fr/site_fr/conjoncture/dossier.asp"><strong>le déficit commercial en biens</strong></a><strong> se creuse</strong> (à −6,8 Md€ après −5,9 Md€), résultant d’une hausse plus importante des importations que des exportations.</p>
<p>• <a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7763196"><strong>Selon l’estimation flash de l’Insee</strong></a><strong>, l’emploi salarié privé</strong> (marchand non-agricole) <strong>est quasi-stable au 4<sup>e</sup> trimestre 2023</strong> (−8 300 destructions nettes, soit −0,0 % après +0,1 %) dépassant ainsi son niveau d’avant-crise (+5,8 % par rapport à fin 2019, soit +1,2 M de postes), qui était alors au plus haut depuis 10 ans.</p>
<p><strong>• Selon S&P, le PMI composite définitif de janvier recule moins que prévu dans l’estimation flash (−0,2 pt à 44,6, révisé de +0,4 pt)</strong> en raison notamment de l’activité passée dans les services ; l’indicateur s’éloigne ainsi de son seuil d’expansion (50).</p>
<h5 style="color: #333333; margin-top: 48px; text-align: center;">Zoom sur les climats des affaires sectoriels de la Banque de France</h5>
<p> </p>
<p><strong>L’enquête de la Banque de France à début février rend compte d’une évolution de l’activité peu marquée dans l’industrie mais d’une hausse dans les services, tandis que le bâtiment reste pénalisé par le recul de l’activité dans le gros-œuvre. </strong>Contrairement à ce qu’ils anticipaient le mois dernier, les chefs d’entreprises dans l’industrie font état d’un recul de leur activité en janvier. L’activité dans l’industrie devrait progresser en février, dans un contexte de hausse de l’incertitude, accrue par la situation en mer Rouge et les mouvements sociaux récentes. Ces derniers auraient peu affecté les services dans leur ensemble, où l’activité aurait davantage progressé en janvier qu’attendu le mois dernier. Cette dynamique devrait se poursuivre modérément en février, grâce aux activités de conseil de gestion, l’édition et l’hébergement. Dans la construction, les chefs d’entreprise soulignent le repli de l’activité dans le gros-œuvre et le soutien de la rénovation dans le second-œuvre. Malgré la dégradation des carnets de commande, la BdF croit à une timide reprise de la construction en février, liée au rebond des permis de construire et mises en chantier en décembre.</p>
<p><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/afa872eb-dfb6-43df-bf24-f3345838e5d4/images/8e995815-79d4-4c8f-8e9d-e21c8a8f516c" alt="Climats des affaires sectoriels Banque de France" /></p>4319c219-d979-4d0e-9157-c95ebded6fbaPerspectives économiques de l'Amérique Latine 2023Lors de cette 16eme édition intitulée "Investir dans le développement durable » du rapport annuel sur les Perspectives économiques de l'Amérique latine 2023, publié par le Centre de Développement de l’OCDE, l’Ambassadrice Amélie de Montchalin a ouvert la conférence du 7 février 2024 organisée à l’occasion à l’Agence Française de Développement2024-02-12T00:00:00+01:00<h5 style="text-align: center;"> Perspectives économiques de l'Amérique Latine 2023 - Investir dans le développement durable</h5>
<table style="width: 915px;">
<tbody>
<tr style="height: 166px;">
<td style="width: 754px; height: 166px;">
<h6 style="text-align: justify;">Le <a title="rapport de 2023" href="https://read.oecd-ilibrary.org/development/latin-american-economic-outlook-2023_8c93ff6e-en#page1">rapport de 2023</a> fournit des recommandations de politiques publiques pour mobiliser des investissements dans les différents pays de l’Amérique Latine afin de faire progresser un meilleur modèle de production, de créer des emplois de qualité et d’améliorer le bien-être social des citoyens latino-américains.</h6>
<h6 style="text-align: justify;">Le rapport souligne la nécessité de renforcer les partenariats internationaux pour favoriser l'investissement pour le développement durable et l'intégration régionale.</h6>
</td>
<td style="width: 159px; height: 166px;">
<p> </p>
<p><img class="marge" title="AMLAT" src="/Articles/4319c219-d979-4d0e-9157-c95ebded6fba/images/b0c05581-6249-41f1-8a73-d89a6dac0c0b" alt="AMLAT" width="104" height="129" /></p>
</td>
</tr>
</tbody>
</table>
<p style="text-align: center;"><img class="marge" title="Podium Ambassadrice" src="/Articles/4319c219-d979-4d0e-9157-c95ebded6fba/images/ba66697c-7477-477a-bf90-6c01323db1e4" alt="Podium Ambassadrice" width="645" height="451" /></p>
<p> </p>
<ul type="disc">
<li>Au cours de son intervention, l<strong>’Ambassadrice a particulièrement insisté sur la transformation de l’architecture internationale du financement du développement afin de répondre plus efficacement aux conséquences du changement climatique</strong>. Cette ambition, soulignée par le Président de la République lors du Sommet de Paris pour un nouveau pacte financier mondial, est au cœur des différentes grandes échéances multilatérales internationales en 2024-2025.</li>
</ul>
<ul type="disc">
<li><strong>Amélie de Montchalin a notamment évoqué la poursuite des efforts collectifs, via le <a title="4P" href="https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2023/06/23/lagenda-de-paris-pour-les-peuples-et-la-planete">Pacte de Paris pour les peuples et la planète</a>, ainsi que la réalisation de plusieurs progrès importants, parmi lesquels l’introduction des clauses de dette résiliente au changement climatique (CRDC)</strong>, qui permettent aux pays emprunteurs qui subiraient un choc climatique extrême de bénéficier quasi automatiquement d’une suspension du service de leur dette. Cet instrument de soutien sera bientôt mis en œuvre par l’Agence française de développement.</li>
</ul>
<ul type="disc">
<li>E<strong>nfin, Amélie de Montchalin a rappelé que 2024 sera une année clé pour l’avenir du financement du développement</strong> (COP29 sur le climat, COP16 sur la biodiversité, 4<sup>e</sup> Conférence des Nations-Unies sur le financement du développement) soulignant l’occasion unique de faire progresser le dialogue sur l’architecture financière internationale et continuer la réforme pour un système qui soit à la mesure des enjeux et des ambitions portés par l’Agenda 2030. </li>
</ul>
<p><strong> Elle a conclu en soulignant l’importance d’œuvrer collectivement à ces objectifs en interne à l’OCDE et à l’extérieur avec l’ensemble des partenaires internationaux et nationaux.</strong></p>
<div class="focus">
<p>Lien du rapport : <a href="https://read.oecd-ilibrary.org/development/latin-american-economic-outlook-2023_8c93ff6e-en#page1">https://read.oecd-ilibrary.org/development/latin-american-economic-outlook-2023_8c93ff6e-en#page1</a></p>
<p>Site de l'Ambassade de France aupès de l'OCDE : <a href="https://ocde.delegfrance.org/">https://ocde.delegfrance.org/</a></p>
<p>Article disponible ici <a href="https://ocde.delegfrance.org/Presentation-du-rapport-annuel-Perspectives-economiques-de-l-Amerique-latine">Présentation du rapport annuel Perspectives économiques de l'Amérique (...) - Représentation permanente de la France auprès de l'OCDE (delegfrance.org)</a></p>
</div>
<p style="text-align: center;"> <img class="marge" title="AFD salle" src="/Articles/4319c219-d979-4d0e-9157-c95ebded6fba/images/2c91766e-a17c-4b74-8607-6a8ae53c6a73" alt="AFD salle" width="663" height="378" /></p>4137b619-b01f-4936-96a9-4b369a1ec69fFlash Conjoncture Pays avancés - Recul des ventes au détail en zone euro Flash Conjoncture Pays avancés - Recul des ventes au détail en zone euro 2024-02-12T00:00:00+01:00<p><strong>En zone euro</strong>, en janvier, l’indice des directeurs d’achat (PMI, S&P) recule dans le secteur des services (48,4 après 48,8), ainsi qu’<strong>en Allemagne </strong>(47,7 après 49,3), tandis qu’il augmente <strong>en Espagne</strong> (52,1 après 51,5), <strong>au Royaume-Uni</strong> (54,3 après 53,4), <strong>au Japon</strong> (53,1 après 51,5), <strong>aux Etats-Unis</strong> (ISM : 53,4 après 50,5) et <strong>en Italie</strong>, passant en territoire d’expansion (51,2 après 49,8). En décembre, les ventes au détail reculent <strong>en zone euro</strong> (−1,1 % après +0,3 %) et <strong>en Italie</strong> (−0,1 % après +0,3 %). <strong>En Allemagne</strong>, la production industrielle manufacturière (IPI) recule (−1,2 % après −0,1 %), ainsi qu’<strong>en Espagne </strong>(−0,3 % après +1,1 %) tandis qu’elle progresse en Italie (+1,1 % après −1,3 %). <strong>En Allemagne</strong>, en décembre, la balance commerciale progresse (+22,2 Mds€ après +20,8 Mds€) et les commandes à l’industrie augmentent fortement (+8,9 % après +0,0 %). En janvier, l’inflation harmonisée (IPCH) recule <strong>outre-Rhin</strong> (+3,1 % après +3,8 %).<strong> Aux Etats-Unis</strong>, en décembre le déficit commercial s’accentue (−62,2 Mds$ après −61,9 Mds$).</p>
<p> <img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/4137b619-b01f-4936-96a9-4b369a1ec69f/images/53213cfa-df28-45a1-8645-cafee203dc0b" alt="Indicateurs" /><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/4137b619-b01f-4936-96a9-4b369a1ec69f/images/fd1e6aac-b126-48b9-a21c-5003bd08b61a" alt="Chiffre d'affaires déflaté du commerce de détail en zone euro" /></p>5871b68e-d5ce-4949-8bae-ce6062810d82Le Fonds d'Innovation pour le Développement (FID) : trois années de succès et un renouveau prometteurLe 8 février marque un jalon significatif pour le Fonds d'Innovation pour le Développement (FID), hébergé par l'Agence Française de Développement (AFD). Trois années d'activité fructueuse ont été célébrées ainsi que le renouvellement de la convention entre l'État français et l'AFD pour la période 2024-2027, bénéficiant d'un soutien financier notable de l'État à hauteur de 100 millions d'euros, dont 80% proviennent du ministère de l'Economie et des Finances.2024-02-09T00:00:00+01:00<div class="min-h-[20px] text-message flex flex-col items-start gap-3 whitespace-pre-wrap break-words [.text-message+&]:mt-5 overflow-x-auto" data-message-author-role="assistant" data-message-id="4701407a-dbf2-4ae7-b362-13e567e70cb9">
<div class="markdown prose w-full break-words dark:prose-invert light focus"><a href="https://fundinnovation.dev/">Le Fonds d'Innovation pour le Développement (FID) </a>a pour mission de promouvoir l'émergence d'innovations visant à combattre plus efficacement la pauvreté et les inégalités dans les pays en développement. Il a pour objectif premier de soutenir des démarches expérimentales et d’évaluer leur impact à l’aide de méthodes scientifiques rigoureuses, dans une perspective de passage à l’échelle des solutions innovantes.</div>
<div class="markdown prose w-full break-words dark:prose-invert light"> </div>
<p> <img src="/Articles/5871b68e-d5ce-4949-8bae-ce6062810d82/images/080484ae-1eb3-43db-881c-dc5026774999" alt="Projet JeuneLeader du FID" width="376" height="250" /><img src="/Articles/5871b68e-d5ce-4949-8bae-ce6062810d82/images/74885f46-20b8-4ccc-9b88-a3488fc548d7" alt="Projet du FID Global School Learders" width="333" height="250" /></p>
<p>Le 8 Février<a href="file:///C:/Users/rdupilet/Downloads/Bilan%20d'activit%C3%A9%20du%20FID%202021-2023.pdf"> marque le bilan des trois premières années d'existence du fonds qui est résolument positif.</a></p>
<p>Près de 3,6 millions de personnes ont bénéficié des innovations soutenues par le FID, démontrant ainsi l'impact concret et palpable de ces initiatives.</p>
<p>Une majorité des <a href="https://fundinnovation.dev/projects">projets </a>a été dirigée vers les Pays les Moins Avancés (PMA), avec 59% des interventions, et a ciblé les secteurs prioritaires de la politique de développement française, notamment l'éducation, la santé, le genre et le climat, représentant 75% des initiatives.</p>
<p>Le renouvellement de la convention entre l'État et l'AFD marque une nouvelle étape dans le parcours du FID. Avec un soutien financier accru de l'État à hauteur de<strong> 100 millions d'euros pour la période 2024-2027</strong>, dont une part significative est assurée par la Direction générale du Trésor, le fonds se voit conforté dans sa mission et ses ambitions.</p>
<p>Dès 2024, une enveloppe annuelle de 5 millions d'euros provenant du Ministère de l'Europe et des Affaires Étrangères (MEAE) et de 20 millions d'euros du Ministère de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, doublant ainsi sa contribution annuelle, viendra renforcer les capacités d'intervention du FID.</p>
<p>L'événement du 8 février 2024 a revêtu une importance particulière, marquant la signature de la convention relative à la contribution financière du MESFIN par le Directeur général du Trésor.</p>
<p>Cette étape symbolique souligne l'engagement continu des acteurs nationaux et internationaux en faveur de l'innovation et du développement durable.</p>
<p> </p>
<img class="marge" src="/Articles/5871b68e-d5ce-4949-8bae-ce6062810d82/images/83df4cf1-c095-48ae-9247-bc1c5032f49d" alt="Signature du renouvelelemtn du fonds le 8 février 2024 à Paris" />De gauche à droite Esther Duflo présidente du cosneil de direction du Fonds d'Innovation pour le Développement.; Bertrand Dumont Directeur général de la Direction Générale du Trésor; Marie-Hélène Loison Directrice générale de l'AFD; Aurélien Lechevallier directeur général de la Mondialisation; Juliette Seban directrice exécutive du Fonds d'Innovation pour le Développement.<br />
<p style="text-align: center;"> </p>
<ul>
<li class="markdown prose w-full break-words dark:prose-invert light" style="text-align: left;"><a href="file:///C:/Users/rdupilet/Downloads/Bilan%20d'activit%C3%A9%20du%20FID%202021-2023.pdf">Bilan d'activité du FID entre 2021 et 2023</a></li>
<li class="markdown prose w-full break-words dark:prose-invert light" style="text-align: left;"><a href="file:///C:/Users/rdupilet/Downloads/Exemples%20de%20projets%20financ%C3%A9s%20par%20le%20FID-1.pdf">Exemples de projets financés par le FID</a></li>
<li class="markdown prose w-full break-words dark:prose-invert light" style="text-align: left;"><a href="https://fundinnovation.dev/">Le site du Fonds d'Innovation pour le Développement</a></li>
</ul>
</div>e101488a-4e05-4914-9f1c-c64f8df93de7Rapport 2024 sur le commerce extérieur de la FranceL’année 2023 a été marquée par d’importants bouleversements. La poursuite de la guerre en Ukraine, le conflit à Gaza affectant la stabilité de la région jusqu’en mer Rouge, la recrudescence de la compétition économique et technologique entre les États-Unis et la Chine sont autant d’éléments de complexité et d’instabilité qui ont affecté le commerce mondial. 2024-02-08T00:00:00+01:00<p><strong> Le rapport annuel 2024 sur le commerce extérieur de la France </strong>paraît à l'occasion de la publication des chiffres du commerce extérieur en 2023.</p>
<p><strong>Le solde commercial s’améliore de 63 Md€ sur un an et passe sous la barre de -100 Md€ en 2023.</strong> Cette embellie reflète dans une large mesure la forte réduction de la facture énergétique (-47 Md€).</p>
<p>Hors énergie et matériel militaire,<strong> le solde s’améliore également de 19 Md€ pour s’établir à -54 Md€</strong>. Il est tiré par le secteur aéronautique et le textile.</p>
<p>La <strong>baisse des prix de l’énergie</strong> se traduit par un recul des importations de biens en valeur (-7,1 % par rapport à 2022) alors que les exportations ont légèrement progressé (+1,5 %).</p>
<p><strong>L’excédent du solde des services baisse à +31 Md€</strong>, un niveau inférieur à l’excédent record enregistré en 2022 mais supérieur à la moyenne pré-crise grâce à la bonne tenue du tourisme et des services financiers. Avec la baisse des prix du fret, les services de transport redeviennent déficitaires après des excédents inédits.</p>
<p>Au total, <strong>le déficit de la balance courante se résorbe partiellement</strong> : il s’élève à -34 Md€ (–1,2 % du PIB) après -54 Md€ (–2,0 % PIB) en 2022.</p>
<p>Le <strong>nombre d’exportateurs français continue de progresser</strong> sur les douze derniers mois, et s’établit à 146 200 entreprises au 3ème trimestre 2023 (dont 80 % avec moins de 20 salariés).</p>
<p> </p>
<p> </p>
<p><!--EndFragment --></p>
<p style="text-align: center;"> <img class="marge" title="chiffres clés du commerce extérieur" src="/Articles/e101488a-4e05-4914-9f1c-c64f8df93de7/images/27b1f4bb-a982-4b9f-af78-2eb942123a59" alt="chiffres clés du commerce extérieur" width="778" height="1099" /></p>
<p> </p>
<p> </p>
<ul type="disc">
<li>Télécharger <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/e101488a-4e05-4914-9f1c-c64f8df93de7/files/256cbb6e-2b9d-43ef-97fa-29441cf83d00" target="_blank" rel="noopener noreferrer">le rapport 2024 du commerce extérieur >></a></li>
<li>Télécharger<a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/e101488a-4e05-4914-9f1c-c64f8df93de7/files/5aabe80f-e76b-4050-b860-57ad438f0d35" target="_blank" rel="noopener noreferrer"> la synthèse des résultats >></a></li>
<li>Télécharger <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/e101488a-4e05-4914-9f1c-c64f8df93de7/files/ca35b88f-2967-4a60-bca1-3e3cb49423d5" target="_blank" rel="noopener noreferrer">les chiffres clés >></a></li>
<li>Retrouver <a title="Communiqué de presse" href="https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/politique-etrangere-de-la-france/diplomatie-economique-et-commerce-exterieur/actualites-liees-a-la-diplomatie-economique-et-au-commerce-exterieur/2024/article/presentation-des-resultats-du-commerce-exterieur-en-2023-07-02-24" target="_blank" rel="noopener noreferrer">le communiqué de presse >></a></li>
</ul>d29cfee9-aebf-441a-8a9f-a3fc6a7aea5eBercy France Export : ressources en ligneBercy France Export est le rendez-vous annuel d'échanges sur les enjeux de l'export organisé par la Direction Générale du Trésor. Cette année, ce rendez-vous se tient le 6 février avec les acteurs clefs de la communauté des exportateurs français : entreprises, banques, assureurs, membres de la Team France Export, conseillers économiques en ambassade et autres acteurs institutionnels.2024-02-06T00:00:00+01:00<p> </p>
<p><img class="marge" title="bannière BFE" src="/Articles/d29cfee9-aebf-441a-8a9f-a3fc6a7aea5e/images/8d881b2b-59a2-409a-b7af-430ee95590be" alt="bannière BFE" /></p>
<p>Bercy France Export est le rendez-vous annuel d'échanges sur les enjeux de l'export organisé par la Direction Générale du Trésor. Cette année, ce rendez-vous se tient le 6 février avec les acteurs clefs de la communauté des exportateurs français : entreprises, banques, assureurs, membres de la Team France Export, conseillers économiques en ambassade et autres acteurs institutionnels.</p>
<p> </p>
<div class="focus">
<ul>
<li><strong><a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/d29cfee9-aebf-441a-8a9f-a3fc6a7aea5e/files/27c36814-5969-447c-9eee-f99dce8752ac">Téléchargez le dossier participants</a></strong></li>
<li><strong><a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/d29cfee9-aebf-441a-8a9f-a3fc6a7aea5e/files/6ff132aa-a289-4f6c-90a1-5bed0340fd2a" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Téléchargez le communiqué de presse</a></strong></li>
</ul>
</div>
<p> </p>
<h4>Consultez la carte de la Politique de financement export pour 2024</h4>
<p> </p>
<div class="infogram-embed" data-id="73b7f9cd-005e-426a-ba36-1f299fbddd2a" data-type="interactive" data-title="Carte PFE 2024"> </div>
<p> </p>
<p style="text-align: center;"><iframe title="YouTube video player" src="https://www.youtube.com/embed/wz_kwq8rhXw?si=KD1UYBxoW_k8QNLs" width="560" height="315" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p>
<p> </p>952b1074-ac1f-41c0-af35-39e46ab74fa9Flash Conjoncture Pays avancés - L’indice PMI manufacturier s’améliore en zone euro Flash Conjoncture Pays avancés - L’indice PMI manufacturier s’améliore en zone euro 2024-02-05T00:00:00+01:00<p>Aux <strong>États-Unis</strong>, en janvier, l'ISM manufacturier (49,1 après 47,1) et la confiance des ménages (114,8 après 108,0) augmentent, et le taux de chômage stagne (à 3,7 %). En décembre, les dépenses de construction résidentielle augmentent (+1,4 % après +1,0 %), mais les dépenses de construction non résidentielle ralentissent (+0,4 % après +0,9 %). Au <strong>Japon</strong>, en décembre, la production industrielle (IPI) augmente (+1,6 % après −1,3 %) selon la 1<sup>ère</sup> estimation, alors que le taux de chômage baisse (2,4 % après 2,5 %). En janvier, le PMI manufacturier augmente dans tous les principaux pays avancés : au <strong>Japon</strong> (48,0 après 47,9), en <strong>zone euro</strong> (46,6 après 44,4), en <strong>Allemagne</strong> (45,5 après 43,3), en <strong>Italie</strong> (48,5 après 45,3), en <strong>Espagne</strong> (49,2 après 46,2) et au <strong>Royaume-Uni</strong> (47,0 après 46,2) selon l’estimation finale. En <strong>zone euro</strong>, en décembre, le taux chômage stagne (à 6,4 %) et en janvier, le sentiment économique (ESI composite) baisse (+96,2 après +96,3), à l’instar de l’inflation (+2,8 % après +2,9 %). L’inflation recule également en <strong>Allemagne </strong>(+3,1 % après +3,8 %) mais stagne en <strong>Espagne</strong> (à 3,4 %) et augmente en <strong>Italie</strong> (+0,9 % après +0,5 %). Au 4<sup>e</sup> trimestre 2023, l’activité baisse en <strong>Allemagne</strong> (−0,3 % après −0,0 %) et augmente en <strong>Italie </strong>(+0,2 % après +0,1 %) et en <strong>Espagne</strong> (+0,6 % après +0,4 %) selon la 1<sup>ère</sup> estimation. En <strong>Allemagne</strong>, en décembre, les ventes au détail baissent (−1,6 % après −0,8 %), et le chômage (au sens du BIT) stagne (à 3,1 %). En <strong>Italie</strong>, en décembre, le taux de chômage baisse (7,2 % après 7,4 %). En <strong>Espagne</strong>, en décembre, les ventes au détail baissent (−0,7 % après +0,8 %).</p>
<p><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/952b1074-ac1f-41c0-af35-39e46ab74fa9/images/eff8349f-f651-4283-8ac3-35b57ca23bdf" alt="Indicateurs" /></p>
<p><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/952b1074-ac1f-41c0-af35-39e46ab74fa9/images/e4c0be1f-c89b-4403-ab82-5c5deee11637" alt="Indices PMI dans le secteur manufacturier" /></p>8fdf1d3a-f2d7-410a-a336-e130abb509afFlash conjoncture France - Le PIB reste stable au 4e trimestre à +0,0% Le PIB de la France reste stable au 4e trimestre (+0,0 % après +0,0 % ; révisé de +0,1 pt) selon la première estimation des comptes trimestriels, à l’instar de la demande intérieure finale (−0,1 % hors stocks). 2024-02-05T00:00:00+01:00<p>• <strong>Le </strong><a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7760263"><strong>PIB</strong></a><strong> de la France reste stable au 4<sup>e</sup> trimestre (+0,0 % après +0,0 % ; révisé de +0,1 pt)</strong> selon la première estimation des comptes trimestriels, à l’instar de la demande intérieure finale (−0,1 % hors stocks).</p>
<p>• <strong>En janvier, </strong><a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7760027"><strong>l’inflation</strong></a><strong> en France (au sens de l’IPC) diminue à +3,1 % en glissement annuel, </strong>selon les résultats provisoires de l’Insee, après +3,7 % en décembre 2023.</p>
<p>• <strong>En décembre, </strong><a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7759484"><strong>la consommation des ménages en biens</strong></a><strong> augmente de manière plus modérée qu’en novembre</strong> (+0,3 % en v.m. en volume, après +0,6 %) grâce à une nette progression de la consommation d’énergie (+1,7 %, après +1,0 %) et des biens durables (+1,4 % après +1,2 %), notamment les matériels de transport (+4,4 % après +1,5 %).</p>
<p>• <strong>En décembre, la</strong> <a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7761551"><strong>production manufacturière</strong></a><strong> envoie un signal positif </strong>(+1,2 % en v.m. après +0,2 %) comme dans l’ensemble de l’industrie (+1,1 % après +0,5 %). <strong>L’IPI de décembre est porté </strong>par les « <strong>autres produits industriels</strong> » (+2,1 % après +0,3 % en v.m.) et l’IPI dans la <strong>construction s’améliore nettement</strong> après une baisse en novembre (+3,0 % en variation mensuelle après −1,1 %).</p>
<p>• <strong>La </strong><a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7759438"><strong>production dans les services</strong></a><strong> baisse à nouveau en novembre selon l’Insee </strong>(−0,6 % en v.m. après −0,4 %) avec une baisse dans la majorité des secteurs, notamment les activités immobilières, l’information-communication et l’hébergement-restauration.</p>
<p>• L’indice <a href="https://www.pmi.spglobal.com/Public/Home/PressRelease/41bb48b39dc5459d814d80b39166b302"><strong>PMI définitif dans l’industrie </strong></a>pour la France augmente (+1,0 pt à 43,1) ; notamment en raison d’une forte chute du solde relatif aux délais de livraison dans le sillage des tensions en Mer Rouge.</p>
<h5 style="color: #333333; margin-top: 48px; text-align: center;">Zoom sur l'évolution trimestrielle du PIB</h5>
<p> </p>
<p style="text-align: left;"><strong>La <a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7760263">première estimation du PIB</a> au 4<sup>e</sup> trimestre fait état d’une stabilité de la croissance (+0,0 % après +0,0 % ; révisé de +0,1 pt). </strong>Cette progression est portée par la contribution du commerce extérieur (+1,2 pt après −0,1 %), qui s’explique par la résistance des exportations (−0,1 %) et un fort recul des importations (−3,1 %) qui trouve sa contrepartie dans la contribution, très négative, des stocks. La demande intérieure marque le pas au 4<sup>e</sup> trimestre, notamment en raison d’un investissement en berne (−0,7 %) : ce repli est à la fois porté par les ménages (−1,4 %) et par les entreprises (−0,6 %). Du côté de la consommation des ménages, le signal global est celui d’une légère baisse (−0,1 %) ; mais dans le détail, la consommation des ménages est fortement pénalisée par la baisse de la consommation d’énergie (−2,5 %) en lien avec les températures clémentes au T4.</p>
<p> <img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/8fdf1d3a-f2d7-410a-a336-e130abb509af/images/1d70ed7f-edfb-4a3d-a504-b73051096fa1" alt="Evolution trimestrielle du PIB et ses contributions" width="923" height="601" /></p>60c93e5a-753b-45a0-b544-034e9963359aA la une d'Objectif Afrique : perspectives énergétiques en AfriqueRetrouvez le numéro 243 d'Objectif Afrique.2024-02-01T00:00:00+01:00<p style="text-align: center;"><img class="marge" title="Objectif Afrique" src="/Articles/b4bb08c9-687c-4635-b18d-1aebbdb8caf7/images/e265f928-cd41-47cc-9efd-58479e4a74de" alt="Objectif Afrique" width="624" height="410" /> </p>
<div class="focus" style="margin-top: 24px; margin-bottom: 24px; padding: 30px;">
<h2><strong>FOCUS</strong></h2>
</div>
<h3 style="color: #333333; margin-top: 24px;">Perspectives énergétiques en Afrique</h3>
<p>(rapport d'octobre 2023 de Deloitte)</p>
<p>Selon le cabinet Deloitte, l’Afrique possède d’abondantes réserves d’énergies, renouvelables et non-renouvelables, et de minerais critiques. Le continent détient ainsi 125 milliards de barils de réserves de pétrole, 18 trillions de mètres cubes de gaz naturel ainsi qu’une part conséquente du potentiel énergétique renouvelable mondial (10TW de solaire, 35 GW d’hydroélectricité, 110 GW d’éolien et 15 GW de géothermie). Le continent pourrait produire 5 000 mégatonnes d’hydrogène par an selon l’IEA tandis que la RDC détient 70 % de la production mondiale de cobalt et l’Afrique du Sud 60 % de la production de manganèse, 75 % du platine et 40 % du palladium.</p>
<p>Toutefois, malgré ces importantes ressources naturelles, le rapport note que 600 millions de personnes vivent toujours sans accès à l’électricité en Afrique Subsaharienne, dû au manque d’investissement dans les infrastructures énergétique. 25 Mds $ d'investissements dans les réseaux électriques, la production d'énergie et les solutions hors réseau seraient ainsi nécessaires chaque année pour éliminer la précarité énergétique en Afrique. Selon les auteurs, des investissements massifs devront par ailleurs être renforcés au vu des projections qui prévoient un doublement de la population africaine d’ici 2040 pour atteindre 2,1 milliards de personnes tandis que l’exode rural conduirait un demi-milliard de personnes à s’installer en zones urbaines. Ces phénomènes accroîtront la demande énergétique et électrique d’au moins 60% d'ici 2030.</p>
<p>Le manque d’accès à l’énergie, comme au Mozambique, ou les pénuries d’électricité, comme celles que connaît l’Afrique du Sud depuis 2022, ont un coût économique majeur pour ces pays. Au Mozambique, seul 40 % de la population a accès au réseau électrique en 2022, entravant le développement du pays (181<sup>e</sup> pays en termes d’IDH) tandis qu’en Afrique du Sud, les coupures d’électricité auraient couté entre 21 et 31 Mds $ à l’économie du pays en 2022.</p>
<p>Le scénario d’une Afrique durable de l’IEA modélise une trajectoire d’ici 2030 dans laquelle « tous les objectifs de développement liés à l’énergie sont atteints ». L’IEA envisage notamment l’éradication de biomasse pour la cuisson grâce à l’accès universel aux technologies modernes. Si le scénario repose sur un large déploiement des énergies renouvelables dans le continent, il prévoit également un large recours au gaz naturel comme énergie de transition (cf. graphique ci-dessous). </p>
<p><em>Africa’s total primary energy supply by 2030 (IEA’s Sustainable Africa Scenario)</em></p>
<p><em><br clear="all" /> </em></p>
<p style="text-align: center;"><em> <img class="marge" title="graphique" src="/Articles/60c93e5a-753b-45a0-b544-034e9963359a/images/4c504244-7449-4d4a-96db-080e4ae34dd5" alt="graphique" /></em></p>
<p> </p>
<div class="focus" style="margin-top: 24px; margin-bottom: 24px; padding: 30px;">
<h4><a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/60c93e5a-753b-45a0-b544-034e9963359a/files/ac4dff28-3c78-43ab-bdf7-b8eb80940e25">Télécharger le numéro 243 d'Objectif Afrique >></a></h4>
</div>
<p>Retrouvez les numéros précédents :</p>
<ul>
<li><a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2023/12/22/a-la-une-d-objectif-afrique-la-fiscalite-internationale-et-l-afrique" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Objectif Afrique numéro 242</a></li>
<li><a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/727c2a02-86a1-459b-9379-444b2db30aee/files/741b6360-fb35-4f64-b331-5b212cd045f9">Objectif Afrique numéro 241</a></li>
<li><a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2023/10/10/a-la-une-d-objectif-afrique-l-africa-climate-summit-a-nairobi">Objectif Afrique numéro 240</a></li>
<li><a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2023/08/02/a-la-une-d-objectif-afrique-les-analyses-de-l-ocde-sur-les-dynamiques-du-developpement-durable-en-afrique">Objectif Afrique numéro 239</a></li>
<li><a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2023/07/06/a-la-une-d-objectif-afrique-l-acces-a-l-energie-en-afrique-subsaharienne">Objectif Afrique numéro 238</a></li>
<li><a title="Objectif Afrique n326" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2023/06/07/a-la-une-d-objectif-afrique-les-perspectives-economiques-regionales-du-fmi-pour-l-afrique-subsaharienne-en-2023-et-2024">Objectif Afrique numéro 236</a></li>
<li><a title="Objectfi Afrique 235" href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2023/05/03/a-la-une-d-objectif-afrique-les-perspectives-economiques-regionales-du-fmi-pour-l-afrique-subsaharienne-en-2023-et-2023">Objectif Afrique numéro 235</a></li>
</ul>
<p> </p>
<p> </p>4a59bcb1-59a6-462d-bc17-89fa8ad3b119How Dependent Are Emerging Market Economies on China's Growth?Emerging economies, especially Asian countries and commodity exporters, are the most vulnerable to the structural slowdown in Chinese growth, due to their high degree of trade and financial dependence on China (loans, FDI). They are expected to be affected by falling Chinese demand and the resulting impact on commodity prices, as well as by gradual, ongoing cuts to Chinese financing.2024-01-30T00:00:00+01:00<p>China is now the top export market for many emerging countries, as its average share of exports from these economies rose from 4% in 2002 to 12% in 2022. Additionally, the growth of outbound Chinese tourism has created new forms of dependence, especially for certain Asian countries.</p>
<p>Emerging economies are also financially dependent on China through commercial and sovereign loans. The main recipient sectors (energy, mining and transport) and regions (Asia and Africa for almost 60% of the loans) are in line with China’s strategic priorities, particularly in terms of its supply needs. China’s total outward foreign direct investment (FDI) flows remain low in relation to loans, but Chinese FDI accounts for a significant share of the FDI stock of several countries (Pakistan, Angola, South Africa and Thailand).</p>
<p>China’s slower medium-term growth – which the IMF has projected will fall to 4% over the next few years, down from 8% in the 2010s – will affect emerging economies through two primary channels. On the trade side, slower Chinese growth will result in (i) a decline in domestic demand and imports, and (ii) price and volume effects on commodities. On the finance side, China’s slowdown will play a role in the continued push, which began in 2015, to reduce the flow of its financing (loans and FDI) to emerging economies (see Chart), and in the country’s geographic and sectoral refocusing, as already reflected in the shift in the official stance regarding the Belt and Road Initiative (BRI). Asian countries and commodity-exporting countries are expected to be the most vulnerable to China’s structural slowdown due to their close trade ties with Beijing.</p>
<p> </p>
<p style="text-align: center;"><img class="marge" src="/Articles/4a59bcb1-59a6-462d-bc17-89fa8ad3b119/images/09610113-052a-4f8b-9043-e85bf55ea385" alt="Visuel TE-336en" /></p>75a1844e-b3bf-4c53-b27d-d6b7d4209c5fRevue « Propriété intellectuelle et lutte anti-contrefaçon», Numéro 59La revue « Propriété intellectuelle et lutte anti-contrefaçon» aborde l’actualité de la propriété intellectuelle sur les marchés tiers, notamment en ce qui concerne les indications géographiques, les marques, les brevets, la lutte contre la contrefaçon. La revue est réalisée par la Direction Générale du Trésor à partir des contributions du réseau des Services économiques à l’étranger, en particulier des conseillers INPI et des conseillers agricoles.2024-01-30T00:00:00+01:00<p>Parmi les articles de ce nouveau numéro :</p>
<ul>
<li>Le développement progressif des Indications Géographiques au Canada</li>
<li>Décision de la Cour Suprême des Etats-Unis sur l’application extraterritoriale de « <em>Lanham Act</em> » (loi sur les marques)</li>
<li>Un tribunal de Pékin estime qu’une image générée par l’intelligence artificielle est protégeable par droit d’auteur</li>
<li>Première décision de justice en Chine appliquant la loi sur la concurrence déloyale pour protéger une indication géographique étrangère contre son utilisation pour des produits non couverts par l’indication géographique</li>
<li>Entrée en vigueur du règlement européen sur les indications géographiques industrielles et artisanales</li>
<li>Entrée en vigueur du Plan d’action 2023-2025 de la Stratégie nationale Brésilienne en matière de propriété intellectuelle</li>
</ul>
<p> </p>a3f6fbf2-d16e-4e68-a271-4d4503040377Les dépendances des économies émergentes à la croissance ChinoiseLes économies émergentes, plus particulièrement les pays asiatiques et exportateurs de matières premières, sont particulièrement exposées au ralentissement structurel de la croissance chinoise, en raison de leurs fortes dépendances à la Chine sur le plan commercial et financier (prêts, IDE). Elles devraient ainsi être affectées par la baisse de la demande chinoise et ses effets sur les prix des matières premières, ainsi que par la réduction progressive des financements chinois, déjà à l’œuvre. 2024-01-30T00:00:00+01:00<p>La Chine est désormais le 1er marché à l'export de nombreux pays émergents : sa part moyenne dans les exportations des pays émergents est passée de 4 % en 2002 à 12 % en 2022. Le développement du tourisme international chinois crée également de nouvelles dépendances, plus particulièrement pour les pays asiatiques.</p>
<p>La dépendance des émergents à la Chine est également financière, à travers des prêts commerciaux et souverains. Les principaux secteurs (énergie, mines, transport) et régions (Asie et Afrique pour près de 60 % des prêts) récipiendaires reflètent les priorités stratégiques chinoises notamment en matière d'approvisionnement. Les flux d'investissement directs étrangers (IDE) chinois totaux restent modestes par rapport aux prêts, mais représentent une part importante des stocks d'IDE de plusieurs pays (Pakistan, Angola, Afrique du Sud, Thaïlande).</p>
<p>Le ralentissement de la croissance chinoise à moyen terme (de 8 % à 4 % selon le FMI) affectera les économies émergentes via deux principaux canaux. Sur le plan commercial, le ralentissement chinois se traduira par une baisse de sa demande interne et de ses importations, mais aussi par des effets prix et volume sur les matières premières. Sur le volet financier, il contribuera à la poursuite de la baisse des financements chinois (prêts et IDE) à destination des économies émergentes, entamée depuis 2015 (cf. Graphique), et à leur recentrage géographique et sectoriel, d'ailleurs déjà reflété par les mutations du discours officiel concernant la<em> Belt and Road Initiative</em> (BRI). Les pays asiatiques et les pays exportateurs de matières premières seraient les plus exposés au ralentissement structurel de la Chine en raison de leurs liens commerciaux étroits avec la Chine.</p>
<p> </p>
<p> </p>
<p style="text-align: center;"><img class="marge" src="/Articles/a3f6fbf2-d16e-4e68-a271-4d4503040377/images/c42fadbe-1dc8-4146-8093-50913b932c16" alt="Visuel 1 TE-336" /></p>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p>
<h4><strong>+ Télécharger l'étude complète <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/a3f6fbf2-d16e-4e68-a271-4d4503040377/files/80a301cc-f9d3-4422-a059-14544c555070" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Trésor-Éco n° 336>></a><br /></strong></h4>
<h4><strong>+ Autres publications à consulter sur le sujet :</strong></h4>
<ul>
<li><strong> Dumond J., Landais M. et Offret P. (2018), « <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2018/10/11/tresor-eco-n-229-les-nouvelles-routes-de-la-soie" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Les nouvelles routes de la soie</a> », <em>Trésor-Éco</em>, n° 229.</strong></li>
<li><strong> International Monetary Fund (IMF). 2023. “<a href="https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=&ved=2ahUKEwiswe-cyNeDAxViTKQEHbkFBKIQFnoECBsQAQ&url=https%3A%2F%2Fwww.imf.org%2F-%2Fmedia%2FFiles%2FPublications%2FREO%2FAFR%2F2023%2FOctober%2FEnglish%2Fchina-note1.ashx&usg=AOvVaw3sGtF_y6SueK_zyF1JBizp&opi=89978449" target="_blank" rel="noopener noreferrer">At a Crossroads: Sub-Saharan Africa’s Economic Relations with China</a>” <em>In Regional Economic Outlook: Sub-Saharan Africa—Light on the Horizon? Washington</em>, DC, October.</strong></li>
<li><strong> OCDE (2023), “<a href="https://www.oecd-ilibrary.org/economics/oecd-economic-outlook/volume-2023/issue-1_1f628002-en" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Interim Report September 2023: Confronting Inflation and Low Growth</a>”, <em>OECD Economic Outlook</em>. </strong></li>
<li><strong> Morvillier F., Perego E. (2023), « <a href="https://theconversation.com/la-chine-principal-creancier-mondial-une-fragilite-de-plus-pour-les-pays-emergents-et-en-developpement-209983" target="_blank" rel="noopener noreferrer">La Chine principal créancier mondial, une fragilité de plus pour les pays émergents et en développement</a> », CEPII.</strong></li>
</ul>
<h4><strong>+ Voir toute la collection des études Trésor-Éco : <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/tags/Tresor-Eco" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Français</a> / <a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/tags/Tresor-Economics" target="_blank" rel="noopener noreferrer">English</a></strong></h4>
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<p>Aux <strong>États-Unis</strong>, l’activité progresse au 4<sup>e</sup> trimestre 2023 selon la 1<sup>ère</sup> estimation (+0,8 % après +1,2 % au 3<sup>e</sup> trimestre). En décembre, la consommation progresse de +0,5 % (après +0,5 %), tandis que les commandes de biens durables stagnent (+0,0 % après +5,5 %). Le <strong>commerce mondial (CPB)</strong> se contracte de −1,4 % en novembre (après +0,7 %).</p>
<p><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/2d0ce297-d8dd-4081-8365-0623534b8f75/images/ab48f013-040e-42d0-979b-48e86be9e97e" alt="Indicateurs" /></p>
<p> <img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/2d0ce297-d8dd-4081-8365-0623534b8f75/images/f0dbf327-f803-49de-a3a4-e28e55fbffc4" alt="Indices PMI composite" /></p>13f8eb3e-dbe0-480c-8fdf-3df7dde41057Flash conjoncture France - Les enquêtes de conjoncture envoient des signaux timides en ce début d’année 2024 En janvier, selon les enquêtes mensuelles de l’Insee, le climat des affaires est stable et proche de sa moyenne historique (inchangé à 98), reflétant toutefois des divergences entre secteurs d’activité. 2024-01-29T00:00:00+01:00<p>• En janvier, selon les <a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7758471"><strong>enquêtes mensuelles de l’Insee</strong></a>, le climat des affaires est stable et proche de sa moyenne historique (+0 pt à 98), reflétant toutefois des divergences entre secteurs d’activité. En effet, si le climat dans l’industrie est stable, les climats dans les services, le commerce de détail et le bâtiment sont orientés à la hausse. Toutefois, celui dans le commerce de gros est en berne.</p>
<p>• En revanche, selon S&P, le <a href="https://www.pmi.spglobal.com/Public/Home/PressRelease/192b13fb00474a28abdb308b60858032"><strong>PMI composite</strong></a> de janvier recule de nouveau, de −0,6 pt à 44,2 ; s’éloignant davantage de son seuil traditionnel d’expansion (50).</p>
<p>• La <a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7758403"><strong>confiance des ménages</strong></a> repart à la hausse en janvier (+2 pt à 91) après deux mois de stabilité. L’indicateur reste éloigné de sa moyenne (100).</p>
<p>• Les <a href="https://www.banque-france.fr/fr/statistiques/commerce-de-detail-dec-2023-dec-2023"><strong>ventes dans le commerce de détail</strong></a> sont stables en décembre selon la Banque de France. Elles demeurent toujours sous leur niveau moyen d’avant-crise (−2,6 % par rapport à la moyenne de 2019).</p>
<p>• Les <a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/7755599"><strong>créations d’entreprises</strong></a> reculent sur le mois de décembre (−1,6 %), tout en restant à un niveau élevé sur l’année.</p>
<p>• Le <a href="https://statistiques.pole-emploi.org/stmt/publication"><strong>nombre de demandeurs d’emplois</strong></a> au 4<sup>e</sup> trimestre 2023 augmente (+0,2 %) mais baisse de −0,4 % sur un an. </p>
<h5 style="color: #333333; margin-top: 48px; text-align: center;">Zoom sur les climats des affaires</h5>
<p><strong>Les</strong> <strong>enquêtes de conjoncture disponibles à début janvier envoient des signaux timides pour la croissance française en ce début d’année</strong>. Si le climat des affaires de l’Insee fait preuve d’immobilisme en janvier tout en restant très proche de sa moyenne de longue période (+0 pt à 98), le PMI composite recule lui de −0,6 pt et s’éloigne de son seuil théorique d’expansion. Les évolutions sont divergentes selon les secteurs d’activité considérés et de la source des enquêtes : le climat dans les services de l’Insee poursuit sa hausse en janvier et passe au-dessus de son niveau de long terme (+1 pt à 101) alors qu’il diminue selon les PMI (−0,7 pt à 45,0). Le climat dans l’industrie résiste bien en ce début d’année (+0 pt à 99 selon l’Insee et +1,1 pt à 43,2 pour les PMI) ; et l’Insee et S&P s’accordent pour dire qu’une détente des contraintes de production dans l’industrie a eu lieu, notamment dans les matériels de transport. Le climat dans le bâtiment rebondit en janvier (+1 pt à 103), tout comme celui dans le commerce de détail (+4 pt à 104) mais celui dans le commerce de gros connaît une nouvelle inflexion (−1 pt à 90), pénalisant nettement l’indicateur synthétique.</p>
<p><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/13f8eb3e-dbe0-480c-8fdf-3df7dde41057/images/041ca943-9bac-4787-9c7e-ff7d4d2a4121" alt="Climats des affaires globaux" width="912" height="595" /></p>
<p> </p>c11b6eb7-94a8-4159-93d0-4d221596ab39La France présente la troisième demande de paiement de la subvention dans le cadre de son plan national de relance et de résilience (PNRR).La France adresse à la Commission européenne une troisième demande de paiement dans le cadre de son plan national de relance et de résilience (PNRR) pour recevoir 7,5 milliards d’euros de subventions du plan de relance européen NextGenerationEU. 2024-01-26T00:00:00+01:00<div class="focus">
<h5>Le contexte</h5>
<p>Le PNRR de la France présente les investissements pour lesquels la France sollicite un financement de 40 milliards d’euros du plan de relance européen. Le PNRR participera ainsi à hauteur de 40 % au financement du plan national de relance « France Relance » de 100 milliards d’euros lancé en 2020. Comme le plan France Relance, le PNRR poursuit trois priorités clefs : l’écologie, la compétitivité ainsi que la cohésion sociale et territoriale.</p>
</div>
<p> </p>
<p>Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, a présenté à la Commission européenne une troisième demande de paiement dans le cadre du plan national de relance et de résilience (PNRR) afin de recevoir 7,5 milliards d’euros de subventions en 2024.</p>
<p>À mi-parcours du plan de relance européen qui s’achèvera en 2026, la France a déjà reçu près de 60 % des subventions demandées, ce qui la place en première position parmi les États membres de l’Union européenne. La France a ainsi reçu plus de 23 milliards d’euros de subventions dans le cadre du plan de relance européen, notamment à la suite d’un versement de plus de 10 milliards d’euros fin 2023 au titre de la deuxième demande de paiement de son PNRR.</p>
<p>Très concrètement, les 7,5 milliards d’euros de la troisième demande de paiement contribueront notamment au financement des investissements suivants :</p>
<ul>
<li>La signature de plus d’un million de contrats d’apprentissage entre 2021 et 2023 ;</li>
<li>La rénovation de plus de 700 km de petites lignes ferroviaires locales et de plus de 180 km de lignes de fret ;</li>
<li>L’ouverture de plus de 1 600 points de recharge électriques sur les routes françaises ;</li>
<li>La rénovation énergétique de près de 22 millions de mètres carrés de planchers des bâtiments publics.</li>
</ul>
<p> </p>
<p>La demande de paiement sera évaluée par la Commission européenne et les États membres au cours des prochains mois. La France adressera encore deux demandes de paiement à la Commission européenne dans le cadre du plan de relance européen jusqu’en 2026, afin de recevoir au total un peu plus de 40 milliards d’euros de subventions.</p>
<p>Le Gouvernement appelle à la mise en œuvre rapide du plan de relance européen qui contribuera efficacement à renforcer le potentiel de croissance et la résilience des économies européennes sur le long terme.</p>
<p> </p>
<h5>Liens utiles : </h5>
<ul>
<li><a href="https://presse.economie.gouv.fr/bruno-le-maire-adresse-a-la-commission-europeenne-une-troisieme-demande-de-paiement-pour-recevoir-75-milliards-deuros-de-subventions-du-plan-de-relance-europeen/">Le communiqué de presse du 16 janvier 2024</a></li>
<li><a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/tags/PNRR">Nos articles consacrés au PNRR</a></li>
<li><a href="https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2023/04/20/mise-a-jour-du-plan-national-de-relance-et-de-resilience-pnrr-afin-d-integrer-un-chapitre-repowereu">Mise à jour du plan national de relance et de résilience (PNRR) afin d’intégrer un chapitre REPowerEU</a></li>
</ul>f204ff3b-6d47-4c18-8f9b-754ba6b75243Flash Conjoncture Pays avancés - L’inflation remonte légèrement à l’internationalFlash Conjoncture Pays avancés - L’inflation remonte légèrement à l’international2024-01-22T00:00:00+01:00<p>En décembre, l’inflation est en baisse en <strong>Italie</strong> (au sens de l’IPCH, +0,5 % après +0,6 %) et au <strong>Japon</strong> (IPC, +2,6 % après +2,8 %), mais augmente en <strong>Allemagne</strong> (IPCH, +3,8 % après +2,3 %), en <strong>zone euro</strong> (IPCH, +2,9 % après +2,4 %), et <strong>outre-Manche</strong> (IPC, +4,0 % après +3,9 %). La production industrielle (IPI) augmente en décembre aux <strong>États-Unis</strong> (+0,1 % après −0,0 %) mais recule en novembre au <strong>Japon</strong> (−0,9 % après +1,3 %) et en <strong>zone euro</strong> (−0,3 % après −0,7 %). En novembre, le taux de chômage est stable au <strong>Royaume-Uni</strong>, à 4,2 %. En novembre, l’excédent commercial de la <strong>zone euro </strong>s’accentue (+20,3 Md€ après +11,4 Md€), mais recule en Italie (+2,8 Md€ après +3,8 Md€). En janvier, en <strong>Allemagne</strong>, l'indice ZEW révèle une nette amélioration des anticipations des analystes du secteur financier allemand (+15,2 après +12,8).</p>
<p> <img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/f204ff3b-6d47-4c18-8f9b-754ba6b75243/images/b3880b6a-aebc-4575-9615-08d910e1f374" alt="Indicateurs" /><img class="marge" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="/Articles/f204ff3b-6d47-4c18-8f9b-754ba6b75243/images/d504ea47-39af-4238-a543-bfc2cefa62dc" alt="Inflation dans les principaux pays avancés" /></p>23c61ddf-a083-4256-bde8-6b4d6f87a47b[Histoire de FASEP] La France accompagne la transformation numérique du système de transport par câble à La Paz, Bolivie La DG Trésor soutient le développement international des entreprises avec le FASEP (Fonds d'études et d'aide au secteur privé), un fonds de subventions permettant de financer des études de faisabilité ou la démonstration de technologies innovantes.2024-01-19T00:00:00+01:00<blockquote>
<p>La DG Trésor soutient le développement international des entreprises avec le FASEP (Fonds d'études et d'aide au secteur privé), un fonds de subventions permettant de financer des études de faisabilité ou la démonstration de technologies innovantes. </p>
<p>En Bolivie, une subvention du FASEP a permis à la startup française Bluspark de démontrer l’efficacité de ses méthodes et d’acquérir une référence dans le pays partenaire. Cette subvention a contribué à la mise en place d'une plateforme numérique innovante pour le réseau de transport par câble de La Paz, en collaboration avec l'entreprise publique bolivienne MiTeleférico en charge de l’exploitation du réseau téléphérique de la ville.</p>
</blockquote>
<h4>Le contexte</h4>
<p>La zone métropolitaine de La Paz-El Alto compte une population de 2,8 millions d’habitants malgré sa topographie escarpée. Au milieu des montagnes, La Paz se situe à plus de 3 650 mètres au-dessus du niveau de la mer, tandis que El-Alto est à plus de 4000 mètres d’altitude.</p>
<p>Chaque jour, environ 440 000 navetteurs se rendent des quartiers résidentiels d’El Alto aux lieux de travail de La Paz. La croissance rapide de la ville d’El Alto engorge le réseau routier montagneux de la métropole : il n’est pas rare de ne pouvoir parcourir que 10 km en une heure sur les routes montagneuses et congestionnées de la région.</p>
<p>Face à ce défi unique de mobilité dans une topographie atypique et complexe, la ville de La Paz s'est engagée dans un projet ambitieux de modernisation de son système de transport public, dont le réseau de téléphérique (un mode de transport indispensable pour les résidents). Avant 2022, et la réalisation du projet de Bluspark, le réseau de téléphérique nécessitait modernisation afin d’améliorer son efficacité.</p>
<p style="text-align: center;"> <img class="marge" title="inauguration téléphérique" src="/Articles/23c61ddf-a083-4256-bde8-6b4d6f87a47b/images/7d3d6d12-126d-40a2-99b5-ca59e0ff7708" alt="inauguration téléphérique" width="400" height="243" /></p>
<h4 style="text-align: left;">Quelle solution a été mise en place et quel en a été l’impact ?</h4>
<p> </p>
<p>La mise en place d'une plate-forme d'information qui donne en temps réel l'état des prestations de transport public « Mi Teleférico » et augmente l’adoption et l’accessibilité du service.</p>
<p>Inaugurée le 28 novembre 2023, la plateforme de Bluspark offre des informations essentielles sur l'état et les performances du réseau de téléphérique, facilitant ainsi une meilleure gestion des opérations et une maintenance proactive.</p>
<p style="text-align: center;"><em><img class="marge" title="Inauguration du téléphérique" src="/Articles/23c61ddf-a083-4256-bde8-6b4d6f87a47b/images/2690289a-ff9f-4277-86b1-70e340acb97b" alt="Inauguration du téléphérique" width="446" height="293" /></em></p>
<p>Cette plateforme digitale a une double vocation : <strong>augmenter la demande du service</strong> et <strong>réduire les coûts d’opération et de management</strong>. La plateforme augmente la demande (nombre de voyageurs) et donc réduit la pollution environnementale et sonore produite par le réseau d'autobus et de minibus fonctionnant à l'essence et au diesel dans la zone métropolitaine de La Paz-El Alto. La plateforme répondra également aux besoins des personnes handicapées ou à mobilité réduite à l’instar de ce transport public.</p>
<p> Le projet apporte une amélioration notable dans la gestion des opérations de communication et de maintenance, augmentant l'efficacité et la fiabilité du service de téléphérique. Cela se traduit par une meilleure expérience pour les usagers et une réduction des coûts opérationnels.</p>
<p> </p>
<h4>Un renforcement des liens entre la France et la Bolivie</h4>
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<p>Ce projet illustre la capacité du FASEP à promouvoir des solutions technologiques françaises innovantes à l'international. La collaboration avec MiTeleférico et l'engagement d'autres acteurs locaux soulignent la force des partenariats internationaux.</p>
<p> L'inauguration de cette plateforme ouvre des possibilités de futures collaborations et projets dans le secteur des infrastructures et des technologies urbaines, renforçant les liens entre la France et la Bolivie.</p>
<p style="text-align: center;"><img class="marge" title="inauguration téléphérique" src="/Articles/23c61ddf-a083-4256-bde8-6b4d6f87a47b/images/d8419fd3-7529-405e-aa90-7fba0883af5f" alt="inauguration téléphérique" width="398" height="292" /></p>
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<p>"<em>La proposition de Bluspark pour la Bolivie a été sélectionnée parmi de nombreuses offres, suite à un appel lancé en France par le ministère de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique pour soutenir des projets innovants pour la décarbonisation des services essentiels. Les solutions de plateforme numérique proposées par Bluspark, mises en œuvre avec Mi Teleferico, font exactement partie de ce type de solutions innovantes que nous cherchons à encourager</em>".</p>
<p>Florence Gonzalez, Cheffe du service économique de Lima.</p>
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<p> Le succès de la plateforme numérique de Bluspark en Bolivie est un témoignage de l'expertise et de l'innovation des startups françaises. Ce projet souligne l'engagement de la France à contribuer aux villes durables de demain.</p>